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advertir vostre seigneurie des languaiges qui troctent tant
Monsieur, en santé, très heureuse, bonne et longue,
je m’asseure qu’il n’y a longtemps que vous estes tout résolu de
de fort grand matin pour aller à madrie où il m’a
a touttesfins vous désirés par voz derniers mémoires;
et fault que voz ennemis confessent qu’ilz ne scauroyent mieux perdre le tamps
il prant grandement à doubter.
les capitaines. Les nouvelles se sont changées puys ce
Vostre bien humble serviteur et amy.
me recommandant très humblemant à vostre bonne grâce,
trouveront mes très humbles recommandations à leurs bonnes grâces. Si
[v°] chastiement que luy et ses semblables y prendront exemple, et
[v°] pas quelles pressent plus si fort,
Monseigneur, en toute prospérité très longue vie . De
car nous soldatz n’en peuvent plus
de la religion, renvoyant à ses fins lesdites
Je vous prie me dyre votre advis que je doybz commander à Meyrieu d’aller
serviteur pour vous obéir à jamais
Votre très humble etrès obéissant
Votre très humble filz et très hobeyssant serviteur à jamay.
prie Notre Seigneur quil vous veuille donner
longue. De Digne, ce Vme juillet 1572
Votre très humble et très obéissant
certein que le roy Philippe rend Final au marquis.
des moyens et des pratiques que vous n’avez pas.
seroit plus saige, encores que je m’asseure
[v°] je ne la vous foys longue quar je suis fort hasté de monter à cheval presentement pour aller
Greulx, ce VIIIe juillet 1572.
princes et seigneurs de ceste court leur sont
jen ey rapporté ung desvoyement destomac, mays le repos et
serviteur pour vous obéyr à jamais
il y n’a en ceste decente escus pour toutes
grâce que vous vencyez faire l’hiver en ce païs, il se faudroit
servyteur comme bon conpagnon
et qu’il espère estre bien tost de retour.
D’Ambrun, le XIII de juillet 1572.
car quelque raisons que l’on leur scaiche alléguer, ilz tiennent le roy pour autheur et faulteur
de Mons en Haynaut n’osent faire grandes sorties sur
Et au cas que les compaignies vous recherchassent, de m’escrire de leur
[v°] frères et les jehans de roube longue on hoppiné pour la
mille et six escutz que monte à sa part l’héritage
Votre très humble et plus hobeyssante
Votre bien humble et très obeyssante
prieray le Créateur vous doner en santé, heureuse et longue
responce qu’à son frère. Alors, il me nomast ung messire Jean Bouvier,
serviteur
mais le vostre particullier. Aussi au demourant monsieur, quant
de foin que l’année passée. Monsieur d’Apt n’ha, à l’evesché,
première despeiche que luy ferés. Nous n’avons icy aulcune
XVIIIe juillet 1572
et contante vie. D’Apt, ce XVIIIme juillet 1572. Je croy, mon-
serviteur
De Saluces, le XIXe juillet 1572, de
Createur qu’il vous donne en toute prospérité, très longue vie. De Montpellier, le
où la companie de monsegneur le prince daulphin estoit ordonnée
perte en ceste province. Or ie prie à Dieu qu’il luy doint soit icy ou ailleurs ce que luy est necessaire.
de tesmoingstz, lesquelz j’ay commencé d’examiner
compaignie. A Paris, le XX juillet 1572
Chabryère paiera à la Madalène porcheine. Me samble
crue ; ce que, s’il plaist à votre seigneurie faire, je prieray Dieu
qui avoit volonté d’estre président et bon pouvoir de
remettre son estat de conseilier pour le prix qu’il vous
[v°] matin pour me faire recouvrer du vilage, pour argent,
aultres qui ont des vayseaulx en cette flotte, estans à la court, font
hobeissant serviteur
Monseigneur vous donner, en toute prospérité sancté, accomplissement
je vous suplie me vouloir faire ce bien de commander
fort bone esperance [barré : que] d’avoir bien tost mon congé
oubéisent à jamès ser
Monsieur de Cugy et de Chellard doibvent arryver
1572
l’obeissance accostumée. Monsieur le duc de Savoye
elle [est] si grande que peu de gens y ont plaisir
jamès abandonné jusques à ce que monsieur de Laval a heu perdu
Vostre plus affettionné et obeissant
sil votre purgastion vous a augmanté plus de santé, aussy sil vous bevé de vin.
estant sa mère malade et elle chargée d’affaires,
Pierrebon
et je masseure que les benedictions et prières du peuple vous
toutesfoys que nous avons recogneu le
m’a porté ung paquet de lettres du roy, lequel j’ay ouvert
et le trovis venant au conseil. Il me conta les choses
Nous sommes tousiours attendant messieurs de Vènes et de Laval. Il ne seront pas plus toust
recoumandations à vous bones graces et celles de
ung bellistre qui ne vault rien, mais cest pour purger le
me recommande à vostre bonne grace et de madame de Gordes,
Monsieur, madamoyselle de Sainct Privat et le demourant de ceste
veu la lettre. Je ne ferey faulte de y veilher,
Monsieur très bonne longue et heureuse vye. De Sault
ce mot encores mes plus humbles recommandations
monsieur quil vous doint la sienne, accompaignée de longue et contante
hautement pour les chefz qui vous concernoint, comme il
passé par le pays et me semble que
envoyer par ce deppesche, comme jay faict quand ilz ont
particullierement, pour men revencher en tout aultre
par ma pleinte, mays encores par actes sufizantz
est bort [sic] grande et y a grande quantité de
Vostre très humble et hobeyssant
fiebvre, vous offrant tout ce quest à mon pouvoyr, et vous demeurant
escripre, je metray fin à la presante, après vous avouer beysé très humblement
Jespère que tous se porteront bien, car la verolle est sortie,
et très heureuse vie. De Grenoble, ce Vme aost 1572.
deux heures. Je pance bien que ni aura que soyt nuict lon
esloignés de vous, puyssions clorre la bo[u]che à ceux qui
Monsieur, vous aurez bien veu le cayer de ceulx de ladite religion par
Sev[erin] Odoard
à monsieur de La Coste et suis très marri de la
1572
Monseigneur vous donner en parfaicte santé très longue et très heureuse vie.
longue et heureuse vye à votre tout parfaict contantement.
bien humblement à vostre bonne grace, priant Dieu,
vous suplie que sil vous vient à comodité de maporter seluy
longue. A Paris, le VIII daoust 1572.
et la faulte que nous auryons de la perte de tel personage que dhomme
de Lieux anseinte et bien malade.
passée bien près de Marceillie.
commander, vous hobeyrey dune aussi bonne volanté comme
[v°] poinct le jour. Tous nous vallés ont esté presques malades
lit et ne l’en subsonnet lors point, sinon quand il a esté
[v°] le mien propre, je vous baiserey très humblement les
Monseigneur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De
quilz en scauroyent désirer. Et surce, je fineray avec mes humbles
par le menu. Et neantmoins, pour satisfère à ce que vous desyrés
P. de Simianne
informations de la saizie de l’archier
Je les voy et parle à eulx quelzques foys, et au sieur de Saint-Romain,
en terre et en mer de Dom Jan d’Austriche ; aussi le duc de Nazare qui va vers le pape
mes très humbles recommandations, je prierey le Createur,
Guillaume Cuvellier
donner tousiours lestat quil me donne oultre celluy denseigne
de ancezune
daoust 1572
passées, il ma faict ung long discours
que le prest d’ung moys. Si eusse esté à Grenoble, j’eusse
demain. En ce pays, on est hors de doubte de guerre pour quelque
ayant perdu ceste hocasion, je ne sey quant nous
commis des Estatz de Daulphiné
en ces cartiers sommes estes bien trompés de la recolte car
quil appelle les plus doulx du monde. Vous avés
Votre très humble filz et très obeissant
se contente de peu. A cause dequoy, je vous vouldrois
après vous avoir très affectueusement remercier
Monseigneur, vous donner en santé très longue et
Truchon
matin pour aller fère voller une perdris à votre tiercellet
plairra en ordonner, afin que incontinent, je puysse
votre très humble serviteur
La Mote Verdeyer
veoir. Et après vous avoir presenté mes très humbles
pour empecher qu’on ne les facha, dont j’estoys mieulx adverti
melieur moyen, je croy que monsieur de Fiansayes vous
obligées recommandations à vous bonnes grace, priant Dieu,
Votre très humble et aubeysant servyteur
à ce quen escrives ou peut estre moyns, mays son rapporteur
et me demanda si monsieur de St Romain et Cheylas
vostre boune grace, de madame de Gordes et du sur
maisons fortes pour la mein. Je scay quelle a
de Simienne. Alleman
graces, an boune santé. Lon les
Vostres très humbles serviteurs et à vous fère
heussions receu la votre que feut allé avec monsieur
[v°] a heu chevallier qui ayt pencé à faire si grand faulte, mais
leur donner tousjours plus de crainte et empecher qu’il
Comme il ce présenteroit quelque chose de nouveau en ces quartyers, je ne fauldros encoure plus toust de
ne se reduyront, et m’asseure qu’il fauldra combattre,
à mes actions et au rapport duquel vous vous
et entretenir son edict de pacification faict dernier ; et
vie et longue. De Rousset, ce XXVIIIe sep[tem]bre 1572
quil aient faictes ; non pas que je vuilhe dire que la consideration
XXIXe sep[tem]bre 1572.
sont entre les mains de maistre Guillemin, [barré : je] lequel
serviteur G. d’Avanson, A.
plus aulcune chose en mes
à votre bonne grace, apprès avoyr supplié Notre Seigneur
a qui se treuvent sus leurs guardes et
de sa magesté et vostres, car lesdits de la religion s’en
ladite lettre du roy
la Tivollyere m’envoyast, j’eusse incontinant monté à cheval pour aller attendre
octobre 1572.
Monsieur, qu’i vous ayt en sa garde. De votre
contraindre ; et que sans cela ilz ne payeroient rien. Toutesfois
en notre scavoyr ils y sont alles fort franchement. Je voys sur ce
bien peu respectée, tellement que tous les conseilz et
pretendoit au prioré de Mante pour l’aller assommer ; en la companie
faict la reparer un peu et aussy monsieur de Cabanes
me done grasa que ne le soyhe davantage. Je vous
Laroche
La nouvelle vint hyer au soir à mondit segnieur d’Armagniac comme
s’expediera mardy et aynsi n’y aura retardation que d’ung jour ;
daussy affectionée volonté que serviteur que vous arés jamais,
toute ma vie acomplir daussy bon cueur
Votre très humble etrès obeisant
endroict, je presanteray mes très humbles
vous bonnes graces de mes tres humbles recommandations,
qui vient de ce païs là, qui vous pourra advertir plus
Monseigneur, vous donner en santé heureuse et longue vie. De
Le Pegue
davantage que ledit seigneur des
dont j’en rendz graces à Nostre Seigneur qui vous a conduit
La Thivollière
[v°] l’on a faict dessendre de la citadelle de Lyon trente pieces
dangier. Car on faict courir le bruict que du cousté d’Orange se faict quelque remuement,
votre très humble, très hobéissant nepveu
G. Deportes
G. Deportes
lieues d’icy, me porter le mesme advys, lequel ne me pouvant
monsieur en très bonne santé heureuse, longue et contente
pretexte d’une faulse allarme, tuarent troys de la
Montoyson, ce XIIme doctobre 1572
monsieur, janvoie douze qualles et douze
survenant à la closture de la presente, ma requis dune
ainsy. Je demeure en peyne pour ne scavoir ce que le
dona telle alarme à Columbin, qui estoyt de l’aultre
disnée près moy à venir voir vostre petit peuple qui se porte si bien
Votre très humble et très obeissant serviteur
endrets, estant de besoing de lesser équipage
Vostre humble serviteur
d’Embrun son oncle.
ne feray faute de luy faire entendre me vouloir octroyer le
de la vaccation en quoy ilz sont employer, mais aussy leur pourroit
[v] ung peu de son genoul, plus que le ne souloyt.
[v] pour vous dire que, ayant antandu la mort de Monsieur
et s’ayder à purger leur païs de ceste vermine, nous asseurans qu’ilz
Pour le moingz, cella me faict bien croyre qu’ilz
et heureuze vie. Du Sainct-Esprit, ce XXIe jour d’octobre 1572.
[v] ceste primevère les deux fortz, desquelz vous ay jà escript avoir
vostre compaignie. De Vienne, ce XXIII d’octobre 1572
[v] portent pistolés et arquebuses, ce qu’ilz n’avoient encore
humbles recommandations.
pouvoit ; et combien que je m’asseure que mesdits segneurs de
jour, et a esté bien marri qu’il n’y aie heu fons
serviteur
gnie. Je luy dis en riant que [barré : la sen] les gendarmes estoint pour luy et
Monseigneur vous donner en parfaite santté longue et heureuse vie.
tost ou bien tost après monsieur de Lombes les despêches
Monseigneur, je le supplieray de vous tenir en très longue et très heureuse
à messieurs d’Ambrun et de Grenoble, pour n’estre veu
s’il suffira que voz lettres pour Grane sont addressées à la chambre
ladite copie.
que d’avoir ici des affaires. Monsieur le président
serviteurs, les consses à Valcluson
et de madame de Gordes et de monsieur de La Roche, priant
a-je aseurance que vous ne le voudriés veoir avec moins
Dieu vous garde quand l’ons se treuve. Je ne pance pas que
signée Mellet, sans date, s’adressant à « monsieur le catholique »
de Privas à Montbrun. Nous extimons qu’ilz traffiquent quelque
Je ne rampliray point se
lettre, je vous avoys suplyé permettre que mes officiers exerceassent
il m’a dit : « voilà bien mon cas » ; et que tout ce qui en fust est
chandelles que messieurs du pays hont données à messieurs de ceste ville leur
bonne grâce et de madame de Gordes comme font ladicte
à s’en aller.
[v] Je serois bien marry, en cela et en toute autre chose qui déppendera
choses. Je prye à Dieu les tenir toutz en bonne santé d’âme et
couleur, l’on faisoit courir le bruict que les enfans du
icelle volloir continuer pour la conservations de notredicte
hors de deffance et quant au
ne pense pas que d’ailleurs ilz en peussent non plus avoir.
icy le XIIIIe du présent. Monsieur de Ramboullet passa hier allant à Romme
Votre très humble serviteur
La Porte
est trop fascheux. J’ey mandé vers monsieur
entré dans Sancerre et ce qu’il a trouvé
Il a mandé par monsieur de Lombes à sa magesté pour
Ce porteur m’a dict qu’il avoyt huict soubz de la grand croix que ne les a peu
comme l’on murmure, que les Vénitiens pourroient ces[t]
à faire faire ung pavilion pour ung lict
Picardie qui sauva le sieur de Saint-Romain, qui est le sieur de
[v] J’escris à Lanel qu’il laisse l’affaire que vous scavés comme il la
la perte de mon âme qu’il luy a pleu
Baptiste de Simienne
ma conscience contre l’honneur de Dieu pour le quel
des comptes de Grenoble ou de ceste, veu enfin
Votre très humble filz zt obéissant serviteur
au devant des deux brêches qu’avoint esté faictes à la
est bien à la donation de mondit sieur ; mais par les statutz et
seigneurie treuve bon, la pourrés remectre audit sire
cele de monsieur de Meolhon partent au premier jour
moien que j’avois de me tenir suget en ceste charge, pour
pas car je coneus que la royne en estoit picquée. N’ayant
De madame de Gordes. Je prie le Créateur vous donner
de La Roche notre frère. D’Apt, ce XIXe décembre 1572.
madame de Carssèses et madamoiselle de Vins viendront bien tost
catholicque ». Il est bon et requis de s’y prendre garde ; et néantmoings, il me semble que
plus retourner. Au surplus, Monseigneur, j’ay depuis
de choses come premièrement vous pouvés antandre de
P. Evesque de Gap
guerre pour ceulx de ladite religion de son quartier, affin qu’ilz se tiennent prestz pour le
De Simienne allemand
n’ay rien receu pour monsieur de La Roche et m’est
a dict comme il a faict à moy de la plaincte de son beau-frère
qu’il le permecte ainsy. Au demeurant monsieur, monsieur du
seurement, pour vous servir.]
laisse d’espérer qu’ils pourrayent estre contrainctz par nécessité, d’aultant
pour estre parrain, mais il s’est excusé de façon que le
potiamo vivere ne havertiro il luocotenente che vegga
si peu et qui s’est rendu si long et difficile
de ladite nouvelle oppinion que despuis les eedictz
vie. De Vallamce, ce IIIme de janvyeir 1573.
rendu seurement. Il ma faict beaucoup de bien. Je vous supplie
nous sommes contrins luy faire faire de gros boloars, cest à dire
[barré : et] J’ai emprunté XII c[ent] livres de monsieur de l’Isle et
De Saluces, ce 6 janvier 73.
heureuse vye. De votre humble mayson d’Orpiarre,
au Change et celuy de St Michel estoit en allarme. Je
Mehru, de Toré sont à Chantilly, Dieu mercy tous en
despeche du premier de ce moys. Je loue Dyeu de bon cœur que leurs santé soit toujours
Montoyson.
croyre que tout mon desir ne tend à autre fin que de vous rendre
maisons où lung deux y procedant ses chevaux ensemble
pour accompagner la depeche du roy à Rome. Je vous
Votre plus parfaict [barré : amy] et affectionné ami
pour encore jaye peu scavoyr le chemin quilz ont tenu plus oultre, tant y a quon a prins
Favot
[48 v°] prandre les armes. En quoure que hount bien
obeir Vantadour
[5 v°] besoing pour lexpedition d’un procès quil a en la court de parlement de
je meforceray de la reparer de tout mon pouvoyr, affin quau moins elle
je la finiray par mes humbles recommandations à votre
Francoys de simienne
sortist aux fenestres et lesdits estrangers, mangeant le pein du peuple, se sauvarent
les [barré : in] in fourmasiouns ayant entendeu
santé.
Andrieu De Exea vi senechal
fort necessères et où ilz me fauldroyt tenyr huict ou dix soldatz à madite
Ilz sont grand haulmoniers du bien daultruy mais du
Votre très humble et hobeissant
années la dicte rante, laquelle mest dues instemant
prosperité et longue vye. De Romans, ce XVIIIe
que ledit cappitaine et sa compagnie se trouveroyt en votre gouverne-
Et afesyonné à vous fère
que avés volhu. Vous eytes byen voyr que les [barré : dyetes]
Il n’y doist venir pour en ceste saison se declairer. A Apt tout
pour marcher lors que je la manderay et sera bon, affin quelle soit
et longue vie. De Lyon, ce XXIe janvier 1573.
ce mercredi au soir XXI de janvier mil VC LXXIII.
Aspremont, se XXI janvier.
eyreuze vie. De Vallance, se XXIIe de Janvyer 1573.
vous le leur fassiés entendre en leur donnant ung
le XXIIme jour de janvier 1573.
en cest endroyt Je me recommande à votre bonne
y renvoyer pour si peu de chose qui pourra peult estre cause d’ung grand bien
que pour sattisfaire aux passions de quelques ungz
Madame de Gordes et monsieur de la Roche
Guordez à qui elle est très humble
tenyr voz lettres à madame la vicayre de Saincte Clayre d’Avignon. Il y a environ quinze jours
vous presenterè mes humbles et très affectionées recommandations,
mainctienne,
la ville de Berne
quelques uns s’oublyoient de leur devoir, qu’il ne
de monsieur de Maugiron, comme je vous en ay escript
de Nyort qui n’y a que dix liues iusques au
arrierages de ma pancion, mais jen espère peu ou rien.
La Roche. Je nay point heu de novelles de Senarpont.
pour la quantité quils en hount. Nous presumons quils
commencer ce soir les tranchées, cepandant nous
XXIIIe fevrier 1573.
dont je sallue ses bonnes graces et la supplie mexcuser
à vostre bonne grace et de madame de Gordes. Monsieur
demeure icy pour les garnisons de XX homes de Cisteron, part à
Monsieur, je crendrès [barré : q] que les huguenaus ne se voulsistent
des comptes du Daulphiné cognoissent desdites lettres, ilz pourront
congnoistrez son intention. Au demeurant, je nay jamais ordonné au cappitaine La Tourette
et de mon mal pour lasseurance que jay que vous y prendrez
Rousset
le Createur quil vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse
La Roche
d’assurer leurs vies. Je croy que, quand à ce poinct,
oblieray jamais. Non aultre chose pour le present,
Mademoyselle de La Roche à Grane
lettre me soyt renvoyée après que monsieur de Grenoble et ma seur du Monestier
car il se presente tous les jours soldartz en ceste
et est venu bien appropos. Lon na faitz mors les sieur de
vous baiserey les mains en toutte humilité,
mareschal faict estat nespargner munitions pour [barré : faire]
dudit Michel, allé à Chasteauneuf de Vernoux avec aulcuns
et serviteur à jamays
la vallée de Bordelois commencent comme à lever les cornes
quelque chose deventage, mais je considère que un homme vieux et
Votre plus humble à jamais
1573.
comme j’ay à mi conduire car ung plus avisé que moy
humblement à vous bonnes graces. Priant Dieu,
negossye quelque chose. Lon ma asseuré quil est ung
menvoys recommander très humblement à votre bonne
en ses dons et graces, vous donner bonne,
à Montbrun ung Espagnol à piet qui parle toutes langues et vient de Genefve et
Truschenus
cueur vous face service quand il vous plairra me faire
de Languedoc et voudrois en avoir dignes de vous
Le voyage que devait faire
somme de saulpètre à sertains marchans de Lion
ceulx quy sont derrière moy que ceux que j’ay devant.
vienne quelque chose de nouveau en votre gouvernement, que vous y
et vous le treuvez bon, ne fauldray à satisfaire à votre volenté. Madame la
de son faict mais cela va au premier sejour de la court.
que le nombre y soyt, si aussi ceulx qui sont dedans ne se veullent
[dessous : "à madame de Cental"]
affectionné frère et serviteur De Simiene
monsieur vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie saluant
où il sera pour le faire acheminer vers vous avec
qui pourra estre de grand efficasse vers les
l’on l’ataque et d’avoyr ung passage sur le Rosne
le Ve de mars 1573
Votre très humble et très obeissant frère
qu’il vouldroit par le moien du bras de mer qui donne iusques à ladite ville, et que d’une part et d’autre se font de grandes levées de gens et
Votre très humble et très affectioné
serviteur Bellievre
païs d’autant que je n’ay aucun adveu en Savoie et qu’il est subiect et iudiciable
[241v°] bien asseurer monsieur que l’Angleterre ne bouge au descouvert.
sans quelque maniement. Joinct que à ce que j’entendz ledit sieur
frère et serviteur La Roche
ayant trouvé une trop grand tranchee derrièr celle que l’on avoit faitte.
en Aiguesmortes. Vous pourrez ouvrir la lettre que j’escriptz audit sieur de
lenemy s’estoyt saizy du Pouysin. Ne fault que je vous dye
[254v°] paysantz et sont si bon nombre que
ce qu’il vous plaira considerer veu que en temps
veu quilz spèrent à si grand secours,vous
B : Ollier
Carolo Birago
seriés bien hayse savoyr quy est ce capitaine La Croix. C’est
Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre
G. Davanson A. d’Ambrun.
Montoyson.
Sauzet ancor que votre commandement porta de la fère à Pierrelate.
et dye le dict de Posol asura monsieur du Pelloux qu’il l’etoyt votre et qui luy ferez
mars 1573.
Poulsin. Ledit sieur vicenechal a envoyé à Enconne pour recouvrer
m’a dit les reysonns pourquoy n’est
Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre
[286v°] long discours, si ce n’est pour me recommander très humblement à votre
se presentera et Nostre Seigneur conduyra le tout, auquel je prie
à l’aultre ung saulfconduict pour s’en aller à Normandie. Et je vous feray
monsieur son filz l’autre moitié avec l’estat de
fauldra quoy qu’il tarde venir aux mains, je vous prie tant qu’il
des deux aultres ou Valence ou la Montelymard, auquel il vous plairra
monsieur de Bonnevaux m’ont chargé vous presanter et à
de La Rochelle où il dict s’en aller. J’entends qu’il n’a pas tout l’argent
[304v°] Brouillon de réponse de M. de Gordes à M. de Mandelot, Grenoble, le 15 mars 1573
qui est, et sont contrainct la pluspart engager touttes leurs ardes. Je suis
frère et serviteur La Roche
tant seulement atandent surce vous comandemens ne volant
Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à votre bonne grace,
du Bourg ; que sera la fin, après vous avoir supplié
[10 v°] faict mettre des barrières hors de la porte.
representer aux monstres ou sera de besoing.
tost, vous asseurant que vous trouverés
Bellievre
moyen, que faict croire quilz soient aidés secretement daucungs leurs voisins, quon
Monsegneur en parfaicte santé très heureuse et
qui sen va par devers vous à ces fins et pour vous supplier
supplye me fère cest honneur me tenyr pour
volunté de ceulx qui l'avoient appuyée sur le subgect de ceste entreprise ;
Jay monstré le billet
mars 1573
de Bay sachant le peu de jentz quilz y advoyt, jadvertis le cappitaine
Dame de Myans, le XXIIe de mars 1573
Votre à jamais très humble et
[51 v°] merites à votredit service quilz sont de tant plus recommandables comme mesmes
henry
qui madvint hier sus le bord du Rosne et comment jen estoys si je y euse
vous tenir sur bonne garde, me reposant entierement sur
au rapport des medecins et cyrurgiens, il en sera bien tost guery
que a esté cause, syre, et aussy voyant teles esmotions, que jay prié
Je prie Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Chaleau, le
pour infinies considerations que vous mesmes pouvez estimer, accorder nouvel impost
moyennant ce quilz tiennent une partie de ce gouvernement est
et faveur [barré : et moy et luy vous en demeureront obligez]
fère service .C. de colan
a environ dix jours que pour la meschanceté daucuns qui avoient esté
et affaires pour la debonarité et liberalité qui estoyt en luy, que je vous
à mon service et que lesdits secretaires de mondit sieur le prince en ont assés daultre
sagement et ne veullent deppartir de la fidellité qui mest deue.
bons subiectz pour la necessité où ilz en sont, ne pouvant autrement le faire
à tel inconvenient que mondit seigneur fut quant il
moindre comme lesdits commis vous feront entendre plus
Au roy de Poullongne
voz affaires en ceste province, bien et soulagement dicelle.
tenir la lettre que je luy [barré : en] escript pour cest effet.
plainctes et doleances en sont par cy devant parvenues à votre majesté ;
cent chevaux legers dedant ses terres. Jespère [papier déchiré] ne vous
[marge gauche : grande partie] de ce Valentinoys bien engaignée qui me fit changer despuis
le pour recommandé
meschanceté daucuns catholisez et pareillement le recouvrement de la ville et château
pays de Daulphiné que ce pendant voz forces demeurassent innutilles # [bas de page : # et celles que je vous envoye] ;
ma demandé tenir sus en attendant votre edict de pacification,
Sire, etc, du Montelymar, le IIe daoust 1573.
novelle oppinion mont [barré : portée] faicte et je
en mon pays de Daulphiné. Partant, je vous prie en faire abbattre
y contreviendra, priant Dieu quil vous ayt, monsieur de Gordes en sa sainte
loger en quelque lieu, plus pour les convier à se
que cela puisse tenir en pollice les autres, au soulagement de mondit pauvre
chastiment de manière que cella puisse tenir en pollice les autres au
ceulx de Dye sestans excusés, fust
soldatz en attendant quil se presente quelque occasion de povoir faire notable
soubz le sel de noz armes, le premier jour de novembre
ferons la presente plus longue esperant à Nysmes estre plus particulierement
il seroit allé de vie à trespas y a envyron
prie, après m’estre humblement recommandé à vous bones graces et dudit
la [sic] resolution quil en avoyt sur se faicte, comme par daultres lettres que
La Garde : IIIIm p. IIII p. v. – f : IIm Vc pains [sans acquit]
ceste promesse jusques à present jay veu en fin que tous
plus eslognées de lanemi que nous, car il ne passe jour
Claude de Turenne
que vous en avons volu advertir, affin dy
et commandement à ceulx faict par ledit sieur comme dict est, ilz ont
sans ocasion pour destourner plusieurs biens grandz services que les
contrainctz comme pour le bien du service du roy et soulagemant du
Consequence, demeurant par tel moyen la forte
leur accorder de leurs demandes, ce que ostera mesdictz seigneurs
cens soldatz dans ledit Rousval, mais par ce quilz navoient vivres
frère à jamais
de Bruys et Ste Marye Eygalyers Senyer
plus favorables au passage que ilz ne sont esté
Amy à vous faire humble service
ceulx de Meylans. Le syre Barthe[lemy] La-
cré un general de vingt cinq galères pour la garde de leur
parts demain pour men aller à Pize et à Sienne dont jespère estre de retour
votre très humble et très obeissant serviteur
vostre à jamais plus fidelle et plus
y nen est rien, et que tant sen fault-il que je nay jamais
très obeissant
Je desirerois quil sattaquast à Lacoste sy Dieu le
Createur vous donner
Lapierre
avec luy. [barré : Nous le alons voir]. Monsieur de Evènes et moy le alons
Monsieur les enhque namais [ huguenaulx ?] de ce peys font courir le bruyt
sil nest pour vous supplier humblement quil vous
pour les honnestes offres que vous luy fites de laccompagner par tout votre
lettres de monsieur d’Ourches et de ung oiseau que vous mandés
voir à Monsieur mon placet et y respondre, amis ce
souldartz, mais il a la voulunpté si belle et est sy curieulx daprandre de bonn[e]
à mondit seigneur de Nevers, comme estant en ce
monsieur [barré : de] et madame de Bressieu. Il me voluct dire sa charge
[v] qui s’offriront de justice, comme il est bien requis et soubz
votre serviteur
les consulz de Dye et pour eulx
Jacoit quil y ait quelques jours que ses chevaulx quil avoit laisser ly attendent et soubdain que
montoyson.
monsieur, quil vous doint en très parfecte santé, très heureuse
Truchenus
serviteur
et [sic] longue vie. De Grenoble, ce IIIIe sepbre
grenoble
Très hobeyssant serviteur
compte en granger que de luy, car
[v°] monsieur, vous donner en sancté très longue, très contente heureuse vie. De
des [sic] mes arbres
[barré : longuemant] quelques temps.
ferons notre debvoir ; que sera lendroict,
seure que toust ce pourte bien.
Voz humbles et obeissans serviteurs
trouver avec leurs bestes pour charrier
de mesdames de Casenove et de Gordes, ny de lembarquement de monsieur
les thoneaulx ; et ayant faict, il me viendra
De montenard
parlé à persone sinon à monsieur de Crapone que ma dict
escripte, laquelle ledit seigneur Torquatto vous avoit envoyée
votre humble et obeyssant
quy plus desirassent vivre soubz lintenssion du
reyns, qui mest survenu à cause que le dit
de votre argent que Mada[moise]lle menvoya
cele que mescripvites par le lacquey du cappitaine Lisle, mès jentans que
arquebouzes, lequel sembloit estre refrechy et renouvellé
Monsieur, je vous suplierai me tenir pourt excuzé si je ne vous
dudit Morin. Quant aux propoz du [barré : me] seigneur Torquato,
Monseigneur vous donner bonne et hereuse vye. De Sainct Safforyen d’Ozon,
Bellievre
Monseigneur, je supplye le Createur vous donner en très bonne
Votre très humble et très affectionné
[v] combien il desestimoyt et hayssoyt le père et combien
et si vous gratifierés encores en quelque chose messieurs vous frères [barré : en]
Beuf demy Lt
à tout le moingtz permettre, attendu les excecrables
du IIIIme de ce mois, javois faict rapporter une requête contenant seulement trois chefz. Le
son effect purement et simplement au lieu dudit sieur César, Italien et de
voulonté que je salu voz
l’avoyt fait ausy demander par monseigneur le duc, mais
vous aurés de moy pour la presente que ie finiray par mes
y avoit commencé quelque chose et ainsi lavois-ie escrit à
très hobeyssant serviteur
charge au cappitaine La Varenne, present porteur, je massure que avec une
que messeigneurs les cardinaulx mesmes portent lhabit de leur ordre et
monsieur, en parfaite santé, très longue vye. De Nyons,
[v] mes très humbles recommandations à vous bonnes graces, priant Dieu vous donner
tenu et avant la guerre et après me vint de mander
davantaige encor que j’y veoye tous les jours moins de moyens ; si nen
voz bons voloir et commandementz, surceoir la demolition diceulx
entre ordinairement au conseil qui se tient en la salle du roy.
[(effacé) on] dont vous maviés chargé vous advertir
Et en consideration des despences soustenues par la guerre, le roy
pauvretés quil allègua tellement que je feuz prié faire sursoyer jusques à ce quilz
complices soient chastiés.
de bons hommes, que sil veult seullement ensuyvre
par sis années et à moy que par quattre, car on a plus tost moien
entendre par les lettres de messieurs d’Eveynes et du Chastelard. Je ne vous ferey plus long
complices soient chastiés.
Votre très humble et obeissant
[69 v°] des Adrestz est en ce lieu avec le baron de St Trriviet son
religion avoyent prins Malossène qui est auprès
[76 v°] aux impoustures et fauces callomniations de certains qui vous sont mal affectionées, dont jaccuse le
garnisons en ce pays, il vous pleust en faire les
ladite ordonnance dudit sieur de Gordes ; de quoy ilz, Bonnard et
dudit Pasquelet le troysiesme jour de février
fayre ce qui se pourra pour ledit cappitaine La Varenne, present porteur ; et
de la cotte de satin cramoysi à fondz dor rayé dargent. Elle
[98 v°] a cassées ou reduictes et retranchées et quil faict faire là et
[99 v°] je me remectz à votre prudent et saige advis et pour le regard des [nouvelles de]
et croiés quelle nest exempte de collère et toute
[107 v°] quil vous plaira me commander de telle affection que, après
carces et à monsieur de Cuges, [barré : je le] et à ceulx là de
de Laborel pour les moys suyvans
laquelle il vous plaira me renvoier et me
de ceulx de nostre ville, gens honorables et bien assurés ; et estant montés audit
monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et très bonne
le Createur
puis peu de jours est decédé. Si lon y faict quelque chose,
à bonyssiant et comme je prie le Createur vous donner
leur eglise de garites et fossez, ayantz flanqué
aysement faire par le moien de Chanussy qui
trente livres ts. à eulx donné par feu
De Cremyeulx, ce VIIme febvrier 1574.
La cardonière
aux comissères et conterroleurs des guerres ; et ayant veu
est mené ung peu vifvemant comme jestime que lon fera, il se descouvrira
Oùt ilz ont lougé et verssé les vins et
A. de monlitard
les quatre en deux, je les porrois tenir et faire service dhomme souffisant,
me suis voulu employer pour vous monstrer le desir
Talhade à chacung et [barré : lay] en ay envoyé la substance
[147 v°, tout en bas de la page, à l’envers, mots suivants :]
soyr par le moyen du cappitaine Bastien [barré : que]. Jevous
[150 v°] elle sera cause de son martire. Toutesfoys, pour obvier à tel inconvenient,
Dieu vous donner, monsieur, bonne vye. De Tournon, ce IXe
monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue et
presenter, vous suppliant, monseigneur, nous avoir en
Cest [barré : la] coppie de la lettre du cappitaine Ferrier mandée à monsieur de Laborel
Votre très humble et plus obeissant frère
mandement du roy au comissère et conterrolleur.
monseigneur, en parfaicte santé sa très digne grace,
vous luy feriés ung grand, daultant que jour et nuict, ilz
de Portes vous fera part des coppies de deus lettres, lune du roy et
et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy
et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy
du comte de Gayasse quilz se plaignent pour ses mauvais
que je finançasse aucune chose. Je luy ay fait
je vous remersie bien humbleman. Je me suys logé, pansan fère bien,
Votre très humble et aubeyssant servyteur
la faict lhier et garotter dans ce pacquet pour pourter tesmoinaige de sa
ai baillés en quarante testons à monsieur de Cabannes, aiant entendeu
La trefve quilz font que seroient trop longs à vous escripre,
monsieur, en santé contante vie. De St Germein, ce XII
ny a guières ; cela est bien loing de laccord don ie vous ay cy devant
dans une partie de la ville. Si vous trouvés bon, monseigneur, que
quilz meritoyent, car Glandaiges les ha tuées [barré : de] à coups de poignart pour avoyr eu quelque vent quilz estoyent
chescun face en ce le debvoir quest requis comme
[...]
Monsieur, il n’est pas besoing que preniés tant de peine de nous escrire à chascun une lettre
serviteur g deportes
et favoriser comme [barré : a] avés de vous graces faict
fet expererune bonne fin, atandu a prudomie. Mès anses
vie. De Grenoble, ce XIII fevrier 1574. Votre très humble
deniers du sel qui sont provenant de limposition de IX s[ous] sur chacune
telles prolongations de trefves ne sont, comme vous dites, mieulx observées à ladvenir,
et de mon honneur ; je vous an suplie usan dautre revanche an quelque
telle façon quen recepvrez contentement Lesdits ennemys
de Rousset, nobliant
arrest pour le faict de la blanque et reglement des salins de
car sy je suis contraint à le faire, je serey contraint quicter le
confessé ingenuement la verité de leur despart assembler et suite desdits
conseiller de recongnoistre leur roy. Cest tout ce que je vous
qui ses jours passés, lung à lenvy de laultre, envoyèrent à Lyon
estatz de Daulphiné.
Hautefort. Je me recommande humblement etc… Du Montelymar, le XXVe fevrier 1574.
si jen dis librement mon avis car les jans ne doyvent
Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et
De pennes
fevrier 1574.
de vivre et le seront encoures plus silz sont contrainctz payer
et soulaiger le pouvre peuple, et par ce moyen, on les ostera les moyens desquelz ilz ce prevauldront si (rien)
et desserés en sa presence, luy
ny trover, ne de quoy les payer ; par quoy,
oultre ce quil vous playrra me donner pour les pertes passés, quelque
et nous, Jean Faure notaire et secretère
de sa charge et legation, estimant que ce sera comme nous disons
journellement ilz recoipvent de vous
Vostre très humble très hobeyssant filz et à jamays
[273 v°]le leurs, mays cest ung mal sci commun que presque tous nen peuvent
pour cestheure il nen est rien ; mès à toutes fins, nous les avons advertis se
mon partement. Cependant, lons depeche le sieur
fevrier.
quil soit, nous nen vivrons, Dieu aidant, moingues en
ce soit ung commencement pour luy lever sa charge
et vous doner
monseigneur, vous donner en parfaicte saincté longue et
chevalier de lordre du roy
sestime plus qui ne doive[n]t. Je vous repondrè de Decombes
en peyne de scavoir si ledit sieur de Charens arrestera en cour, luy
auquieul pour votre particulier, avons heu esgard aux
monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie. De Grenoble,
trente ; et sil vous plesoyt nous donner quelques
veulhe à mouderer et changer.
De Grenoble, ce XXIIIe de fevrier 1574.
De Grenoble, ce XXIIIe fevrier 1574.
ennemis, se sont remis avec eulx et quelques aultres de la ville que je avoys
[310 v° ] de semblable magistration, si bien que la querelle est telement
je scay que vous
que nous soit bien proche voisin, cy ne le doutournons
choses nen avienent par mon default, ains advyenent contre
Sil vous plaist que je le face ruiner, je le ferai. Je croi,
Du chasteau.
et se noume cappitaine Bonet. Il Vostre pour jamays très humble et affetioné
deau dans leur eglize quilz ont bien fortiffiée, come plus
Dieu, soubz lobbeissance de sa magesté et vostre.
très bonne santé, très heureuse et très longue vye. De Lyon,
vient darriver pour me dire quilz prestendent quelque secours et plus obeyssant
foyble ; et cyl vous plesoyt nous en accorder ancore
des coustés de Flandres que des ambassadeurs qui sont icy,
me recommandant très humblement à vostre bonne grâce, de mada-
n’en pouvoir attendre guère autre chose. Il faut user de
fallu consommer tout le iour puis revenir en ceste
qu’a esté occasion, monsieur, que nous nous sommes résolus
que de vous en cuyder prester, et trouveront touiours, à mon advis, les volontés
faict au chasteau de Boullongne, ce XXVe de juing 1572
que ie vous ay escrit du duc de Medina, car ceulx de
A. Du Ferrier
de madame de Gordes et du sur plus de votre
monsieur de Rousset estoit si mauvays mary d’estre encore à Grenoble, il en
pource que c’est chose de grande conséquence tant envers nous
Monseigneur, je prie Notre Seigneur qu’il vous done en
[v°] Montpellier, ce XXIXe jour de juin 1572.
et s’en recomandent très humblement à votre Seigneurie.
parties, à quoy ilz acquiesoient. Despuis, je
veoir l’agresseur attendu que ledit Chastelar est homme d’armes de
[capitain]e Portes
frère à iamais
Hourches
Monsieur, en très bonne santé, longue et très heureuse vie.
Votre plus humble serviteur
serviteur
Le roy envoye argent de par deça pour les
J’estime que la depeche du capitaine Spilly aura
[v°] Monsieur, vous avés sceu par notre dict frère son habillit,
querir mon seigneur et madame de Lorrayne de la part de leurs dites magestés, lesquelles
votre affectionné et seur amy et allié à vous
estez au devant. Chasquun se prépare pour
labstinence me guerrirons pour la fin, après mes humbles recommanda
Capitaine Portes
chauses en notre part et du chant pour beaucop. Il y a
mettre après de partager. Je n’escris rien à Evènes ny
Montoyson.
Ceulx de Crest, les catholicques, sont en grand
Votre très humble allié et serviteur
des rebellions de Flandres, disans que jamais les Gueuz dudit païs n’eussent osé entreprendre
les Espagnolz, craignant que ceulx de la ville ne leur
faire fournir en ceste ville d’armes, je vous prie que vous
pais, et que sa magesté apris touttes les hoppignons sans
de feu monsieur de Monbasin. Monsieur le duc
fille à vous hobeyr
cousine à vous fère service
vie. Dans vostre maysonete de Molardron, ce XVII de juliet
prestre de Sainct-Laurens, m’asseurant qu’il estoit homme de bien et
De Buffevant
à nouvelles de la court, je vous envoye ung extraict de lettres
plus de quatre cens quintalz de pailhe. Se Dieu nous
chose digne de vous, despuys mes dernières lettres, qui me
Votre très humble et très obéissant frère
sieur que madamoyselle de Caseneufve vous a par cy devant ad-
de Buffevant
Votre meilleur amy prest à vous faire service
XIXe juliet 1572.
à Crémieu ce me semble, la vostre à Moyrens, celle de
à sa requeste, d’aultant qu’il ha advancé
Votre très humble et très obéissant
devés fère saysire seux d’Aurange. Je nay point heu le
Monseigneur, pour votre santé et prospérité et demureray
financer, et que davantaige monsieur le comte de
plaira. Cela vient de ce que, en traictant de la
quelque volallye où je croys quele sera à melieur
conte d’en partir et sependant la saison de naviguer en cette mer se
S de chastellard
de voz désirs. De Cézane, ce vingt troyziesme jour de juillet
au baillif de Chastelard de sen vouloir saisir
et que monseigneur le mareschal Damville a monstré
viteur
au premier jour. Madamoyselle d’Ourche ma niepce,
Votre humble e affectioné serviteur
continue tousjours à fortifier et munir ses places en ce païs
exceté le duc d’Albe ; car cest autant a
sa fievre et nous a secouru de force voulallye, dont il nen
à vous fère service.
Fesant la presente, se pourteur qui est de masain, ma rendu les lettres de nostre
je crois l’incomoderions de beaucop. Si cas est
impetreront envers Dieu, lequel je supplye vous donner,
bien que elle nous rescer et ne pourons
pour voyr s’il i avet quelque chose pour donner ordre en votre
proposées contre vous contenues audit cayer, de quoy il
arrivé que je naye le piet à lestrier pour vous aller faire la reverance. Mon frère de Guarguas
ma dite dame et du reste de vostre compagnie,
païs de si meschantes personnes, que sera lendroict au quel vous
priant Dieu quil vous doint
compagnie vous baysent les mayns, ayant tous ung [abimé ?] regret que
et en tout ce que consernera vostre service pour
Ce IIe de aoust 1572.
à la bone grace de madame de Gordes
vie. De Sault, ce second daoust 1572
a faict en plusieurs autres lieux despuis. Je receus hyer
nonobstant ce que ne leur ay faict monstre,
eu alarme ; toutesfoys, « donne toy garde nest pas mort ! »,
endroict où il vous plaira me commander.
d’en avoir faict doner ung arrest, et luy remonstrerés
chevaulx. Monsieur, je metray ceste obligation
serviteur
Vostre plus affettionné et obeissant à vous faire service
les mains, je prieray le Createur,
qui est signe de guerison. Je n’attens heure que La Coste
Votre très humble et très obayssant
me dira bien daultres choses et non sans mentir.
[v°] vouldroient calumnier voz actions. J’adjoupterai
Bourgel et quelzques memoires pour y respondre [barré : lesquelles]
Je vous envoie lune des lettres dudit sieur president Bellievre.
desunion des segneurs don il escript. Vous voiés
Vostre très humble et obeissant
De Paris, ce VIIe juillet [sic, pour août] 1572
A Paris, ce 7 daoust 1572
Monsieur vous donner en parfaicte santé, bonne et longue vie. De Thurin,
que iay par dela, den voloir prandre la peine, ce sera par
Vostre très humble etrès obeisant
qui mourra dicy à cent ans ; sil mestoit permis, je dirois que cela luy
Monsieur de Lieux morut le XX du
Monsieur, je vous suplie que
je prierey Dieu
ormys Grasse, lequel, après mavouer derobé ung escu au
parti, et aiant le dit Chaponei de près advisé à son conte,
mains et de madame de Gordes et prierey
Grenoble, ce XIIIe aoust 1572
recommandations à vostre bonne grace, priant Dieu vous donner
de moy et pour vous relever aucunement, je vous ay bien voulu
[v°] et assanblée de la multitude du peuple qu’il aviont
ezquelz je ne cognois que passions demesurées, sans fondement
pour le congratuler de la part du roy d’Espaigne de son nouvel advancement ; pareillement y
Monseigneur, vous donner en toutte prosperité
picard, chirurgien
qui est IIIIc l[ivres] t[ournois], je ne scais sil seroit trouver bon, car cest
Voz bien humbles serviteurs les consulz d’Orange
de la nuict et du jour que La Roche failhit
employé votre credict et le mien pour cest effort sans vous
temps pource que on a certaines nouvelles que larmée de Don Jan
arons ce bien de vous y voyr. Ce pandent, toute ceste
Bourgel
havons heu bien peu de grain selon la pailhe et n’avons
ceste despeche par le moien de ma niepce, madamoysele
serviteur à jamais
supplier qu’il vous pleust de luy en escrire et à ceulx
de la bonne souvenance qu’avez de nous.
très heureuse vie. De Grenoble, ce XXIII aost 1572
de faulcon, appellé aultrement laneret parce qu’on
faire quelque chose pour en veoyr la fin, et madvertir
Rousset
[v°] recommandations à votre bonne grace,
que persone par lettres du roy et votres, et qu’il s’en retourna sur
[v°] adressera ledit paquet, qu’il vous plaira mettre dans le votre
Monseigneur, vous donner en sancté très heureuse vie et
Lathivolliere
est absent sur les unze heures. Le chevaucheur ma porté
estoit mort, don respondis nen scavoir rien. Lons
plus de vostre petit peuple, priant Dieu quil vous doint
fait pareilhe response à Gautheir qui estoit
acomodera de largant que
très humble service
le mareschal Dampville, bien que il ne aie heu
les ay tous cogneus si chretiens que premier que de s’oblier
ne dogmatise, comme je suis asseuré qu’il ne s’en pourra
vous en advertyr. Que sera l’endroit où je salueray voz bonnes graces par mes très
car ilz y font garde et preschent en cinq ou six lieuz,
puyssiés assurer et massure que me treuverés
remectant à nostre dite première veue, je prieray à Dieu
Votre très humble serviteur
du service du roy et des longs et bons que vous luy avez faictz
Votre très humble et hobeissant
je vous vouldrois supplier lavoir en recommandation
d’Ambrun
mains
vous donner
bien acompagnez. Jai (vuz d )
[v°] plaignent, jusques à le desguiser et faire entendre
monsieur le cardinal Urssin au pourt d’Encomme, pour luy offrir tout service, mais
Votre plus afeccionné à vous faire servise.
maison de Vaulvanés, ce IIme d’octobre 1572.
à la fin je leur ay faict prendre raison en payement, mesmes
prier le Createur, Monsieur, vous doner, en santé, heureuse et longue vie, sa grace.
deliberations de notre ville se font aujourd’huy sans
duquel La Corniere j’avois souppé le jour precedent, qui en faisoit
son cartier de la porte de Seigoron. Je les vois voir
prye leur an mandé [barré : leur] vostre avys é solysytés toujours
monsieur de La Crosette a executé tous ceux de la religion estant
me recommandant humblement cependant à votre bone grace et priant
vous suppliant le tenir pour tel, comme je foys ne meslogner
que la dame de sceans et moy nous
frère à jamais
recomandations à voz bonnes graces, suppliant le
priant Notre Seigneur vous donner,
particullierement des choses comme elles y passent quy me
Saluces, ce 6 octobre 72.
Y font courir le bruyt que
Adrés a escrit que il na ung seul
et conduyra, s’il luy plaict qu’ilz [barré : ressoyent] repcevront tousjours contentement
dartilherie pour les faire dessendre au long du Rosne. Et croys
duquel desirant scavoir la verité, j’ay envoyé personnaige pour m’en appourter des noveles.
et serviteur P. de Simianne
J’oubliay de vous dire à votre departir que, comme
J’oubliay de vous dire à votre departir que, comme
persuader estre veritable, me contentey de tenir tant seullement
vie. D’Avignon, ce XIe octobre 1572
religion novelle, je vous en mande la lettre que le cappitaine
Votre très humble et au
tourtorelles graces à monsieur le mareschal
grandissime affection vous offrir de sa part très humble
procureur Michallon aura arresté Jehan de Cosmes après luy avoir
costé de l’eau, en sa mayson de Saint-Nazere, qu’il a delogé
que vous et madame de Gordes scauriés soulhaicter. Je me
G. Duga
deçà où il fait bon, comme pouvés pancer.
G. Deportes
Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne
passage de madite compagnie par votre gouvernement soubz
causer ou perte de deniers ou esgarement de papiers et
Elle ma incontinent dit que ce nestoit que
le conte de Tande, je vous ay despeché ce porteur pource qu’il
temporisent en fesant leurs voleries à se jetter en troupe et compagnies
ont estez mal receuz de vous, car ne se reduyeroyent
Votre très humble et très affectionné
esté ordonnez du temps du feu roy Françoys dernier, que Dieu absolve, dont
Votre très humble et très obéissant frère
faict.Ses jours aussy, un cappitaine Ferrier, qu’est
la court cognoistront la vérité et ma juste cause et qu’ilz me
où il vous avoit asigné. Je ne larrai pour
Chastellard de Boczosel
la sénéchausée pour madame de (barré : Gordes] Carces. Ele vault XVIIIc frans de
De Paris ce 18 novembre 1572. Votre très humble et hobeyssant
et qu’il soint comandées. La roine mère, le roy et
vye. De Paris, ce XIXe novembre 1572.
mespriser en cela leur faveur. Je verray la volonté des
des comptes du Daulphiné ou s’il est nécessaire attendre
J’envoye à monsieur de Saint-André
Balhi peut beucop en la chambre des comptes comme
Pour leurs comunautez
Dieu, monsieur, qu’il vous donnoit en la sienne très bone
de moiens en à peu près qu’il a présent. Despuys, madame
vostre dépêche au roy soit veue qu’il ne soit de retour ici,
sans aultre expression, fors celle que ledict pourteur nous a
[v] choze que ne vault guières pour ce pays et le service de sa magesté.
Pappier de rien quy touche à
à leur accostumée leurs offices en ce lieu. C’est une requeste
[v] que, estant prié et pressé de luy, il luy dict que, selon la
payent plus que ne muncte mon estat, celluy des douze soldatz, et toutes les
[v] dame ma seur et votre cousine la conseillère et prieray Dieu
de votre gouvernement, de permectre qu’il s’y feist rien du monde sans
de corps. Je suis estée bien fort aise d’avoyr entendu de
feu sieur de Briquemaut avoint, avec autres huguenotz,
ville et concéquement de tous nous voisins.
pan de murallie juanant à la
Au demourant, Monsieur, j’estois sur le poinct de vous escrire
prester l’obeissance. Il a fort conjuré son altesse d’estre compère et de donner
Rousset
le mareschal. Je ne scay s’il y remédiera. Je
dedans a mys au fil de l’espée. Madame
[v] luy faire adnoncer de mettre sus les impozitions nécessaires
passer, mès que pour deux liardz la pièce et ne m’aviez rendu
hiver recercher de s’accommoder. Don Joan s’excuse
de quelque Damas, qu’est tout ce que je vous peus
Stanay ; et du jour d’hyer luy parlant du faict de la
trové. Vous me teniés tousiours en bonne spérance de venir que
la racheter par la mort et pasion de son
Monsieur, il y a jà assés de jourz que monsieur d’Alemaigne,
nous devons mespriser toutes choses de ce monde. Je vous
monsieur le présidant Balhi mesme, qui vous est fort
à jamais
porte de l’advenue du Crest. Leur fictz commandement les
bulles de sécularité de céans, il ne la peult donner que à ung
Françoys Abel. Monseigneur, je ne veulx aussi hoblier
pour aller en barquer Monseigneur le cardinal de Lorrayne à
l’esloignement d’icelle compagnie de nous cartiers
autres novelles, je feray fin en priant Dieu,
Monsieur à tous deulx avec les sienes tres saintes, bone, longue
Votre très humble et très obéissant frère
veoyr monsieur le conte de Sault, car monsieur le conte de Carssès
il charge le sieur de Montbrun par ceux-cy d’avoyr asseurance de luy, ce qu’il ne
receu une lettre de mon frère qui me chausse fort les esperons
deux coffres apartenans à monsieur de Laval, de deux
premier advis, comme ilz font ; et va souvent dehors tant de jour que de nuict et tantost
Monseigneur, j’avois oublié à vous dire comme monseigneur le Grand
d’heu XVc livres de ma pencion que monsieur de Roisse fait
pour n’avoir esté remis dans Valence. Le mesme jour que
Passage est icy, lequel me prie de fère tous mes effors
qu’ils y sont entrés près de III ou IIIIc persones à l’improuveue. Le
roy se contente que monsieur de Nemours y mette la main pour luy.
quanto potra avere se potiamo liberare da quanto trava(si)
à se [barré : se] résoudre
prohibitifz ont faict, assité et enduré prèches
Voutre très humble servyteur
me faire cest honneur de len remercier. Je presente mes très humbles
en langage de Daulphiné, de garaudes de gros drapt. Quest tout
De XV c [ent] que me debvoit monsieur de Roysse de lan
Votre humble serviteur
ce 8e janvyer.
presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace.
bonne sancté ; que sera la fin après vous avoir
très bonne. Monsieur de Vure vous dira lapointement de messieurs de Gaubert
tout obeissant service et me renger du tout en tout en voz commandemens
le sieur procureur du Roy et le greffier pour les sequestrer
advertissois de par mes dernières lettres du VIIIe comment
H de Montmorancy
opinion que ce sont affères pressez ou de poix, puys quilz se sont acheminés en si maulvais temps et pays.
ayet soulysité, je ne luy ey vouleu permetre
Daulfiné. Il est chanoyne en mon eglise Sainct Estienne de Thoulouse et
ne soyt employéee en vain. Et surce, je vous bayseray très humblement les mains,
bonne grace, suppliant le Createur quil vous doinct,
à la fuicte et ledit Chabrières mené en sa mayson avecques le barbier ; et parce
[63v°] quoman le tount e[s]t pacer. il me semblet que
Votre très humble et au
mayson m’est une grande despence et mesdictz subjectz sont en fort bonne
leurs, ilz sen scavent bien garder. Oultre cella mondit
serviteur
et de ce il y a [barré : sent] quelque sentence randue à Vienne
janvier 1573.
ment à la fin dudit janvier et nen ayant aucunes nouve-
très humble servysse
dètes ne se recovrent eysemant. Je vous puys
y est reduict, sinon à la meison que vous savés. Il se faict un très
plus proche de ces quartiers, que vous la faictes approcher à Pierre
Votre très humble et obeissant
Votre humble et très hobeissant
Voutre très humble et haubeissant
Voutre très humble et aubeyssant
conpetant deslay pour se pouvoir remettre en leursdites
Votre plus affectionné à vous
grace et prie Dieu, cappitaine Saynt Auban, vous tenir
et aussy que ce seroient fraiz inutilz. Et affin que vous cognoissiez ce
que vous congnoissés bien de la ville de Gap, ledit
recevront icy sil leur plait mes humbles
[ainsy quelle est fort ma ?? bague ]
que le lieutenant du cappitayne Ansselme estè party des environs de La Rochelle [lequel]
priant le Createur,
Monsieur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie
luy fust imputé de y participer Il me pria
par mes dernières et à celuy qui la commende en
camp. Cepandant je me suis pancé de commancer
Je ne faudray vous escripre le plus souvent que pourrai
Monsegneur, ie prie Dieu quil vous conserve
hount faute de boulets ou quils nous gardent quelque
tenons la ville assés de près par des forts dont
Votre très humble et très obeissant serviteur
sy je ne ly escris pour le present pour la haste du pourteur.
de Bonnevaux vous en presante autant. De St Gervès
Grinhan, et III à Tarasquon et le re [sic] reste pour la seurete du pays. Le
sesyr du chateau de Livron
bien verifier les vostres quand laddresse sera refermée.
ny à nul autre, de passer par votredit gouvernement et seroys bien marry de lavoyr faict
aultant de plaisir comme de bien bon cœur je me vays recommender
vie. De Lyon, ce XXVIIe jour de fevrier 1573.
lons offrira ce qui ce peult, Dieu veulhe par sa grace
me recommendant de rechef à votre bonne grace, votre cousine
laront veue sil vous playct.
ville quil pourroit arrester et aussi par des
Caussens et du Gua. Je le tiens du[n]g jentilhome qui venoyt de la court.
priant Dieu quil vous doint,
refaire bresches et les assaillyr de tant de lieux
du conseil du Vivarès nommés le sieur de Gebellin et du Pisac
Hourche
et parler fort aultemant, chose que pourroit comme estre la
marchant ne se desaisist pas voluntiers dune telle somme que à
à vous faire service
Votre très humble serviteur
[195 v°] y seroit bien empeché. Je vous prie, monsieur, comme mon
monsegneur, vous avoyr et maintenyr toujours en la sienne
des plus affectionés à la novelle oppinion.
grace, priant Dieu,
longue et heureuse vie.De Velcluson,
dabundant que les seigneurs de Sainct Romain et du Chayla sont coronelz de VIIIm[ille]
cest honneur me commander ne soit que [barré : que] ayés plus
estre escrittes, mais je n’en ay du tout point, si
m. le conte de Retz devers le
qui se disoient d’estre commissaires du roy. Cependant
[212 v°] Notre Seigneur conduyra le tout, auquel je prie
prouvoyrez si bien à poinct qu’ilz ne gaigneront rien sur votredite
contesse [barré : m’en] de La Voste m’en demandat d’aussy, cas advenant qu’elle n’eust
Je me tiens asseuré qu’il faudra des missions advant
effrayer comme a fayct le peuple eslongné du Rosne de quatre leues
voz bonnes graces de mes très humbles recommandations. De Tournon,
toutes les forces qu’il pourra ramasser. Il fault
cappitaines qui tiennent vosdits hommes. Vous serés advertie
pour houvrir le chemin à ceulx de ce cousté
Je vous pris monsieur que messieurs le president et de
François de Simiene
[235v°] autres preparatifz et y avoit neantmoins quelque trame
serviteur Bellievre
du roy en toute telle forme qu’il voldra. Et pource monseigneur qu’il a juste
L’ons a assalli ung ravelin à Senserre, mais n’a esté prins, eins
de Montbrun se facha quand ceulx de la religion luy
Nous avons eu icy toutes les mesmes nouvelles dudit Sommière qu’à Grenoble.
Mandelot, que j’ay faict mectre à cachet vollant afain de prendre resolution
la peyne et enuy enquoy j’en suis, vous la povés assés pensser.
je ne vous diray, mais le vous dira
de paix nous ny povons vivre et en temps de
supplie, monseigneur, si loccasion se presente, quil vous
ung qui menoyt des crues pour monsieur de Saint Jeran ayant comme
Messieurs le comissere et conterolleur craignant de
voyr des lestres qui an font mantion. Toutesfoys je tacherey d’an savoyr la verité
et au dessoubz votre bien humble serviteur Brianson
des lemproyez qu’il n’a peu pour vous envoyer et vous en envera
alé vous trover vous fèr[e] la reverance.
bonne grace et prie Dieu,
vous doner,
très humble service en tout ce qu’il vous plaira.
grand veneur ^[^ la moitié de sa companie et] et la pension. Ceulx de La
m’est possible de m’envoyer en toute diligence la compagnie de
fère votre demeure plus longue, oultre les grains des particuliers qui
madame de Gordes leurs humbles recommandations comme aussi fais je
qu’il voudroit bien avoir. Peut estre qu’il se radvisera. Ladite damoiselle
Monsieur, jay receu ce jourdui, envyron mydi, votre lettre du XIIIe et par icele
bien marry quant je n’ay moyen de leur prester ce qu’il leur seroict necessaire
quil en vint faulte pour ne luy advoyr otroyé ce qu’il demandoyt.
prie à Dieu que vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse
me commander votre vouloyr pour icelluy toute ma vie
Quand à ceulx de la ville que font la garde,
tousiours en moy un humble et affectionné
Monsieur de Morvilliers escrit
doubte et ne peult on y remedier, ce que faict de tant plus velier [ie : veiller]
longue vie. De Gap, le XVIIIe de mars 1573
très humblment daultant que il passe continuellement
votre très humble serviteur à jamays
pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous tienne en sa sainte garde.
contenu par votredite lettre
Votre très humble et très obeissant serviteur
du chasteau, lequel, se voyant desporveu prontement de moyen, me fit
votre très humble allié et
obeissant serviteur De catynel
plusieurs services et vous cappitaines en pourront tesmoigner.
[55 v°] [bouillon de lettre à Catherine de Médicis]
tardé daventage, aussi de considerer de combien je me doibz arrester aux promesses
vous.
et ne luy manquera bon trettement, et sa compagnie la receu
monsieur larcevesque d'Embrun de sy retyrer, le quel estoyt sus son partement
XVe jour davril 1573.
sur le sel, ny que l’on prenne les deniers de la subvention et fauldra adviser quelques
par eulx pillé et saccagé. Au reste, syre, si monsieur du Puy Saint
que je tiendray à bien grande obligation, et ledit
[83 v°] autreffoys de leur party et menoyent des soldatz catholiques, ilz sen fuyrent
puys dire, madame, il a faict de telz et si notables services à voz majestés [barré : tant
dailleurs par le moyen des [barré : offices] provisions de tant doffices esquelz mondit
Jay receu la lettre du gouverneur d'Orange, lequel sexcuse de tout ce que
[100 v°] pour navoir autre cavallerie que ma seulle compagnie, que je vous supplie de mesmes, sire,
demeurat 7 sepmeynes à Chaste. Je ne feray plus
particulièrement.
Sire, il a pleu au roy par ses lettres du Vie me faire entendre laccord par vous faict avec les
[121 v°] [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]
et quant est au faict du sel sur lequel leur partye fonde sa plus
servira longuement, toutesfoys, cest prud[papier déchiré] faut de se
et machemyner pour secourir ledit Chabeull car le
de Chabeil, duquel sestoyt saisy Mirabel ; estant très contant de la dilligence
au moyen de quoy vous regarderez de vous resouldre et comporter selon que
à ce quil luy plaise me lenvoyer tant plustost et par mesme
Autant à la royne mère en substance
[brouillon de lettre au roi de Pologne]
supplieray le Createur en attandant icelles
et mectre par terre les murailles et forteresses si elles vous sont
et digne garde. Escript à Paris, le XXe jour daoust 1573.
mettre en campagne que pour esperance que jaye de forcer
peuple ; et affin que nulle compaignie puisse entrer en votre gouvernement
soulagement de mondit pauvre peuple ; et affin que nulle compaignie puisse
remonstré par lesdits consulz que lesdits
service au roy avec ordre quil nous seroit administré vivres suffisamment
mil cinq centz soixante trèze Ainsi signé Charles
informé de lestat de noz asfaires ; le roy de Pollongne preint congé du roy
troys ans passez, au moyen duquel decès ladite
sieur des Pilles, pour lequel sil vous plaict, finira aussi la presente,
sadite magesté a resceues du sieur de Ferralz puis le partement dudit
Clausayes : IIIm pains II p. v. – f : VIIIc pains [sans acquit]
ceulx qui firent semblable serement quant et moy ont
quelconques que nous ne nous voyons. A Rozans sont arrivés
pourvoyr de bonne heure à ce que le repentir
commis à leurdite audiction et reddition de comptes ceux de ladite
jeusse peu et pourroys à sa magesté et à plusieurs seigneurs
païs, car de ce faire vous avons donné et donnons plain pouvoir,
ville de Cattaro (ià environnée des costez de terre)
[223 v°] les marechal et duc d’Uzès et ceulx qui sont deleguez avec eulx, de la peine
ny monition de guerres, estans peu de jours après assiegez, ilz se
Bonvert
[marge gauche : Brouillon de réponse de M. de Gordes]
La Champ
à leur arrivée, qui fut de vray bien à l’impourveue
Antiboul
chante sen estoit allé dehors mais sa
[v] golfe et jeudy dernier firent une grande parade bannières en
dans huict ou dix jours pour le plus tard quest le mesme temps que monseigneur
Cl : d’Orlyer
affectionné serviteur
faict prandre monition, sinon ainsi comme ilz arrivoyent ; le nombre
Suze
veust, lequel, après mes très humbles recommandations
Monsieur en parfaicte santé, longue et contente vie. De La Borde, ce XXIIIIme jour
veoir au premier jour. Je serey très marri si votre nepveu de La
que monsieur lamyral sen vyent à la cour surperin-
plaist avoir souvenance descripre à la court pour
gouvernement sil en avoit besoin, chose quil a bien remarquée,
à votre dict nepveu, mais daultant quil a ung bon tiercellet
n’a peu estre encor, à cause que hyer et ce jourdhuy
heure qui vaut lesperance quil a voullu suyvre le dessein quil en avoict faict [déchiré]
[v] lieu [barré : pour], je me suis [barré : trouvant] se presentant une
come je pence se que je ne sollissitey aultrement parce que je croye
votre correction, monseigneur, qu’en faictes un mot ausdits consulz
Ant[oi]ne Guaragnol, vi-b[aill]i
A Lambert, secretayre
j’en entendray, je ne fauldray vous en faire part. Monsieur de Joyeuse est icy depuis ce matin, de
et très longue vie. De Carpentras, ce 3 septambre 1571.
Bréhault
1571.
Yvonet
sil vous fornit de pailhe, il fauldra
Blais, ce V sebtembre 1571.
Monsegneur, après avoir presanté mes très humbles recommandations
monseigneur, où nous prierons Dieu quil vous doint
Les consulz de la ville de Grenoble
la vendange des Coustes. Il vous plerra
de Laval qui vous script du jour avant le partement de mondit filhs
trouver à Lumbin pour accoustrer ceulx que y sont,
[124v] quil vous iroye veoir ceste après disnée, au quel cas
comment il me dict ; et si estiez en ceste volonté quil se failloit
serviteur
roy queulx, quilz ne se voldroyent presanter devant
messire Jehan Guilhen ma dit pour la quantité
hier. Elle me baiha sis jours
la minute et les aultres quon vous adressoit ont esté esgarées par
au peuple à loccassion de la permission que luy fust faicte
escrips de ma main propre et set pour metre trové mal de mon bras
il me semble, monseigneur, que vous ne pouvés
ce 18e septembre 1571.
Santé très longue et heureuse vie. A Romans, ce XXIIIIe
Serviteur
il eust estimé indigne de son alliance tout ce qui depens
à scavoir en ce que si le cas advenoyt de la substitution par voz apposée à leur proffit
Chandelles pour sepmeyne II Lt
[v°] maulx que lesdits soldatz font ausdits suppliantz de se bander
premier pour la subvention, le second pour les deniers pour le voiage du roy de Pollongne,
moy, suppliant mondit seigneur de Gordes le volloir ainsi permettre,
bonnes grace de mes humbles
après moy. Il luy a esté respondu de mesmes. Lons
très humbles recommandations à votre bonne grace, priant
monsieur le contreroleur Lyonne, mais iay sceu que monsieur de
La casette.
compagnie de cavallerie, les ennemys seront batuz en quelque part
religion et mesdits seigneurs cardinal protecteur et embessadeur ne sont
ce XXVI janvier 1574
monsieur, très heureuse et longue vie. D’Apt, ce XXVIIIe janvier
achepter de chevaulx et revendre à ses samblables.
veux-je pourtant encor rompre du tout le dessaing, mesmes si je vous veoyes
châteaux et quant aux murailles que les particuliers qui desireront
Je vous ay envoyé votre brevet pour les V m[ille] L. ts. Il vous doibt
quitte au païs la somme de XXIIII m[ille] L. ts. deue par la composicion du vin pour lannée
eussent responce de vous, mesmes en ce que concerne la demolition des chateaulx. Ce que
Votre très humble et oubeissant
lordre quil y trouvera, toutes choses reviendront
de pourvoir à toutes choses et d’augmenter le reveneu, et
discours, sy ce nest pour me recommander [barré : h] très humblement à votre bonne grace. Je prie Dieu
Votre très humble et oubeissant
serviteur g deportes
beau , [, frère] que presenta hyer XXIIIe sa grace en laudience.
de Carpentras et quilz avoyent entreprinse
principal autheur celuy qui est si longuement oppiniastre à la court pour estre employé à la negotiation
remontrances et plainctes à sa majesté pour nous en relever, comme
Vincente, ont respondu quilz nozeroyent en recepvoyr aulcuns
1574, présent Guillaume de Bonnet, archer, et
en cela et autre chose quil vous plerra memployer, me troverés
gaignoyt de tabernacle ; puys à laprès souppé au bal chez
à Serres et en aultres lieux de nos voysins des Eschelles et comme
la court, je n'en ay sinon quelque bruict qu'il se faict de la [mort de]
importunité et ne me radouciray qu’à toute extremité
vous avoyr salué de mes plus qu’humbles recommandations à votre bonne
Vitrolle, je leur ay mandé par quatre foys qui nen
à cause des grandes excecifves despences
comander voz bons plaisiers et je vous obeirey daussi
chasteau, ledit Bolut ne se y trova poinct, mais nous fiste on responce quil estoit
vie et longue. Du Crest, ce VI de febvrier
monseigneur, vous augmenter ses graces et conserver en votre
il vous en advertira et moy. Il a aussi faict tenir
monseigneur, en prosperité vie longue. De Briançon, ce VIe de [barré : j] febvrier 1574.
leurs chapelles qui sortent hors de ladite eglise
est son beau frère et lung des chefz de
madame, desquelles jey retiré
Votre plus ensien souldat affectionné
et sceu que monsieur de Montmorenci en avoit quasi la
beaulcop de choses, car ce laquès en accuse des aultres qui sont encores
[137 v°] sont après de brusler les eglises de
Nous attendons dans deux jours lexcelente presence du duc d’Albe.
actendu que jey eues lettres de tonsure dès long temps et aussi
que jey heu dès le temps quavés prins à mariage feu
à monsieur de Laborel. Je prieray surce le Createur
La Mothe au château de Sabres
escriptz dernierement comme javoys mis dans lesdits chateaulx
Je la veulx retirer parce quele est du Montelimar, affin quelle
de fevrier 1574.
très heureuse vie. A Grenoble, ce IXme febvrier
general et particullier en recommandation et souvenance acostumée,
Francois de simienne
Je nay rien peu pour celle de monseigneur de
me recommandant très humblement à la votre. De Lyon, ce
y meynent ung si grand bruict, mesmes quilz sont lougés
lautre de monsieur le president Truchon, je ne vous feray ceste plus longue
[169 v°] resouldre que vous entendés que tous voz subiectz payent
[169 v°] resouldre que vous entendés que tous voz subiectz payent
deportements. Si vous avés moyen asseuré, vous devés
entendre que je nen feis jamais difficulté
[175 v°] bien [sic] peu de seiour ansette vile ha La Daviolette pour estre
La thivolliere
prompte responce.
que telle estoit votre intention, et si je leusse cuidé telle du parfaict
Et pource quilz pretandent estans là parqués, nous
febvrier. Je pance que lons obtiendra la resignation
escrit. Je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace
je les face ruiner, je le ferey. Je monstrès la lettre aux consulz
à Venterol quant il y fut blessé. Je salue voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre
je ferey de mon cousté en tout ce que me sera
à part. Sest assés que nous sussions de [barré : vz] voz nouvelles que ie vous désire tousiours bonnes
par cy devant, de quoy ilz vous sont, et
entrefètes, hi lat plu à Dieu dapeler leur mère à sa part,
et obeissant serviteur g deportes
emyne au grenier de Mornas, pour le recouvrement desquelz monsieur
que par le passé, ce sera tousiours à notre preiudice ; mays quant aux passeportz
terme peut etre que vous moblijerés et syl vos plet le manvoyer
font bruict de passer l’Izère pour leur empecher ; et je
madamoiselle d’Hourches
Paccaix, quil vous plaira leur envoyer. Le roy eust hyer son
[223 V°] lieu du tout, combien que nous layons quicté par le present
huguenotz, mais non la fin de leur entreprinse, quoy qu’il ait esté mis à
puis mander pour cest heure, qui me fera faire fin à ceste, après
pour en avoeir toutes les confitures que se pouroyent recouvrer.
Bourgel.
point estremescontantés sans propos et où il ny a
prie le Createur vous donner santé et longue vye. De Grenoble, ce XVe de fevrier.
Votre très humble et aubeyssant
telle cocte et si ne scay comme ilz la porront fornir car la
ny est pourveu, principallement pour retenyr ceus de Nions où est leurs principalles fources, desquelles
demandent sil estoyt de la religion ;
monseigneur, oultre les biens quilz ont par cy devant
argent d’avance pour pouvoyr vivre de prévision et maquitter
signe pour les consulz
pour le dernier et peremptoire edict. Car, à dire la verité, la grandeur
et ont receu par le passé, tant de vous
serviteur hourche
plus. Ledit sieur Faure mat dy quil ne payera ledit moys de Xbre [décembre]
tenir sur leurs gardes car si ces pas estoyt fermé, nous serions hors de moyen escrire
de Belloy de par della et croy que monsieur de St
Vostre bien hunmble et obeyssante cousine
amitié quavons fait jusques ici ; pour le moyns le
et est en doubte que monsieur de Maugiron ne luy porte
monsieur, en santé heureuse et longue vie. De Grenoble, ce XIX de fevrier
hereuse vie. D’Embrun, ce XIXe febvrier 1574.
gouverneur de grenoble et
plus au long.
ayans escript de ce ten jusques à ce que ung des deputez par lestat
XX escus que feu ma dame de Gordes avoit proumit
ce 21 de fevrier 1574.
aydes pour le soulagement de ce lieu comme Baulmes
Votre humble et obeyssant serviteur
Vostre très humble et obeissant
Votre très humble et aubeyssant
au paravant gardé deulx y en ailler. Je dis despuys mon arrivée de la
enflambée quil ne se parle daultre chose et dune dame
en avés la volunté.
Monseigneur, ie cuyde que vous scavés
aucunement car nous saurons assé fort pour leurs bien
ma vollonté et à ma ruyne. Priant Dieu
monsegneur, quavés esté adverti comme ceux de Frecenière despuis
me menassent fort. Jespère en Dieu serviteur à vous fère très humble service
à plain vous tesmoinera celluy dudit Chateau Dalphin
Et surce, prierons Dieu vous vouloir
le XXVI me jour de fevrier 1574.
[déchiré] scavoir II mil homes et quelques chevaulx si nous navons la paix serviteur lacasette.
vynt, ce cera ung grand byen pour tout le peys et pour
ou ceulx qui sont venus naguyères de la part du Turc
me de Gordes et du surplus de vostre compaignie. A Paris, le
diligence d’envoyer en court, car si vous eussiés mandé
ville. Puis que la parcelle est dépêchée, j’espère avoir
vous envoyer lesdites lettres et en avoit responses de vous advant
de leurs magestés fort peu disposées à leurs factions et menées.
la religion tiennent asseuré qu’il a perdu tous
compaignie. A Paris, ce XVII juing 1572.
recevra le semblable s’il luy plaict. le voyage de mer est retardé pour quelques
que pour le respect de l’estat des ligues, nous vous prions
toute prospérité très longue vie.
Vostre très humble et très affectioné serviteur
S’il est de besoing, le présent porteur en baillera
escripz le tout à mondit seigneur le cardinal, lequel
ma compagnie
De Simiane
Monsieur le mareschal Damville me parle ourdinayrement de lamictyé quil
D’Ambrun, le VIe de jullet 1572.
Alfonso d’Ornano
Hector de Maniquet
fortifications, munitions et quatre paies pour les
satisfaict au contenu de votre lettre au roy du XXVIe
sy en ay-je un extreme regret pour
mont commandé de dilligenter le plus quil me sera possible, quar le roy ma commandé dasseurer
faire service
paroiste à leurs nopces, qui se doibvent faire le
tions, je prie Dieu vous donner, Monsieur, très bonne vie. De Grenoble
dix ou douze jours que les galères de messieurs
à Laval, estant assurée qu’ilz sont desia deslogés. Je prie
poyne de ce que ceulx de la Relligion veullent
G. davanson, A. Ambrun
à se soulever sans la faveur et l’autorité du roy. Le pape et les cardinaulx sont en ceste
ferment les portes après, ny le duc d’Albe sortir les
regardiez bien pour qui vous escrirez et de qu’elle religion et
dire la sienne ; et que sus cella, il est party pour aller à la
de Savoye ha mits à Turin, Fossan et Coni
Laurense de simienne
Lucrece dantiboul
1572
souffisamment qualifié. Alors je luy dis que s’il estoit tel qui le
Monsieur des Adretz présentement
qui m’ont esté escriptes du Xe de ce moys qui est tout ce que
faict la grâce que nous ayons le grain à l’équipollent
fera finer cestecy par toutes nos très humbles recomman-
Francois de Simienne
verty comme on encherit la marchandise de la partie de
Lodovico Birago
Votre très humble et très affectionné
monsieur de Suze à Pierrelate, de monsieur de Maugiron
que lesditz propoz tenuz (comme il présupose) par
frère à iamais
Paquet que mandés de monsieur le commandeur de La Roche
toute ma vie
Retz tiendroit à obligation grande que préférissiés ledit sieur de
finance qu’il vous payeroit, je luy parlis de vous remettre
compte que de lachepter en ceste ville. Jespère quil
passe de fasson que nous n’en avons plus que deux mois. Ces choses font
1572.
en luy faisant aparoir de prinse de corps decernée
de recevoir voluntiers mes lettres et de me porter sa
Ch de Beaufort
fust desjà vers vous, mès les nopces de
St Jullien
et ha imposé de nouveau ung subside sur le
febly le roy de plus et subjectz. Les seigneurs de
na voulu prandre largent, mesmemant de gros chapons
Suze
fille, lequel vous porte ung paing de la ville. Par luy ientendray de vous
que nous y alons, nous renvoierons nous chevaux
Monseigneur, augmentant tousjours vostre grandeur très longue et
accuzer que nostre ingratitude ; et
abcense. Monsieur le présidant ce porte fort bien. Yer, on
desiroit que vous fussiés par le menu adverty ; qu’il avoit
[v°] ce pourtent bien, Dieu graces, comme font ces compaignons. Pour navoyr aultres nouvelles à vous
et priant Dieu vous donner
presenterai mes humbles et très affectionées recommandations, priant le
monsieur, an santé très heureuse bonne vie et longue. A
vous ne nous porés tant honorer destre de la partie.
incontinant vous en advertir par homme esprès
Je vys madamoysele de Caseneufve souvent icy. Ele et toute sa compaignie sont
Vostre bien humble et obéissant frère
une lettre de monsieur de Saint-André du XXIIIIe du passé
que la partie est asseurée comme apparaît par les
masseurant quen useriez ainsi de vostre costé mesmes sur la venue
Quant à nouvelles de la court, je n’ay pour ceste
[v°] s’il vous playt, le mal quy peult avenir sy pour
avec un nombre infini d’autres que je vous ay,
Prunier
Monsegneur, vous donner en parffaicte santé longue et heureuse vie. De
y tumbe toutesfois je lay spare. Je vous advertiray
nepveu et serviteur
Monsieur, je prieray Nostre Seigneur vous donner en parfecte santé
une chose que je scai n’estre aulcunement necessaire,
que j’ay despuis mises à la poste et lesquelles je vous renvoye
coument il est mal aisé de se bien conduire en
serviteur
Votre très humble et obeissant
Votre très humble et très obeyssant
ce VIIIe jour d’aoust.
tel moyen que vous vérés bon estre. Je nay auqune autre
frère à jamais
a apporté aultant daugmentation à sa reputation que les articles de
passé d’une fièvre continue. Ie
madame de Gordes voye en
Monseigneur, donner à vostre segnorie, en très parfaicte santé, longue
soulleil dans ma boursse sen est allé sans luy en avouer
il c’est certeinement aperceu qu’il lui avoit esté prins.
Dieu qui vous veuilhe donner
Voustre très humble et très hobeissant
Monsieur, bonne santé, heureuse et longue vie. De Suze, ce 13e
dresser un project auquel vous pourrés adjouxter ou detraire,
faict contre ledit archier. Il y a desjà quelque
que se puisse soustenir. Je ne suis tant affectionné à aucung
est le filz du comte de Palme qui va devers lempereur.
longue vie. De Saluces, ce XVe aoust 72.
Je nay peu escripre la presente de
de quoy il gratifie les chefs de sa compagnie. Je me
F Trannon p. consul et Françoys Bertet, consul
[v°] de surprendre ceste ville le [barré : j] lendemain de
[v°] en donner peyne. Ce me servira toutesfois d’argument pour recepvoir
d’Austrie a prins la route de Levant. Si est ce quil y a lettres patentes
compagnie vous baysent très humblement les mayns
pas grand sperence d’havoyr guières vin, Dieu en soyt
d’Ourches que nous a mandé un laquay. Messieurs de
De simienne. Alle[man]
qu’adviserés. Sur quoy, je supplieray le Createur
Monsieur je supplie le Createur qu’en parfaicte
Vostre très humble et très obaissant nepveu
[v°] le cognoit pour tel à la première perdris. La fiebvre me
aussi si vous plaict de ce quilz vous ont payé,
Monseigneur, je prie Dieu qui vous doint en parfaicte sancté
ma parole. Ce qu’il a faict. Si vous commandés aultre chose
pour estre rendu seurement. Nous escrivons aussi à monsieur Ruzé
longue. De Vallence, ce penultiesme d’aoust 1572.
deux paquetz venans de cour, toutz deux paraphés par le sieur de Chastelard.
tient pour certein quils ne le soint point, ausy
Monsieur, an santé très heureuse bonne vie et longue.
venu deça de la part de monsieur le comte de Tande
mandés luy estre forny
Paulet Antar, Rolland Abel, Françoys Charys, Claude Bardet, Daussy, Pierre Girard
trop dopinion tant pour lincomodité de logis à cause
jusques là, ilz endureront la mort. Je lairrey ce
garder. Il y a cinq ou six des anciens de Fressinières
humbles recommandations, priant Nostre Seigneur vous donner,
si bien que ayant cherché de attrapper l’ung, les autres
tel que par les edictz de sa maiesté et voz
en bonne et heureuse sancté vous donner
Rousset
[v°] nayent plus servy que ma sollicitation, mais le tout ensemble, lung
serviteur
que sera en augmentation de lobligation que
Je desire bien monsieur que
Monseigneur, en très parfaicte santé très longue et heureuse
(chevaulz) silz les peuvent avoyr quand
que ce sont des moyens pour les contraindre à la
je ne receus la dite lettre qu’après le passaige dudit cardinal. Vous remercyant
Mandelot
Votre très humble et aubeisant
quant ilz ont veu que par toutes les villes d’icy autour leurs
De Grenoble, ce IIIe doctobre 1572,
m’appeller ny communiquer aulcune chose, d’aultant que
neantmoins l’ignorant : bien disait-il avoir esté recherché pour
presentement apres mes très humbles recommandations à
laudre. Vous ne sayés fère puls g[r]ande cheyse. Je prye
dedens Castrez. Si je apprens quelque chose de nouveau,
le Createur,
de votre bonne grace priant Notre Seigneur vous doner
recommandons très humblement à votre bonne
De Simiane
Createur voz donner
Monsieur, en parfaicte santé tres longue heureuse vie. De votre maison
fera finir la presente par vous suplier de me tenir tousjours
Votre très humble et affectioné serviteur
il ont deffaict le duc d’albe
soldat de ceulx qui estoyent passés,
[v°] de voz actions. Et pour responce de celle du XIXe de septembre,
que c’est pour venir à Orenge, car le roy a deliberé de
Or je n’ay rien volu faire de ce que dessus sans vous en advertir pour en recevoir voz
m’a escript monsieur de Ferrin de Brianson, Sanson,
m’a escript monsieur de Ferrin de Brianson, Sanson,
les yeulx ung peu plus ouvers. Mais saichant et voyant une
Votre très humble et obéissant nepveu
Troissantz m’en escript ; que sera pour fin, vous presentant
beysant servyteur
Damville. Je vous en eusse donné votre part,
service
bailler votre lettre, car suivant cest advis, jeusse
à mon grand regret, car sans cela, ce jourd’huy, après diner,
suys grandement pleu durant deus heures que jay este icy
S’il vous plait, vous manderés comment il s’i doibt
grace et prie le Createur vous donner santé,
promesse que vous nen recepviés aucune plaincte et que je
escriptures qui ne pourroit revenir quau detriment et
mal de vilhesse. Et pour la fin, je salue
advoyt balhé le fort d’Antiboul en garde à ung Piarre Amirat,
si quecung de la religion novelle s’elevoyt et dressoyt forces. Mays
à ce chemin icy. Vous suppliant au demeurant, Monseigneur,
serviteur.
l’ung se feroit au château de Mentolles, qu’ilz ont miné et faict
à jamais
ordinairement avecques luy, n’a faict que marcher
feront bonne justice, ce nonobstant, je vous supplie très humblement,
ce en parler à leurs magestés et d votre congé
à son meilleur prins à la dincte de ce peys et bien paiés. Il parle en toutes ces lettres
serviteur
Monseigneur partent ce jourd’huy pour aller à Monteaux
Vostre très humble et très obéissant
estatz sur ce poinct, puys je me résouldray de la mienne.
que le receveur général vient compter à Paris qu’elles soint addressées
la copie de la lettre que j’ay
scavés. Il se dit bien fort votre ami, mesmes despuis
Claure
Et longue vie. De Gargas, ce XXVe novembre 1572.
la contesse de Grinhan ya passé, [barré : dis] couchée, disné (lendemain)
à moyns que monsieur de Lombes parte qui porte commission
constament dict par sesdictes responces et répétitions qu’elle se
Mondit sieur de Paris et moy y mandames de soldatz pour les
nous cosins
que je vous fais, laquelle ancores qu’elle soit de pettite importance
responce que luy rapporterait ledit sieur de Lombais, il employrayt
guardes de leur ville. Sy, pour le retrenchement qu’il vous ha pleu fayre de noz estatz,
vous donner
votre sceu ; et si je vous respondis que monsieur de Suze m’avoit pryé pour ledit sieur de
[v] leurs novelles. Il me tardoyt d’entendre des votres et en rendz grâces
[v] tué monsieur de Guyse et blécé le roy et Monseigneur.
Monseigneur, par la longueur du tempz, et d’avoir soubstenu
grange de monsieur du Tar, on est
pour vous donner advis de quelque entreprinse que l’on m’a faict
jusques à Paris. Il accepte la faveur, pourveu que ce soit à Lyon. Madame dict de
désire bien que vous vinciés de par deça apprès les
l’admyrale et madame de Thellygny que heurent
en son gouvernement pour cest effaict. A quoy je ne
je luy ay bailhé vingt soubz.
d’avoir tardé pour la deffiance qu’il pouvoit
escripre, après vous avouer fait antandre le bon portement
principauté d’Orenge, me dict après que ce n’avoit pas esté
m’est ung bien grand contetentement et en cest endroit je me
filz Jesus Christ. Je ne vous dirai rien davantage
ne pouvant venir passer ici, m’envoya seurement la
rediray de mot en mot si bien me souvient ce que vous escrivis
affectionné, et autres, m’ont dit qu’il souffit les
De Simienne Alemand
esgaller et remectre en l’estat le lieu qu’il estoit lhors
qu’il soit chanoine et qu’il soit capable et souffizant pour ce faire,
vous supplier que s’il advenoyt qu’ilz fissent plaincte
Civetvèche. On m’a escript de Marseilhe que seulx de
et les frais à moy insurportables. Mondit seigneur
Monsieur, qui vous doint très longue et heureuse vie. De
Et heureuse vye. De La Coste, ce XVIIIe de décembre 1572.
François de Simienne
m’en asseura quant je partis d’Aix, mesmes de sa nièpce.
monstroyt avoyr par ladite lettre qui
par laquelle il me fait sentir le prejudice que ce luy sera et
[v] paniers où sont les armes de messieurs d’Eveynes et de Laval,
à pied, tantost à cheval, de sorte qu’il est à penser qu’il y a quelque menée ; et quant à moy,
Prieur, lorsque monsieur d’Évènes mon oncle lui remeit son enseigne, lui présentat
difficulté de paier pour quelque pièce que
Bourgel arriva en ceste ville, que fut le XIXe, nous avons receu les vostres
en votre endroict en envers madame de Gordes pour vous fère treuver
dessaing que nos trouppes estoyt de se jecter dans les Sevènes
On parle que [barré : lendem] le second du moys prochain, monsieur
facendone questa amorevolezza di favore anchora ..
et assemblées prohibez comme ja on a esté informé.
La Thivolliere
recommandations à vostre bonne grace et de celle de monsieur de
ce que je vous peulx escripre, après vous avoir beysé très humblement
passé ne recouvre que la moitié pource que lui
M. Bovier
Votre très humble et affectionné
Priant Dieu,
supplié me commander votre vouloyr pour icelluy toute
[25v°] et de La Bastye dont je suis imfiniement ayse. Monsieur de Villeneufve
quand il vous plairra mhonorer de tant que de les me
[33 v°] parce que n’avons aulcuns deniers pour les fraitz de justice, sinon
Monsegneur /° [/° et monsegneur le duc] devoit partir le Xe ce quil fit. Le roy les [barré : s] accompagna
Vostre très humble et plus
que il demuret en sa meyson comme e[s]t au long
personnaige qui merite beaucoup, qui m’occasionne de le vous recommander
suppliant le Createur vous donner,
monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vye.
que en partye je suys cause du mal pour lavoir mandé querir, je me suys ingeré
an tel aferes que les auficiers de monsieur de
beissant serviteur
vollanté à la me garder avecq votre permission et descharge de ceulx
sieur, fault qu’il entretiennent vingt paouvres à rayson
Montlehuc
contre luy. Voyla tout les procès qui sont entre nous.
Monseigneur, je vous envoye ung
les en ce temps là ny jusques au Xe de ce moys qu’il
Montchenu
asuré que ilha g[r]ande pytyé an se peys. Monsieur
grand tort et à vous de n’acquiescer et obéir à ce que luy remonstrés
latte ou autre lieu que vous adviserez près dycy pour se rendre au
serviteur
serviteur
serviteur
servyteur
habitations ⱦ [ⱦ avec declaration que] à faulte quilz ne le feroient vous [barré : ferez]
faire service
en sa garde
qui est contenu par toutes lesdites lettres je vous en envoie les coppies, et aussy
Chappan ne souffre telle incomodité, m’asseurant
recommandations à leurs bones graces.
[et mes interetz]
dit que monsieur de La Noue en est sourty pour faire entendre à leurs magestés sa
mon seigneur, vous doynt en joye et santé le comble de
de St Chamond ce XXIX janvyer 1573.
aussi de le vous fère entendre aux occasions.
son absence. Voyla tout ce que je vous puys escripre
ici ceste depeche pour vous dire que mon nepveu et
mais ne puis que par voie de la court coume ausi
tous en très longue et heureuse vie. De Paris,
chose de bon quand lons dressera la baterie.
le plus près est à V cens pas ou environ de leur
à jamès
le XXIIII febvrier 1573.
reste de ladite despeiche pour scavoir de sa magesté ce quele entent quil
Votre très humble et aubeissant
Je crains quil ny aye longueur en la poursuitte de monsieur
sans votre sceu, et quant il y auroit esté bien chastyé des faultes quil y peult avoyr
à votre bonne grace. Priant Dieu vous donner,
Jenvoye à monsieur de St André la confirmation
conduire le tout au solagement de ce pouvre reaume
et bonne amye à jamais Guilhomete Marcelete
Votre très humble allié et serviteur
[176 v°] villages cy auprès quil ne feroit que les envoyer
[179 v°] Et ne sachant aultre chose digne de vous estre scripte, je
monsieur, en santé et accomplisement de
que Dieu aydant ladite ville sera bien toust remize soubz
pour la deslirance dicelluy Michel Brassac faict faire
sorce de quelque trouble en ce païs vous en avons bien
bones enseignes, sa doubte est bien fondée en quelque raison. Outre ce
Pelous
Rousset
melleur seigneur et amy, me volloir conseiller car si elles
de Trèsclostre, faubourg de Grenoble, ce premier mars
Votre humble serviteur
monsieur, que vous ayt en sa garde. De votre maison
ce segond jour de martz 1573.
hommes et que les engromens se
de pouvoyr le vous offrant daussy bon cueur que ie
non qu’à Genève on ne cesse pas encoure
comte palatin est rompu et
[210 v°] j’ay esté adverty qu’il en ont vendu ailheurs mesmes
Donner,
prouvence [= province] fort bien que vous ayez retenu les compagnies qui
affaire, laquelle chose je luy remonstrrès que je avoys fort peu gens ayant
que la chambre des comptes de ceste ville veuille
ou plus comme vous m’escrivés et sy vous dyray que encores que je
ce Ve de mars 1573.
que je vous dye que si je ne suis secouru tant
comme ce matin deux heures devant jour, le seigneur
et pour cette hocasion vouloyent passer au Pousin
Grenoble ^ [^ voient ceste lettre] qui peult estre ilz treuveront aussy nouvelle que
d’accord. Aucuns disent icy que l’election d’un roy
occasion de craindre de trouver en leurs mains d’autant qui le monstrent d’estre
i est mort une vinteine de soldas et de gens de nom. Le cappitaine
[242 v°] luy envoyent lettres et valletz, mais veult que les maistres
Mais elles n’ont continué, ains a l’on dist depuis qu’une tour qu’ilz battoyent
sur icelle de ce que vous en vouldrez faire. Le beau temps nous est revenu
Notre Seigneur soyt loué de tout ce qu’il luy plaict nous mander
le consul Chapponneys. Je pense que par
guerre pour fere notre debvoir y fault tout
plaise ne me laisser inutille et ne moblier
long m’a dit bien ample comission de monsieur le mareschal. Monsieur
faillir le cappitaine Aleret, firent ma monstre au Sauzet et
pour vous an tenir averty.
[276v°] incontinent qu’on en pourra recouvrer. Et à tout prierey
Vostre plus humble et hobeyssanct
monsieur, qu’il vous veulle donner en parfaicte sancté, longue et heureuse
monsieur, en prosperité très heureuse, très bonne vie et longue.
Votre très humble et plus hobeyssant serviteur
[291v°] Rochelle sont trop iniques en leurs demandes de
[292v°] gensdarmes de monsieur de Maugeron et comme elle entrera par
vous doneroient moyen de attendre aultres provisions desquelz je me tiendrey
très humblement. Priant Dieu vous donner,
et ledit Platel ont prins heure ceste apresdisnés de tourner pour veoir
veu comment une compagnie [ajouté en marge : de gens de pied] estoyt arrivée. Mays dès hier XIIIIe, le filz
en leur nourriture mais je n’ay pas de quoy le faire. Pourquoy je vous suplie
[309v°] Monsieur de La Rouche vous scripvans lons me donna
vie. De Lyon, le XVe jour de mars 1573.
acomplir daussy bon cueur que me recommande
ilz font les sentinelles jusques à unze heures.
serviteur ; et, sur ce, je saluerai vos bonnes
le Ve quilz avoyent nouvelles de
monsieur de Rousset, de façon que leurs menées ne seront jamais si secretes
Vostre très humble et plus obeyssant
de compagnies et qu'on doubte qu'il continue pour estre
A. Siennes
Escript à Fontainebleau, le XVIIIe jour de mars 1573
à monsieur de Mandelot.
à jamais
deux recharges dens deux heures quil me priet pour le service du roy
serviteur G. davanson A.
A Doyssin votre maison, ce XXIIe mars 1573.
Madame, par la lecture de celle quil vous plairra veoir que jescriz presentement au roy,
de ceulx de la noblesse de la nouvelle oppinion qui ont sussité ceste eslevation cuydant
et recevra tout tel que les autres. Je ne luy ay volu fayre bailler
pour satisfayre voz commandemens de vous aler trover. Je
Charles
aultres moyens plus commodes, faisant cependant payer lesdites compaignies comme elles ont
Martin vous faict entendre quelque chose pour le payement de
Rivat, très obligé à vous faire toute sa vye
et lesdits catholiques furent deffaictz à huict lieues au dessus de Grenoble. Il en fut
durant XXVI ans en sa charge] tant à lexercice de son estat lespace de XXVI ans
sieur le prince pourveoyt en ce pays, et quilz navoyent accoustume davoir
lon dict de luy. Je luy en escriviz hier une autre que jenvoye à mon cousin le
de mectre au rancq des autres qui sont en Languedoc et ordonner pareil payement, attendu
long discours, sinon pour prier Dieu
Sire, jay esté adverty que votre magesté avoyt esté sus
Rochelloys et quil vous avoyt envoyé surce son edict de pacification et mandé en madvertir
[lettre à François de Bourbon, duc de Montpensier, prince dauphin]
Madame, votre majesté verra, sil luy plaist par celle que jescriz presentement au roy,
grande accusation, il se treuverra quilz n’en nont jamais prins la
tenir fort et nestre subget à la disc[retion] dautruy.
curé du lieu cestoyt, avecques une vinteyne de catholiques,
dont y avez usé et du bon et grand devoir que y ont faict les gentilzhommes mes
ilz vous en donneront occasion et que je le vous ay mandé, si lesdits
moyen pourveoir au payement de ma compagnie que na faict
Au roy de Pollongne
quil doinct à vostre magesté.
remises, pourveu que vous cognoissiez que cela ne puisse engendrer
Charles
le moingdre lieu quilz tiennent, nen ayant les moyens,
sans que vous en soyez adverty, comme il advient assez souvant que les
entrer en votre gouvernement sans que vous en soyez adverty, comme il advient
habitans desdites villes, quelque bonne
et a pris raisonnable, car vous scavez que sans cella on ne peut entretenir
et audessoubz Pinart
à Victry en Partoys le XIIe du present moys et print son chemin vers Metz où la
instance auroyt despuys esté interrompue et sans
monsieur vous doner en santé très longue et heureuse vie. De Beaufort
de Beauville. Il semble que sa Saincteté estoyt en opignion de fère et
Chamars : IIIm pains III p. v. – f : m pains [sans acquit]
eu main levée fort ample de tous leurs biens et que je
sant arquebuziers et tous les jours san assamble tant
ne fut trop tard ; davantaige, creignant que
nouvelle oppignyon et catholysez despuis peu de temps en ça et long
de marque de se pays, se que jay bien volu vous faire entendre
puissance, mandement et commission ; mandant en oultre à tous justissiers,
privée d’espoir d’estre secourue par mer
de la conference. Ledit sieur d’Yolet espère estre de retour dans le XVIIIe
rendirent à lennemy et sortyrent les vies saulves avec perte toutesfoys
Sy monsieur de Merye[u] voyt poinct
Monseigneur, jey receu votre lettre du dernier de decembre, et parce que vous entendrez par
De La Charce Saleoux
n’en ayant les ministres du pape donné advis à ceulx du roy.
feme ma bailhé encores les memoyres des
leur place de Saint-Marc, par laquelle marchoit leur general porté
de Nevers veult partir pour prendre la routte de ses gallères, et tiens quil
Truchon
estoit des gensdarmes qui arrivèrent avecq moy le vingt sixme
à votre bone grace, je prie quil vous doinnt
D’aoust 1571.
Coste ne va quant et le seigneur conte pour plusieurs considera
tandant de tous les afères du royaume, ce que je ne croy.
le payement de nous mortes payes, car nous ne
mesmement quil n’a trouvé telle courtoisie ailleurs où il a passé, hormis
et ung oultour mué et que monsieur le conte de Grignan
que le roy a esté purgé et saigné, on na parlé daucunes
bien vous supplierayge vous assurer que estant revenu de mon voyage seulemente ung
si belle occasion de ne la perdre point, le sup-
[v] quil couroueyct pour labeye de Laval, pensant que madame devey
à ceste fin et pour les randre plus vollontiers assistans et
retour d’accompagner monsieur le cardinal Alessandrin jusques à la frontière d’Espaigne.
Votre très humble soldat et très
Votre humble et obeyssant
que luy rendiés du foin en recompence
Votre très humble très obeissent
à vostre bonne grace, je prie le Createur vous donner en
sa grace et à nous la votre. De Bully, en votre seigneurie,
Chanys
le leur faire dire par quelqung. Et silz ne
et aussi de La Terrasse. Je balhis charge
je luy bailleray la presente. Je me suys oublié
haster, car les papes ne sontdesi longue durée que les rois, et memes
g deportes
vous. Sil vous playt vous les hoyrés et peult estre
de fruit que puis avoir mangé ces testé.
passés mille escus sol[eil]z qui sont II
ung soldat dudit sieur de Lisle einscis quil a escript à monsieur
pour la venue du seigneur reverendissime cardinal Alexandrin pour faire
despuis quelques jours. Je man parts tout
faillir dessayer à quoy pourrons reussir tous doffrir
Votre très humble et très hobeissant serviteur
septembre 1571.
Bellievre
diceluy ; et me semble une grand pitié et indignité
oultre ce que lon seroyt tenu de leur restituer en partie des testaments de messieurs vos
Foyn L Lt
contre eulx comme lesdits supplians verront leur estre plus
le troisième touchant a traicte obtenue par ceulx de Lyon laquelle feut respondu
aultrement tout ce que y a esté faict ne nous servira que daggravement
recommandations, priant Dieu
nous mène de jour en autre pour la response de nous memoires.
Dieu,
Limoges qui le m’avoit dict s’est fally. Si nous avions yci
quilz soient truvés, et je le vous dis, monsieur, parce que je les
dadvis en parler pour mainctenant, que est cause que je ne y touche rien
Votre bien humble et très affectionné
1574.
Ilz font fort remparer et fortiffier Serre et Orpiarre,
[v] en paix de laquelle je diminue tous les jours lesperance et fault que je
se prevaloir de lactraict dicelles ayent à les desmolir à la
suffire de les prendre à la forme que ie vous ay escrit.
dernier et les deniers ordonnés à estre levés pour le voiage du roy de Poulogne,
jay faict, encor que la courtine de celluy de Moyrenc soit bien fort advancée. Et quant
Serviteur
à lhonneur sien et de monsieur de Evènes aussi que
aussi ces vieulx arrantementz ne sont que pour quattre recoltes.
quil vous doint,
Serviteur
Je voy bien que la guerre du Daulphiné ne lechauffera
suz Avignon qui a esté descouverte et en a
de la paix de ce païs, et possible que monsieur le chancellyer qui faict profession damityé avec luy ce
aussi de notre part en aurions envoié memoires audit sieur de
[83 v°] sans la permission dudit Bolut ; de quoy ledit sieur Vincent,
plusieurs aultres Rostaing
très voluntayre et daussi bon cueur que je me recommande humble
monsieur du Monestier, elle avoyt changé daultre habit
il dict attandre certaines forces estrangières que monsieur d’Allemagne
la royne, et que nous aurons à Lyon le roy dans peu de temps [qui]
lons maccorde le paiement du quartier doctobre pour votre compagnie ;
grace, je prie le Createur,
ont pas faict grand cas et ledit commendeur de
que ladite ville a suporté et des grandz
bonne voulanté que je supplierey le Createur vous donner
allé à Piedgros et y avoit couché une nuict et la nuict dernière aussy que
Votre très humble serviteur
estat et prosperité. A Montellier, ce VIme febvrier 1574.
mes lettres à voz rentiers de pardella, desquelz je ney
Votre très humble et très obeissant serviteur
en forme de casemattes avec un revellin au devant
cette rebellion. Mays cest pourveu quil vous
quictance par moien de notaire en
à vous fère servysse
principalle charge, je luy ay parlé pour monsieur de Molans
en pays. Il cest saulvé ung mercyer qui pourtoit les lettres que je
la vallée d’Avanson. Ilz ont mis à la fain
Si iaprens quelque chose de sa venue, ie vous en feray part.
que je aurons bien moyen de faire recouvrer les recognoissances
madame de Gordes pour la proximité de nostre paranté
monsieur, vous doner en santé hereuse et longue vie. De Grenoble, ce VIIII de
Chabrin et Saunaire dans Ribiers
pour y commander ung gentilhomme nommé Lagrange quy est
ne peche par ingnorence. Ce froyt a tellement abattu les
Votre humble et obeissante
1574.
actendu que le suinziesme de ce moys sera bien tost
Nemours, ayant ceste paine pour le dit quartier.
Xe jour de fevrier 1574.
au dessus et tout au tourt de sa chambre, qui la garde de ce
que pour prier Dieu,
à voz fermiers ce que justement ilz vous doybvent,
à voz fermiers ce que justement ilz vous doybvent,
[170 v°] soubs correction, envoyer les propres originaux
comme je ne scauroys quant je voudroys, mais que
près de mon avoquat, mès si ge ne fés rien avec mes parties,
Votre très humble serviteur
et compliment des dictes deus centz livres, je en eusse faict du mesme,
[190 v°] remettre à la feim silz pouvoient, en cas quilz si veullent
pour monsieur de Charbon. Votre plus humble et plus
et prie Dieu,
des aydes de ceste villes quil vous pleust mescripre dernierement
Seigneur vous donner,
[197 v°] possible et quil vous plaira, et à messegneurs
nous, tenuz et redevables grandement et dotant
que les a fet parti de sette vile pour aller fère les furneralies.
[marge gauche, en travers :]
froment a à saddresser à ung nommé Theodé de Mainssieu. Il mest
que monsieur de Saynt Romain vous a demandés pour leurs depputés de ce gouver
[marge gauche, en travers :] votre humble et très affectionné à vous fère
feray retiré en ceste ville tous les bateaulx que se porront
ma niepce.
accès de fiebvre quarte assez long. Cela debauchera le bon
à cause de ses troubles et nous soions retirés à St Veran
la question ; toutesfois de ses responses dudit Stalin et laquais resulte
mestre recommandé humblement à voz bonnes graces, suppliant
Aussi dict on par le commung prouverbe quil ny a chière que de
pas les faustes telles que lon veut fère trover
Votre très humble et hobeyssant serviteur
Servyteur
plus part crie à la feim. Parquoy, mosegneur, vous userés de
par le moyen de leurs cavallerye, ayant de ce cousté là emtrée à la pleyne, votre gouvernement serat
[247 v°] lequel, craignant iceulx sen est retorné
tant receu de vous en cestres [ancêtres], il vous
[258 v°] de mes debtes et quelque peu pour mon entretenement,
de notre roy ne peut pas souffrir [barré : se] de se flechir si souvent propos
que de voz ancestres. Ce faisant, ilz prieont
[marge gauche, en travers :] Monsieur, le dit sieur de Nocase vous dirat comme les ditz ennemys nous sont venus recognoistre ceste nuict. De quoy je suis bien ayse, car il ne ce peult faire meilleure guarde que nous faisons, y estant
que ledit sieur Froment ne luy en escrive ou par votre commandement.
ou resevoyr novelles des montagnes. Votre très humble et obeissant
Supplice le suivra de bien près pour les occasions
à vous fère servise LUCRECE DANTIBOUL.
prie je monster plus tost de ce monde que jen
pas toute la bienveuillance en ce endroict qui seroit requise,
1574
Votre humble serviteur
et bailhage de grisivodan
Vostre plus afeccionné à faire servise
[295 v°] y allat pour prendre de luy instruction des derniers arremens.
au dit Besson si les vivres ne viennent à melheur
Ledit sieur de Brigodières mha bien faict quelque playnte, mès
de Transy, Varlaurys et St Restitut et pour le povre
à jameys Jehan de brunel.
serviteur gdeportes.
servyteur
court et dict lon quil y en a une aultre troupe de bien cinquante prestz
qui a tant mengé descargotz que le cornnes sont sorties
Et de ce que vous
que les adversaires ont sur priz Alez
ronpre la teste cy nous vienne veoir. Je dis quant au chasteau.
monseigneur, vous tenyr en saincté vye longue. De Grane,
[320 v°] quinsiesme de ce mois se tiennent ordinerement sur le grand chemin
que ilz y viennent quilz y seront bien
[324 v°] qui la veue en passant. Lesditz adversères houstarent
Monseigneur, conserver en augmentation de votre
nous, car dont plus forbz nous cerons, dont myeulz vauldrons
pour n’y voier que bien peu d’apparance ny jour, il me
XVI juing 1572.
ou adverty de bonne heure, il est certain que vous en fussiés
loisir de vous escrire fort souvent ainsi que ie voy monsieur
[v°] advant que d’entrer en poursuitte de voz derniers mémoires,
Mais je laisseray ce propos pour vous dire que le sieur admiral d’Angleterre
ses hommes et ses deniers en une charge que les
Vostre très humble etrès obéissant
jours. Le dessain de l’entreprise que Causseins avoyent sus mer est ronpu
bien affectionément nous advertir amplement du faict, et nous
Le XXVIIIe juin
Bellievre
mon obligation à monsieur le trésorier si les
avoyt jà envoyé à la cour come verrés
Gordes
[marge gauche] Mon petit nepveu de Gargas et toute sa
vous porte et quil desireroyt infinement davoyr moyen de semployer pour
Votre très humble allié et serviteur
Et monsieur le président Truchon, il y trouvera mes
compagnies d’infanterie, lesquelles on remet à deux
[v°] du passé, touchant la levée commandée à monsieur des
l’amour et respect de madame de Gordes
mondit seigneur et dame de Lorrayne que les nopces de Madame et du roy de Nauvarre seront
LPuget
XXe de ce mois, celles du prince de Condé quelques
ce IXe jullet 1572.
[v°] de Carces et de Meolhon revindrent de Cinetueche. Il
Notre Seigneur les volloyr conduyre et tenir en sa sainte garde
estre en aussy grand nombre à la garde du
opinion, encores que sa majesté, par homme exprès, luy ay faict entendre que l’on se peut asseurer
[v°] compagnies des villes pour son siège devant Mons,
faction ilz sont, afin que je ne baillye armes pour asseurer
forès de Lions pour la chasse, et quil doit trové le roy de
toutte sa cavallerie en garnison et faict faire
Madame d’Ourche sallue vos bonnes graces de ses très humbles recommandations. Elle vous envoie un pasquet
Votre très humble et obéissant
disoit, je le présenterois à monseigneur le révérendissime évesque de
m’a asseuré que le cappitaine
je scaiche pour asteheure digne de vous escrire, après m’estre
de la pailhe, ce sera la plus belle récolte qu’on aye
dations à votre bonne grâce, à cele de madame de Gordes et
Monsieur, sy trouvés quelque lettre mal cachepttée, n’en soiés esbay,
[v°] Cabanes et parle on de cinq mille écus, quest une grande ch-
serviteur
à Beaurepaire. Il se parle de la faire passer en Piedmont
ledit de Chastellard furent cause que, le trouvant
de Simiane
[v°] que sa dreset à ma fylhe an n’Avynon. Je prye Dieu
de votre seigneurie
Pressins et quasi le missiés en jeu comme le recherchant
l’office de conselier pour quatre mil livres, qu’estoit
ne sera besoing de tout par cella car je pance que
tellement resuer les plus habiles qu’ilz ne scavent là où ilz en sont et
Votre très humble et très obéissant
[v°] contre luy et vous ferez une grand Votre plus humble à vous faire service
bone volunté. Je m’asseure que c’est pour se souvenir des expéditions desquelles nous envoyons au roy et à luy [ ]
madamoyselle du Telh que je croy fairont
bois qui s’i remet à raison de cinquante ung
Ranty et de Janllys sont prisoniers. On faict
vieulx pour faire restorands de coulys. Voilla tout ce
Si vous avez lalarme à bonessiant, vous supplie envoyez
nouvelles. Baisés les gallans pour amour de moy qui est
et gens, hormis ceulx de quy aurons plus de besoing
heureuse santé, et à tous ce que mieux vous aymés. De Valence, ce XXVIIIe
neanmoings recourons à vostre seingneurie comme
ly persa une aposteme qu’il avoyt au fondement, que est
[v°] prins la parolle et remonstré que, puisque vous aviés
escrire, je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Nostre Seigneur
Monsieur, en santé contante vie. De Lion, ce dernier
Createur
Paris, le dernier iour de juillet 1572
Je vous supplie très humblement que jay ung autour par vostre moyen
et en cependant vous supplie me commander vostre
an bone disposition et tous ceus qui vous apartienent par deça de mesme. Je
Bap[tis]te de Simienne
qui m’advertissoit de votre maladie et de la déclination
actes sur ce faictes
de ses dix mil Italiens et mil chevaulx que mavez escript
heure aultre, sinon la continuaton de la deffaicte
la faveur des Grandz, l’injure faicte à ma filhe
vous assurant cependent que vous n’avés
Lyon, ce 5 aust 1572
du tout plus amplement par mondit sieur d’Orches, attendent le
Artus Prunier
très bonne longue et hereuse vye, me recommandant bien
c’est que par votre aquanimité accoustumée
quelque chose muée, craignant que ne les ayés receues.
teuls affaires. Si my conduiray-je, Dieu aydant,
de Chapuys
serviteur
Serviteur
Votre très humble allié et
resolusion de mon fait de Dieppe. Voila ce que ie vous puis
De Simiane
ceux de la religion font à vostre grandeur. Il nest parlé icy icy que de
ne vis jamais tant de malades
la presente mes humbles recommandations.
et heureuse vie. De St-Saphorin, ce X daoust 1572
donné nulle occasion. Je ne vous en diray aultre chose,
Nous avons recouvré un autre laquai en son lieu, quy
Monsieur en très bonne santé, longue et heureuse
Serviteur
daoust 1572
[v°] comme par votre prudence vous verrés estre pour le mieux ; seulement
tamps, mes gens estant à Loriol, faisant quelque
party que je ne cogneusse bien si la raison seroit pour eux.
Touchant les affaires de Flandres, et y auroient quant et
Votre très humble et affectioné
ma main à raison dune fiebvre double
resoudray de ce selon les occasions. Mon nepveu de La Coste vous
St Michel que vous y arryvastes si à propos.
en ce et tous aultres endroictz vous commandementz, ausquelz
[v°] du roy données à Paris en juillet par lesquelles est mandé que chasque
et je supplie Notre Seigneur vous donner
loué de tout et luy plaise nous garder que n’ayons
Saint Sernin et de La Coste iront demein ou laultre à
Monseigneur, vous donner en santé très longue et heureuse
santé, vous donne heureuse vie longue. De
et serviteur
print et ne le peus suivre si vivement comme j’eusse deus,
car ilz mont faict entendre quil y a de reste
longue et eureuse. De Grenoble, ce XXIXe d’aoust
[v°], je y obeiray de mon povoyr. Monsieur de Fiançays et
pour recovrer s’il est possible le double des articles qui
Votre très humble et oblygé servyteur.
Ilz sont cy enclos. Je me recommanderay sur ce humblement à vos bones
nest iugé que le roy a pardoné à la requeste
A Paris, le 15 7bre 1572
pour mesme effait et qui pance pourtera
[Au dos : de ceulx de la Religion d’Orpierre]
de la presse, que pour trouver plus à propos de
propos, monsieur, pour vous dire que l’armée turquesque
qui se veullent catholiser, et cuide qu’il y en y a plusieurs
Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XXVI septembre.
demeurront en estre ; ou bien ilz fauldroit avoir
commandementz est porté. Au demeurant, je vous
Monsieur de Gordes vie longue, me recommandant de bon ceur à
na point nuy à laultre, et ce que je vous en escrips nest point pour
Deportes
jay en votre endroict.
madame de gordes voye en la
vye. De Pignerol, ce [barré : IIIIe oct] dernier septembre 1572.
au gouverneur dAurenge il se plesoit
messe et soy recatholiser, et procedure qui ne se faict
tres humblement les lettres de recommandations quavés escrites à mon occasion à
serviteur.
freres en sont à mesmes. La plus grand part d’entre eulx qui s’en
Votre humble serviteur.
je ne treuve bonnes plusieurs insolences et aultres
en faire faire lexeqution, mais qu’il avoit respondu qu’il y falloit
voz bonnes graces et de madame de Gordes, prie[barré : ant] Dieu
Dyeu me volloyr consolé é vous tenyr an sa seynte garde
je ne faudrey, monsegnieur, vous en tenir adverty. Ce pendant,
Monsieur, vous voloyr doner en santé heureuse et longue vie. De
Monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et
grace, priant Dieu
Monseigneur avecque parfaicte santé très longue et
de Saix, ce Ve hoctobre 1572,
pour lung de vous plus humbles serviteurs qui sallue vous
M. Bouvier
et pandu et quilz ont deffaict
ains quil a reffet ses bendes de
je rendz graces à Nostre Seigneur que Évènes et Laval soyent arrivés en bonne
s’en saysir et dellà à Nismes, dont ledit seigneur Danville
commandementz, lesquels je suyvray toute ma vye. J’ay faict recercher les armes ausdits
gardiateur de la prevosté d’Ours dont le different estoit
gardiateur de la prevosté d’Ours dont le different estoit
[v°] plus clayre descouverte de la resolution qu’ilz ont prinze
et serviteur P. de Simianne
[v°] mes très humbles, priant Notre Seigneur,
Montoyson.
mais je me douste que vous mangerés avec
[v°] par advanture anvoié de mes chevaulx de ranffort pour ramener
il me venoyt trover au Chastelet pour me prier d’interceder
avec eux madamoysele de Caseneu et tous qui luy apartiennent
conduire, si par si-après quelque voiages se dressoint
prosperité et longue vye. De Grenoble, ce XVIe
feray faire les melheures journées quil me sera possible, enquoy
perte du general pour le bien duquel nous avons advisé
voz bonnes graces et celes de madame de Gordes
de pettite qualité et estrangier, n’estant subjet du roy, qui
de permetre aux communautés de s’assembler comme porte ladite letre, l’estimons
me fère ordonnance comme cognoistrés raisonnable sur le
Bellievre
soubstenir sus des pillotiz à poinct de mectre à terre, ce que pence
de Simiane
jour et nuict. Quant à nous huguenaudz de pour
Monseigneur, me voloir fère ce bien d’en parler ou mander à mesdits segneurs
pour venir deça, bien que m’assure ne vous sera
de justice [barré : inscritent] des lieutenant. Ledit sieur sattandoyt à verser une partie
A de Chapponay
acompagner madame de Lorreine. Le roy va à
Serviteur
[v] Si elle va là, je m’en feray pourvoir. Mais je crains qu’il
à la chambres des comptes de Paris.
receu ce soir de monsieur de
peu de jours, le voiant au Louvre, me demanda de
Vostre très humble et très obéissant frère
qui à mon advis luy en pourra advoyr dit quelque chose. Je
pour faire dresser quatre compagnies en Provence
dresse audit sieur de Montbrun et non à aultre. Nous vous
hatraper, mais l’on les failhit pour ce coup, nous havons doné
me servyra de beaucoup pour tenir mes subgetz en pais,
voluntiers le personage et accorda audit seigneur deux compagnies, l’une pour le capitaine
ilz vous playsoyent, Monsieur, nous ordonner du boys, huylle, sel et chandelles, en
Monsieur en parfaicte sancté, longue et heureuse vie et
Rochefort, et que je ne l’avois pas recherché d’accepter ladite compagnye. Voilla
à Dieu. Par la lettre que j’escris à madame de Gordes, vous entendrés de
Sur cela, on vouloit rechercher ce que restoit d’huguenotz
telles despences, et que porrions soubstenir à l’advenir
apprès toujours à la fère abatre, qu’est
entendre que ceulx de la Religion ont sur la ville de Valance ;
mesme, ce sera à leurs majestez à se resoudre.
estatz, comme m’avyés dict, pour prendre advys et
belle peur à Nevers, sont allées trouver monsieur le
doubte poinct qu’il ne soyt bien requiz que les gouverneurs
[v] Je ne escrys à La Roche car je luy ay escrye par
avoyr du costé de France avant la mort de
[v] de messieurs d’Eveynes et de Laval et de tous les
de la volonté du roy ny de Monsieur que luy ny Le Cheylat
recommande de fort bon cœur à votre bonne grâce et prye Dieu
sur ce propos, sinon vous prier très humblement
lettre que vous m’escriviés du Montélimar le XX octobre
hier touchant mon abbaye, c’est que vous en fairés comme
adresser et faire intériner à Grenoble, don ay
[v] que lesdites brêches furent faictes. Prianr Dieu
dont n’en y a en son esglize que troys qu’il le sachent faire
ou que je heusse faict ou dict quelque chose qui feust
Nîmes avoint mandé quelque obstaige à monsieur le mareschal
le Grand Prieur, tout à l’instant m’ayant demandé
Paris, ce XVIIIe décembre 1572. Vostre très humble
Monsieur, tornés de là s’il vous plait
vous aurés lettres de toutz ceux desquelz désirés scavoyr
estoyt à luy adressante, en quoy il
incommodité à moy si, pour mon attente, son retour est retardé, dont il
lesqueles ne pèsent pas peu, et ayant mesmement deulx
je le croy de tant plus que ceulx de deça font certains remuemens qu’ilz n’avoient poinct
son guidon pour moy, ce qu’ayant sceu par mondit sieur d’Évènes, ainsi que
j’atans d’heure à autre de la Chèse-Dieu
[v] du XXVIe novembre. Vous pouvés avoir receu la response
bon le mariaige de luy et de madamoyselle de Sainct-Prie, lequel
qui sont maintenant closes ou armées de ces neiges. Monsieur l’admiral
[v] de Nevers et monsieur le maréchal de Tavannes partent
da vivere, sino alla venuta del luocotenente fece ..
Vous advertissant au surplus que tout le monde
La Roche. Priant Dieu,
les mains, je prieray le Createur
doibs fournir quelques pieces que nay enquores peu
à vous fayre servisse
monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.
ma vie a complir daussy bon cueur que me
de la compaignie de monsieur de Joyeuse ha esté ourdonné avecques des
faire entendre et soubz ce ferme propos pour ne scavoyr chose
quil vous pleust, pour evitter fraitz au roy, commectre les
[35 v°] jusques à Estampes. Le roy de Navarre, monseigneur le prince
obeyssant serviteur
du Ronne. Quoman il se presenteray, auquel
de rechef comme je fays et moy mesmes de bon cueur à votre bonne
monseigneur, très heureuse et longue vie. De Paris, XIII janvier 1573. Vous
De Lyon, le XIIIIe janvier 1573
vous escripre la presente pour vous supplier commander à ceux qui manient la justice
Vallance nen devoient avouyer la congnoesance
Montoyson.
de Dye, vous suppliant, monsieur, n’estre marry sy je ne leur permetz
de deux soubz pour jour lhomme et deux carolus la
En toutz ce faict, je me suys conduict en toutte modestie
pacquet que monsieur de Montoyson
madvertit de son arrivée près Lion, je luy envoyay ung
de Chadarose ne ma fet poynt de reponse. Me
sy ne le faict avant que venir je n’an espère pas puis guières. Dieu par
[106 v°] plustost prez de moy quand jen auray besoing, dont vous
Revol
Andrieu De Exea viseneschal
Veaulne
La Thivolliere
procediés contre eulx comme contre les autres absantz par
Carolo Birago
mondit sieur de Mandelot leur en a rescript par moy que nen seriez que comptable.
quil est tel quil ne se desvoyera jamais de
Monsieur de Langes ma parlé dun advocat de ceste ville, appellé messire Charles du Bas,
negotiation delaquelle on ne pouvoit encoures savoyr certaynes nouvelles, Dieu [nous ?]
voz très haultz et genereulx desirs. A votre ville du
Votre très humble et plus affectioné à vous
Depuis ledit sieur de Cugy ma escrit et
pour cest heure, fors que je me prepare tant que je puys
moy soumes arrivés, ayant estés tousiours en bone santé,
naurés vous autre plus seur moien si quelqun ne
ce XIXe fevrier 1573.
Vous trouveriés estrange de voir tout chacun se promener
foussé. Je vous ay escript que pour la quantité
Pontays
Votre très humble etrès obeisant
soyt faict du fils de feu monsieur ladmirailz que Rogiers leiné [=l’ainé]
serviteur
Revol et grande difficulté à faire verifier vozdites lettres
faictes, ce me seroit grand plaisir. Quant aux balles et pouldres de Montmeillan le sieur du
monsieur de Gordes, en bonne santé, heureuse et longue vie.
[des manages ?] du roy de Navarre et de
et pour le servisse du roy. Ceste armée se ranforsse
G.davanson A. dambrun
querir quilz seront icy dans ung jour ou deux
finerey ceste en suppliant Notre Seigneur vous doner,
voz desirs. De Chambery, ce dernier jour
lhobeissance de leur magesté, sans y reperdre aultant de
promesse verballe et accord de ladite rançon de mille
voulu donner advertissemant parce mesmes quil y a vers
que jay naguères escrit à monsieur le general P. Viart pour la partie de monsieur
perdent leur collère, il est dangereus que je ne preigne la
1573.
Poullemyeu
de Montoyson, ce IIme de mars 1573.
Vous très humbles et obeyssans
doyvent lever et se doit estre
vous presente etc. De Vaulreas, ce IIe mars et au dessobz
[marge gauche : de murmurer des matines parisiennes et de
est retourné au camp de La Rochelle.
à de marchans de Roumans. Parquoy, s’il plaisoit
Monsieur, en prosperité, très heureuse et très bonne
vous serviront bien à propos pour l’entreprise du Pousin. Si
une grande ville et de grand impourtance à garder. Toutesfoys je luy remet cella
verifier voz lettres de Grane. J’actendz response à ce
ne soys et que je n’y aille sy tost que je vouldroys byen, j’espère en Dieu
Votre pour jamais affectioné serviteur
plus je vays à l’avant, tant plus je congnois
Dieu a retiré la fleur et le parangon de mes
et fère ung fort comme l’autrefoys je m’y suis opposé
moy
en Poloigne est faicte et demeurée au duc de Prusse.
courroucés et que leur decret capitulaire faict pour ce regard commence par ces mots
Digory et le cappitaine Stefano d’Orbino blessé qui est fort bon soldat.
y allent en personne. Aussi que toutz lesdits huguenauds
estoyt versée sur la bresche et l’avoit bouchée. Vous ne pouvés de moings
veoir après avoir enduré une infinité de pluies, qui me faict esperer
[252v°] et luy plaise me consoller et vous donner sa grace, acompaigné de longue
ledit Chapponnay vous nous commanderés
despendre de quoy ne me soulcie pourveu que
point, car, apprès avoir laissé bon ordre
[262v°] du Telh le volut employer pour aller à Vilenefve, mays il nyt eust
pour ce rancontrer les deux datez du mesme temps la layssèrent
Votre très humble et très obeyssant
Dieu,
serviteur
vie. De Baiard, le XIe de mars mil VCLXXIII.
De Lauriol en haste ce IXe de mars, à XII heures du soyr.
Lengiere
vouloir l’edict de janvier par toutte la France.
le Pont Saint Esprit dans mon gouvernement le scindic du diocèze
[294v°] saisi et de toutes aultres denrées de façon que aidant Dieu, votre dicte armée
monsieur an santé très heureuse, bonne et longue vie. Ce
comme ils auront à proceder cependant. Voila un procès mais c’est par ce que vous la m’avés
du cappitaine me vint trover pour luy deputer commissayre à conduyre
ne treuver mauvais si je vous en importune, m’estant engaigé à Lyon pour armer
vous lettres disent que sadressoyt à moy et sens regarder
Votre très umble et très affectionné
très humblement à votre bonne grace, priant Dieu
Despuis unze heures, les gens de guerre la font.
graces, et de madame de Gordes de mes
lextremité de maladie de monsieur le
[24 v°] ou avantageuses quilz ne ressentent du mal silz entreprennent sur votre
serviteur b: Olier
bruict du desbandement du siège de Sanserre, mesmes
Charles
Mon frère et monsieur de Langes
de Buffevant
que je lacomodasse de quelques soldatz, ce que jay faict et luy ay anvoyé
dambrun.
[brouillon de lettre à Catherine de Médicis]
votre majesté pourra demeurer satisfaicte sur le contenu es siennes et votres des XVIIIe,
surprendre ceste ville par escallade et autres lieulx avec telles menées quil vous plaira
la lettre que luy avés escrite, creignant que par icele, ne luy fissiés entendre
suplie très humblement votre magesté trover bon tel arrest car certey
de Neufville s[ecretair]e
esté et au mieux qu’il se pourra. Je n’ay donné occasion au prince d’Orange de
XII soldatz qui sont dans le chasteau de ceste vile, et de lune des
très humble service, comme aussi feray je daussi bon
tué une trenteyne et en tiennent quelzques prisonniers. Voyla, sire, comment les
que durant les derniers troubles au près de moy, comme encores estoyt-il sur son
pareil bien faict, je supplie très humblement votre magesté levouloir conserver
mareschal de Dampville. Il ne se fault fier que bien à poinct et sil
le temps quelle nen a eu aucun et quelle a esté comme encores est en service.
messegneurs, vous donner sa grace et prosperes vies.
le point de ordonner à monsieur de Mandelot de se venir
coment jauroys à me gouverner pour ensuivre les vouloir et instruction de voz majestez ; et ce
Monseigneur, je ne vous feray autre redicte de ce qui se
coment jay satisfaict à celles qul a pleu à voz majestés mescrire tant de leslection de
forme et negociation que par votre permission et de voz predecesseurs,
Charles
retiré [barré : gr] dans une grosse tour où est la porte de la vile. En
bons serviteurs qui estoient près de vous et mesmes le sieur d’Ourche, ayant
de ladite oppinion, après avoir receu mon vouloir et obey à mondit edict,
monstre depuys ung an quelle a tousiours esté en service,
Sire, jay, suivant [barré : suivant] les lettres quil a pleu au roy et à votre majesté mescrire du XXIXe
Madame
aucun trouble, jalouzie et meffiance entre mes subgetz et empescher
De neufville s[ecretair]e
ni dartillerie, ni dautres choses à ce necessayres, mays
premières nouvelles que lon a delles viennent des extorsions et pilleries
assez souvent, que les premières nouvelles que lon a delles viennent des
volonté quilz heussent à tout ce quest
[184 v°] police, laquelle avons tousiours faict garder quelque part qu’ayons esté et ferons encore,
destinataires : gouverneurs et lieutenants généraux des provinces
royne sa mère et sa seur royne de Navarre et la pluspart des seigneurs de la court
[192 v°] poursuitte daultant que lexposant nauroit
ce 25 novembre 1573.
d’envoyer seullement quelque bonne et notable somme de denyers
Paumes : IIIIm p. IIII p v – f : XIIc pains [sans acquit]
suis seul entre tous les autres, oblié en ce bien faict qui
là que aultres villaiges sirconvoysins, de quoy vous plerra,
largent ne viene de moys en moys pour
temps aprèz la mort de ladmirailh, entre lesquelz est ung nommé
secretement car il ne me permect descrire à persone, craignant je
officiers et autres subiectz de cedit gouvernemant ; en ce faisant vous
et venise propre et la moytié de l’Ytalie
jour daprès quil sera party et delibère partir lundy. Ce seroit justement
de quatre demy canons et cinq batteaulx.
la presente, il trouverra nos humbles
ce porteur comme les affayres ont passé pour la reduction du château et vile d’Orenge
La Tour de Leche
[Marge gauche, en travers : Je retorne à prier Dieu de conduire le tout à bien et vous donner
parties quelle avoit montans 140 livres tournois et sy comme
par deux hommes en une chaire et ensuyvis de vingt cinq capitaines
sera bien tost en France. Je vous envoye ung bando lequel a esté faict
Vous naurés la copie
de juilhet trois gensdarmes et trois archiers ; et le vingt huictiesme
monsieur en parfaicte senté, très bone et heureuse vie.
Vostre à jamais plus fidelle et plus
tions [barré : jesp] que jespère luy dire incontinent que je serey à La Coste qui sera
Monsieur, la dame de seeans se recommande
scavons plus où donner de la teste, nous estant
de monsieur de Joyeuse qui se laissa persuader par monsieur le cardinal
avoit recherché madame de Guordes et monsieur de Evènes
[v] affaires. Jay donné une attaincte à la royne mère
jour avant quilz voulussent partir, je fis ce quil me feut possible pour leur
pliant de ne le trouver point mauvais. Et
bien tost mourir, laquelle est bien for mal. Je ne sache pas que se soueyct
aidans à leurs magestratz et au public ; et à ceste occasion,
affectioné scerviteur
Serviteur
pour norrir le bestal quil a de madame,
Nepveu à vous fère service
parfaicte sancté, longue et heureuse vie. De Grenoble, ce Ve
ce 6e septembre 1571.
venoient men faire advertir affin que
au syre Perra de faire mectre deau dans
à vous dire deux choses. Lune est que je seroye
[v] cetuy cy qui avoit desia le pied sur la fosse. Monseigneur, il me dict
que vous en demeurerés plus satisfaict que nen
Jen espère estre quite après la dite purgation,
milles que ai eu que valent V mille
de Evènes. Ma femme, avec mon fils de Bautmettes, sont alés ce
partie de notre debvoir, mays une aultresfoys mieulx advertis,
presentement pour aller coucher à La Voute.
et honnestes declarations pour labbaye St-Sernin, non
Bartolomeo bartolomey
Votre très humble et très obeissant servitteur
Quant à monsieur de Ste-Marie, jentens quil nest
quil faille aujourdhuy que par ces moyens exquis elle
predecesseurs, ilz auroyent encor voz acquetz ; et il me semble que vous incliniés
Avoynes VIII picotins
commode ; attendu aussi que lesdits soldatz disent quilz ne
que le païs auroit surcoyance encor jusques au mois de may prochain pour les deniers
de noz malheurs et infortunes, dont vous plaise avoir compassion. 16 janvier
monsieur vous donné hereuze et
Ausy fait monsieur de Sauve quelque importunité que sache
monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.
ung gouverneur comme ont ceulx de Champaigne noz affaires
ay tous veuz icy devant trois ou quatre foys et que si jen
et m’asseurant que v[otre] seigneurie ladvertira de tout ne importuneray sa seignorie
cousin à vous faire service
Votre à jamais très humble et plus affectionné
que sont toutes les nouvelles que vous puis
vous dye que ce qui est advenu à La Rochelle a esté le plus mal à propos du
charge de retirer promptement tel actraict ; le surplus
Je presente mes humbles recommandations à votre bonne grace et
remet le payement des deniers de la submencion [sic] generalle par moittié au premier
aux murs de la ville, je les ay tous licensié à ceulx de la ville, pourveu quilz ostent
De langes
je ne luy demande mon congé que pour le temps
Vous verrés sy vous plaist, ce que jescris à monsieur Draqui,
monsieur, en très bonne santé très longue et très heureuse vie. A St-Germain en Laye, le XXIe
De langes
guières sil ny est poulsé par quelcung qui y aye bon
ton print quelques ungs. Je ne scay sil est
trouveroyent de la caballe [mots barrés] saysi ledit seigneur ambassadeur nayant seu marié sa fille par le moyen de
[80 v°] Chastelard, lequel y auroit faict tout son debvoir. Vous scavés
consul, a requis actes et proteste de resevoir et de tout
extraict
ment à votre bonne grace, priant Dieu
au si beau et aussi riche : un manteau de panc cramoysi
est après faire acheminer, oultre larmée du conte Ludoviq sen venant
me semble nous estre bien utille et je le desire comme des[tre]
quand à celle de monseigneur de Nemours, elle a fait
monseigneur, vous conserver en parfaicte et très heureuse santé.
Cuges leur avoyt faict notiffier, ont respondu quilz
[111 v°] empruntz et tailles levées sur icelle jusques
monsegnieur, en prosperité vie longue. De Grenoble, ce
[114 v°] sont deux jours et deux nuictz ; comme la verité est telle, ayant lessé la
Rousset
Votre très humble serviteur
encoures aulcune response.
Chalhol
la grande porte. Mais nonobstant tout
[122 v°] plaise le treuver ainsi bon. Et surce, je vous
bonne forme. Ilz vous remercient
delarochejoubert
et conterroleur Gibert, ausquiels m’ha proumis ne sera
pence que lon pourra encores attraper. Je loue Dieu de la grace quil nous
tous lesdits villages et sont après dachever
La plus grand part de la cour de son altesse est allé au devant de luy, excepté mon mary pour nestre
nouvelles desdites pentions, ce que je ferois de toutes les quatre,
et de mes enfans. Jey esté tousjours en afection vous
fevrier 1574. G deportes
parent de monsieur du Monestier, dequoy il ma faict
challeurs des dames de ceste ville quil ny a aultre
Claude de Turenne
Voz très humbles et obeyssans serviteurs les commis des
[157 v°] et puys que les rebelles nont heu la conservation de
Les deniers qui restent des XXXm l. ts soint ordonnés
Votre à jamais très humble serviteur
reposer et a esté et est visitée journellement par les
messieurs, vous donner etc …
et qu’à faulte de ce, vous estes deliberé de les
et qu’à faulte de ce, vous estes deliberé de les
et si pouvés asseurer quils sont si peu content
je me doubtoys que mondit sieur de [barré : Pressins] La Tour
je prierey quelque honnette dame de sette vile de me retirer
Duvant
mais monsieur de Cabannes a esté datvitz d’en attendre votre volunté.
opiniatrer à la guerre, sil vous pleisoit menvoyer encores une
obeissant frère à jamais
monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie. De Poissy,
par laquelle me mandiés que je vous envoiasss le reffus
monsieur, en très bonne sancté, longue et heureuse vye. Au Mon[telim]ar, ce XIIIe febvrier. Jay rière moy la lettre de
de parlement, me commander daussi bon cueur
quilz nont moyen vous recognoistre les biens
[209 v°] Je panse qui seron bien tost de retour. Là desus, je suys tumbé
Hyer au soyr, je receus votre lettre du XI, laquelle
deu encor quelques restes es bailliages de Viennoys et St Marcellin […]
nement, ilz y seront autant valables que ceulx du roy en cest endroyt. Je me
service de Maugeron
treuver despuys Montmellian jusques en ceste ville,
Votre à jamais plus humble
propoz où il estoit d’aller bien tost à Lyon. Je presente mes très humbles
avec que quelques ungz de Molines et là y vont tous les
tout ce qu’est narré cy dessus, mesmes que lors qu’ilz voulurent
le Createur quil vous doinct,
gens chiches. Jespère en faire une ung de ses jours, mays
plus mauvayses quelles ne sont. Monsieur, je ne la vous
Prunier.
Lathivolliere
votre begninité comme avés, et les votres, faict envers eulx par cy devant.
plus ravaigé, car du cousté de Grenoble, pourveu quilz ne passent le Drap, comme je croys quon les empeschent,
audit Grane le plus suptillement
plairra leur en faire descharger, et tout
et je continuerey si bien en ma charge que vous n’aurés
à lendroict des [barré : estrangiers] rebelles ses subiectz sans estre de
Dieu quil vous aye en sa sancte garde.
ung chacun fort affectionnés, sans que je puisse descouvryr aulcune division en ceste ville, bien quon me donne advis de jourt à aultre du contrayre. Il fauldroit bien quil y eust en ce lieu grant quantité
Monseigneur, après avoir presenté mes très humbles recommandations à votre bonne
serviteur gdeportes.
que vous dira le dit Belloy. Jay assés remonstré
soye loccasion. Laissant ce taint enuieulx discours,
[280 v°] sestant mondit seigneur de Mandelot aulcunement ouvert pour
Vostre très humble et obeissant serviteur
Ade Rame.
A Grenoble.
Mandelot.
Ceste doubte nous cause de ne luy escripre poynt. Et
pris. La récolte fait, il faudra adviser à nouveau
ce sera pour une aultre foys.
Pègue, me donner Montbrison sil vous plet, vous
La thivolliere.
à desbusquer. Mondit sieur le precident [sic] nous faict aussi entendre ladvis quil a
à son mary. Lhistoyre cera mise en forme de tragique par
dites que la trefve
qui importe beacoup pour ceste plaine
Quant à la ville, il font la meilheure garde qui leur est
ce XXIIIIe fevrier 1574
d’Embrun à Brianson et ledit jour i tuarent cinq hommes, lung
reseux Le pegue.
ung prisonnier à caze du larrecin à la justice de Queyras.
estat en très heureuse et longue vie. De Tullete, ce XXVI
Monseigneur, je ne vous envoye
[333 v°] et dont meylheur garde nous ferons. Ce pandent que je
vault mieulx taire car cella ne me seroyt que augmenter de
vostre très humble etrès obéisant frère
piéça où vous demandés. S’il chauffe deia à Grenoble si fort
que vous le désirés.
de quoy il vous plaira promptement nous faire une dépêche
[v°] avec toute sa trouppe, a esté merveilleusemant bien receu, et n’estoit pas fils de
[v°] Onestragueulx, qu’ilz appellent, luy firent sur mer,
frère à iamais.
de fasson qu’il ne bouge de la court.
faire bénigne responce sur notre présente lettre ; pour fin de
Vostre très humble et très affectioné serviteur
Madame de Gordes verra icy s’il luy
lettres ne sont esté rapportez de la court
par la coppie de l’acte que je vous envoye
troupe ce portent fort bien. Ie ne doupte
vous et pour les votres.
G. d’Avanson, A. d’Ambrun.
très humbles recommandations à sa bone grâce
cens homes pour compagnie. Et estant tout ce
Adretz et respondu à voz depeches precedentes.
et pour icelle, je luy ay faict tieul
le XXIIe du présent. Le dit roy de Navvarre arrivera demain en ceste ville. Mes seigneurs les
jours devant. Jespère, à laide de Dieu, me tenyr
disent que le pape a fait grand caresses à monsieur le
et protection. Je vous prye me faire scavoyr le plus souvent
chasteau qu’eulx et me doubte monsieur, sy n’y
qu’il ne commencera jamais guerre s’il n’y est contrainct et forcé et qu’il n’a jamais entendu ny
craignant semblablement que les villes ne se
cest estat. Je croy, monsieur, que vous aurez entendu
Navarre à Guallion en allant ou à son retour ; et que les
grosse guarde dans lesdytes villes. Pour les habitans
pour monsieur d’Ourche, lequel il vous plera fère tenir à votre première coumodicté.
serviteur
Grenoble, purement et simplement et puis si après l’aage et souffisance
Bernard est au Bourg, quy est
en cest endroict, bien humblement recommandé à votre bonne grâce,
veu de vye d’homme, et me semble vous doibt
de madamoysele d’Ourches, ma bone et tant saige niepce.
scachant que tout ce qui passe par Gargas y est veu. Ie désire
airté. Ceste la femme en absence de son mari, qui est
Bellievre
et mettre celle de monsieur de Bellegarde dans le Daulphiné
en ceste ville et luy voulant demander s’il
que vous doint sa grasa, ansamble longue é contante
très humble et très obeissant
d’en composer avec vous. Nous nous résolumes d’aller
la somme que monsieur de Virieu en avoit payé par la
la maladye ne sera pas longue, daultant que
ne peulvent en discourir aultrement, sinon que ou les entreprinzes ont
serviteur
St chamond
notre negociation et donner advis amplement de ce
dimanche, l’a retardée. Je ne vous scaurés
et encores que je ne face doubte que du costé
bruyct quilz eusent esté justiciers, n’ust esté qu’ilz
que je vous peux faire antandre, parquoy, metant fin à
moy monsieur de La Pierre en diligense, car monsieur de Pressins est
Vostre très humble femme et bien obé
à Jaunage. Quand à ce que mescripvés de
de julhet 1572.
fect lenfant à son père, et vous supplions
son entière gérison. Il treuve meulheur son vin que le votre,
cest honneur d’estre detre du conseil du roy et son
vous donner
[barré : aoust] jullet 1572
Mon seigneur, vous doynt joye et santé.
Vostre très humble et très obéissant
vouloyr pour icelluy toute ma vie acomplir daussy
suys très marri de lindisposition qua heu monsieur de Laval et desire scavoir
[v°] de voz accès. Notre Segneur vous veuille remettre en bonne
par un aultre deppesche vostre que jay receu despuys deulx
de monsieur de Genlys, qui est veritable, mais
et par consequant à toute sa race, demeuroyt impunye.
serviteur de quy vous deviés fère plus d’estat
Vostre très humble et hobeysant serviteur
despart duquel je prieray Dieu, vous donner
humblement à vostre bonne grace. De Grenoble, ce Ve aoust
vous ne permectiez que ceux qui notoirement vous
Cavagnes se faict ouyr et ses parties que messieurs
le mieulx quil me sera poussible, mais je
Nous memoyres de ce matin portent
Jean Besson
Des eymars
afesionné serviteur des adrés
mander an atandant le bien de vous voir, que ie desire
Je pansois que monsieur d’Hourches fut porteur
moyens de trouver argant, ceux qui en donnent sont les biens venus.
et tous fièvres et meurent tosiors
De vostre très humble et très hobeyssant à
sinon que cest ung très maulvais garson ; que sera
Estoit [barré : au cappitaine] à l’escuier de La Coste, qui peult estre s’en est parti
vie. D’Ambrun, ce XIIIe daoust 1572
Chastelard
Jey veu les articles des forces que mavez anvoier avec ce pacquet par
vous supplieray-je de deux choses : l’une est de vouloir plus tost
exequution pour le deubvoir de leur charge, entrèrent
J’ay faict entendre à la royne et audit sieur de Morvilliers combien
eulx grand noblesse d’Espaigne et soldatz. Elles auroient
serviteur
tierce qui ma tenu tourmenté et
aura peu dire que les choses sont adoucies entre lui et
Ce discours a tant duré pour luy que je lay
j’obeiray toute ma vye d’aussi bon cueur que après vous avoir
feu ait à porter à Marseille une charge de bled, dautant que sa magesté
Monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et
guerre, car estant en paix, ne povons havoyr que trop
Lourmarin pour parachever leur assistense aux
vie. De Grenoble, ce XXIe aoust 1572
Grenoble, et à votre maison, ce vingtroisieme
Artus Prunier
et fust prins à la remise par ung talleur de ceste ville
quatre cens escus soleil ; et à toutes fins, monseigneur,
1572.
moy avons conféré ensemble du faict du sieur de Chastelard
nous concernent pour, s’il est besoyn, y respondre et ne
Loryant
graces et prieray le Créateur
de monsieur d’Estanais qui se dit estre son parent
Vostre très humble et très obeisant
ceste depêche à Valance, où ay antandu par
sacompagner de quelque ami qui, en cas quil le
est de deux centz vingt trois gallères et XXVII galliottes.
aultres qui vouldroient faire de mesme si ce n’estoit leur ministre
Vostre très humble filz et affectioné serviteur.
[V°] grand nombre de gens pour donner par plusieurs coustez,
assure monsieur que dans ma maison je nay que
vous bonnes graces ; de St-Maturin, le XXVIIe de septembre 1572.
en esperer ung remerciement, comme vous mescripviés par votre
presente mes humbles recommandations
Vostre très humble serviteur et vassal
deux avec sa mauvèse voulonté. Collin
ailleurs. Jaçoit qu’ilz ne soyent detenus et reserrés que
messieurs le president de Pourtes et advoucat du Roy, je ne fauldray à
Montoyson
estoient fouyz sont de retour et font bonne myne toutesfois,
G Deportes
actes qui se commettent journellement, comme vostre
envoyer Tanchon, le prevost de Paris, avec ung bourreau et que sur telle
Monsieur quil vous doinnt en la sienne très bone et longue
é portesyon. Ylya puls dun moys é demy que ne lay fé
je vous supplie me comander voz bons plaisirs ausquelz j’obeirey
Grenoble, ce Ve octobre 1572,
très bonne vie et longue. De Rousset ce Ve doctobre 1572
Monsieur qui vous ayt en sa garde. De votre
heureuse vie. Cest de La Biesse votre mayson ce
Votre plus humble à vous fère service
bonnes graces de mes bien humbles et affectionée recommandations
monseigneur de la Garde et qui ont mis
ceulx qui revenoyent du service
santé. Je suis de votre advist qu’il est impossible que la jambe
a expres comandement du roy de bien nettoyer son gouvernement
de la relligion pour m’en tenir saizi. C’est vray que suys en doubte si je doibs saizir leurs
accommodé par accord faict avec messieurs de Birago,
accommodé par accord faict avec messieurs de Birago,
generalle de s’eslever, Monsieur, j’ay desparty des commissions
[marge gauche ] Je supplie très humblement messieurs de St-André, d’Agnières et ma seur se
Monseigneur, vous donner en bonne prosperité longue et heureuse
mondict sieur le mareschal. Lon ma faict presant
ma fille et à ce propos, il vous plairra vous souvenir descrire
envers vous et messieurs de la cour pour son asseurance,
à vous pardeca sont en tele et si bone
où heussiés envie qu’il allat.de l’argent que
doctobre 1572,
[v] Faisant, monsieur, vous mobligerés à vous faire toute ma vie, service
de vous faire ceste Requete de laquelle, Monseigneur, vous
de toutes noz très humbles recommandations.
me faict vous supplier très humblement et très affectionement,
dangereux pour ce que la plus part sont de ladite opinion et, quant bien seroient
contenu en ma requeste pour les ustencilles contre ses
La littière doit avoir passé oultre car
n’auseront fère maintenant ; et demeurant encor comme il est se
icy, ilz ne mènent pas grand bruict et s’en
[v] qu’il leur plaise me conserver et garder mon droict et bonne renommée,
accordé en ce temps. Je n’en parlerai ausi que
de troys mil LT que levesque de Marseille avoyt acordé à feu monsieur
huit lies d’ici en Brie pour courre le serf
Jean Besson
ne faille du moins estre in sacris pour éviter les dispenses
Vous pouvez croire que l’intérinement
Montbrun.
vous nouvelles et pria, vous escripvant, le rementevoir
François de Simiene
n’estoys délibérer me mesler si avant entre persones si proches
et quatre en Dauphiné, vous lessant la nomination des
envoyons aussi sesdites responces et répétitions, par lesquelles,
ordre que s’ilz y repassent en serons advertis. Si vous le
desquelz, à présent, je ne m’en puys guyères lhouer, et feront pis
Augier, qui est de ce gouvernement, et l’autre pour le sieur de
donnent à voz villes quelques aydes, d’adventaige feriés grande charité car,
en sa grâce vous faire prospérer. D’Aix, ce XXIXe de
tout ce que je vous puis escripre, et vous prye pour la fin continuer de me
la santé de noz enfenz, laquelle, Dieu merci, est bien fort bonne.
dans ceste ville et pour les trouver, forcer les meilleures
pour la pouvreté qu’est en ce lieu, nous arions bien
tout ce que vous puis escrire par le
et encores que je ne tienne pas cela de si bon lieu que l’on en
Monsieur, je supplie le Créateur vous donner longue vye. De Thurin, ce IIIme décembre, votre humble et ancien serviteur.
conseil de vous comme je me doibz governer.
comte d’Antremont. Monsieur, mes pauvres subgectz
limitrophes et voisins de ceste lizière luy soyent
sy devant byen vous prye ne me menés gans
l’admiral. Qu’est tout ce qu’il se présente pour
petis escouliers. Je metray fin à la présante après vous
[v] avoint esté sauvés, et me remit en advant ce qu’elle
vous donner la sienne, acompaignée de longue et contente vye. De
de ne vous metre en aucune peine pour
[v] par la quelle et aussi par ce que en la votre dernière
vous semblera bon pour la sauver, espérant que celluy à qui la
esté très ayse. J’espère dans peu de jours vous
Monseigneur vous avoir en santé, très heureuse
du nombre desquelz ledit sieur d’Aiguebelle est le premier
dommageable ou houltragieuse en général ou en particullier,
de Dampville pour la seuteré de monsieur le président Bélièvre
par pleusieurs foys si c’estoit pour quelque mescontantement
serviteur
[v] Monsieur ilia bien près du moys que je n’ai point veu madamoysele de
des nouvelles, qui me gardera vous faire la présente plus longue
pourroyt bien avoyr de l’artifice ;
cuyde diviner quelques occasions ; qui me mect en toute la peine du
rondalles d’assier, toute deulx à la preuve de l’arquebuse,
[v] accoustumé, et ce à la suscitation dudit Champolon qui en pense avoir secours et les joindre
j’allay pour l’en remercier, il me pressa fort de le prendre en me montrant
que lui doibs fournir ; néanmoins, je jouit paisiblement.
du roy à votre lettre du XVIIe dudit moys, de quoy je vous ay escrit
il dict qu’il ne se despend plus que de voz consentementz. Je ne
en doit estre plus mal pour avoir déjà commencé son gros jeu, et au
pour le voyage de La Rochelle et que Monseigneur et
opera piia, perche siami redotti à mal partito , faccio
se contient en paix en cedit baillaige et se contient
monsegneur vous donner très lo[n]gue et heureuse vie.
Monsegneur, vous donner en parfaicte santté, longue et heureuze vie. De
avoir de la Chèse-Dieu. Il y a quelques jours
Ville Franche
De Paris, ce VIIe janvier 1573.
recommande très humblement à votre bonne grace. Priant
compaignyes de gens de piet, et quelque cavallerye, pour aller faire vivre
qui merite le vous faire entendre fors la bonne santé
chatelains des lieux appellés les procureur du Roy et consuls pour
de Condé, messegneurs de Guyse et grand prieur [mots barrés]
B : Olier
de vous tenyr averty je n’y foudrey. Je finerey
grace, en priant Dieu de vous donner,
pourrez voyr, monseigneur [barré : comme], par la lettre de monsieur d’Evènes come nous partons demain pour
Votre plus afeccionné à vous faire servise
y tenir la main bien que monsieur Correiz, par le commandement de monsieur de La Tivollière,
et que elle apertient au balieyr de roube courte.
contribuer audit Dye, joinct que à Falhens, La Mote et Glandage se
femme, les enfans au dessoubt de douze ans cinq
comme si vous plaict le verrés [barré : pour] ^ [^ part] le faict que je vous
ma adressé pour vous faire tenir.
commissayre pour le conduire à Pierre latte ^
samble seret bon que luy escrysyés. Seus d’Aurange
sa grace le veulle toucher vifvement et les aultres je luy en
madvertirez de ce que vous en aurez faict sil vous plaist.
anexation et saisie de leurs biens et autrement comme est porté
Et ne scaichant chose digne de vous, je vous prieray me comander voz bons
lhobeysance de sa maiesté, ayant dalheurs dequoy
qui desyreroit avoir les judicatures desdites terres de Lyonnois et par mesme moyen vous
[124 v°] Vif est declairé inalienable parce que
les doint bonnes. Ledit cappitayne Loynes dit quil ce trouve dix mille gentilhommes
Montelhimar, ce XXVI de janvier mil VC LXXIII.
faire service
se loue grandement du favorable traitement quil
pour assieger quelque ville, et que joublyois à vous
Dieu merci, esperant bien à larrivée de Monsegneur
partoit della pour venir ici où atandons monsieur
Je nay voulu laisser sejourner
à la desbandade aux environs de l[barré : eur]a vile et
dartilherie qui est là dedans ils ne tirent
frère et serviteur La Roche
a prins charge conduire en ce pays pour le mettre à St Victor lez Marseilhe
Montoyson.
en la chambre des comptes de ceste ville. Sil y a moyen
[155 v°] Villars, agent en Savoye, m’a escript que son altesse avoit desja prouveu de men faire
Du Camp de Sommieres, ce XXVme febrier 1573.
monsieur le Prince de Gondé [Condé].
tous les jours dune infinité de noblesse. Monsegneur le
assamblés. Je nay poinct heu nouvelles asseurées
monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne
de fevrier 1573.
bon chief et souldatz comme avons faict au dernier assault.
livres et ung cheval et en oultre [brassé : inthi] intimidé
ces cartiers quelques vilaiges que ne sont esmantelés
d’Ourche je vous en envoye une recharge que vous plaira lui faire tenir après
miene et que je ne fasse chose dont elles et moy serons
[196 v°] Vostre très humble et obeyssant
Votre très humble et aubeyssant
à jamès serviteurs les consses
pour la fin de se moys ou à mi avril.
Votre plus humble ami à vous faire service Truschenus
dire que Dieu en fera la vengeance de la quelle
Vostre très humble et très oubeissant serviteur M. de Langes
à votre seigneurie que je ne laissasse sortir aulcung
vye et longue. De Lauriol, ce mardy IIIe février à deux
vous avez l’intention d’y tenter fortune comme je vous en prie
à votre volenté, donc il vous plairra monseigneur m’en escripre affin que si
[220v°] que je vous en ay escrit cy devant, ascavoir que si la cour
et à l’ordre que monsieur de Rosset
Pelous
que lesdits ennemis multiplent et se renforcent. Voylà
Enfans, Jacques, qu’il a esté enreumé 4 ou 5 jours puis,
et ay lougé la compagnie du cappitaine Araret aux
Votre très humble allié et serviteur
Toutesfois l’on ne le tient pour certain, d’autant mesmes
non fiat misericordia, j’ai esté contrainct de me licentier à [barré : vous] importuner
L’ons ne laisse pour cela de continuer la baterie et crois qu’ilz
dedeça sont troppes à se monter. J’ay du tout faict le
que d’envoyer promptement en Piedmont l’advis touchant Pinerol, car en ces matières
que nous ne demeurerons plus guères icy sans voir une fin ou autre
et contente vye. Je me recommande de fort bon cœur à la votre, sans oblyer
ce que vouldrés que nous ferions, que
le service du roy et le vostre se facent
au château d’Exilles, je dresserey promptement
hordre. Aultrement je vous direy que la compagnie du segneur Saint Santurion
an blanc, chose laquelle je na voudrois advenir à mon
serviteur Le Mestral
Monseigneur, vous donner en sancté très heureuse
Antoine de Varce
Votre très humble allié et serviteur
Votre très humble serviteur
[barré : don] Touttesfois ilz se sont après retirés de telle demande,
d’Uzès ou monsieur de Ste Jaille qui y commende les y fera recevoir
n’aura necessité. Je prens indifferemment par emprunt de l’ung et l’aultre party
me sera un grand contantement d’atandre de vous nouvelles.
[300 v°] recommandée. Si mon frère n’est contremandé, nous le devons voir icy pour demain.
ladite compagnie en Languedoc, ce que jay fayct. Mays dautant que il me
madicte compagnie, n’ayant pas receu ung liard des soldatz de mesdictes
le desus, je leus plus tost hoverte que dy advoyr
serviteur Bellievre
Monsieur, vous donner très bonne longue et très heureuze
Et faictz passer à force rondes. Je faictz faire
plus humbles recommandations, priant Dieu
baron de La Garde.
gouvernement. Monsegnieur, je vous remercye humblement la souvenance quil
Chappan a baillé causion
qu'à present, il y a ja six enseignes dans ce pays qui vont
de Neufville
vous presentent leurs semblables
Monsegnieur, ce que je demndois à cette ville estoit pour envoier
XXV arquebusiers, atandeus quil en aye recovrés dalheurs. Je ne vous veulx
Madame, il plaira à votre majesté veoir et prendre pour responce [barré : à la votre] celle que jescriptz la lettre que jescriz,
XIXe et XXe du passé, tellement que pour nuser de redicte, il me suffira
aussi, Madame, veoir par la copie dune lettre que [barré : jesc] jenvoye [barré : aussi] à sa majesté et me tiens
le malcontentement que aviés de luy, veu quil veu quil cest payé de reyson
nement, syre, il est tant aymé et respecté en Brianssonnoys, Embrunoys
permectre n’y a ses gens d’entreprendre aulcune chose contre mon service, et suis tresmarry
compagnies que le païs paye, je suplie votre magesté me garder une
cueur, que je prie Dieu,
affaires passent en ce gouvernement où ceulx du Vivarais viennent comme
partement dy venir [barré : quilz sont vrayement recommandables] se les sentans
à mesdits secretaires et leur accorder votre ordonnance à ce que icelle partie soyt
entreprend de opprimer mes subiectz ou souffrir que mesdits rebelles soyent receuz
De St Marcellin, ce 25 may 1573
joindre à moy avecques quelques forces [barré : et] ce que depuis ne
pendant que je me teinse le plus fort pour, par la force, faire [mot barré] accepter sa loy à ceulx qui ne sy
passe en [barré : votre g] cestuy votre gouvernement que ce quil vous plairra
monseigneur au royaume de Pollongne, que de sa blesseure et ce quil me semble
comme il couste par contraictz et actes auctenticques, les comptes
De Neufville
fin, syre, y estant arrivé et fayct rompre quelques garites
bien voullu pour ceste occasion escrire aux principaulx dentre eulx les lettres que
vouloient envoyer par devers moy quelqu'un dentreeulx pour leurs affaires
ensemble pour celle de monseigneur de Nemours quil vous a pleu
Oultre ce que javoys // [// faict] au paravant [barré : faict] asses exhorté ceulx de la nouvelle oppinion de
[150 v°] lestablissement de mon edict de paciffication, car en ce cas, il en
Monsieur de Gordes, si vous estes d’advis que lon
[barré : sy par ung combat] sil plesoyt à Dieu que par ung combat ce
quelles font, quil soict, par ladite publication, deffendu à toutes compaignies
extorsions et pilleries quelles font, quil soict, par ladite publication,
du service du roy, repoz et surté du
tant et sy longuement qu’aurons cest honneur de faire service du roy et parce que lon nous
[190 v°] le vont accompagnier. Monsieur le prince de Condé, de Nevers et le marechal
peu si tost estre averty de sa mort qui advint
Votre plus humble ami et serviteur à jamais
pour lentretenement des gens de guerre que y seront ;
Monsegur : IIIIm p. III p. v. – f : Vc pains II bar[riques ?] vin [sans acquit]
mest assés suffisant tesmoignage que messieurs du conseill du
monsieur, advertir monseigneur de Gordes, affin quil luy
poyer les souldardz que seroyt notre toutalle
Mondon Callamand, catholysé illec present pour rayson de quoy
ne soys dellivré sans fère omaige danbre, crogue que dalours ou
obéyr sur peyne destre declarés rebelles et desobeissans à sadite
exposée à la descente dudit Turq à chesque printemps
pour arriver aux estatz qui sont prolongez jusques au XVe du mois
Monsieur de Genlys, qui avoit esté prins à la deffaicte de sa campagne
recommendations
à lobeyssance de monsieur le prince votre frère et du seigneur de Barchon en sa charge,
Destablet
monsieur, en santé sa saincte grace, me recommandant humblement à la votre bonne
je vous envoya dernierement. Je vous
de leursdictz galères, tous vestus de robbe rouge, en fin ce
à Rome en desdain et sur la longueur de dom Jehan d’Ostria. Et pour navoir
ains loriginal de la lettre
après dudit moys est arrivé deux gensdarmes et quatre archiers
De vileneuve, ce XXIIII daoust 1571.
affectionné serviteur
après le partement de madame de Gordes de ce lieu et non point plus
très humblement à votre bonne grace.
deubz entierement vingt cinq moys, sperant
d’Armaignac et sieur de Sct-Gouar et moy que sa majesté auroit très agreable
de vous en demander ung pour luy. Ilz furent tous deux
du payement de votre estat. Ien ay aussi esté renvoyé à Bloys
oster lopinion de faire ce voyage, chose que javois faict ung coup, mais apprès ilz le remirent
si jay du temps assés, je lui manderay homme
pour aultre fayct. Monsieur, il vous playra mesquser si ne suys vous
entre mettre quelque peu de leur particulier ; ce pendant, en
C[apitain]e lille
Jehan de brunel
aultrement ledit bestal en porroit
P de Simiane
jour de septembre 1571.
Vous très hobeissans serviteurs
jen prenne daultres. Quest tout
les tines et faire retirer les thoneaulx de
dadvis que Jean de Cosme salla esbatre hors
cela avec telle si affectionné quil meust semblé faire trop de tort
adviés oppinion. Lesperence que jay advoyr de
Dieu aidant, lequieul, après mes très humbles
IIIc lt. Cest en deducion de laloit
jourdhuy [barré : veoir] à Gargas à pied et i ont mené [barré : ma] toutes noz
lon declarera aquelz fins et par mesme moyen que le
seulement pour la passation dicelle, mais aussi
à jamais
chargé de linvest ains seulement de quelques
leur tumbe entre [barré : leurs] les mains. Je desyreroye que ledit
la.
Et les jours maigres à lequipolent de
deslogeront dudit lieu de huict jours. Si ferés bien et les
des deux premiers chefz et que quant à ladite traicte, il seroit escript à monsieur
Floryy
longue vie. A Voyron, ce vinqcinquiesme
user pour faire voir à leurs magestés, le mémoire quy
De Poissy, ce XXIIIe janvier 1574
[barré : noz aff] ne se trouveroint pas si recullés. Je nay pas encor
eusse eu seullement la moitié, jeuse pancé faire entreprinse sur
reverendissime de mes lettres. Jay cherché davoir novelles du faict de la damoizelle
Montbrun
frère et serviteur
mander pour le present, vous baysant les meyns
monde ; car encor que le roy le desadvoue et declaire estre bien ayse de ce
[52 v°) nous remectons à ce que ledit sieur de Granieu vous en excript. Sur ce,
Prie Dieu,
jour de may et à la Saint Jehan Batiste. Le roy na pas au surplus voulu toucher en
dans trois sepmaines I [I : de] dessus la place ; et si jeusse peu faire le semblable du château,
quil advisera, et estant auprès de vous et
vous suppliant le luy mander par votre première
jour de janvier mil Vc LXXIIII
credit. Monsieur le marquis de La Chambre me monstra
vray. Que sera la fin, après vous avoyr
la lieutenance de sa compagnye vouldroyent quelle luy [barré : present] profita quelque plus grant chouse sentent
quelle resolution il en a peu obtenir, tellement que ne scavons
linconvenient et dangier quen pourroit survenyr
Rostaing
monsieur, etc. De Valence, le IIIe fevrier 1574.
[barré : avec] presque tout couvert de passementz dor et les boutons de
aussy de deçà après avoir remis en paciffication tout le pays d’En bas
en votre bonne grace, à laquelle je me recommande bien affectueusement
monstre pour le dit quartier et pance donner asignation
De Grenoble, ce Ve febvrier 1574.
[109 v°] ne recognessent persone que leur maistre. Lartillerie que faisoient
à la somme de sept mil livres et davantage
cinq[iesm]e febvrier 1574.
forteresse entre les mains de huict soldatz que je ne prandrois en respon[ce ?]
fran[çois] grillier
Votre humble et obeyssant
et toutes leurs menasses, lon les renversera
baise bien humblement les mains et prie Dieu
remercient bien humblement de la
touché. Λ [dans la marge : Λ ausy] Monsieur de Maugeron estoit parti, mais il est ici
a faicte de nous avoir deslivré ce beau traict. Je ne vous ennuyeray de
les aultres ; de quoy navons volu fère
pas son naturel de vivre à la courtizane et ausy que ceste nation ne le regarde pas beaucoup
encoures que messire Jaques Pascal en aye une soubz le vocable
estre inthime amy et afectioné à vous fère service.
Après avoyr veu votre letre touchant monsieur de Gargas, je luy ay faict une response
asseurance quil tiendroyt le château en bonne garde. Le cappitaine
port que de robes de drap avec escarssons doublés
estatz de Daulphiné
la suspention par iceulx accordée en consideration je
pour le quartier de janvier pour autres compagnies
Bussillet
principalles dames de ceste ville et mesmes par ma damoyselle
y contraindre par toutes voyes de justice ; que
y contraindre par toutes voyes de justice ; que
dudit comte de Gayasse que plusieurs des principaux
ne soyt assés bien informé de lintention dudit
avec elle, car je ne suys deliberée de retorner à Seint Priet
Monsieur, dautant que nous sommes bien [barré : prests] près de la fin de la
compaignie de gens de pied et vingt et cinq hommes à cheval,
de simienne
ce XIIe febvvrier 1574.
quilz me feroient pour ladvituailhement du chasteau de
monsieur de Mandelot et je vous envoye une lettre que les consulz de Dye mont escrite.
que je prie le Createur vous donner,
quilz ont receu de vous et de vous ancestres.
an hune fièvre que de son commanseman matin [ie : me tint] se[p]t jours
mha autant confirmé qu’une demy batalie gagnée
recommande très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,
et dicy jusques à Moyrenc. Et pour ne scavoyr autre
et plus obeissant frère
recommandations à votre bonne grace et prie Dieu,
catoliques de Molines au preche et au service de Dieu
surprendre Embrun, Colombin dict audit Labarre que ung soldard acoustré
Monsieur, en parfaicte sancté tres longue et heureuse vye. De
le premier metz sera de salcissons de Boloigne, le second
ferey plus longue, cregnant vous importuner. Lon
aysement, ilz ne leurs sauroit nuyre. Et si pour les asseurer avec tout cela, ilz ont la compaignye du seigneur
quil a peu sans quilz luy ayent
ainsy quil vous plairra comander, ilz feront
occasion de vous plaindre de moy. Lasseurance que jey de votre
beaucoup diminuer, bien que je pense que ne leur accordant poinct
Votre humble et obeyssant
de traytres silz vouloyent ny pouvoyent entreprandre contre nous pour lasseurance que jay de imfinis gens de bien quyl y a icy. Il y eust XX chevaulx qui venoyent de della Jabron et passarent Ribion
grace, supplierey le Createur vous donner en très bonne santé
limpossibilité que je trouve à lentreprise du Posin,
je vous diray, monsieur, que mes instructions, les
raison dudit mescontantement, on luy a faict toutes les honestes
G deportes.
surce, nous prierons Dieu
marché [barré : à] la despance que nous faysoit paroistre
Votre très humble et obeissant
adsurant que le povre lieu est bien chargé
du seigneur Carle de Birague qui me gardera vous fère ceste cy plus longue
ung noveau orateur pour vous en faire ung present comme du
est en Languedoc,
et pour le chemin des postes.
posible. Qui sera la fin, après avoir prié Dieu
votre humble serviteur
dici et le lendemein, bruslarent leglise de La Roche. Monsegneur,
Il vous plera commander à tous ceulx que nous peuvent
febvrier 1574. Vous très humbles et obbeissans
la lettre que le roy vous escript
escripveys ceste, jey resceu la lettre quil vous a pleu mescripre,
remplir ma carte des inventions du palays sans mérite;
à iamais
que icy, je plains que vous ne soyés à Laval aussi bien que madame
Monsieur, je prie Dieu qui vous conserve très longue
si vous y voulez arrester, il les fauldra promptement envoyer
bonne maison celuy des princes et segneurs de ceste court que ne leur ha faict
sans touttesfois qu’ilz se soint prevalus [barré : du but] desdits
De Simiane
laquelle nous nous recommandons de bien bon cueur à votre
Bellievre
plait mes semblables recommandations à sa bonne grâce.
signez de monsieur le trésorier de l’espargne.
et de lettre qu’il m’a escript, que me font
que son maistre ne vous écrive souvant.
que ce presente pour ceste heure, je prierey le
Monsieur de Montmorency est de retour à l’Isle-Adam
trectement que à notre bien proche parent. Il n’a
cardinal de Bourbon, de Monpencyé et de Nevers luy allarent au devant dès yert. Monsieur luy yra
de prez pour me prandre garde qui sescrimera
cardinal de Lorrayne à son arrivée à Romme. Les
que porrez de voz novelles et de toute la troppe qu’est
pourvoyés, qu’il y pourroyt avoyr quelque
consenty aux troubles de Flandres et que l’occasion qui l’a faict armer en son royaulme
rendent après ou du parti contraire ou du moins
comme j’avoye envoyé l’ung de mon secretariat devers le seneschal
nosses se doyvent fère dans ce mois sans grand bruit et
mesmes, il faict fortifier en diligence Villeneufve
G deportes
du susdict pupille, il luy vouloit résigner, je m’y pourroit accorder
une grande incomodité et desordre,
suppliant le Créateur qu’il vous doint
donner à madame de Gordes, bonne volanté de
Je prie le Créateur vous donner
scavoir vostre advis de ce que monsieur d’Evènes par vous m’a dict de
allé changer dair. Mais jay opinion quil ne se desdira
Madame de Gordes verra icy sil
[v°] à cause de la controverse qu’il a avec le seigneur Ludovic,
les avoyt tenuz, ledit de Chastellard mict la
vye. Je me recommande de byen bon cuer à la vostre et de
serviteur
[v°] trouver la royne ; que monsieur d’Hourche reprendroit
dernière taxe que s’en estoit faicte, mais il se deffendit
la grâce à Dieu, il ce gouverne fort sagemant
[v°] failly, ou que nous voulons garder par cette contenance de trop entreprendre
de buffevant
aulmosne et
que nous estimons estre requis en ce lieu pour y estre
dire l’aise que ce ma esté dentendre que
de Flandres ne soiés mieux adverti que nous,
ont declairés avouer quelques mandement de Sa
la presante, après vous avouer beysé très humblemant
Ancores à la court.
yssante amie
macheminer devant, je nai affaire qui me
Vostre très humble et très hobeissant serviteur
tresumblement avoyr mémoyre de nous
qu’est tout ce que je vous ay à dire, me recommandant bien
lieutenant general en une province, que l’on vous devoit
monsieur, en très bonne santé longue et hereuse vye. A Parys ce XXXe de juillet.
Vostre à jamais très humble et
A vostre maison de Grenoble, ce dernier
frère à iamais
bon cueur que la dame de sceans et moy nous
sa convalecsence. Monsieur nostre gouverneur nous à tous contremandés car ma
santé. J’ay sceu aussi, par la lettre que Tomasset m’a
[v°] jours, me recommandant bien humblement en cest endroict
non pas possible si grande comme on la faisoit ;
J’antens quant à l’amande et reparation ordonée par
que de moy quy, après vous avoir bésé les mains,
De Chapponay
Monseigneur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.
1572
ont porté trop peu de respect se puyssent vanter
du conseil ont diminué de l’opinion qu’ilz avoint de vous
desirerois bien coume vous ay dit estre mon
ainsi de vellier que [barré : les] ceulx de la [compagnie de]
Monseigneur je ne vous escriptz poinct
dausi grande afection que très humblemant ie me recommande à
de la presante, mais ila changé davis et san
D’Ajazzeto et Scyprien Sardyni en scauroit bien que dire. Lon est aussi
quelques vies. Madamoiselle a
jamais serviteur
landroyt après vous avouer beysé très humblemant les
de mesmes. Toutesfois, il dit avoir heu son congé. De vray,
Vostre très humble allié et serviteur
où je voy quilz se chableullent. Il vous sera bien aise à y respondre. Je
temperer le style desdites responces que l’aigrir, quelque juste
dans une maison là où ce que il en heust ung
les gens d’honneur et bons serviteurs du roy du Daulphiné et
aussi chargé grand nombre dor et dargent. Autre advis
M. Bovier
me tourmente si fort que si Dieu
messeigneurs de Montmorency. Il ny a rien de nouveau ici despuis
prié y mettre fin craignant quil feust trop
presenté mes plus qu’humbles recommandations à votre bonne
est advertie de plusieurs entreprises quon faict sus ladite ville. Jay veu
très bonne vie et longue. De Prunières, ce XXe
de bien vous ne me mandés rien touchant d’havoyr le (los)
comptes de monsieur d’Aubignan. [barré : Je] En cest androit, je
Votre humble serviteur et amy
d’aoust M Vc LXII [sic]
nommé Pierre Doches ; et se retirant à la ville avec ledit
il vous plairra me passer procuration pour recepvoir
Votre très humble et très affectionné
viceneschal de Vallentinois touchant l’appel de ceulx de Loriol
perdre nompas, tant peu[t] diminuer la bone reputation qu’il
Monseignieur, si venet que
Monsieur, vous donner les sienes de toute santé, santé et prosperité de
ayant ausy sa magesté heu esgard quil est comme
Frère à jamais de Simiane
Chauvin d’Avignon qui naguières passa par Grenoble
fachent seiourner quelques jours par chemin
J’en ay conté cent XXXIX qui estoient à l’armée de Lochielly
et qu’il y a parmy eulx de ces brigans et plus seditieux qu’ilz
Hourche
ce que mal aysement se pourroit fère qu’ilz ne feussent advertiz
mon frère de Rosset avec ung sien beaufilz et le
Vostre plus asuré et entierement
lettre après avoir sceu ce que javoys faict pour vous, car je confesse
à sa bone grace.
de Salvaing
a veu arriuer celluy qui diset avoyr veu
dans leurs lougis. Sur ce, je prieray le Createur vous
faire tenyr la lestre qu’escrivés à monsieur de Monbrum. Nous avons icy nouvelles que
Monsieur, je vous escripvis dernierement par monsieur de
il n’en y a pas ung qui se soit reduict, mais perseverans en leur
Je n’ay encores aulcunes novelles de monsieur de Modieu.
seigneurie sera ung jour plus au long advertye.
response on ne luy en avoit plus parlé. La royne me demanda quelles
vie. De Gargas ce IIII Octobre 1572
lautre va toutes les seymeynes à Gordes é pase ycy.
toute ma vie tres humblement priant Dieu,
Votre humble serviteur
Votre très humble serviteur
maison de Vaulnaves, ce Vme doctobre 1572
5e octobre
Laborel
comme aussi faict madame de La Motte. Je prie le createur
les Angletz à La Rochelle. Je ne
des Veniciens, qui est peu
dudit Laval ne ne se trovast enflé le soyr du grand voyage.
de ceste vermine. Nous huguenaultz se astent fort d’aller à la
espées et si doibz permectre aux gentilzhomes de les pourter ordinerement par la ville.
avoyt tué Vimercat, son principal et que par ce
avoyt tué Vimercat, son principal et que par ce
par tout ce ressort à ce matin pour adviser toutz les lieulx,
vouloir contenter de mes très humbles recommandations à leurs bonnes graces, ausquelz
vie. De votre mayson d’Orpierre, ce XI octobre 1572,
de quelque coupe et vaze de la vesselle de Venise. Je
audit sieur Bellièvre sur ce que vous mavez dict quil fera plus
[92B]
sancté que vous desirés et pour ce que je men atende coucher
luy aviés donné [et qu’il ha receu ici], j’antans que cent l[ivres] t[ournois] luy en
Votre très humble et très hobeyssant
daussi bon cueur que je prye Dieu
ne nous esconduyrés sil vous plaict et pour ce bien faict,
Je prie le Créateur vous donner
Monsieur, d’en fère ungne despeche à leurs magestés de bonne
catholics, s’est une beste mal aysée à governer sans presence du
bones gens de Sezane et de Sallabertan, qui sont la moytié
elle n’est poinct en ceste ville.
mectroit en ordre et en bonne deffence pour quatre ou cinq mil francz,
catholize tousjour quelcung. Qu’est tout ce que
et semblablement dudit greffier commissère et de mon chastelain,
bien à propos. De par mes premières, vous donrrai advis
le conte, passant la résination à ung sien nepveu par le moien dudit [barré : segn]
et seront dans cinq jours ici de retour. Je vous
que l’on poursuit après, auquel poinct je ne me pourray
vous sera plus aisé et facil là qu’yci.
Depuis, nous avons receu responce de
en vous bones grâces. Me samble ne sera que bon
sans la recharge que me feistes en vostre ditte lettre, mesmes que
cappitaines et le paiement de celles sur le païs, mais c’est
Monseigneur, verrez amplement le tout, qui sera cause que
treuvés bon, qu’il vous plèze nous le mander, nous sommes
ci tous moyens me sont hostés de les tenir en la crainte et
Rochefort, pour lesquelz il feist advancer, comme aux
foy de chrestien et de affectionné serviteur et filz, il i va du patrimoyene
novembre 1572.
faire part de voz nouvelles, et le feray de semblable de mon costé, d’aussi bon
Et en cest endroit, je me recommande de fort bon cœur à votre
maisons et les saccager, en quoy celles de messieurs
besoign de quelques aides pour soubvenir à telz fraiz,
présent, fors prier Dieu
puisse avoir aucune asseurance, néantmoins, le gouverneur qui
Du Villars
[v] Revenant d’Aix, j’ay passé à Gargas et bien peu
de Vaulnavès qu’ilz se sont tousjours gardés de
bons coadjucteurs comme vous monsieur savez trop mieulx.
séans que ne vyenent comme le pasés et les miennes
ceste heure, attendant doncques aultre mellieure
avouer beysé très humblement les mains, je prieray le Créateur
m’en avoit dict, pour m’enquérir que ledit sieur de Saint-Romain
Gargas, le XIe Xembre 1572.
moi car en ce qui est, ie ne emploierai aultre que
m’avés escrit de votre main, je reconnoy bien la grande, entière
fairés bailler, m’en faira telle condition et raisonnable que
envoier le tout. Par monsieur de Maniquet, vous
et longue vie. De Valence, ce trezme decembre 1572.
et aultres foy la jà heu et tenu. Par ainsi, monsieur
vous supplie très humblement que je soye appellé par
[v] que ledit seigneur leurs avoyt envoyé pour essayer de les réduire
que je la quitois et si avois voulounté de
So. de Boczosel
Casoneufve ny sa petite trouppe et ausy mesieurs mes frères qui me
[v] sy ce n’est pour saluer voz bonnes grâces de mes très humbles
et néantmoings, on ne peult
monde, car je crains plus et auroys plus de regret de luy prejudicier
l’une desqueles mondit sieur d’Eveynes a donné à monsieur
vec ceulx de vostre cousté ; et pense bien que ceulx de Pragela sont en partie cause desdits
toutte la bonne volenté qui se peut. Toutesfois, je m’en excusay le mieus
Quoy que nous pregions, mon nepveu et moy, cella
cy-devant. Je suis bien aise que despuis, monsegneur le prince
luy ay peu desnier sa prière mesmement que je me doubte
dégel il aura les boues qui seront aussi fascheuses en ces pays gras.
monsegneur le duc et le roy de Navarre partiront lendemain
fine pregando il Signore iddio gli dia contentezza. Di
[1v°] en obeissance à sa mageste et vostre, ensemble
De Paris, ce IIIe janvier 1573.
Paris, ce 3. Janvier 1573. Vostre humble et hobeyssant
que me suis mis après à poursuivre quelques arrierages
Votre très humble
Dieu,
ces trouppes et imcommoder daultant les ennemys, et ha commancé son entrée [par]
[28v°] en laquelle jay laissé monsieur d’Eveynes votre frère et monsieur
bailher lesdites fermes et despuis le tout vous ranvoyer.
sont avec [barré : Monsegneur] mesdits segneurs. Monsegneur d’Aumale part demain
septe par mes humbles et afeccionés requomandasions
monsieur, heureuse et longue vye, en toute perfection de santé.
aller à La Rochelle, ce qui est cause quil na peu vaquer aus affaires que vous luy
Mandelot
informe, mays ce nest assés, estant asseuré du bon zèle qu’avés à fère observer
Sy vous plest, vous men ferés entemdre voustre
gardantz sont exemptz ; vous asseurant que madite mayson est de plus
liardz. Nous luy avons adverty de tout et luy avons
laysses là où est contenu notre different, le reste nestant
Votre très humble et hobeissant
nont an core ryen payé é l[e]ur fet ne[s]t que paroles
toucha un mot.
Presentement je viens davoir nouvelles que hier au soir à une heure
par ledict de sa magesté
plaisirs lesquelz j’accompliray très volontiers, comme vous estant serviteur très humble.
respondre. Et pour fin de ma lettre je vous
fera service. Il ma dict, et je lay encor dallieurs, quil est bien homme de bien et de
le roy la rachepté des deniers de ses subiectz
de compte faict armés à preuve pour aller à lassault, si tant estoit que le service du
Votre humble et très hobeissant serviteur
St Chamond
recoit de votre bonne grace, me priant de
dire que le commissaire La Magdelène qui ma amené
avoir de voz letres, car monsieur de Chatellart aura
d’Hourches bien tost. Ne pouvant vous dire autre
les lettres venant du camp pour lattente
au descouvert. Nous tenons pour certein quil y a de la
coume pouint et nen pouvés pancer les occasions.
où lon ne la point volu recepvoir et ausi par monsieur de Moneilles
de les faire verifier en Daulphiné, ce sera le plus court.
deslivrer à Bourg en Bresse et à Savonne. Par ainsi ne sera pas de besoing que vous preniez
Votre plus affectionné, parfait et meilleur
Votre très humble et très affectioné
prince dauphin y arriva hier. Aurreste monsieur, monsieur de
de Somières, combien que le bruit soit icy quil fust
vie et longue. De Lauriol, ce dernier de febvrier 1573.
Votre très humble et hobeissante
Par la myenne dernière, vous en escripvoys bien au long de
ledit Charles Brassac et menassé de le faire mourir,
[189 v°] et où y a peu de catolicques que pourroit enardir ceux que
[190 v°] lavoir fait serrer. Je parlai harsoir au capitaine Hieronimo qui me dict
marriz tout le demeurant de noz vies, ce que je ne voldrey
serviteur à jamais
servyteur
dudit Valcluson et par leur commandement
Votre plus humble et affectionné à
ils seroient voluntiers les ministres mais leurs
salpètre ne pouldre sans bonne sertiffiance
heures après mydy 1573. Je vous scrips de sete
et de me faire part de voz nouvelles le plus souvent
l’affaire venoict, je ne passe poinct voz commandementz. Monseigneur le mareschal
et chambre des comptes de Daulphiné verifient les lettres de
y a donné et donnent que
Monsieur vous avez à vous prendre garde
que couste au service du roy la rupture de
estant fort pressé sur sonn ceur et poulmons, a esté
Granges plus près du Rosne et faict venir la compagnie
G. Davanson A[rcheveque] d’Ambrun
qu’on ^ [^ avoit] auparavant nouvelles que ce estoit remise à ce mois.
votredite seigneurie de me favoriser de ladite lettre audit sieur general ausdites fins.
la prandront. Ie ne vous dis rien de messieurs d’Evènes et de
recit au cappitaine Pontilhard pour le vous fère entendre ensemble
il vaut mieux pecher en ceste part, et de reputer possible ce qui est possible.
de ce siège, qui est tout ce que je vous puis escripre. Si en est einsi
celle de madame de Gordes. De Gargas, le VIIe jour de mars 1573.
feray fin par la presente par mes très humbles
à votre volunté, vous priant bien fort
quatre compagnies telles quelles meriteront
n’a point de l’argent. Je leur foys fornir sur talhe ce qui leur
domaige. Parquoy monseigneur, je vous suplie très humblement avoir souvenance de moy.
et longue vye. De Valence ; ce dixieme mars 1573.
G. Davanson A[rcheveque] d’Ambrun.
Rousset
mais ilz veullent avoir la force dans les villes qu’ilz
et acommoder de vivres par estapes suivant le reiglement que j’en ai
pour ne fère entrer en deffiance personne quelconque. Quant ce viendra au rambourcement,
De St Gervès, le XII mars 1573.
De la Rochelle ne de Sancerre je ne scay rien d’avantage
fit entendre que vous aviés fayct passer la compagnie en Daulphiné où
armes parce qu’ilz n’eussent pas heu moyen de vivre au lieu où nous sommes.
pencé que me faict très humblement vous supplier
Mon frère vous presente, et à madame de
vie. De votre maison de Montoyson, ce XVIme de mars
cinq corpz de garde la nuict et faictz faire
de vous donner
vous plaict avoir de moy et vous supplie me commander voz bons plaisirs
Bovoy et ung autre.
à bas, quil vous plaise permectre quilz les fassent conduyre
recommandations
à Loriol et garder que les troupes y estans ne patissent, estant
dire limportence de ce lieu silz advoyent saysy les chasteaux. Vous voyés comme
au roy en responce de celle quil luy a pleu, et à votre majesté mescrire du XVIIIe,
vous asseurer, Madame, et supplier très humblement de croyre que je feray
alherte en attendant descouvrir leurs desseings
et quil a cogneu que je ne le vouloys en rien deffavoriser et que je
et Gappaçoys et en toutes ses montagnes, que il vous y fera service et
de ceste ferniere faulte qu’ilz ont faicte de laisser courir sur vous ; et par ce escris
aureille. [barré : je vous diray en passant ce de quoy il se plaint]
monseigneur, etc ...
et quand il leur plaist, à cause du passage du Rosne quilz ont libre.
dignes de recommandation, avec ce quil vous plaira veoir, jen escriz au roy
transferée soubz leur nom et à eulx payée au lieu desdits secretaires de mondit sieur le prince
en ladite ville luy en escripre et sen plaindre à luy en faire demander justice
Votre humble et obeyssant
avoyt esté fayct par ce quon vous auroit faict entendre
vouldroient ranger amyablement comme je me doubte que pourroient faire ceulx de ce pays
veoir par la copie de la lettre que jescriz au roy ; seullement vous
de la negociation quil leur a pleu commectre au sieur de Virieu que jattendz bien tost
de laquelle ferme se rendent et present votre procureur general, lequel les
qui flanquoyent la muraille par le moyen de deus petites
je vous envoye pour leur bailler, pour leur faire congnoistre combien me sont
particullières, vous leur direz que ceste chose quilz peuvent faire, et leur
mordonner en ce pays, où partie est jà arrivée
recevoir et accepter la grace qui leur est faicte par [barré : votre] ledict de pacification et faict [barré : le]
[brouillon de lettre à Henri (III), roi de Pologne
fauldroit user aultrement. Quant au payement des deux compagnies
accorde et permette à ceulx de ladite religion pretendue
differend se peult vuyder, ce seroyt le plus grand bien
tant de cheval que de pied, de mectre le pid et singerer d’entrer en
deffendu à toutes compaignies, tant de cheval que de pied, de mectre le
païs, navoyent toutesfoiz le moyen
a depuis deux mois donné esperance que recevrions le payement d’ung mois, lequel doit
De Retz laccompagnent en Pollongne. Le roy, de Victry sen est venu à Chaalons
es secondz troubles derniers, luy estant en notre
duperrier
que ayant puisnaguyères accordé de la suspention darmes pour moyenner
St-Restitut : IIIIm pains III p. v. – f : neant
roy mont estimé si inutile à fère service à sa magesté
playse volloir remettre ma dite compagnie à sant homes,
ruyne pour navoyr moyen sans estre
|215 v°] et actendu ladite contrevention et desobeyssance et mesmes que
dencens et suis marry davoyr tant attendu, combien que je
magesté et à nous et destre pugnis et chastiés exempllairemant.
[en travers dans la marge gauche : s’il faisoit hiverner ses gallères audit golfo, dont par ce moyen il auroit grande
prochain. Quant à la continuation de la trefve, encore quelle soit publiée
devant Montz, estoit prisonnier au château d’Anvers, est mort
je ne vous en
Montbrun
Votre humble serviteur obeissant frère et vray amy
envoye [barré : deux] troys pacquetz que jey receu
nest que piassa et le Turc ne perd le temps ce pandant.
autre chose de merite que ce que dessus, je vous baise très humblement les mains et
que jescriz à messieurs
à Alexan et non aultres ; et en sont party le quinziesme daoust.
Votre très humble et très obeisant frère
Truchon
tost. Nous navons encores nules nouveles du retours de monsieur
en brief vous mander toutes autres nouvelles,
quil l’accompagnast iusques à Montpellier, ce quil a faict, non
de le luy mander par le lacquay mesmes de monsieur
où le roy doibt ordonner et voir ses finances, où vous ne
sur pied de façon que, mayant assuré monsieur de Laval que vous le voulliez, je ne seulx
exprès pour le supplier de me donner lettres
alé voueyr, mès parce quil me faulct trover demeyn à Varces pour
vous baisant bien humblement la main, je prie Dieu vous
Jeusse envoyé
estre plus mal tracté oultre ce quil nous
Vostre très humble et obeissant
bernard grangier, florys durand et pie[rre]
ce que je vous puis escripre, après
vin blanc dudit Lumbin et de La Terrasse. Je
une maison en ceste ville pour se faire penser
à sa bonne volonté si je ne vous leusse escript par les mesmes
vous nouvelles [barré : adv] quelques jours advant votre partement
recoumandations à vous bones graces et de mon nepveu,
que avons faist. Monsieur de St-Sernin
filles. [barré : Je] Jespère que ma fille de La Coste sera grosse, Dieu eydant,
cas passé lon les aye à remectre. Il y a quelques ungs
pour obtenir lanate ; aussi bien comme monsieur de Suze
Michel bresson
v iolences de lan 1563 ou 1564.
fils [barré : adjouxte encor à sa response et ce que vous dictes]
Je ne veux ommettre à vous dire, monseigneur, quil semble audit sieur de Brie pour quelque
la chair quest sept solz VII s.
pouvres supplians prieront Dieu comme ilz font journellement
de Gordes pour donner advis si elle se debvoit permectre, mais je nay pas vollu
de janvier mil cinq cens soixante
concerne la monstre de la compagnie de monseigneur de Nemours
Votre très humble serviteur
Sceu si monsegneur le prince daulphin est arrivé en ceste ville.
eulx à laquelle ilz neussent rien gaignié. Jay seu comme messieurs de
religieuse quil vous pleust me scrire de Saint Marcellin, mais je ne en ay
De simienne
par mes très humbles, priant Dieu
que ceux de ladite Rochelle ayent fait punition des autheurs, je veoy bien
vous ayantz presenté noz très humbles recommandations, nous prions
monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.
general à la revoccation des vacations octroyées à cause quil y en a que
je vous puis asseurer que j’en eusse faict tout aultant. J’avoys desià commandé
de luy, je luy feray entendre des affaires.
despeche. Je me recommande très humblement à votre bone
Votre très humble allié et
hyer une letre de monsieur le vicomte son filz de La Tour
supplyé me commander votre vouloyr pour icelluy
que ce fut la principalle ouverture de parvenyr à son entreprise [barré : avec] en donnant sa lieutenance au sieur
de quelle negligence en ce faict on nous pourroit imputer.
pour limportance dudit chasteau, en presences dudit maître
De ma main :
mesme, un corps de satin rayé dor faict à lespaignolle.
et quelques aultres semblables particullaritez que je delaisse
et de bon cueur et prie Dieu de vous donner
pour janvier ; et crois que sils scavoint que la votre heut
Votre plus qu’humble serviteur
à Serres cest tout esvantée et là [barré : font] fault retourner
despuys le moys de may dernier, tellement
Vostre très humble et obeyssant
pour dix escus pour nestre cogneus ny assurés ; et nous fist on responce
serviteur Jehan de brunel
par la sappe, ce dessus dessoubz, pourveu quon
monsieur vous donner ce que bien desirés. A la Bastie
bonne souvenance que avés deulx.
de retour layant contremandé le roy pour quelques nouvelles
plus long discours et vous dyray comme estant à Lion, je trouvey la
faulte vous advertir, monseigneur, comme
[une ligne illisible]
Sainct Saturnin que je poursuyvrois aussi à son proffit ; et si autre que
[144 v°] Je ne suis pour estre et de race de rantiers et chastelens
au nom de messieurs de la court dont je vous envoye une copie.
Curebource les a visité et ma dict que lesdits chateaulx ne se
ou fourrés de peau de lieuvre, et prins leur modelle
Bourgel
ne povons sperer que estre pirement traictez. Lon nous
de gens darmes, et nay jamais sceu tant faire que
d’Annières, envers lesquelles elle se sente grandement
vous trovés maulvaises ses desobeissances et les
vous trovés maulvaises ses desobeissances et les
dentre eux se sont fait ouyr que si lon [barré : roy]
sieur de Pressins, le quel a volu cy devant que il
pandan que je serey an afères avec heus pour ni resevoyr plus de
Trève et que vous enchargates à mondit filz sil ne retornoit à vous dans
jay espoir, finie la trefve et advant quilz ayent loisir
Dans la marge gauche, en travers :
Jay les lettres de Cot expediées pour les III m[ille] l. ts que
[196 v°] ceste ville, laquelle aiant veue, macourdarent de me fornir
Vostre très humble filz et affectionné serviteur
monsegneur, en prosperité, vie longue. De Brianson,
[208 v°] Et en ce faisant, notredite communaulté et nous
continue et puys set convertie an doble tierse et est aut jourduy
et vous remercie humblement de la faveur que
[début de la réponse de M. de Gordes, marge gauche, puis sous la dernière ligne de la lettre :]
monseigneur, etc. Du Montelymar, le XXVe de fevrier 1574.
pour le present, je finiray ceste par mes humbles et affectionnées
De simienne
monseigneur, vous conserver en très longue et heureuse vie.
à sy grand nombre que cest ung plaisir et faict grand
de rouge se debvoit presenter à la porte d’Embrun pour faire l’execution
Lyon, ce XIIIIme febvrier 1574
dendoulles et le tiers de cervelatz pour dire adieu
dit communement quavant de juger il faut ouyr partie
Jey veu ce matin ma damoyselle de Sainct Prie
Saincturion [Centurion]. Quant aus vivres que vous vouldrés reserver pour jouer le gros jeu en temps de necessité,
jamais volu rendre les sac et
et ensuyvront vous comandemens comme vous
bonté et [barré : de] bonne volunté me fera mettre fin à la presente, après
lexercise de la relligion, ilz ne prendront poinct la paix pour
serviteur à jameys
tirant à Enconne à une heure de neuf du soyr. Il y a icy ung mareschal de lougis de la compagnye de monsieur le mareschal de Damville, quest en pouste, qui ne cest hosé hazarder de passer, daultant quil dit estre chargé
très longue et heureuse vie. De Grenoble, ce 18 febvrier 1574.
pour laqueulle lons vous ha escript par le sieur de
caiers que monsieur de Chatellard a dressés sur
offres quil nous a esté possible, tant pour le deveoir que
monseigneur, vous donner en très bone santé très longue et
par escript le dit Besson montoit plus de V c[ents] l. ts.
serviteur g de portes.
[303 v°] dudit Pègue. Il vous pleut aussy ordonner par vostre
que pour me recommander très humblemant à votre bonne grace, priant
premier œuvre quil aura redigé par escript et au premier
monsieur le marechal
monsieur vous tenir en sa garde. Du chasteau de Graine, ce 24e
Pierre Arnoul
il vous plairra aussi commander aulx consulz des aides de ceste [ville]
ayder se tenir prestz pour nous secourir au bessoing auquel
serviteurs. Le viguier, consulz et
pour mon affaire, par ce que je la
et tout incontynent satysfet au coumandement dycelle
mais je actandrey quelque chose plus veritable et daigne
De simiane
de Gordes qui a fait très sagement d’avoir gaigné le devant.
et heureuse vie. De Paris, ce XXIIe juin 1572.
à Dijon si on peut avoir loisir, monsieur d’Hourche
festin. Toutesfoys, il me samble que monsieur de Guise ne s’en est point mêlé.
deniers, mais ont esté mis à fondz, ouy d’une grande
bonne grâce, et prions Dieu qu’il vous doint en toute
Je croy que monsieur d’Evènes voudra un peu laisser
Encore priant le Créateur
croyre qu’il y aura tost fin. Sur ce, Monseigneur,
Créateur
de son voiage d’Angleterre avec tous messieurs ses frères.
voleu congnoistre son bien, Dieu luy en donne
demain au devant. Le mareschal de lougis dudit roy de Navvarre a demandé lougis à la reyne
mieulx à danser et vous en advertyr par le
nouvelles qu’ilz portèrent, c’estoit la prinse de Castel-
à la court et à Paris. Et je prye Dieu que vous doint sa
émoction. Les nopces du filz de monsieur de
[v°] n’a esté à autre que pour se garder s’il estoit assailly, voiant tout ses voisins armer au tour de luy
maistresses de leurs murailles et portes. Voz petitz
de Valentinoys pour le faict des lettres de marque et contenter
quil faut que la royne soit à Fonteneblau pour la my aoust
d’Ast, qu’est tout ce que vous puis escrire à présent,
Monsieur, s’il vous plait la présente
et que ce pendant, je voulois estre adverty dudit messire Jean Bouvier,
daultant que les vivres qui restent
Monsieur, très bonne santé, longue et heureuse vye. De
venyr faire l’hiver en ce païs. Vostre frère, monsieur de Cabanes,
Monsieur à tous très bone, longue, heureuse et contente vie,
ma part pour la tenir à Rome sy vous plaist y pourvoir. Monsieur de
point de la parolle quil a donnée à monsieur de La
luy plait mes semblables recommandations à
lequel Julles Centurion m’a dict que sa companie
main à l’espée et ledit Brunat semblablement,
Madame de Gordes é luy prye qu’elle bèse vous petys
Baldoin
le propoz qu’il luy tint suivant voz lettres du Ve, luy feroit
[v°] qu’il en trouveroit deux mil deux cens escuz, que me
et est patiant à son mal. Monsieur de Mandelot luy
à nos voysins, ou bien que c’est une bouttade françoyse plus tost finie
sil vous plaict descripre audit baillif de Chastelard
doresnavant toutes choses nomées de bon ordre avecque
le roy avoyt envoyé mon nepveu monsieur
si est ce que pour estre venu de Milan ung
Majesté. L’on ne peult scavouer car pour
les mains, je prieray le Createur
Laval
presse et pance ne men scauroit (souvenir pour
Clément Faure
et que ne soyons surchargés et que
humblement à votre bonne [grace], priant Nostre Seig[n]eur vous donner
advertir de la plaincte contre vous et vous donner
Vostre très humble filz et très hobeyssant
très obéissant frère
jour de julhet mil Vc LXXXII
De Simiane
recommandons très humblement à vostre bonne grace, priant
dame la contesse sa fame ny vient jusques à la fin de ce moys
escrit de Lyon du XXVIIe, la maladie de monsieur
à vostre bonne grace, priant le Createur,
bien est vray que l’on dict que ledit sieur de Genlys
la court, car quant au banissemant et autres
prie le Créateur vous doner,
De Paris, ce Ve aoust 1572
Vostre très humble et affectionné serviteur
d’avoir peu alterer aulcune chose en la doulceur et
sur son recit avec lequel iay longuement parlé despuis ;
intension au plustot remetre à monseigneur le chevalier
monseigneur le prince et aultres que doibvent
des affères par lesquelx suys venu
vostre bonne grace, priant Dieu quil vous doint
va à ses iournées. Il pansoit aller an poste, il dit
fort après les moyens du rachapt du Dommeyne. Monsieur de Belmont,
tost serré son blé. De son labourage,
Yvonet
mains, je prieray le Createur
il en avoit deux, et est de Lagni près de Paris,
G d’Avanson, arch. D’Ambrun
croy quilz cuydent avoyr melleur accez prez de leurs maiestez quilz
occasion que vous puissiés avoir de vous resentir, ayant esgard que cela
que fe[u]st bien blessé. Incontinant, feist fère
plusieurs de ceste court se treuvent scandalisés de voir à present
que ledit Dom Jan estoit party de Messine avecque son armée
ni met la main, mes jours seront
mes dernières que jaie sceu, qui me fera finer cesteci
long pour luy. Lors, il ma dict que despuys
grace, je prie le Createur
lettres de Rome du XXVme, je ne scay si de juin ou juillet, par lesquelles
aoust 1572
du roy et permition de povoyr retenir, car il en y a de plus proches
presenteray mes très humbles recommandations à voz bones
F de Boffin
Vostre serviteur bien humble
oyseau, treuvat le maistre d’hostel de monsieur de Suze qui
et contraindre que soye en forme afin quilz nayent ocasion
serviteur.
et assignation personnelle à luy baliée. Ledit sieur de Fiançays
a pleu à sa magesté prendre de nous, qui nous est plus chère
falit enployer quelques-einx, je vous
Grenoble, ce premier 7bre 1572
il dit estranger. Monsieur de La Roche, notre frère
Je ne say sy par si devant, ie vous ay escript
vous debviés acheminer. Monsieur le mareschal
ne labandonnera et est en ses termes avec
et cinq galliasses, lesquelles galliasses estoient fort
craignent. Je vous avois mandé ces jours passez comme
Comme les catoulizés de ceste ville faisoyent ladite guarde, ce que je leurs avoys accordé pour les considérations sus
pour gaigner Engrongne et retorneroyent au bout de quelque
cappitaine La Girodière, lequel de tout temps est
meileur amy
que je nay rien faict que ce que je vous debvoys, vous estant
fère la cappittulation à rendre Montz et
donner,
ceus de Nismes veullent faire les foulz. J’auseroys croyre qu’ilz ne s’opiniastreront
Colombat et vous mandés des lettres venant de la part
opiniatrise premiere, bravent encores, sinon de faict, à tout le
Quant à l’aultre poinct de votre lettre concernant le
novelles j’avoys de Montbrun. Je luy ramenteus ce que vous en
Votre très humble et très obeissant frère
[Marge gauche, en travers : Je me suys falhye : ylya IIIIII c[ent]
Monsegnieur, vous donner en toute prosperité et sancté
G Deportes
Rousset
Votre très humble et au
Votre très humble et très obeissant serviteur
vous donner
le croys pas, mès je croys qui le font
vraysemblable, que ils vouldront demeurer par dela que autrement ; et mesmes
J’ay tousjours heu spérence en Dieu qu’il recepvroyt bon visage de
messe, et croys que devant que soyt huict, il n’y aura pas
S’il est trouvé bon par vous, je le feray faire de mesmes aux circonvoysins, car cela serviroyt
moyen la pension reservée estoyt bien egarée ou perdue.
moyen la pension reservée estoyt bien egarée ou perdue.
premierement de se bien guarder et pour me mander
je nay peu escripre pour rayson quest cy dessus
vostre bien humble à vous faire service
vous en enverrè votre part.
avec trois chevaulx à la suitte de monsieur le mareschal quil ne
ce que j’avoys promis au capitaine Bernard fère, qui a esté plus
à La Coste et que je nay loisir escripre à monsieur de St
restent seulement. Si vous puis-je assurer quil
serviteur
Monsieur vous donner en santé, heureuse et longue vie. De
nous et eulx prierons et prions Dieu vous donner
Monsieur avec les siennes très saintes, très bonne, longue
ancre leur remo[n]strent que est ung lieu de frontière
magistrat, mesmes qu’il semble estre de l’intention du roy, par ses dernières
figue et moytié raisin, comme leurs actions en feirent
Le porteur raporte à madame la comtesse sa
ayant la ville de Mentolles close tout joingnant. L’aultre fort
vous puys escripre par le présent, vous
et mesmes à monsieur de Virieu, qui en est rapporteur, pour en bien
de ce que l’ons m’aura respondu. Vous aurés, meshui,
feu seigneur qui en avoyt heu le placé au dernier voiaige qu’il fist
ay escript que mon nepveu et moy ne serons de
pas résouldre aisément, mesme que j’ay sceu que mon frère
Clausonne, qui ne veut entrer
luy escripre ung mot par votre première dépêche.
je suys seur qu’estant vous par deça vous en concerteriés et
pour mander en Languedoc. Dieu veulhe que vous n’en aiés
ne ferons ceste plus longue fors que pour vous supplier
en espérance vous en randre bon conte. Ceulx de Mirabeau
hobéissance que ung subget doibt avoyr à son seigneur.
autres, quelque centaine d’escus qui luy ont esté renvoyés, pour
et bien largement de nostre substance. Le bien que vous nous ferés, Dieu le
Votre très humble et obéissant
cœur que je me recommande à votre bonne grâce, priant Dieu vous donner,
bonne grâce et prye Dieu vous donner la sienne, acompaignée de longue
les présidentz debvoint estre des premiers. Tout le
[v] car il nous seroit impossible sans ce les pouvoir
Monseigneur, vous tenyr en santé
y est pourra s’y prendre garde ung petit. Si j’en puis descouvrir
Il vous plaira par le retour de mon laquaiz me donner advis
aresté. Madamoiselle de Cazeneufve me feist la
garde se deulent fort de la cottizasion
Au surplus, monsieur de La Coste et moy adcistons
ne me faut doner aucasyon de me faché. Je çay
occasion, après vous avoir présenté mes très humbles
monseigneur vous donner en parfaicte satté, joyeuse et
estoit devenu. Mais c’estoit en temps qu’il estoit desja bien
Votre mère,
Dieu qui disposera de moi comme bon luy
et fraternelle amitié que vous m’avés tousjour portée ; et
[v] je pourray m’en contanter si je suis frustrer de mon espé-
aurés heu de nous letres et sceu de nous nouvelles
Votre très humble et
Mazet, comme vicaire en l’absence dudit sieur d’Aiguebelle,
devant vous à leur présence et s’il ly à faulte en faict
en l’obéissance de sa magesté, de quoy chacun espéroit quelque
l’eslogner, l’ayant assuré que non, me pressa de
garde vous pouvoir dire aulcune chose de ce que vous touche ou prive à mon
recommandations comme aussy faict ma femme,
faillir de si prendre bien garde.
qu’à moy mesmes, de sorte que j’ay fait une recharge à monseigneur de
de Laval. Illuy aura de surplus sus nostre charrete une
remuemens de cedit cousté, mais comme j’ay désja dict, je suis résolu soubdain estre guéry d’y
qu’il me fut possible.
n’augmentera en rien mes despances. Je suis
vous aye enfin accordé la chastelenie de Grane, après avoir
fort que le conseil en soyt désia prins entre eux deux. J’en
[v] Je vous envoye la copie d’une prétendue association que les huguenots
des Roys. Mon opinion est que mesdits sieurs de Nevers et de Tavannes
Loriolo, il di 2 agosto 1572.
de messeigneurs du parlement et du tout ceux
Votre très humble serviteur
serviteur J de Chapponay
de pansion de mille l[ivres] t[ournois] que le roy m’avoyt donné
et obeissant serviteur
monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison
ung bourc nommé Couvisson quil ha prins sans aulcune resistance, hors
de Laval votre fils, feray fin à la presente après avoyr supplié
Je vous supplie me faire entendre si votre plaisir est
aller après ; monseigneur de Longueville les attend ; il y a long temps
de bien bonnt ceur à votre bonne grace et
D’Avignon, le IIIe de janvier 1573.
escripviez.
la justice et rendre à chacun son debvoir ; et du desir que aurés au solagement
voullenté pour fère chatier seus qui louront
d’importance que piece de ceulx là et plus forte de beaucoup que Falhens et
envoyé les arrestz. Il le contraignent aussi à entretenir
que chose bien menue ne meritant que payemant, commant
serviteur
^ [fol 100v°] pour de là aprés la monstre faite,
é [avanchoges ?] an tout vous avyserés au mylheur.
de nuict, ceulx qui estoyent dans le château de Caulvisson se sont renduz
Monseigneur, je prieray le Createur vous donner en parfaicte santé, très longue et
supplierey me comander voz bonnes volontés ausquelles
bonne volunté et en somme tel que vous en tirerés bon service es affères que vous avés par deça.
abitans dudit Vif à condition de le pouvoir
roy le requierat. Notre Seigneur pourvoyra à tout sil luy plaist, auquel je supplye vous
Andrieu De Exea viseneschal
vous tesmoigner la declaration quil m’a cydevant
lartillerie de Lion, na peu recouvrer en passant quelques
assés de moien nous les adresser comme nous fairons
chose, je menvois enquores recomander très humblement
où vous en pouvez estre.
defiance entre ceulx de la vile et les soldats
Bien samble il quilz aient faute des balles
a la garde. Il ma dit ne men avoir volu presser pour le mettre
Je presente mes très humbles recommandations à votre bonne
la peyne en escripre d’avantaige audit gouverneur de Montmeillan. Et pour la fin de ma
amy
Serviteur
Chastellart ma escript quil est après à avoir les provisions
prins mardy dernier par assault toutesfois, je ne
Monsieur tout ce porte bien à Sainct Gervays. Madame
Anne de Serre
ce qui en avoit este passé. Monsieur de Candalle est
le tout contre la tresfve.
ne demandent quun remuemant de se seisir de telz lieux,
que prenant il y eust jeudi huict jours de messieurs le garde des
pour chose du monde et craignant vous estre ennuieulx
Michel Allemand filz de
Montoyson.
Clapye
vous faire servisse
forces ne sont egales à la volunté.]
et asseurance de ceulx que le recoyvent pour le service
fasson pour ne ressevoyr vosdits paquetz que
que vous pourrez. En cest end[roi]t je me vays recommender
a changé sa batterie en pretenten qu’il feust donner hier lassault. Incontinant que je apprendray quelque chose de nouveau je ne fauldrey vous en
monsieur d’Evènes pour Jaunage, qu’ilz verifient bien les votres après
tels effrayez reprendront asseurance ;
de la ville de Romans.
l’armée conduicte par monsieur l’amiral et
hors des affères de ce monde, donnt sommes fort dolens,
du seigneur Sainturion en ce lieu de Lauriol hoù
C’est où je feray fin par mes très humbles recommandations
Et combien que mondit frère m’aie par plusieurs fois dict et despuis escript dudit
Laval encores que i’aie sceu du dousiesme du passé qu’ilz ce
aultres choses que ne sont cy expeciffier. Monsieur
Encor vous dirai je là dessus que naguères passa par icy le sieur Andrea de Biraghi
me recommendant bien affectueuzement à votre bonne grace, je prieray
Vostre mère.
et obligé recommandations à votre bonne
nous voulloir ordonner quelque mention
de veoir, et seroye très aise destre
est nessessayre, les voyant sy volonteers au service et sy affectionés
Vostre très humble et
[brouillon de la réponse de M. de Gordes]
Votre très humble
tiennent pour quelque temps et encor dans Angoulesme
faict iusques à tant qu’ilz sont en ceste armée. Et me mandez par
votre ordonnance en decidera. Je ne scai si vous trouverés mauvais que par
Votre très humble e[t] très obeissant
que par mes precedentes. Et sur ce, après mes très humbles recommandations à votre
elle estoyt tenant les chemyns et que je ne scavoys rien de larrivée
J’ey faict mettre dans les prisons une douzaine des principaulx et muttins
monsieur croyre que je l’ay plus tost faict par ignorence
Gordes, ses humbles recommandations, comme aussi je fais
1573
bonne pat[r]oulhe despuis neufz heures jusques
Monsieur, longue et contente vie.
comme à celuy qui porte autant de volonté et affecion à votre très humble
par eau et ilz trouveront des batteaulx à Lyon avec des
de ce solicité par monsieur de Rousset, attendant dheure à
les affayres vont de ce costé. [barré : los] En aulcugne des viles lons ne veult ressevoyr monsieur
aussi avoir pitié des morttes payes de ce pays, attendu le resfuz que oultre [barré : vosdits]
tout mon possible pour le repos et conservaton de ceste province et obvier
le cognoys homme voluntayre et de service ; mays je vous suplie
ne sache aucunz en ses endroytz là quy en aye mieulx les moyens ;
bonne lettre a celluy qui y est de la part dudit prince, l’advisant en somme que si
Sire, etc ...
Monsieur d'Ambrun assemble communes et autres forces quil peult pour
et entendre du sieur de Catinel, aussi conseiller de ladite cour, son gendre, et ce que vous
[88v° : blanc]
et luy donner sur les doibtz bien vertement sil refuse de vous satisfaire
serviteur Guilhaume Gilbert
que ne pourrions nous accorder. Je vous suplie
et se rendre les plus mal aysez à ferrer. Mais dautant, sire, que me tenant ainsi le plus
diray que le cappitaine Areret commence à se bien porter, et
de retour devers monsieur le marechal Dampville, pour sen aller trouver les
voyt dilligemment et après le pris et imposition dudit sel se font
pièces de campagne, les echeles furent dressées et y [barré : fust] fit
agreables les services quilz me font près de vous et les admonester de continuer
en donnerez le moyen les asseurant que je recepvray tousiours benignement
et le reste bien proche
entendre le surplus de lintention de voz majestez ; mais je ne scay comment ils sy vouldront
[barré : Monseigneur]
de gens darmes qui ont servy près de vous, je vous ay mandé que
demeurer es villes quilz tiennent sans y
que [barré : adve] scauroyt advenir à ce pouvre païs que est tellement
votredit gouvernement sans premierement vous en avoir adverty, affin que le
pied et singerer d’entrer en votre dit gouvernement sans premierement vous en
de fournir à ladite sommes de deniers
provenir de la recepte generalle de Thoulouze que navons jusques icy veu et parce moyen
en Champagne, attendant le retour des roynes et autres qui sont allez jusques
service au devant de Sainct-Jehan-d’Angelly, ny
il fauldroit supplyer de scavoir
une passiffication suyvant le dernyer edict. Il ny a nul doubte
Suze : IIIIm p. III p. v.
que me vouloyent fère mourir de fain, ce qui met sy
car à moyndre nombre ne povons rien faire qui valhe ne nous
payés leur pouvoyr fornir advivres ne
journellement ilz assemblent et appellent en leurs conseilz
cuydoys questant adverty par votre home auquel javoys vidé
Donné soubz le seing et le scel de noz armes etc ...
commodité. Et voylà le peu de fiance que lon peult prendre aulx traittez
es diocèses de Montpellier, Nismes et Uzès et es pays de Viverays
feray par ceste
St Alban
A Turin, ce dernier de decembre 1573. Prins à janvier
avec XI puijons quon ma apporté de
Voila ce que je puys vous escrire sur les nouvelles qui se
supplie le Createur vous donner
de la court ausquelz vous
Quant à Beaulmont, y ny a jamais esté lougez que deux gensdarmes
Francois de simienne
de Moves. Ses chevaus qui ont esté jusques icy [mot barré] à car
et prierey surce le Createur
que je ne soys asseuré quil n’eut ceste mesme bonne volunté, mais
d’Ourches qui lavoit pourté après le partement de mon
serés oblié. Jay meployé du temps et de largent à faire
[v] que luy respondre, sinon que luy offrir tout ce quy estoict de mon moien et priant
de faveur. Sil ce presente autre occasion de
acorder les vendangess et auci que je me suys mal trové de ma
voulloir donner
à Pierre, laqueys,
faict entendre quil nest possible
Serviteur
Saige
avoir prié le Createur
ferey porter des bavasses que mandés que
an allienné parce, quencores que je ne
termes quil me tint, ce que je masseure quil executeroit plus volontiers
me fera finir ceste en suppliant Notre Segneur
vois prier vous donner
fust bien tormanté de la colique hier.
le quel je supplie vous doner
de ceulx que par nous sont reprins sur la contrevention au
se promect davoir celle de Vinières. Et à ses
Vous aurés entendu de la blesseure de
dict an demeurant sec et ouvertement que ses principaux
consyderation et que luy et moy reservons à vous dire un jour comme il ne sera que à propoz
de Bourville, Arbergier vichatelain, Fevre consul dudit
pour votre noble estat et seigneurie, que Dieu vous veullent
lever les provisions sur les decretz et response de ladite requête, actendant que sur le cayer
et quatorze
et de la votre, et votre particulier pour lequieul me demande
So de boczosel
On lattendoit à la court il y a desia deux jours. Je vous baise
Gap vous ont faict depeche par laquelle je croy quilz se veulent
rien entendu et ne cognoit-on yci aulcun banquier de Lyon nommé monsieur
monseigneur, vous donner en bonne santé, longue et
deçà quil y aura bien affère que les huguenots ne les princes et peuples
Dieu,
De Poissy, ce XXXe janvier 1574
concernent quelques princes, mais monsieur de Limoges ma dit que [barré : je] luy
aux martinetz de Rives des ostiz tranchans exprès pour coupper la bricque du château et
Monsegneur, je receux dernierement des lettres de monsieur
grace, priant Dieu quil vous douint
Serviteur G.davanson Archevêque]
du Pin, par laquelle il luy escripvoyt que le commissère estoyt
toute ma vie acomplir daussy bon cueur que
de Mombrun, et que par ce moyen, ilz demourdroyent de la meffiance en laquelle, sans occasion, ilz ce
Nous ne pouvons dire autre chose, si ce nest que telle est
Jehan Garnaud et de François Rollet, soldat et des susdits
Vous scavés, monsieur, que cest des gens de cheval de ce temps, mal
Or y avoyt il partaige de bal partaige du je[u] des
vous toucher en ceste consideration, mais si je navoye opinion quilz
monsieur, en bonne santé heureuse et longue vye. D'Avignon, le
fait monstre pour ung quartier de lannée passée, que
P Gratet
à la fonte et voicy la quatriesme foys. Ilz se fortiffent
que ladite ville nen peult plus et si nous
serviteur Guilh[aum]e eme
quilz nauzeroient les recepvoir sans la permission dudict Bolut. Cependant,
y aille fort de mil ou douze cens homes que
Neuve, ce VIIe febvrier 1574.
Votre humble et obeyssant serviteur
que lons ha heu de Languedoc et de beaucop dautres
monstre de la compaignie de monseigneur de Nemours faicte [barré : et la] qui
somes deliberés fère de tous ce que
luy ny tient la mein, il lerra perdre les pentions que sont au proffit
ains le lieutenant de roy en Ytallie contre le duc
peulvent gardé à sy petit nombre de soldatz comme il
sus madame de Saint Marcel. Je vous ay escript cy devant
faict entendre quilz ont quantité deychelles, de boys
cella feut pour vous gens de pied et peu sen ha
honnorée et redebvables. Sil vous plet, me ferés entendre
moyens qu’il a tenus pour vous frustrer de votre
moyens qu’il a tenus pour vous frustrer de votre
venoit jamais afère autre levée, on
maydasse à le degraver de ce que payeroys
telles alarmes que giey resu, que sont la prinsipale cauze
la fin dicelle renvoier les chevaux de monsieur d’Evènes et que
de plus se fortiffier, les oster et chasser de là et leur donner
Il est venu ung gentilhome de monseigneur le roy de Pologne, laiant lessé à la première ville
le roy luy a données sur les parties casuelles de Provence.
troys quarterons de pouldre et six charges de vin, quest bien
à jamays hourche
ce XIIe fevrier 1574.
prieurons Dieu le Createur
le quatorziesme jour, mès elle diminue, de telle fasson que
me faictes, qui nest chose assés ordineyre.
Monsieur le conte
recommandations à votre bonne grace et prie le Createur vous donner
De St Germain en Laye, ce XIIIe febvrier 1574.
mal et grand bien à le veoir, et ceulx de la
[228 v°] de quoy, par commandement de la cour et dudit sieur de La Tivolière, j’advertis
Monsieur, depuis la presente escripte, jay receu le petit pacquet cy encloz de monsieur d’Ambrun quil
à caresme prenant, sy elle veullent des viendes plus
possible le tout estre connu par vous à la verité, il me senble
qui ma comander vous presenter de sa part ses humbles recommandations à votre bonne grace
comme il semble que leurs obstination [barré : sy preparer]vous convyer à y user de prevoyance necessayres,
pacqués quil pourtoyt pour les
povres et loiaulx subjectz. Ce faisant, ilz
vous avoyr asseuré que monsieur de Gargas se porte fort
nabandonner la couleur et le pretexte soubz lequel ilz jouent ceste
Jehan de brunel
de lettres et memoyres de la part de monsieur le mareschal de Danville et de messieurs de Caras, Monperou et Maugiron adressant en cour. il vous plairra me faire responce de ce que je vous ay escrit pour le reguard de la plus value de Jaunaiges.
Votre très humble et très houbeissant
Chatel, mais pour resolution, lons me dit que lons la
les remonstrances des viles et de messieurs des
nous avons tous à luy, que pour le dangier que nous
heureuse vie. A Grenoble, ce XXIe fevrier 1574.
[barré : que] oultre son ordinère. Marcelin, qui est ici
appoinctement soixante livres et vingt charges de boys.
le Createur vous tenir,
jour, la vous envoyeroy. Despuys que lenemy a heu layssé
ma escrit quil la
Votre très humble serviteur
fevrier 1574.
me fournir admonitions de guerre pour metre dans le château, vous
nous tumbons dheure à aultre. Il seroict bien bon den
gouverneur de Tullete.
balheray à celuy qui de votre part
quand au fet de mestre Jacques Dolan et d’Etienne
d’estre escripte à vostre seigneurie ; et en actandant ce bien,
Nous avons piéça la nouvelle de la prinse de Mons et Valenciennes
vostre très humble serviteur
pour en avoir lettres particulières en leur matière au premier
Ilz ont eu de fort beau présans du roy. Ilz sont partis ce jourd’huy au matin,
richesse d’argent, d’espiceries et autres biens que plusieurs marchandz
prospérité, longue vie. De Frybourg, ce XXVIIIe de
passer la véhémence de ces chaleurs à cause de sa
Monseigneur, vous voulloir donner en bonne santé
ayant présenté mes très humbles recommandations
Monseigneur, vous donner très heureuse et
On pense qu’il est l’heure que Mons en Haynaut est assiegé
un plus grand et le face plus advisé.
mère du roy pour trois mille chevaus. Il cest accompaigné pour venyr en ceste court de toutz ces
premier bien au long, qui me gardera vous
nove en Esclavonie par l’armée de la Ligue où l’on
grâce accompaignée de longue et contente vye. Je me
Chassenaige et de madamoyselle de Suze
et qu’il n’est tenu ny obligé de rendre compte à personne de ses desseings ny voluntez. Brief,
escholiers se portent fort bien comme faict aussi monsieur
voz Daulfinoys selon l’intention du roy ; et parce qu’il y a quatorze
pour raison de sa groisse. Pour ceste cause, ilz aseurent les
priant le Créateur,
servira ausdits supplians d’information
dont le lendemain, je receu lettres esquelles estoient escriptes les parolles
en ce lieu nous deffauldrons au Bourg
Lyon, le XVIIme juillet 1572
n’est encores guéri de sa jambe. L’on ha grande sperence
avec les siennes très sainctes et l’acomplissement des promesses
Riez y a mandé novelle information qu’il est allé faire en
Coste. Si madamoyselle ne fait cest achept ou bien le fai-
sa bone grâce
peut avoir receu de ce jour argent et qu’elle
ce que voyant, quelques soldatz ses voysins, enrollés
aufans pour la [barré : morde] mour de moy. Je me recommande
De Montens, ce XXI juillet 1572
entendre les novelles que l’on avoit de l’estat dudit sieur Truchon
garda d’en parler plus advant, mais trouvis meilleur
prestat sa litière dans laquelle il ce portat fort
que commencée. Si scay-je toutesfoys de bien bon lieu qu’il avoit esté
par ce pourteur, je luy feray tenir la lettre ; et si
la responce de quoy jespère mon congé après
d’Ourche de vers monsieur et madame de Lorreyne ;
denombrement fort particulier des forces du
salver sa vye, on advance beaucop de choses
Monseigneur vous donner en parfaicte santté, longue et hereuze
nul) part quelle qui moccasionat de labandonner
soyons traités comme ceulx qui, de tout leur
en perfeicte santé lon[gue et heureuse vie]. De Grenoble, ce
temps pour repoulser touttes calomnies. Il me
à jamays
De Simianne
Vostre humble et très hobeissant
Mon nepveu Gargas est an bonne santé, Dieu
Dieu
Vostre très humble cousin et affectioné serviteur
de Laval à Jaunage. Nous estions bien ebahis de leur
Monsieur, vous donner bonne santé heureuse vie et longue.
avec quelque nombre de gentilzhommes de marque
chozes, je ne puys, et sy ne voudroys, empecher
Monsieur, en très parfecte sancté, très heureuse
Vostre très humble et très obeissant
F d’Avanson, evesque de Grenoble
bonté de votre naturel. Je m’asseure que vous
ce que ma faict communiquer les responses à quelzques
la charge que je tiens de luy, car cella sil [barré : me] luy
entrer en garnison ne obtiennent declarations
par desca, car ne sont que subterfuges
monsieur mon frère, an santé, très heureuse, bonne vie et longue.
quil partira demain avec monsieur de Treucheneu.
procureur du roy en nostre chambre, en a ballé quelques ungs pour raison
on a eu CXXX charges, en a eu moins
Monsegneur vous donner en parfaicte sancté, longue
jeune comme le mien. Il nous a dit les mesmes
Il y a monsieur beaucoup d’archiers et des
naront. Mesmes de ce fet là, il vous demeure.
sera plus agreable à vous principaux amys et desquels en cecy
informations d’après la saizie et viens
ses gentz se hurter contre les lieutenens generaulx du roy et
pour aller trouver celle de la Ligue, en ayant commandement dudit roy, et non dentreprendre encore
de briefve durée. Si madamoiselle voit voit la presente, elle y trouvera
par mes très humbles ercommandations à vous bonnes graces
sa cheute en malladie, il na si longuement
Monseigneur, vous conserver en prospère et très heureuse santé.
on escrit que larmée venitienne avoit pris Castelnovo et mis en pièces
Vostre très humble serviteur
que nous le fauldroyt oblyer à vous faire payer de ceux d’Orange.
graces et de madame de Gordes et mes nepveus et niepce,
Françoys Bovier
le luy ostat ; et pour n’avoir esté adverty du jour
de plus dillayer. Quoy actandant, je prieray Dieu
Sev odoard
s’est chargé de vous fère entendre nostre resolution et
que chose de ce monde. Je remarquey ung traict resultat
seuplye vous sovenir de ung votre servyteur.
Votre humble serviteur
ha beacop de bons amis et seigneurs et ayant
que un noumé Prouvansse, qui est d’Apt, a
Dampville part ce jourd’hui ou demein pour
monsieur de Bonevaux et ne fault doubter de
bien armées : sur checune avoit trois centz hommes de
monsieur le conte de Tende devoit estre mort, toutesfoys,
dittes, me donnoys guarde d’eus de si près qu’ilz ne m’eussent seu faire faus bon, veu la sujection que je
temps, que seroit tousjours à recomencer. Mais ayant
de nostre mayson et qui despuys le commancement
H de Montmorancy
beaucop plus obligé que de ce que jay faict pour tous les bons
que le duc d’Albe est dedans, la vie
Monseigneur, en parfaicte santé très heureuse et
pas qu’ilz n’ayent grande intelligence pour estre secourus en leur besoing. Je m’en
de monsieur de Gargas. Je vous supplie me mander
moins de parolle. La Roche et les autres qui ont la conscience
relaxement de Guillaume Brunat qui avoyt assalhy
aviez escrit au roy du XVIIe septembre, et encor ce que quelzques
Francois de Simiene
escus pystoles, contant X double é IIII cent escus dor soleil
acomplissement de voz bons desirs. De Piarre Latte,
Ayant faict toute diligence de trover quelcung qui alla à Laval et à faulte d’en trover, j’ay envoyé ce paquet au chevaucheur avec deux aultres paquetz, l’ung de monsieur de Mandelot, et l’aultre du Piemont.
beissant serviteur
Chabons
monsieur en bonne santé et prospérité très longue et heureue vye.
pour pouvoir lever tout le monde de la
monsieur, quilz pourront servir pour les creues, par quoy ne fault
leur maj[es]té et de Monseigneur et ay spérence en luy qu’il en repcevra
ung que n’y aille. Que sera par fin, après vous avoir
de plus grand asseurance. J’ay sperance, Monseigneur, de tenir si bien la main aux affaires
Escrivant ce dernier mot, j’ay receu ung paquet de monsieur
Escrivant ce dernier mot, j’ay receu ung paquet de monsieur
les rosles, chascung endroyt soy, des hommes armés et aultres
Villefranche
feroit avec six allant seul par pays.
sage ; et m’a escrit ce mesme jour qu’il me tiendroyt
Andre ny à mon filhs monsieur d'Asnieres, je vous supplierey
n’y a rien d’excesif ni mal à propos, mais
Prunier
Valvignyères, ce seziesme jour doctobre
Monseigneur en très bonne santé longue et très heureuse
et heureuse vye. D’Apt, ce XVIIe doctobre 1572
et de conssequence et que m’en pourvoyant, sy je ne
ordonnances, qu’on n’offense plus persone que par justice ; et combien que ce soyent
tousjours foy ; et c’est pour le temps de la guerre,
requeste appoinctée pour le regard du château et pour les
se feroit à La Sochière, distant dellà troys grandz lieues, où seroyent
présantant mes très humbles, pryant Nostre
informer mesdits segneurs de la cour. Et pour fin, je vous
sceu la prinse de Mons par composition. Les François
à la court ; cela sentend [barré : à present] après le decès de levesque quest à présent
ce voiage, car nous allons pour trois jours
a perdu ung de ses deulx filz. Si je passe oultre et qu’il
en conférance. Toutesfoys, on ne laisse
[v] Nous sommes tous, Dieu grâces, en santé, et n’aurés
résoldriés ensamblement et vous supplie très humblement
[v] l’affaire que pour conserver, sur quoy, comme vous en escript
très humblement que votre bon plaisir soit nous escrire sur le
ont prins ung espion ces jours passés venant delà le
Qu’est l’andret où je prye le Créateur,
n’avoir voulu les susdits lever lesdites compagnies ; et que vous ferait
vous recongnoistra, et nous serons tousjours plus obligés à le supplier et prier
cousin et serviteur, de Simiane
Monsieur de Gordes, en parfaicte santé, longue et heureuse vye. De Beaucaire,
et contente vye. De Gargas, la veille Saint-André 1572.
palaix est mervelieusement irrité et a on faict appréhender
suporter ; et estent ce lieu et chateau en telle seureté,
longue et heureuse vye. De Mens,
quelque chose, je ne fauldray de vous en advertir, comme aussi
de la réception de mes lettres et avec le temps de ce qu’il vous
meilheur chère du monde et ce porte fort bien comme
que ceulx de Crest leur font. Je vous supplie
aux comptes de messieurs de Sault il y a quelques jours
se que je n’y puys porté, Dyeu an soyt loé sy se veut
recommandations, prierey le Créateur,
heureuse vie. De Paris, ce IX décembre 1572.
loing. De là, la royne rentra sur la hayne que le
Pierre de Pontevès.
semblera et ie m’eforcerai de tout mon
d’autant plus suis-je extrememant, et plus que ne vous scaurois
rance, Dieu me donnera pacience et faira la grâce de dire
et comment il a balhé cent lt à monsieur Besson
très obéissant serviteur
ne sachant à qu’il la bailher à homme chanoine plus
ou en dict, que je ens porte la pénitence au double, sy non
chose de bien ; et n’ayant de quoy vous entretenir plus
faire prandre son guidon à mon nepveu de Laval, mais
grand regret, mays vous imputerés cela à la redition des contes du sieur Du
priant Dieu vous donner
[v] Morvillier à ce que me soit au plus tost mandé ce que
tante de douze pié de toute barreure, qui nous
mettre tout le bon ordre qui me sera possible et de chastier ceulx qui sont soubz ma
après à la poursuite d’estre paié de mille
tant tardé à vous en faire response. Le XXe, le secrétaire Bertrand
discorirey plus amplement avec vous dans troys ou quatre
font courir, laquelle il y a grande apparence estre faincte, quand ce
iront premier à Sancerre. De ce jourd’huy, on a sorty de
De vostra eccelenza
qui ont auctorité commander soubz elle saufz les
So. de Boczosel
de mon estat de la chambre montant IIII m[ille] l[ivres] t[ournois].
So. de Boczosel
de Montoyson, ce VIIme de janvyer 1573.
bellistres qui estoyent dans lesglise qui ce sont despuis randu, tenans
le Createur vous donner,
que lon procède contre certains de ladite novelle oppinion,
sur les chemins quon a faict mort en ceste ville monsieur le
suplierey le Createur vous donner,
Votre bon et affectionné à vous aymer et
Votre très humble filz et très obeissant serviteur
de ceste pouvre affligée ville de laquelle quelzques ungz ne sachantz ce quilz demandent
merité. Je ey tount pasifier et pemse que
La Mote et qui devroyt plus demuny. Je vous supplie ne me
et souldoé six souldatz pour la garde et sentinelle
il scait bien quil me deoilt et est chose equitable.
A Guerin
sen aller trover monseigneur le mareschal
[104 v°] Je vous prye me tenyr avertye des novelles de la torpe [= troupe]
et estoyent bien quatre vingt cinq soldatz qui se sont faict et rooller
très heureuse vie. De Vienne, ce XXIIIIe janvier 1573.
jhobeyrey d’aussy bonne volonté que de mesme
Ledit du Bas me prie vous escrire en sa recommendation, mais je le fais principalement sur le raport
plus par cy après aliener ; et par la
donner,
faicte et pource qu’il a estimé que ma prièr[e] pourrait
boulletz de canon qui sont à Vienne, à faulte quil nen
les notres à luy. De nouveau je ne vous puis dire
à vous bonnes graces et prie Dieu vous donner,
Votre très humble
estrangiers. Monsieur de La Noe est tousiours dedans,
Car sen est trouvé quils hont tiré de bois percé pleines de plomb.
au chateau d’If. Jentens que le dit Rogiers en a heu VI c[ent] écus pour le
grace, priant dieu,
lettre, je vous prieray encores une fois, monsieur de Gordes, que je recouvre lesdites deux
H de Montmorancy
Bellievre
necessères pour St Sernin. Je lui escript presantement
le vous ause assurer parce quil na passé courier
la contesse de Grignan les fut yer visiter.
[183 v°] arrivé en ce camp, menant sa compaignie. Despuys deux
Si lon laisse passer tel appoinctement sest daultant
et troubler un repos public et nous permettre aussi advant
seaux et de Morvilliers, il leur demanda que cest qu’il pouvoit
en ces fascheus discours, je finirey ma lettre par mes
feu monsieur de Champs
Ville Frache
Votre humble amy et affectioné serviteur Bochet
[barré : service] du roy. Messieurs les consulz m’avoyent prié de
quatre jours après la datte pour y pourvoyr.
bien affectueusement à votre bonne grace et prier Dieu vous
[215 v°] advertir. Je vous supplierey monseigneur faire barré : employer] prendre quelques soldatz que le
que l’addressée sera rabillée. J’ay veu les deportementz du
et quant à la prière
c’est ainsi pour ne vous entretenir de discours,
sauf la volonté de Dieu, à laquelle il se fault tous
nous raffrachissons le jour et la nuyt aux
à votre bonne grace, priant Dieu,
Chamberi qu’il avoit esté très humble et affectioné serviteur de monsieur le
portoint bien pource que j’ay veu qu’en aviés du quatorsieme.
je vous supplierey très humblement qu’il vous plaise vous
[247v°] qui dict (ainsi que monsieur de Mandelot m’a raconté) que certain ministre de Pragela
le Createur vous donner,
Pierre de Ponteves
grace et vous suppliant, monseigneur,
de boys car celluy qui y estoit les soldatz
soubz ung regiment de monsieur de Laval
que l’ons ne leur porroyt refuser cella et à la peyne que vous
très obeissant serviteur
Capitaine Mestral, j’ey receu votre lettre par Chapponay present porteur et entendu de luy l’occasion
et très obeissant serviteur
et St Jehan d’Angely qu’on n’espère plus rien du parlement
mesme moyen s’il vous plaist de voz nouvelles. Quant à celles que vous
l’avertissement des consulz de l’avis de monsieur le mareschal j’aye chargé
frère et serviteur
bone grace et de madame de Gordes, je prie le Createur
dicele, je vous suplie pour une autre foys se presentant semblable
de ceste ville et les aultres ressarer dans leur maison. Pourquoy il vous
quà volonté de vous desplayre. Je vous tiendrey adverty de
à madite dame. Il vous eust escrit, sans
votre très humble et aubeisant servyteur
au jour, tant alentour des muralhes que
Cest de Lyon, le XVIIe jour de mars
service, priant Dieu
vivres quilz trouveront ou de largent si vous le trouvé
aultre la partie de la cocte des contribuables ausquelz javoys
de Laugières, somme cest ungne confusion.
voz voluntez font les tresoriers de les payer, et principallement de vouloir pour les
à toute eslevation quelque rumeur qui sen face
bien très humblement, monseigneur, croyre que je ne vouldroys estre né
quant à laffection et volunté, je nen diray rien, syre, car elle vous
[71v°] de luy mesmes et sans commandement de son maitre, comme je veux croire, il en use et
garder de passer quelzques gens qui sassemblent en la vallée d'Angrongne
congnoissés mieulx du merite des veufves, cella ma meu de vous supplier très humblement,
[89] [brouillon de lettre à Henri, duc d'Anjou (Henri III]
[91 v°] car tout ainsi que je ne veulx rompre avecques luy, mais bonne voysinance que
très humblement, syre, croyre que sil vous playst fayre
fort, lon demeure en suspend et le pays en bien grande despence. Je supplie très humblement
supplieray très humblement, monseigneur, vous employer en sorte
sieurs de Montbrun et Mirabel; aussi, comme je suys estre contrainct pour la
ez presences de deux conseilliers de votre cour de parlement dudit votre
[marge gauche : le sieur d’Ourches] les cappitaines et soldatz de [barré : quatre] sinc compagnies que javoys bel
comme je vous prye faire de votre part et estre tousjours alerte pour garder
[141 v°] leur requeste et feray faire sur icelle telle provision en justice, quilz
ranger, veu quilz mavoyent promys de my resouldre à ce jourdhuy et ilz me
Sire pour ne vous ennuyer de longue, il vous plerra veoyr
jentendois que les premiers deniers provenans des XXX m(ille] l[ivres], en vertu
mettre garnison comme ientendz quil soit
foule et charge, tant pour lesdits de la nouvele
chemin quilz auront à tenir passant en icelluy, leur soict par vous
avoir adverty, affin que le chemin quilz auront à tenir passant en icelluy,
quest excusation à laquelle les habitans
reduict en sy extreme necessité, que sy monsieur de Gordes ne nous ayt faict soulaiger
à Metz. Monsieur d’Uzès passera de ces jours pour aller trouver monsieur
moings de ses droictz, tellement que à present
qui pourroit avoir tué les
[196 v°] que larivée des forces audit Pèze ne mist en soupson les aultres
Montdragon : VIm p. XVI p. vin
inacostumé que jay esté contraint prendre party et me
bien garder, veu la force de lanemi que nous avons tout
rien prester avant la main, attendu
et assemblées quantité diceulx de ladite nouvelle oppignon,
[217 v°] le faict, eussiés escrit à mondit sieur d’Ambrun peult estre que voz
passez avec ce barbare. Dieu le tienne loing de nous et vous doint
et des Genève, chacune est encore du craincte. Toutesfois, il a esté arresté
autre discours,
Besignan
Montfort
Chesilienne. Jey receu largent des vingt six
passent de par dela. Il ne reste vous dire comme je pars
monsieur, en très parfaicte santé heureuse et longue vie. Des baings
plaira la faire tenir après
et deux archiers. A Chabeul, ny a esté lougé que trois archiers,
Ledict sieur de Pavie est
pentras passèrent à Lisle lundi dernier où monsieur d’Evènes et
monseigneur, vous donner en bonne santé
j’entens qu’il y en y avoit qui voulloient mettre en consideration que ouis
filz. Je mectray poyne de vous faire entretenir en sa
chercher ses deulx jours chez monsieur de Sauve lestat
Dieu quil luy donne autant de satisfation que je men desire, car seur ma foy
vous escrire devant que membarquer,
fièvre par chemin sé jours passés, mès se sera en brief et pour vous
monseigneur en parfaicte santé très heureuse et longue
une peyre de solliers,
mectre en liver tout le bestal
De chapponay
monsegneur, vous avoir en sa sainte
sont icy et des petites avec des cercles
treuve pas ces maladies aultrement contagieuses,
quil ne le presente. Voilla en somme tout ce dont il me chargea que
vous donner
monsieur, en contantement, heureuse et longue vie.
Monsieur le conseiller de La Coste avoit esté
monsieur très bone, longue, heureuse et c[ont]ente vie, avec sa très sainte
reglement de monseigneur d’Ampville que se veulhes coiffer
fins, vous pourrés remonstrer le peu de moyen
Raucoles, lequel jentens estre [barré : f] bien mal
parents et amys ne sont poinct dadvis que lon parle encor
que madite dame laisse à son heritier universel la place de La Terrasse au contraire de
Beaurepaire, Ryveyron consul de Moras et moy, notaire
maintenir et accroistre.
depuis presenté, le païs en doit du tout dechargé. Il ny a poinct encor darrest sur le
votre (barré : hum] bien humble à vous
le surplus des XXX mille Lt que en paiement de ce quy
les mains et prie Dieu,
excuser den recepvoir. Je croy quilz ne savent ce quilz demandent et
Clavel dens votredite lettres et à tant prie le Createur vous donner
heureuse vye. De votre mayson du Says, se 28e janvier.
protestans sen veuillent rendre capables ; il eust esté bon que tels
monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue vie. De Grenoble,
Votre très humble serviteur
baille memoyre de celles quont esté obtenues par personnes dauttre
murailhes de La Coste par le moien desquelz ostitz, on me promectoit dy faire grande
de La Roche par ung homme de ceste ville au quel
monsieur, en parfaicte senté, très bone et longue vie.
d’Ambrun
arrivé pour fère leur monstre et quil navoyt volu
me recommande très humblement à votre bonne
sont layssés saisir et que toutes chouses pacifieroyent en ce dit païs dont sa magesté sus ceste
la volonté du roy, lequel, quant il luy plairra
autres soldats et de moy, notayre et secretaire
armés, mal payés et par consequent mal disposés à servir. Vous ferés,
dames, partie chez monsieur le gouverneur et partie chez
vous tinssent bien adverty de toutes choses et quil vous plaise
IIIIe de febvrier 1574.
nen seroit ordonné que pour janvier, mais il scavent
partons les lieux quilz tienent en toutes les fassons
falloit encores mainlever, seroit nous
les affaire sont si mal proveus audit chasteau que je ne le vous scaurois [escripre]
pour le moingz y seront neccessaires sil nest quil
Votre bien humble serviteur
à jameys jehan de brunel
endrés de ce royaume où lentreprinse de La Rochelle
ma garda de passer plus oultre. Jespère, avec layde de Dieu, ailler fère
passera dung jour à aultre ; et par
de sadite chappelle. Je suis bien marry de la mort dudit messire
de Savoye qui occupoit les terres des marquis de Saluce
y a. Jen parleray aujourdhuy à messieurs du païs pour
par larmurier à la grand ballafre de Vallance la grande
et cordes, lesquelles silz prethendent dresser
falu que naie de tout rien obtenu de ce que deman
si avés receu une lettre de la chastelaine de Granne et si elles
droict ; que finablement, si les vieux fermiers
droict ; que finablement, si les vieux fermiers
adiouxteroit ceste condition quilz ne seroient
audit sieur de Portes qui le luy voudra bien laler
de ma maladie, vous suplian voloyr joiendre toutes ses
je ay creinct que quelcum ne les auta au vallet que le porroit mender,
de telle sorte dessus que pleusieurs men raporteroient
de son roiaume, où il avoit esté honorablement receu. Il cognoit mon nepveu et lha lessé
Il reste quil en puisse faire son profit. Je les luy envoyeray
peu de choses et nest pour tenir longtemps. Par quoy, monseigneur ,
monsegneur, vous avoir et tenir en
je pretans ne lavoyr plus guière . An somme, voylà des afères
rroleur, jey
Votre très humble
novelle opinion penssant avoir aboly tout nont sy
le sieur vibally d’Embrun pour confronter en tant que de besoing ledit Labarre
me prye vous faire tenir seurement.
exquises queles en cherchent, je les ay faict faire sy à
que vous aurés esgard que se souslevement provient de la [barré : neces]
et vous faire entendre quelle na pas heu de fiebvre ses deux jours passés, que la
il me semble quon ne sauroit si tout retourner lequipaige pour ce metre en compaignie quil ne ce faille
appourter là oùt ledit Pierre Arnoux
vous seront tout jour de plus en plus tenus
bien, graces à Dieu. Il [barré : de] sest reservé à vous escrire par
tragedye. Monsieur Du Vent ma faict entendre que vous serrez icy à ces
serviteur A. dayguebelle.
remet à votre discretion. Je replique que quoy quil en
estats du peïs, sonnt estés presantés au conseil
cognoissons estre en telz changemens. Le sieur baron de
Voz très humbles et obeissans serviteurs
avec le dit Besson, dit ne se pouvoir entretenir
Je croys que nentendés que les utansilles de mon lougis
monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye.
La Mure, les dames ont reprins le bal à qui mieulx. Monsieur
accordée aux
Jac. de Cuias.
Votre très humble et très hobeissant serviteur
Je vous anvoye la lettre que je ay receu
asseurant, monsegneur, que nei peu avoir deulx quun quintal de
travalher lennemy dung aultre cousté pour rompre son
assistera à la prochayne votre très humble et très affectionné serviteur
Morry, que je naye peu satysfère. Au reste de ce qui
je supplierey au Créateur
et presque aussi tost de la reprinse dudit Valenciennes qui a toutefoys
S. de Boczosel
président et de monsieur Brulart son frère. J’ai congneues
ce n’a point esté sans que la reyne, mère du roy, n’aye envoyé monsieur de Froze
conduisoint, qui par seurté s’estoint joinctz audit duc.
juing, l’an 5 LCCII.
maladie.
très longue et très heureuse vie. D’Ors, ce penultiesme juing 1572
à vostre bonne grâce, je prieray le Créateur,
longue vie. De Saluces, ce 7e julliet 1572
par le duc d’Albe pour successeur du quel au gouver-
Je le supplie qu’il vous doint
serviteurs. Toutz les princes de ceste court ont mandé leurs serviteurs pour estre accompaignés à ces
importuner de plus long discours, suppliant
dit que[l]le y a perdu beaucop de bons hommes et
recommande de fort bon cœur à la votre et de madame de
se doibvent faire le sixiesme de ce
ledit seigneur de Malras escrit qu’il crainct que les choses ne s’aigrissent et qu’au lieu de
de La Roche. Je n’ay poinct de novelles de monsieur
jours qu’il est party d’icy, j’en suys en peyne pour n’avoir aulcunes
nosses pour tou ce mois ; et dit daventage que depuis le partement
Monseigneur, vous donner en parfaicte santé,
pour ne retarder ceste entreprinse.
ensuivantes : « Maistre Jean Bouvier est vieu et rompu et addonné aux femmes »,
Votre plus affectionné à vous faire servise
que, à l’ayde de Dieu, yl en sera bien tost quitte. Ma
que sa magesté vous faict. De La Coste, ce XVIIe de jullet 1572.
Avignon. Flassant confirma encores [barré :son] l’humeur [l'hymène ?] à Ste Honoré
sant, si elle ne prand ce que je luy ay presanté, vous vous
satisfera du tout à ce qu’elle aura heu de présent,
soubz la charge de monsieur des Adretz, comme
à ma damoyselle de Monery
Jaurois donné la comminssion
et luy présenteroit votre lettre. Nous trouvâmes la royne à Saint-
de laisser l’estat à sa disposition, puisqu’il l’estimoit
bien tout le long du chemin. Et nayant chose
entrepris de donner en l’ung de ses trois endroitz de la coste d’Espaigne, à
de par deça vous me voulés employer en quelque
toutes foys avoir executé ce que sa majesté
que sera la fin, après vous avoyr supplié
duc d’Albe, m’a semblé le vous debvoir envoyer
[v°] comment qu’il soyt, il sont en grand dangier ainsi
vie. De Lyon, ce 26 julliet 1572
et sera bien aise de trouver les nopces de
pouvoyr sont et soy offrons estre bons obeyssans
30 de julhet.
dict encor, qu’est hors le cayer, que vous aviés ordonné,
Hourche
Serviteur
mersi. Le plus jeune de monsieur de Roset a la petite
Monsieur qui vous ayt en sa garde. De vostre
De La Coste
si longue demeure puis leur partement de Grenoble.
De Suze, ce IIIe daoust 1572
sont mortz ou prisonniers ; et tout le mal que
une grasse. La consequance de telles graces ne
et très longue vye. De Carmagnolle, le 4 de
Serviteur
serés ayse de les avoir renduz meilleurs par justice
ungz, attendant les vostres, et si je ne les reçois bientost,
samble moblige dautant à me parcialiser pour luy
de sa majesté contraires à nous deux patentes
pour encores, mais le conseil en prendra
A Paris, le VIII daoust 1572
desquelz il a deia esté ouy par deux fois au Conseil. Nous somme atandant
que lannée passée IIII charges. A Gordes,
et heureuze vie. De Lyon, ce [barré : II Xe] XI aust 1572
nouvelles de Provence que m’escripviés, mesmes de messieurs
gentz darmes qui sont de la compaignie de
Jey fet tenyr vostre pacquet de madame de Caseneuve à madame la viquère de Ste
vous devés attendre plus de bons offices, avec ce que d’allieurs il appartient
au Montelliemard, là où ce que monsieur
contre ses cours de parlement et de s’élever à telle audace.
sur Thunis et Algier, ainsi quil déliberoit.
mes humbles recommandacions
priant Dieu vous donner
parlé, ce que je vous faictz scavoir
De votre maison de Granyeu, ce XVIIIe aoust M Vc LXXII
tout ce qui se trouva dedans et des dix gallères turquesques qui
Rousset
Jay dict à monsieur de Cabanes que quand il voldra je luy
priant Dieu quil vous [ait] en la sienne
mesme, il passa et s’en allat. Du lendemain y
Monseigneur vous conserver en toute la grandeur et prosperité
Je vous renvoie les pièces que vous a mandé ledit sieur du
pour relever ledit viceneschal, avons dressé tout au long ce
de voz responses, c’est que telles crieries n’estoyent sorties
G. Deportes
[v°] leurs magestés sceu quil estoit à son lougis au hasard des
ofert à prêter à monsieur d’Evènes sis cant
Languedoc et passera par le Dauphiné [barré : et]
danger en chemin pour[v]eu que lons soyt huit ou X chevaulx.
combat et vingt grosses pièces de bronze. Les gallères
j’ay sceu depuis qu’il n’en est rien, mais qu’il a esté
randoys pour ce dit regart
une bride, ilz se volteront comme plaira au maistre.
de la maladie de mon frère de Sainct Jehan ne
tesmoignages que vous avez ousjours rendu de moy, qui estoit
saulve des Franssez. Sil vous plest me
longue vie. De Gap, ce premier d’octobre 1572.
remetray à ce que monsieur Bellyevre vous en escrit, semblablement de la retreyte
sy les avez receues.
plus chargée sont encores absens en Vivarais. Et si ne font
à plain jour le cappitaine Chastellard ayant
[v°] particuliers m’en ont escrit et à d’autres qui sont par-deçà. Conformement
vostre mère Pierre de Pontevès
ce IIIIe octobre 1572.
Montoyson.
De La Motte, ce VIe ottobre 1572
Religion
que luy ny ses cappitaines sattendent davoyr commissayre ny que je leur fasse
bon traictement. Si votre frère La Roche ha ung peu d’entendement,
supplyé de regarder là où je seray propice à vous servir,
que le roy sera tousjours obey et que vous en recevrés entier contantement. Si j’eusse
de Montoyson à vous adressé, que trouverés aussi dans ce depeche.
de Montoyson à vous adressé, que trouverés aussi dans ce depeche.
cappables à porter armes, avecques commendement de se tenir
Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace
parole, nonobstant qu’il soyt intimidé et espouventé par aulcungs.
Monsieur vous contenter que ceste sy leur soyt monstre
vous scavés qu’il n’avoyt aucun acoustrement
Voutre très humble et très houbeisant serviteur
vie, après nous estre très humblement recommandé à voz
Votre très humble cousin et affectionné
y demeure, je y mettrey jantilhomme duquel je respondrey ;
[v] voleurs, toutesfoys ce sont huguenotz, à mon advis desbandés lorsque
que sont deux ans que je leur demande, me tenent
surplus escrit à monsieur d’Entrecasteaux pour le venir
enfermez quatre ou six grandes maisons separéez des autres,
Seigneur,
randray et à mesdits segneurs, toute ma vye, hobéissance, honneur,
qui y estoint, du nombre de huit cens, sount sourtis
et quant son dit nepveu, que est bien honeste et saige, en jouireys.
promener alheurs et lesse ceste despêche à
me faille financer, je regarderay que vous en aurés les
de la poursuyvre, puisqu’ilz la craignent.
autre letre de mon nepveu de Laval que celle
luy en fayre aulcun semblent que je vous en avois escript et que
en ay dit au long et souvent mon advis à leurs magestés ;
tout ce qu’il vous plairra qu’on fasse dudit pourteur, et comme
Rone de la part du sieur de Pierre Gourde s’en allant treuver
Monsieur, vous donner en parfaicte santé, heureuse et bien
tousjours paroir le respect que vous vouloyt porter. Ce soir,
pour vostre prospérité et senté. Vous baysent à mon acostumée très humblement
Hier, monsieur le conseiller de
ce XXXe novembre 1572.
Vostre mère.
au roy l’execration d’une telle conjuration. On disoit ce
comme nous spérons en Dieu, le tenir avec votre aide
du second de décembre 1572.
feray-je de tout autre chose qui sera digne de vous estre escripte.
aura pleu faire pour moy.
font tous messieurs vous frères et enfans. Je
très humblement les avoyr por recommander et
et pance qu’ilz seront bien tost desterminés et
remesre, je l’oblyeray pour le passé ; touchant
Monseigneur, vous donner très heureuse et longue vie.
Vostre très humble et hobéyssant
feu amiral et toutte la cause vous portoint, me demanda
J’avoyz mandé une despaiche à monsieur d’Horches
pouvoir de me conformer à sa saincte
dire, marri et desplaisant que je ne puis vous contanter
« et dominus dedit, dominus abstulit, sit nomen domini benedicti ».
et IIIIc à mon nepveu. Je vous ai ausi escript comment
S. de Chastellare
souffizant et capable et en mains plus asseurées
et au contraire par la vous congnoistrez la mallice et principallement
longuement, je finiray la présante par mes très humbles
l’en remerciant comme a fait mondit nepveu, n’y ay voulu
Chan, car sans iceulx, je n’euse tant demerer à les aler voir, combien que
monseigneur, en très bonne santé, très heureuze, très
j’ay à faire, et si en toutes sortes j’ay à y aller,
coupte dishuict escus au soleil. Elle n’est pas neufve,
charge. Au reste, il y a environ trois mil Espagnolz qui se sont desembarquez il y a
livres que le roy m’avoyt sidevant donné et de mon
me rendit la vostre du IIIIe de ce moys, faisant mention de
jours qui me gardera de vous fère plus long discours par
ne seroit qu’il est bien difficile que l’assemblée eust esté si tost
ceste ville six canons et une colevrine. Messieurs d’Évènes
humile servitore
susdits contrevenantz. Faisant par ce moyen fin à la
Lons me remis à monsieur le tresorier de l’espargne
Votre très humble et aubeissant
encoure fort et ferme auiourdhuy de là, comme il pansoit tirer. Puys il cest
monsieur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue vie,
lesquelz sestoient absantés de ceste cite lhors des
marechal de Tavannes. Mais cest quil est bien fort malade
monsieur, en parfeytte santé longue vie.
honorer comme frère. G. Card. Darmagnac.
à jamais. De Simienne allemand
comme les enfans de Zebedé y ont faict venir ceste troppe, aussy (à ce que jay
il se countiendron en bonne amytié qui me
volloir reffuzer mes pouvres subjectz car feront cella fort libremant
de la ville, à rayson de six francz le moys pour
Et serois bien marry de demander chose quil ne me feust
de Dampville aveques une des
de pays. Par la lestre que je escrys à madame de
aux compaignyes nouvelles[ ?] soubz divers cappitaines. Deux jours auparavant
Votre très humble et très obeissant et plus
je prie Dieu,
du sieur de Langes.
dernière commission, le roy promet seullement
monsieur, en très bonne sancté , longue et très hereuse vye, saluant voz bonnes graces
quelque chose en votre endroict, il a desiré que je
avoit aucun commendement de vous, qui me faict vous
sinon que ceux de La Rochelle fonunt toute demonstration de
monsieur, en santé, contante vie. Du camp de
serviteur
mais je ne pance pas que lons se fie de luy.
Ils [barré : fount] hont fayt bone guerre aux notres quils [barré : pregnent] hount
conduire pardeça que luy sont venus bien à propos pour sourtir de
monsegneur, qui vous conserve en très longue et heureuse vie.
compagnyes et lesdits pyonniers, car il fault que je fasse estat d’avoir forces bastantes
pour menvoier par mémoire ce quil faudroyt que
qui men aye assuré. Toutesfois ne fauldrey incontinent
Votre très humble serviteur
jours les cappiteynes ont faict monstre et receu
enrichir son ennemy.
en trouble comme tous bons subiectrz du roy taichent de vivre
dire à monsieur de Mandelot et quilz luy dirent comme Monseigneur avoit
très humbles recommandations à votre bonne grace. Je prie
rechercher les armes par toutes les maisons
Il vous playrra comander à messieurs du pays d’anvoyer
donner,
sergent du cappitaine Collon ung nommé La Gozette qui se dit de Moyrenc m’a de boché
capitaine Araret et ce que vous en escrivez à monseigneur le prince
que me faytes pour votre frère,
je me vays recommender très affectueusement à votre
conformer. De Fenestrelles, en haste, ce 5 mars de nuict 73
Granges hoù ayant veu et antandu nostre fasson
monseigneur, vous donner en parfaicte santé,
reverend prieur d’Avignon, frère de votredite seigneurie, toutesfois je me contenterai
Monsieur ie vois suplier Dieu qu’il vous deint en très
souvenir de moy sy en votre gouvernement se presente
estoit allé prescher en certain lieu où n’avoit jamais esté fait exercice de la religion,
monsieur de Gordes, en bonne santé longue et heureuse vie. Du
que m’ayés tousiours à votre bonne
s’en sont serviz cest yver pour le corps de garde
ou de monsieur d’orche, ou pour fère les forts
povés pensser qu’ilz hont. Je n’a y falhy fère courir le paquet
A de Sainct Auban
de son voyage. J’ay fayct responce aux articles qu’il m’a presenté comme vous verrés pour
Guilh[em] Corrier
du sieur de La Noue avec Monseigneur mais fauldra
m’avez departies pour le regard de Pignerol, je seroys extremement marry
le cappitaine Chabert assisté d’ung second, aller au château de madame de La Baume
La Roche
vous doné
occasion, de men vouloyr donner advis car je y pourvoyeray de sorte que
plaira m’en escripre votre bonne vollenté. L’occasion du faict est que j’eu heu
tout ce qui se presantera et sil vous playt monourer
qu’il est après à faire un depesche en court.
Montoyson.
pour la ville, et la faictz tousjours mener
1573
Monsegnieur, vous donner en sancté longue vie et acomplissement de
melleur. Monsieur de Suze est arrivé ce jourd'huy
envoié pour cest effect et si promectons les rembourcer avenant
causes et considerations portées par madite lettre, faire accorder au sieur de Veaune,
sy javoys pencé dentreprendre quelque chose sus votre authorité ny vouloyr
est de long temps cogneue. Il vous plerra luy fayre entendre sus ce
il en pourroit bien estre reprins et chastié. Et que si sondit maitre y consent, je
et autres de mondit sieur de Savoye. Ceulx de Pragella ne remuent point
madame, avoir pitié et commiseration dicelle veufve et [barré : luy] pour si bonnes
Monseigneur, je receus hier la lettre que il vous a pleu mescrire du camp
il ne men donnera occasion, aussi faisant autrement, je veulx qui luy soit
ce bien à ceste province [barré : et a votre service] comme il est
votre majesté de menvoyer tant plus tost icelluy edict avec instructions comment jauray à my
pour le bien de ceste province que je puisse estre secouru de
necessité où je me trouvoys de cavallerie, recourir à monseigneur le duc de
procureur et du general de la charge et despuis est le tout monstré
debvoyr que la vile fut emportée et non sans ung si long combat
et deffendre ce que jay mis entre voz mains. Jescriptz aussy une bonne lettre
auront cause d’en demeurer contans et m’en remertier. Au demeurant
remectent à dimenche comme il vous plaira [barré : veoir] entendre plus amplement par celle
cela que jescris à sa magesté et la coppie de la lettre que ma
de la commission qui vous a esté envoyée, y feussent employés, ayant
faict pour les raisons susdites pourveu quilz
oppinion que pour lentretien des forces qui sont necessayres
prescript, ou le lieu de leur garnison silz sont ordonnez pour cest effect, commectant
leur soict par vous prescript, ou le lieu de leur garnison silz sont ordonnez
dudit Vienne supplient pour leur regard
et secourir de quelque petite somme dargent, nous neussions sceu de quel bois faire flesche
le marechal, comme fera monsieur de Caylus par le pays de Rouergues. Nous
ledit suppliant vouldroit voluntiers poursuyvre er
chevaulx.
et fist perdre se que lon peult esperer de lassamblée en laquelle
Du païs de Provence : a esté fourny – – VIIm pains
retirer avec ceulx qui mayant esprové pour le passé,
[207 v°] autour de nous sur les bras. Mondit seigneur de Gordes
lesterilité de lannée, brulement des grains
que porroyt causer quelque surprinse et trahison
letre en eussent raporté melheur fruict que les aultres parquoy
Monsieur en santé sa saincte grace, me recommandant humblement à la votre bonne.
en ladicte assemblée que ladicte suspension sera observée par tout ailleurs où
sy non pour vous
Condorcet
Si votre commodité ne vous permet de me escripre de voz nouvelles,
quintaulx fort que fray Robichon a prins,
demain pour men aller à Pèse et à Sienne d où jespère estre de
de Lucques, le IX de aoust 1571
lavoir veue
et à Chasteaudouble, ung. Et en cela, monsieur, vous puys-je
cousin de monsieur de [barré : Nevez]
moy estions pour les obsèques de feu monsieur d’Aise, et sont à present
très longue et très heureuse vie. De Brianson
que [mots barrés] monsieur le conte de Tande n’avoit faict ce compliment pour estre occupé ailleurs pour
[v°] bonté. Ledit tiercellet car il est fort beau et bon jusques
des mortespayes des années passées pour faire reformer
se sera si Dieu le conserve ung brave gentilhomme et que je massure fera [ce]
je vous escriray, sinon ceste-ci me servira
fer toute ma vie humble servisse et prier Dieu
vie. De Gap, ce premier de septembre 1571.
mais je navoye pas
quilz ont pour cause du peu de foins et pailhe
garde. De Grenoble, ce VIIIe septambre
que jey achepté. Quest tout ce que je vous
si est ce quelles se peuvent prendre et cela
je vous suplieray encores très humblement ne trouver mailvais si
monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et
De Gargas, ce XVIe 7bre
fort malade à presant se porte bien.
et digne grace, saluant les votres de mes très humbles [barré : reco]
de ce que par dernier edict de sa majesté nest prohibé aultre
que peu avoir monsieur d’Apt de son costé et vous du votre
à cause du coup quil a sur la marque
de marier sa seur et quil ne [barré : scaur] luy avoyt dict
quelque il inclination que vous sembliés avoir de votre part.
et greffier dudit Beaurepaire recepveur Calier sieur de Laurencyn
Lan mil cinq cens septante quatre et le vendredy huictiesme
faict du sel, dautant que messieurs les commissères nont plus volu vacquer dès le commencement
faires servisses
vous est dheu de votre estat, ce que feray aparoir par les
monsegneur qui vous conserve en très longue et heureuse vie.
avec cella, monsieur, je massure que si vous vouliez conformer voz
monseigneur en santé ce que desirés et me fère la grace vous pouvoir fère
Votre très humble et affectionné
entrepreneurs se fussent repousés interdum etiam nimio studio valde
ce XXXme janvier 1574
So de boczosel
qualité non fondées en suffisantes recusacions, suivant les ordonnances,
expediction. Toutesfois, je n’y feray bouger sans prealablement avoir responce de ce
il a vendu tout ce quil avoyt en ce pays. Par ses
D’Apt, ce XXVIe s janvier 1574.
Je desire bien de savoyr monsieur ce
declarer à personne où la compagnie devoyt aller, si non
grace. Priant Dieu,
nouvelle occasion auroit possible promys audit seigneur sil en estoit le ministre, quil le reintegreroit
regarder ses pouvres subgectz de ce païs de son œil de
de ladite ville soubz signé
sil vous playt [barré : part de ses nouveles] tenir ma lettre à monsieur de Laborel
monsieur du Monestier, où il y eust masques à force.
me donner moyen vous faire tenir les miennes, jy satisferoye de
Votre plus affectioné et mellieur
bien tart ici coume les affaires vount depardella et si ne
quilz peuvent faire plus que navoient jamais faict. Ilz
reduyre à ung impossible ; et par tant,
par le menu plus particulierement. Nous navons peu encor gagner [responce ?]
y vieigne quelque autre ordre par une bonne
P evesque de Gap
semble altérer et ennegrir les affaires. Vous aurés
ca[resme]prenant ave[c] luy pour luy ailler baiser les mains et à madame,
là, votre seigneurye entendra comme eulx
Pierre que na malladie que sept jours. En ce que dessus vous ferés,
où mon grand père gagnat la bataille contre le duc de Savoye
regarder à tout ce que y sera de necessaire. Ce
maladie de madamoyselle de Saint Prie. Maintenant je
contre les murailles de la ville d’Ambrun, elles se
diés. Je feray mon poussible pour le fayt de querir
demeurent bien, daultant que monsieur de Granieu ayant commodité
luy ont faicte quelque promesse, vous n’en avés
luy ont faicte quelque promesse, vous n’en avés
plus conduicts par Italiens.
en consyderation que jauroys le service des rançons.
bonnes volontés an hune pour porter mon droyt et mestre, si vous
jai esté datvitz quil les ramena lui mesme tant pour se tenir près
nouvelles à celuy qui le y a envoyé et ce seroit eslargir
en très bonne santé, Dieu mercy
par la première commodité seure.
vous plaira leur en escripre et commander votre volunté .
sa saincte garde et vous meintenir
que ne son dignes destre escries à telles personnes que vous,
receu votre lettre
Sur la fin de ceste, jay heu advertissement
Serviteur
grand despit quilz menassent encores faire davantage.
et ledit acoustré de rouge qui estoit Casteau Redon qu’il detenoit prisonnier,
Votre plus afeccionné à vous faire servise
propoz, quil y en a de toutes façons, de vielhes, de jeunes,
necessité que les soldars nont pas eu le boys et à faute
faict sperer destre bien toust guerie.
desliberer de ce servyr du renouveau sentent pour faire trotter les chevaus à faulte de pasture
luy avoyt commandé ; et estre enquis
et obeissans, ilz prieront Dieu pour vous
mondit sieur de Vennes.
prochains estatz, qui faict que je delibère à votre retour vous fère
adviegne, sest tousiours donner moien de calomnier ceulx qui
et remises à monsieur de Limoges pour les regarder
St Priest est deceddé a avantage de sa vefve quest de
les commis des estatz du Daulphiné
pour XXX sous de gages que lui dounés, oultre quil ha
y soyent comprins, ny chandelles que à ses consulz ne
De Grenoble, le XXIIIme de febvrier 1574.
Du Molar gouverne tout. Madame de La Thivolière verat
diocèses de Uzès
duchasteau.
de monsieur le lieutenant de Crest quy vous
pouldre et quatre charges de vin ; et vous plairra, monsegneur,
choc de laultre comme nous dezirerions très tous avec
assamblée, auquel il vous
vous plet me mender pour ce que mon cheval nest
Monseigneur, qui vous doinct très bonne saincté, longue et
esté tenue fort incertaine jusques icy que on ne la tient pour
Je ne puis faire response à monsieur de La Coste
par les procédures que vostre partie ce faict scavant homme
s’il verroit parmi eux quelque belle guilledinne ; toutesfois il y en ha peu et
Les Onestragueulx sont les gueulx d’eau ou de mer.
Les advoyer et conseil de la
Tant s’en faut que ma femme soit marrie
Vostre très humble et très obeyssant serviteur.
Monseigneur, vous donner en sancté heureuse
Votre très humble et affectionné
nement des Pays-Bas, le duc de Medinacely estoit venu,
Monsieur, avecques sa sainte grâce, très bone
dites nopces. Jay parlé à Monsieur pour les loz de Cabannes. Il ma dit quil men feroit faire la
le Créateur
que despuis ele revint à Mecine d’où elle est partie
Gordes et de madamoiselle de Moneri. De Gargas, le
moys. Je n’en n’ay sceu aultres nouvelles. Monsieur
revenir avec bénédiction, les François ne s’en retournent avec grandes malédictions. Dieu porvoira
d’Ourches puis son despart en Lorrayne pour lequel
nouvelles de luy, que me faict vous prier que si vous en
du roy, que monsieur lamyral a testé veu parler à la royne
très heureuse et longue vie. De Saluces, ce
[v°] En faveur de ceulx de St Joyre pour le ravissement
quoy aiant entendu, fus totallement dégousté conscientia ita dictante,
Mandelot
fille est allée demuré quelques jours avec luy, car
Votre très humble nepveu et affec
de Liry à messieurs les cardinaulx [barré : qui] allantz à Romme, qu’ilz a
en pourrés servir pour payer monsieur d’Uriage.
qu’est occasion que je n’en importuneray point leurs
estoyt du temps dudit excès ledit Brunat,
Vostre mère
que j’ay du[barré : roy] roy au presant
Tomas du Louvre à l’issue de sa messe. Monsieur d’Hourche
tant, et parler seullement de deniers. Despuis il me
qui méritest vous faire antandre, je metray fin
Lisbonne, Calix ou bien à Portogalo qui est ung havre en Portugal, et
chose, vous scavés quelle puissance vous avés
nous aura commandé ; et que ceux de la Religion
me commander votre vouloyr pour icelluy toute ma
comme ce faits, attendant aultres occurrenses que
qu’on dict. L’on a faict bruyct que monsieur de
Vostre très humble et hobeyssant serviteur
Moustiés faites, qui seront publiées au XX daoust
a sadite majesté et à vostre seingneurie, qui
Yer je al [fin de la page déchirée]
[mots barrés] comme Cavagnes affermoit, que l’exercice
Si madame veoit la presente, elle y trouvera mes
Andrieu de Exe
verolle. Ils ne sont logés en une mesme chambre.
maison de Montoyson, ce premier daoust 1572
Madamoysele de Caseneufve na point heu la résolue responce
J’ay sceu aussi la convalescence de monsieur le president
Vostre plus affectionné
je veois en celà, c’est la perte des gentilzhommes
me touche, non plus que aulx aultres. Au reste,
aust.
Jean Besson
et par patience. Des affères de par-deçà, je ne
[v°] sans plus attendre je les bailleray à la royne et les feray
[v°] et à le suivre estant à la court. Je y trouve si peu
bonne yssue, ainsi que monseigneur le vicomte
Vostre très humble et obéisant
de jour à aultre la resolution de noz affères. Nous en fusmes ouy au Conseil
disent que ia force bleds, me doute
Vostre très humble et hobeyssant
[v°] de St Sernin et de La Coste, qui estoint à Sault, et que monsieur
monsieur de Nemours qui sont de ces quartiers,
Claire d’Avignon.
à la reputation de votre sagesse d’en user plus tost ainsi que d’entrer
Courreri lui forme son procès. Il at esté
[v°] La royne me dict que ce n’estoit pas à elle à qui
Monsieur en santé contante vie. De Lion, ce XVII aoust
pour vous assurer q de sa meilleure
Votre plus humble et obeissant serviteur
venoyent au secours, les cinq avoyent estées mises à fond et les autres
Monsieur, despuys ceste scripte, jay resseu des
bailheray mil escus. Il est(trové) tumber malade de fiebvre
Monsieur, très bone et longue vie. De Gargas, ce XXI
envoey home exprès à Suze, qui n’est encores venu.
que demandés. Du Montellimar, ce XXIIIIe daoust
Chastelar.
qu’il ha à fère. Sur ce, après m’estre humblement recommandé à
que de la passion d’aulcungs ; s’il y avoyt moyen en ce temps
[dans la marge gauche]Theseus ma dit de bouche que monsieur du Bouchet lavoyt chargé me presenter ses recommandations,
autres par monsieur de Vaucluson et monsieur de Chatellart
escus sol[eil], que iay pris, et mest veneu
[v°] il desireroit fort vous trouver à Lion à ce qu’il ma dit ;
[v°] Je me suis pancer ne debvoir parler à leurs magestés de
estoient mal armées et n’y avoit presque point de
bien près. L’on dit que monsieur de Santal a passé oultre
Toutesfoys, j’en actendz encores votre bon advis et
ma abandonné, ce que je pance ne treuvés maulvais ;
toute chose digne de vous et dont le roy, en ayant cogneu la
fère scavoyr la venue de monsieur le maréchal
Vostre très humble et plus obeissant
que les huguenotz d’Allès ont faicte, combien que vous trouverés le dit paquet du
L’on dit que monsieur d’Etavayer a souvé monsieur de Sovin.
pas estat d’en revenir pour encores. Je suis icy tous les jours
icelluy Brunat, pour raison de ce, demeuré trois moys
à votre advertissement, la royne me dict que ce ne seroit
Votre tres humble et obeissant
votre très humble et obéissant serviteur
bailler ny administrer vyvres, sy non que comme ils les achetteront de gré
il pensera aux exemples qu’il a veu devant ses yeulx et
m’y employant le seray d’aussi bonne vollonté que m’en
pencé pouvoir obtenir congé de vous pour assister à la monstre naguieres faicte à Loriol de la
prestz pour, au premier mandement, marcher là où je leur
et prie Dieu vous donner santé très heureuse et longue vye.
Et en verité, je me suys aperceu qu’il y en a des nostres qui
Après que vous en serensegne en laquele Ilz trouveront que,
[v] et si n’en ha pas pour parangouner au moindre en cest
Bellicant
bonnes graces. De Grenoble, ce XVIIe jour doctobre 1572
serviteur
et combien que ce ne soyt trop grande chose, je l’estimerey
Bernard et Columbin se retirarent et feirent le chemin que scavés.
content des autres, pource qu’ilz y ont procedé
trouver et à monsieur de Carses une bone lettre
tout à propos sur le grand chemin, au lieu plus convenable
Monsieur, vous doner en prospérité, longue et heureuse
service, et vous présente mes très humbles salutations, et prie
enseignes desploiées, avec les armes, et conduis en seureté
Je me doutte que monsieur de Carces ne l’aie point obtenue. Il fault
monsieur de Touchemis qui m'a assuré partira
deniers, s’il m’est possible, car je n’auray guières d’envieux
Je veoy bien que, puisque l’on y envoye mon frère,
qu’il avoyt escript avant que notre allée à Chantilhi,
cecy ne parvienhe point à ses oreilles car je l’ey asseuré ne vous
et pour le fait de monsieur d’Hourches, particulièrement à
nous avons à nous conduyre en ses affaires, estans confrontez
le sieur de Montbrun. Il pourtoit une balle de cire verte
longue vye. De Montbrun, ce XXVIII novembre 1572.
sur ce que je l’ay resouvenu de vous en vouloir toucher
la mein et supplient celluy qui despart toutes grâces vous donner,
La Bardonnière,
Votre plus affectionné parfaict et asseuré amy
Pierre de Ponteves
matin que Montgomery estoit entré dans La Rochelle,
et faveur, sera le sollagement et guarentie de tout
Votre très humble et très
Et en cest endroit, je me recommanderay humblement à votre bonne
n’obliay pas de parler de ce que vous scavés. Ilz m’ont
me commander votre vouloyr pour icelluy toute
arrestés, nous promettant luy et moy d’avoyr
la fère vous ne devés puls eyfère ains y doner
De Saluces, ce Xe décembre 72.
Serviteur
si je ne vous en avois pas adverty qu’ilz vous estimoint vindicatif,
pour la vous faire tenir. Je pence que l’arés
volunté. Venant icy, j’ay trouvé votre laquais
et satisfaire ; et premièrement à madamoyselle de
Je ne vous en puis dire autre chose, me recommande
avois désja fourni du mien VIc lt à mondit nepveu.
que audit sieur d’Aiguebelle pour en dispozer à la volunté de
de ce particullier sus nommé. Nous avons demeuré despuys
recommandations à votre bonne grâce et à cele de madame de Gordes
entendre, sachant votre voulounté, et sur icelle ayant
je cuide bien que il n’ai pas prins aultre résolution que cela que je vous escripvis
longue et très contante vie. D’Apt, ce XIXe décembre 1572
que me soit mandé plus tost que tard. Si je ne vous veoy
mais elle est aussy bonne. Il luy a aussy le lict de
quelque douze jours au port de Bayo, lesquelz sont logez dedans le pays des Langues,
estat de la chambre et la roine mère du roy
la mienne du XIXe du passé. Despuis, vous en aurés receu
ceste lettre, si ce n’est pour me recommander humblement
faicte et la résolution prinse, attendu que en si peu de temps,
et de Laval se preparent pour partir avec Monsegneur.
Mario Antonio Buragia
presente par l’humble et très affectionée requête
Fites qui est entré [barré : en] cest année de charge. J’en
serviteur
surprins de ces grans neiges, et veult on dire que sen cella encoure il treuve à
avecques accomplissement de voz bons desirs. Ce Xme
troubles advenus à Paris et despuis sont revenus en ce
à Chatre soubz Montlery. Messieurs d’Evènes ^ [^ et de Laval] prendroit
De Vallamce, se XIIIe de janvyer 1573.
entendu) leur festes la responce telle que leur feist Notre Seigneur, auquel je
ferat finyr septe par mes humbles requomandasions
et je vous en demeurerey obligé et prest à vous obéyr toute ma vye
soldat. Depuys le commencement de ceste guerre
[88 v°] dues, voulant suyvre votre advis au faict de lhoneur comme
autres quatre compagnies, car le
Gorde, vous sarés averty des novelles de vous anfans
le cappitaine estoyt sorty avec cinq soldatz seullement et [barré : au] estoient
affectionné serviteur à vous obéyr
Monsieur, quil vous doeint en heureuse santé, très bonne
Votre très humble et très affectioné
vandre les plusvallues de ce quest jà
de mes très humbles recommandations. Au Monteilhimart, ce XXVIIe janviert.
vous supplyasse de vouloir avoir luy, son frère
prier de scavoir que cest, et de me faire envoyer
se vouloir opisniatrer et ne saperçoyt lons en rien qu’ils
Nieule [barré : de] près la Rochelle, ce XIIII febvrier.
So de Boczosel
Nous ne pouvons estre longuement sans voir
si devant prins, renvoyant les soldats pour leur
Paris. Il est à sa maison à Saix avec quelque garde de leur aige
De Paris, ce XXIIIIe febvrier 1573.
pour assaillir les villes et combatre lennemy en campaigne quy est logé à deux lieues d’icy
Monsegneur et monsieur de Nevers escripvent à Roume ;
que pourrey scavoir la verité de vous en advertir.
Rousset
argent. Despuys avant hyer, il ne se parle, ne moings
en paix et pour notre reguard ne desirons aultre chose
escrit quil pretendoit commencer la batterie ledit jour de jeudy, il y a
le Createur vous donner,
des huguenotz suspectz à quoy n’ay volu bouger
sabas ung comissayre pour les vivres. Je vous veulx
monsieur de Gordes, en bonne santé, longue et heureuse vie. Du
et n’a tenu en luy qu’il n’en ayet convenu que beaulcoupt davantage. Lesdictz soldatz
dauphin. Je voudrois bien estre en lieu où ie peusse parler
vous avez souvenance de ce que je vous dis lors que nous en discourions ensemble.
bonne grace, et prie Dieu,
Je vous salue tout
ilz n’ont despuys fet semblant de passer. Je ne
très longue et heureuse vie. De Paris, ce 5e
d’en supplier votredite seigneurie en continuation des grandes faveurs que j’en ay receu
parfecte santé, très heureuse et très longue vie. De Loriol
occasion pour m’employer ; et sur ce je finirey ceste
dont interrogé [barré : il] pourquoy il le faisoit ainsi, il respondis que bien tost on verroit
Camp de Sommières, ce VIIe mars 1573.
souvenance et si par fortune vous
et en aurons bien faulte. Aussi seroit
de Pragella qui y sont trop plus que meriteront,
adressant à monsieur le maréchal et les aultres lettres à qui elle s’adressoy.
que chascung mette la main à la paste, attendant qu’on puisse mieulx, de quoy
que le plus fort le gaigne. Vous en pourrés scavoir
que tel inconvenient en advint ; mais en cela et en toutes autres
laquelle lesdictz consulz de cette ville m’ont asseuré avoir faict resserrer en sa
monseigneur en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.
les gens de guerre, soyt de cheval ou de pied, troveront au partir
de quelque lieu avertissement qu’ilz ont intelligence en ceste ville qui est
sovent de vous nouvelles, je les arey pour les plus agreables
tant pour mon enseigne par mes sergens, que
votre bien humble et affectionné
voz desirs. De Valance, ce XVIIIe mars 1573
en cette ville, qui sen va au campt de La Rochelle. Il
que vous leissiés agreable ; je vous envoye le double
marechal des lougis de ma compagnie, le don daubeyne qui vous est escheu parle
[brouillon de lettre au duc d'Anjou]
mespriser voz ordonnances et commandemens, ne ayant vescu jusques à ceste
votre intention.
feray pourvoir par les voyes et remèdes que de raison. Au demeurant, j’ay
encores et font de belles promesses ausquelles ne se fault arrester,
causes et consideratons contenues en madite lettre, luy faire don de la finance
devant La Rochelle du XXXe de mars en faveur du [barré : seig] sieur de la Roche de
faict tout du pis que lon pourra. Jay advisé de luy escripre encores la lettre
[109 v°] très necessayre pour votre [barré : province] service que il y
conduire et obeir à voz commandemens.
cavallerie.
Savoye, que ma liberallement accordé la levée de cent chevaulx legiers en
et authorizé par votre dicte cour, qui me faict de tant plus esbahir
que la nuict servint ; mays il fault que je vous die, sire,
[135 v°] à ce sieur de Maubec, lequel est indigne de lhonneur quil a receu faisant sy peu de
je vous ay envoyé mes commissions pour recouvrer deniers pour faire faire
que jescriz au roy [barré : ensemble] et vous les copies que je luy envoye, que sera cause,
escrit Montbrun et de leur responce que jay receue depuis deus
esté depescher à ceste intention. Je prie Dieu, monsieur de Gordes,
nyen) puissent abuser, il fault quilz donnent
pour sopposer à leurs desains, que je ne pence pas quil
quelqu'un au près de chacune, tant pour les conduire prandre garde à leur
pour cest effect, commectant quelqu’un au près de chacune, tant pour les conduire,
mondit seigneur de Gordes sil luy
nous vous supplions très humblement en consideration de la grande amytié que votre
avons trouvé en chemin sus Vallence les Suysses qui licenciez sen vont en leur
reprendre ladite instance et faire apparoir
J’ay doné à ce porteur quinze solz
se trecte sesdites affères qui seroyt pour remectre le feu en son
Bollène : XIIm p. XII p. v.
mestiment suffisant leur fère service, ce que je ferey
ma comandé que pour lantretènement de ma compagnie,
et perdition de notre bestailh et nouriage
audit lieu, comme se faict journellement en beaucoup daultres
si vous avés le moyen de mayder à procurer madite liberté,
A Turin, ce 22 de decembre 1573
ceulx de la religion commandent, soit en Languedoc, Guyenne et Rouergue ;
suplier croyre que
[marge gauche : cest oultre les gentilshommes
les disant à ce porteur, il m’en fera le rapport.
lesquelz jey payé le bordeur pour une couverte
retour dans huict ou dix jours pour le plus tard que est le
Votre très humble et très obeissant à vous faire service Ane Maugeron
[v°] asseuré quil est vray et qui na jamais esté bailhé monition que
Nevez. La malladie la
à Salon attandant larrivée dudit seigneur à Marseille. Cest tout
ce XXVIIIe aoust 1571
les affaires de sa majesté, qu’aussi ne se devoit il mettre en plus grand
en votre arryvée en ce païs que [barré : sera] ne sera comme ma dict monsieur
dessus celuy [barré : des années passées] de la presente année, mais on
quy vous seront agreables et de bon naturel est-il. Or pour conclusion
pour me tenir cependant en voz bonnes graces,
monsieur, vous avoeyr en sa sayncte et digne garde, vous
Vostre très humble et plus obeyssant
la mesure. Il seroit
quilz ont recully ceste année comme la vente
votre humble et
puis escripre, après avoir prié le Createur,
est plus à craindre en une grand famille
[barré : plus] de meilleur heure je ne vous lay faict entendre, mais
très bonne vie et longue. De Rousset, ce XVe de
Votre à jamais très humble
Monsieur de La Coste et toute la compagnie sont
recomandations. D’Apt, ce XVIe de septembre 1571.
chose que le port des arquebouzes et non des aultres
ce à cause des grandes despenses quil vous a fallu supporter
pour rien, de quoy on parle de le trapanner.
que sil ny prenoyt plaisir, il nen parleroyt plus,
Jadiousteray à la presente que mondit sieur de Brie ma faict veoir en cecy comme volontiers
extraict de son propre original par
jour du moys de janvier, par devant nous, notaires royaulx
de ce moys sans avoir argent et payement du roy. Le sieur de Montcal avoit retiré
Ludovico Costa
certiffications des treqoriers de lextraordinère, car il ny a
De Paris, ce XXIIIIe janvier 1574. Votre très humble serviteur
dessaings au gré dung peuple, le service de sa magesté ne seroit
très humble et agreable service comme je desire. De Rome, ce XXVme
à vous fayre servisse
peccaturo ; cela m’a fort interrumpu tous mes dessaings dont je me reserve
voz très humbles et obeyssans serviteurs, les commis des estatz de
et quil les fera toutes ranvoyer au parlement de Dauphiné ; au reste que
quil vous plaira commander. Il y a tout au près de ladite Coste ung château duquel
lettres, il mescripvoit quil partoit de Paris
Votre très humble et très obéissant frère
que vous avés apris du prisonnier de
que mondit sieur le marquis sy trova en personne. Si cela
monsieur, que vous aye en sa garde. De votre maison
à sa charge pretendue, dont le sieur Fernillier, que je nay point veu, auroit desgrossy les affères ;
misericorde, destitué de tous moiens de pouvoir plus
Rollet notaire et secretaire
Tout ce soir, monsieur du Molar tint le bal comme jà
tous poinctz.
à vous honorer et servir comme frere Card.
leur heusse douné advis des XXX mille lt, ils mheussent
font tousiours cottes nouvelles et devers Serres,
monseigneur, nous vous supplions très humblement
dudit Bolut de recepvoir lesdictz cinq soldatz de ceulx de notre ville et
paix ; car ne se fault en rien asseurer
lettres de monsieur d’Anbrun. Je suis tousiours atandant
encore que je luy remete son enseigne. Je ne laisse de demeurer en sa
mesmes sont les premiers qui ont
votre bon pleysir, du moings vous madvertirés de votre intention affin
estant chef de sete armée ; nos tiltres ne sont pas
traistre de cadet dict à ceulx de Chateauneufz quant il
vous en faictz une recharge pour vous asseurer quelle
treuveront bien ferrées comme ilz disent si ne nous
à quoy monsieur quon ne trouve difficulté.
les vous faire tenir dimenche dernier, les mist dans ung scien
qu’à fère et neantmoings nempeschés quil na
qu’à fère et neantmoings nempeschés quil na
Quant à ce que on a volu fère entendre à
Sur quoy je luy avoys respondu comme je fais
plet segnieur et père, deziran sur tous vous rendre lobeyssance
de vous sil vous plet emsuis sans vous porter auceune [sic] despance [barré : à
les limites et cheines, lesquelles silz occupent une foys
Votre très humble serviteur
Jey esté adverty pour ung de Moulines que là, à leglise dudit lieu,
en très bonne sancté et longue vie.
mès vous les prandrés se vous plet comme venan dune voutre
du XIIIe de ce
comme ceulx de Mais ont mandé homme exprès
S de boczosel
Parquoy, etc …
duquel sieur vibally ayant heu response, ledit Labarre a esté condemné et
Mandelot.
et de mediocre eage affin que chacune se puysse contenter
comme je scay pour vray quil na pas heu se quil debvoit
Jey aussi veu monsieur de Monestier
qui ont à toutz aultres vivres qui seront necessaires pour larmée, ilz y abonderont pourveu quon tienne la
si ceulx que lavoint ainsi painé
prosperitez et saincté, quil vous aye en sa
Monseigneur, je prie Dieu vous donner en santé
compaignye pour vous fère service et aussi que la commission que jay
sonnt en pareilhe charge que vous leur proposant choses mal eisement à effectuer
et en faire raport au conseil, mayant leurs
la maison de Chevrières et de laquelle il na delaissé enf[ant ?]
Bourgel.
esté environ ung an malade sans pouvoir que peu servir.
men balhent tous les moys que quatre livres, tant
Votre très humble allyé et très affectionné
ordinairement comme on sen acomode car la filhe [barré : on] où est
et Nismes pour
advertyra de ce que je vous puys advertyr car illont seu devant que nous.
faire le tous. Je les fis assembler lundi dernier et leur ai
layde de Dieu, le quel pour fin de la presente, actandu
plairra den escrire demarquetz.
bougé de la lytière despuys que je vyns de vers vous
heureuse vye avec tout contantement. A Paris, ce 19 jour
asseurée. Des nouvelles de la frontière d’Espagne,
sur mon affaire où il luy a pleu s’employer
en cour laye. Je suis bien marry de le voir hurter
ce qui y est extrêmemant cher : trois cens escus, deux cent escus les moindres,
Les catholiques ne peuvent bien croire telle nouvelle
ville et canton de Frybourg
que vous l’ayés appellé maleteste, qu’elle en
La Casette
Et longue vye. De Romans, ce XXXe juing
Serviteur
apportant le congé dudit duc, pensant trouver le pays
et heureuse vie, me recommandant très humble-
despeche. Si je neusse esté envoyé vers mondit seigneur et dame de Lorrayne, je masseure
Monsieur, vous donner très heureuse et longue
il y a quelques jours pour continuer leur dessein
XIIe juilhet 1572.
de Suze a esté voyr le mesnage que la
à tout. Le Turcq a envoié à Rome ung ambassadeur pour visiter le filz du Bassa son nepveu
ie suis demeuré bien vefve. Mon lougis est à la faulx
scavez, de m’en donner advis, et cependant, je me recommanderay
mère plus de cin ou six hures en hune fois et feut à Meudon
XVe julliet 72
qu’y font les loups.
et escripvis audit Bonaventure qu’il regardast d’en trouver ung plus
il y a bien près de trois moys qu’il ne bouge de la
tionné serviteur
accompaignés et à leur
Votre bien humble et obéissant frère
magestés que je n’aye heu autres novelles de
myrent aussi la main à l’espée en intention
Pierre de Ponteves
pourteur pour la monstrer
s’acquitta fort bien de sa charge, remonstra à la royne
rechercha de le prendre pour V m[ille] livres, mais je luy résolus
à la presente, après vous avoir beysé très humblemant
en default de cela, au Castel de Mine qui est en la Guinée, ou bien aller
sur moy. Et en ceste mesme volenté, je presenteray
font les retifs daller en Flandres montre que la
vie acomplir d’aussi bon cueur que votre
vous puisse escrire, supplieray le Createur,
La Garde estoy mort et ces estatz donnés à monseigneur
de Chapponay
Comme veues par la publication que vous en
sera pour finir la présente
[v°] de ceste affection, pancés y monsieur pour y donner ordre. Vous savés trop
de la religion prétendue ne se feroit poinct dans Loriol,
très humbles recommandations à sa bonne grace.
Vostre très humble et aubeis
de monsieur et madame la presidente de Fuveau touchant
et obeissant à vous faire service
de notre France qui pourroient ung jour faire service
monseigneur, je vous escripvis, après la prinze
Votre très humble et plus
scai que vous escrire, si ce n’est que nous sommes toutz
tumber ez mains de monsieur l’amiral, mesmes entre autres
dadvantage que jayme trop mieulx estre [barré : corf] cortisan
de Cadenet a eue de la doyené de Tarascon qui vault troys centz écus
frère à iamais
[v°] [barré : en la chambre des] avec le procureur du roy en la chambre des comptes
que sera comme aus aultres lieux :
serviteur
de Cabanes estoit entièrement guéri, dont loue Dieu.
lesquelz se tiennent en peyne parce que
Vostre plus affecttionné et obeissant
en plus grands picques et estriver avec ceux qui vous sont
à Romans pour avoir celluy qui avoit tué
ilz s’addressoint pour ce regard, et qu’ilz n’y seroint pas les biens
1572
convalescence. Ledit Michalon ma dict comment lors
de Granieu
cinq prinses et menées à Venise. Quest tout ce que je vous puys
lettres de messieurs d’Evènes et de Laval du XVe, mescripvant
tierce de quoy jen suis en peyne si est ce que jay sperence
aoust 1572
Ledit maistre d’hostel est monsieur de Lavagnieu. Priant
Vostre très humble et très obeyssant
votre bone grace, je prieray le Createur,
qui y semble estre propre, d’en retirer dextrement declaration d’une
me dire que quon aye escript de Salusses, les deux armées chrestienne et turquesque ne sestoient encores hurtées et quil me prioyt luy escrire sil estoyt
comandarent à monsieur de Causerans de laller prandre
bien à point, cat iay perdu chevaus et
de mesmes que y aprochant, il vous depêchera
votre voiage en Provence que premièrement monsieur le
mariniers, combien que j’aie veu à Constantinoble de
et qu’il est mort. Monsieur de Rousset m’a escrit
comandement, que je ne manquerey, Dieu aydant, de mectre
et mofre respondre diceulx et toutz aultres
verité, la grandement loué et approuvé. Et laissant tous ses
Damvylle, lequel est en chemin. (Jay
serviteur.
dit sieur president de vielle datte, quar le pourteur d’icelluy est demeuré malade
et quelque fois y couche ; et sy suis resolu que, maintenant
prisonnier et luy ayant formé son procès, le procureur
que bien faict, non obstant sa contenance qui le pourroit
serviteur à jamais
La Mote Verdeyer
à gré, car jentens bien que la prière quilz vous en ont faicte cest pour leur
croyra votre conseil, que me semble seroyt fort bon, qu’il s’en
voy recomander bien humblement à votre bonne grace, priant
[v°] compagnie du sieur Centurion, voyant les affaires bien despozés, je vous en heusse faict
ordonnerey ; et ce pendent jay mandé particullierement
De Grenoble, ce XIIe octobre 1572
en font mestier. Ledit Columbin s’est declaré qu’il retournoyt
Dieu mercy, ma femme se trouve à present bien se y fortifiant
compagnie de son aage, ny enquores lit de camp,
Voz humbles et obeissans serviteurs
F de Lacoste
beaucoup plus que alheurs ungne plus inportante pour
Et pource que, la grace à Dieu, il ne se presente aultre chose qui
en bonne foy. Il vous plaira aussi avoir esgard
aux mesmes fins. Monsieur et madamoyselle d’Ourche verront icy, s’il vous plaict, mes semblables recommandations à leurs bonnes graces.
de toute la valée, avec sa fontaine dedans, où seroit requis
vye. De votre mayson d’Orpiarre, ce XXVI octobre.
Dieu vous donner,
[v] dans ce réaume. Mais à l’antrée, il y en ha heu environ
[v] que je vous die qu’il men pria par deus foys de me monstrer de sa
demein en poste. Monsieur Maniquet part aussi dans
sur cest office. La royne pourtant m’a promis, par vostre
il y a de la besoigne et que si j’y veoy, j’en
où ne se parle que d’aller à la chasse et
en donet aulcune cognoisance, ny m’en mesler que je n’en aye
Monseigneur. Mon nepveu Baltezar et ses compagnons se portet bien,
comme nous sommes. Cepandant, n’avons voullu obmetre vous
dans laquelle y havoit une lettre. Ilz ont mené ledit pourteur
Votre très humble et affectionné serviteur
un mot, il m’a asseuré vous en avoir escrit, mais
Monsieur, en parfaicte senté, contente et longue vie. De Chrest, ce sabmedy matin
feut ensepvely, personne qui
H de Montmorency
Je vous ay à fère une requeste de la part du cappitaine Amblard,
où il avoit mené plusieurs grandz vaisseaux bien armés
ce Bas-Gappencès, et par ce moien ne sera trouvé
hobéyssant à jamès
grâce, suppliant le Créateur qu’il vous doinct,
monstré le prendre tout en bonne part. Aussy,
ma vie acomplir d’aussy bon ceulx que la
ce bien que de vous tenir bien tost en ces cartiers
l’ordre que connésiés car vous avés usés
Votre très humble et affectioné
A. de Chapponay
qu’ilz estoint si iniques qu’ilz rapportoint plustost voz déportementz
maintenant repceue.
qui s’en alloit à Gargas, ai ouvert votre
Casaneufve et si je le pouvois faire sans offenser Dieu
une autre fois bien humblement à votre bonne grâce.
[v] Je vous assure que je me treuve bien court, et si ne sommes
mondit seigneur de Sainct Sernin, l’en a prouveu et
troys jours sans garde. Je ne vous puys escripre
et prie le Créateur vous donner
auparavant escript à monsieur de Lenoncourt pour demander
par la poste ilia bien troys sepmaines que à mon avis vous avés heu le pacquet
Votre très humble et très hobéissant
si tost, je vous escriray par le premier d’un discours de monsieur
monsieur de Laval, sans puis d’aultres malles pour serer
es lieux qui sont de l’Estat de Millan où on les a départiz pour les refreschir comme
m’avoyt donné quelque espéranse, mais sur cella
plusieurs autres, et sceu comme le XVIe ce me semble de ce
à votre bonne grâce d’aussi bon cœur que je prie le Créateur
vous avés bien affaire d’assembler les estas de Daulphiné ; et sil en
Je relenceray assez monsieur d’Hourche de la solicitation des
que je presente à Dieu pour voz prosperitez et acompagnés
pourray à mon advis tirer ^ [^ de] quelque ^ [^ partie] assignation car
Montoyson.
quy parler, mays comme il est brave gentilhomme chacun tient qu’il s’en sauva.
de Janvier 1573, de Saint Auban, en la mayson de
païs et font leurs demeurances en aucunes aultres villes
le Xe congé de la royne estant dans le lict, mais esperant
Voutre très humble servyteur
prye vous donner,
de bien bount ceur à votre bonne grace et supplierey
[72 v°] d’aussy bon ceur que je vous supplie me recepvoir à votre bonne grace
ont a mys quelques garnisons par les villaiges,
vous ay dict aulx fins que je soye veu de vous
roy [barré : la porsuitte des communs
é ausy par l[e]ur lestre. É an set andret, je me
descenduz par la muraille avec une corde. Je vous prometz bien
La Magdeleine
vye et longue. De Ventavon, ce XXVe janvier 1573.
serviteur Bellievre
alliené et possedé par les acquereurs.
Monsieur, si tant est que votre dessente sabas ne puissent estre pour le premier dimanche de caresme,
et leurs affères en votre bonne protetion, soffrans de
tant quil y en aura sur la riviere iusques en Aiguesmortes
[140 v°] s’adoulcissent pour laproche de Monsegneur, chose que sanbloit que
Votre à jamais très humble
ce quils aurount dans le [barré : con] ceur [barré : de] de quoi, à toutes
paie et quelques cappes de gens de pied de marque
coment lon ma dit de neuf ans je ne lay point veu. Monsieur
Votre très humble
et fainct de voulloir venyr au combat. Nous sommes toursjours devant ceste ville d’y
et soudein en poursuivant les lettres ne me trouvant
Jay faict mectre quelzques soldartz dans les
faict on estat, en faire aultant à la gendarmerie, dequoy
et prions Dieu quil nous y meintiene et nous fasse la
soixante pièces de batterie, cent enseignes de gens de pied es
monsieur, en perfaicte santé, très bonne et longue vie.
sans entendre vouz commandementz. L’on m’a
bien dire que estant yssy dernièrement, j’advertiz
camp de Sommières, ce IIIe mars 1573
s’appellent la Bruyère qui est du Fontany et ung aultre qui est de Vorèppe qui
à mondit seigneur le prince. Je ne scay si votre lettre luy aura esté
Et en cest endroyt, je me recommande à votre bonne grace d’aussi bon cueur etc.
monsieur de Gordes qu’il vous donne en bonne santé,
Vostre frère et amy
sey sy vous envoyés la compagnie de monsieur Maulgeron
mars 1573
et recoy [barré : xx] tous les jours desirant d’estre de plus fort obligé à lui estre
ce sisiesme mars 1573.
en suppliant le Creatteur vous donner,
qu’ils iroyent prescher encor plus outre, avec certains autres propos de menaces,
Votre plus affectionné ^ [^ et] parfaict et meilleur amy
employés quelques ungs, je vous
fort necessaire de remonter notre artillerie
ou pour aller aillieurs où le service de
Monsieur de Cabanes doibt partir demayn pour s’en retorner en
j’attens tous les jours responce de sa magesté. Quant aux forces que Posol dit venir
plus de part et d’autres par les lettres de messieurs
choses pratiquées si subtillement par l’invention des ennemis, il
maison la quantité de deux centz charges de farine, et avecque toute discretioin et modestie la prier de ma part me vouloir accomoder de quelque partie
De Lyon, ce XIIIe mars au matin 1573.
de votre gouvernement commyssaire pour les conduyre là où il
cause que je couche d’ordinayre au corps de garde vu par la ville
que je porroys ressevoyr. Et atandent ce bien, je
par moy. Et quand aulx catholicqz que font
serviteur
Votre très humble et très hobeissant
sejournera demeyn en cette ville pour faire ces Pasques jespèr
de lestat de votre compagnie pour vous fère veoir celuy des
decès de feu Maxemin Lacrose de Fouziny en Savoye, habitant à Lyon, qui
Monseigneur, pour vous esclarer sur les raisons quil vous a pleu malleguer
heure en repputation davoyr volu contester contre mes superieurs, car
Sire, jey esté constreint fayre levée daucunes compagnies, tant pour
en très bonne part ce que me mandez pour l’archevesque d’Ambrun, la presence de qui
car silz veoyent leur poinct, ilz ne fauldroit point de jouer leur personnage.
qui pourra provenir dudit estat, ou partie dicelle en y nommant personne
Grane [barré : lequel, à ce que voy,] Je vous suplie croyre, monseigneur, [barré : vous desguise bien son faict car] que ses actions sont esté toutalement
que je vous envoys, laquelle je vous prie luy faire tenir, priant Dieu vous
aura telle fraternité et inteligence entre nous que
ses pays pour [barré : naveoir ?] autre soulagement de vosdites majestés comme je nen attendoyt
que celluy qui na nulle cognoissance de la police particullière
que la valeur denvyron soyssante gentishommes [barré : qui] partie
conte de voz mandementz et de mon service. Le sieur Julles Centurion a esté
monstre aux deux compagnyes de gensdarmes qui ont servy près de
que je ne pourray plus tost satisfaire à voz commandemens ; et quant au surplus de leurs
heures [barré : suplie] je suplie très humblement voz magestés de me
vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XIIIIe
des hostages comme lon font aux autres villes. Partant vous
ne sen aille du tout ruyné ; et davantage, syre, quant
manière de vivre que pour leur faire administrer ce qui leur sera de besoing,
prandre garde à leur manière de vivre, que pour leur faire administrer ce qui
plaist avoir consideration, car il est
maison a tousiours porté à notre maison, laquelle nous estimons plustost estre augmentés
pays, qui est tout ce que, pour le present, nous vous pouvons faire entendre, après
de son bon droict en icelle, ce quil ne peult
Et bailhé contant.
royaume aussi grand quil ha esté cy devant et par mesmes moyens
Alixan et Monthellier : IIIIm p. III p. v. – f : VI poinsons vin
fidelement avec layde de Dieu, ayant le cueur en trop
je men adresse à vous pource quil vous a faict antandre
quil vous plaise moyener que le
lieux, ledit Coderci , au nom que dessus, a protesté et
oultre la perpetuelle oblygation que jje vous en auray toute ma
Votre humble et mileur obeissant frère et vray amy Montfort
et a, mondit seigneur le marechal, despeché en plusieurs du costé de Thoulouse
la où jeusse eu
Et cappitaines, soldats et
lescarlatin, taffetas et soye que je vous
mesme temps que monseigneur de Nevers veult partir pour
que pour ceulx qui y ont estez, et non pour aultres, comme
arresté en Avignon et le peu
ce que je vous scauroys dire, fors pour saluer voz bones graces de mes
votre plus humble et
paine. Or parmy ces traictez, il passa quelques jours et luy qui est
de Evènes sy tost que je vouldrois cest landroict où je [suplie]
ne la peu trouver advant que partit de Bloys. Iescrivis
et qan vous pourront tesmogner comme le tout est passé et de quelle façon
lesquelles je salue de mes très humbles recommandations,
presantans mes humbles recomandassions. De Grenoble, ce
Serviteur
bien quil vinse jusques
est telle, de sorte quil fauldra quilz vendent
obeyssant serviteur
Monsegneur, vous avoir en sancté et longue
comme est la votre. Laultre poinct est que si
les raisons que jey deduictes cy dessus me serviront sil vous
sepbre 1571.
et très obeissant frère
allées voir ce matin madame de Gordes
Votre plus umble cousin et affectionné
armes et par ainsi tacitement semble estre permises par sa majesté,
durant toutes ses guerres, ayant tousiours eu tant
On dict que ce sont les Suysses et luy done
quil luy declaroyt quil ne scauroyt avoir agreable
il semploye en ce que vous concerne.
moy le notaire et greffier soubzsigné
soubz signés et en presence des tesmoingtz comme il est dit.
des meins de monseigneur le chancellier larrest pour la blanque de Pecaix pour y
rien plus odieux ici que parler de donner et de ce,
So de boczosel
faict comme il est de besoing, car je pance que cela tant sen
Janvier 1574
Ville franche
vous escrire cy après plus specialement ; quant à ce que les huguenotz
Daufiné
le roy fait declaration de nen donner aucune par cy après, sinon suivant ces
[59v°] lassiète est bien forte et les advenues assés maulvaises, appellé le château d’Ornacieu,
[v] pour venir à Senarpont ; toutesfoys, pource quil
Francois de simienne
Chastellart et quelle responce vous avés eu de
a esté escript au vray, encores vouldroys je que no[barré : u]s
de Montoyson, ce premier febvrier 1574.
mais que cecy ce rappourte aulcunement au discours quil vous fit quen playne table au grison le sieur
supporter telle despence que ny a province en tout ce
le dimanche au paradvant. Il avoyt faict tant à laprès
Monseigneur, en soubz signant la presente, jey receue celle quil
D'armaignac.
dressé leurs ordonnances là-dessus ; layant sceue, ils
ont dressé ung peage que Ferrier prend ung teston
davoir souvenance et pitié de ceste pauvre
les antremeler avec les siens, mais leur veult faire faire ung corps
à ceulx qui se disent catholicques et pource que
nouvelles de monsieur de Limoges et si ne ay bien tost,
bonne grace et tousiours à luy parce que je tire lestat que le feu
rompu la trefve. Quant aux gentilhomes
que les vignes des susdites chappelles ne demeurent à pener et cultiver
estés par arrentemens ny par trafficages, ains par armes
feist retiré avecq eulx pensant leur prendre lesdits chateaulx
va en empirant avec une fiebvre continue et faict grand
mettons en bon debvoir dycelles ranverser avec les premiers
[161 v°] Monsieur de Chatellart nha enquores retirer la responsse aux
despeche quil vous faisoit par la poste. Quest tout ce que
son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,
son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,
sa magesté que na tenu que à vous que lesdits Suisses
encor sil y voloit revenir que de ma part, je ne
de filie puys qui vous plet monorer de tant que demeurer et
votre] sinon que de sa bouche, mangant à votre table avec les aultres,
sera mal aisé de les en oster ; et si vous puis asseurer
S. de boczosel
sont arrivés ces jours passés quelques estrangiers en nombre
De votre lieu et maison de Chechilienne,
povre parante et servante et que at du tout fondé son esperanse
moys et quant
à Clays pour leur preparer logis et vivres
Votre serviteur, claude Martin
executé à l’estrapade et à bannissement perpetuel, mais quant à son cheval et
et croy quelles auront plus de presse que les aultres
[235 v°] recepvoyr de ses contributions. Pour la crainte, monsieur,
qui ma aussi chargé de vous presenter
main que les marchans ny perdent. Au reste, ceus qui cognoyssent la situation des lieus où les ennemys
estoint de la religion, a dit que
saincte et si digne garde. De La Terrasse, ce
très longue et très heureuse vie. De Paris, ce XVIIe fevrier
des voyturiers de Lion mappelle en Valentinoys en ce temps. Ce
[276 v°] ou plus tot impossibles par ledit sieur de Chatel je voulay mandé votre
magestés assuré que au plus tost lons respondra à tout
Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie
[296 v°] Par vous premières [barré : my] pourrés sil vous plait escripre au dit Besson
pour ma chambre que pour mes rondes. Je vous suplye
serviteur
logé monsieur le gouverneur est propre pour cela. On dit
la fin de ce moys,
faict commandement de me fournir ce quil estoit necessaire
que avant vous ay amplement script, je prieray vous
à cause dhune antorce, de fasson monsieur que je vouldrès
et iniure. Parquoy, monseigneur, vous supplieray très humblement, comme mesme
Colas, secretaire
qui m’est commandé par lesdites patentes. Je vous replique ses patentes
s’en souvenir ; mays puisque vous m’escrivés que vous avés marché
à perpetuité
et trouvée legitime. Tout le surplus pourroit estre
recommandé. De Veurey ce IIe octobre 1572
entretien soyt prins [barré : au lieu des six] sus la despence
Ie crois que le tout ce conduira en bonne paix et union et ie prieray Dieu
celluy qui est mon reffuge et secours, m’aient cognu tout tiel que je demeuray
Monseigneur, nous vous renvoyons le pacquet
parce que par missives je ne puis ny doybs me departir d’iceluy
de tel pied et affection à la court quand il estoyt question de quelque chose
Clary
pour le respect des deniers levés pour le faict de la guerre
Votre très humble et affectioné
quon fesoyt pour les six licenciés, car vous scavés
Monsieur, quil vous tieigne en très parfaicte et très heureuse vye. De Rue, ce 10
très humble et très obéisant soubz votre main et puissance, voloier faire entendre vostre
de lettres quil vous pleust nous mander pour
commandement. Si votre compagnie vient en Avignon, il fauldra que
qui me touchat plus que si ce fut esté pour votre fayct, je vous prie me
[v°] et aux guerres dernières. Il y a long temps, quant à ce que
serviteur Sernaing
que le moyen de quoy on lentretenoyt [barré : est] fault
octobre 1572
pouvoier et volanté audit La Roche, me rendray de plus en plus très affectioné (comme
faire tenir à messieurs de Bazemont pour
pour aler à Vienne elle passe tout le long du Daulphiné, qui sera
le fayre entendre et je vous y respondray et remercieray si par votre
monsieur de Sainct-André s’est plainct n’avoir deniers. Il vous
Jay touiours la fiebvre carte bien forte.
et de lentretenir sus ce que je prens sus Granne
Votre très humble soldat et très affectioné
très pauvre obéisant et bien humble serviteur) à vous commandementz, obéisances, en
ce quilz estoient jà partis advant
une bien grande foule desquele (barré : ce païs] il est sy chargé qu’il n’est
moyen j’ey receu quelque avanssement ou bienfaict, car je ne suis
en escript car ce n’est de notre faict. Monsieur de Moidieu
Monsieur de Sainct André pareilliement
vous scavés si jen ay encores touché ung liard.
scerviteur
supplient très humblement le Créateur
la reception dicelles pour sen aller
pas croyable, car tout se qui passe en Piedmont est aux despens
poynt costumier de ne recognoystre les plesirs qu’on me fayct,
est desparty ce matin sur ung des deux basteaulx que
Vous ne me mandés rien si avés receu quelque
De Lille
Monseigneur, pour vostre prospériteur et grandeur, saincte félice donner longue et heureuse
à Grenoble.
de ce gouvernement ; par quoy vous feriés beaucop de la fayre
à moings de ne garder mes amys ; et en cest endroyt, après mes
avons faict preparer suivant voz mandementz, lesquelz avons
argent que le tresorier Lionne a baillé au cappitaine
vie . De vostre maison à Valence, ce septiesme jullet 1572, par
venir tomber à Vienne par delà le Rosne et ne scay si vous avés
humbles recommandations à votre bonne grace, je prie Dieu vous donner
entendu par lettre escripte à monsieur le president Deportes,
Briansson votre frère. Je vous prirè, quant vous commanderés
Votre très humble et obéisant serviteur
nouveles de votre tresorier.
très bonne et longue vie. De Laval ce XIIIIe daoust 1572
ausquelz en tout et partout sommes prestz d’obeyr. Sur ce,
quelque chose si on vous somme de monstrer votre povoyr, faytes
La Gamonière
après nous estre recommandés très humblement
metre le demandeur de la sommation dans un fons de fosse
à votre bonne grace, nous prions Dieu,
comme aussy vous ferés de ses braveurs de parole si vous les avés