Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • advertir vostre seigneurie des languaiges qui troctent tant

    Monsieur, en santé, très heureuse, bonne et longue,

    je m’asseure qu’il n’y a longtemps que vous estes tout résolu de

    de fort grand matin pour aller à madrie où il m’a

    a touttesfins vous désirés par voz derniers mémoires;

    et fault que voz ennemis confessent qu’ilz ne scauroyent mieux perdre le tamps

    il prant grandement à doubter.

    les capitaines. Les nouvelles se sont changées puys ce

    Vostre bien humble serviteur et amy.

    me recommandant très humblemant à vostre bonne grâce,

    trouveront mes très humbles recommandations à leurs bonnes grâces. Si

    [v°] chastiement que luy et ses semblables y prendront exemple, et

    [v°] pas quelles pressent plus si fort,

    Monseigneur, en toute prospérité très longue vie . De

    car nous soldatz n’en peuvent plus

    de la religion, renvoyant à ses fins lesdites

    Je vous prie me dyre votre advis que je doybz commander à Meyrieu d’aller

    serviteur pour vous obéir à jamais

    Votre très humble etrès obéissant

    Votre très humble filz et très hobeyssant serviteur à jamay.

    prie Notre Seigneur quil vous veuille donner

    longue. De Digne, ce Vme juillet 1572

    Votre très humble et très obéissant

    certein que le roy Philippe rend Final au marquis.

    des moyens et des pratiques que vous n’avez pas.

    seroit plus saige, encores que je m’asseure

    [v°] je ne la vous foys longue quar je suis fort hasté de monter à cheval presentement pour aller

    Greulx, ce VIIIe juillet 1572.

    princes et seigneurs de ceste court leur sont

    jen ey rapporté ung desvoyement destomac, mays le repos et

    serviteur pour vous obéyr à jamais

    il y n’a en ceste decente escus pour toutes

    grâce que vous vencyez faire l’hiver en ce païs, il se faudroit

    servyteur comme bon conpagnon

    et qu’il espère estre bien tost de retour.

    D’Ambrun, le XIII de juillet 1572.

    car quelque raisons que l’on leur scaiche alléguer, ilz tiennent le roy pour autheur et faulteur

    de Mons en Haynaut n’osent faire grandes sorties sur

    Et au cas que les compaignies vous recherchassent, de m’escrire de leur

    [v°] frères et les jehans de roube longue on hoppiné pour la

    mille et six escutz que monte à sa part l’héritage

    Votre très humble et plus hobeyssante

    Votre bien humble et très obeyssante

    prieray le Créateur vous doner en santé, heureuse et longue

    responce qu’à son frère. Alors, il me nomast ung messire Jean Bouvier,

    serviteur

    mais le vostre particullier. Aussi au demourant monsieur, quant

    de foin que l’année passée. Monsieur d’Apt n’ha, à l’evesché,

    première despeiche que luy ferés. Nous n’avons icy aulcune

    XVIIIe juillet 1572

    et contante vie. D’Apt, ce XVIIIme juillet 1572. Je croy, mon-

    serviteur

    De Saluces, le XIXe juillet 1572, de

    Createur qu’il vous donne en toute prospérité, très longue vie. De Montpellier, le

    où la companie de monsegneur le prince daulphin estoit ordonnée

    perte en ceste province. Or ie prie à Dieu qu’il luy doint soit icy ou ailleurs ce que luy est necessaire.

    de tesmoingstz, lesquelz j’ay commencé d’examiner

    compaignie. A Paris, le XX juillet 1572

    Chabryère paiera à la Madalène porcheine. Me samble

    crue ; ce que, s’il plaist à votre seigneurie faire, je prieray Dieu

    qui avoit volonté d’estre président et bon pouvoir de

    remettre son estat de conseilier pour le prix qu’il vous

    [v°] matin pour me faire recouvrer du vilage, pour argent,

    aultres qui ont des vayseaulx en cette flotte, estans à la court, font

    hobeissant serviteur

    Monseigneur vous donner, en toute prospérité sancté, accomplissement

    je vous suplie me vouloir faire ce bien de commander

    fort bone esperance [barré : que] d’avoir bien tost mon congé

    oubéisent à jamès ser

    Monsieur de Cugy et de Chellard doibvent arryver

    1572

    l’obeissance accostumée. Monsieur le duc de Savoye

    elle [est] si grande que peu de gens y ont plaisir

    jamès abandonné jusques à ce que monsieur de Laval a heu perdu

    Vostre plus affettionné et obeissant

    sil votre purgastion vous a augmanté plus de santé, aussy sil vous bevé de vin.

    estant sa mère malade et elle chargée d’affaires,

    Pierrebon

    et je masseure que les benedictions et prières du peuple vous

    toutesfoys que nous avons recogneu le

    m’a porté ung paquet de lettres du roy, lequel j’ay ouvert

    et le trovis venant au conseil. Il me conta les choses

    Nous sommes tousiours attendant messieurs de Vènes et de Laval. Il ne seront pas plus toust

    recoumandations à vous bones graces et celles de

    ung bellistre qui ne vault rien, mais cest pour purger le

    me recommande à vostre bonne grace et de madame de Gordes,

    Monsieur, madamoyselle de Sainct Privat et le demourant de ceste

    veu la lettre. Je ne ferey faulte de y veilher,

    Monsieur très bonne longue et heureuse vye. De Sault

    ce mot encores mes plus humbles recommandations

    monsieur quil vous doint la sienne, accompaignée de longue et contante

    hautement pour les chefz qui vous concernoint, comme il

    passé par le pays et me semble que

    envoyer par ce deppesche, comme jay faict quand ilz ont

    particullierement, pour men revencher en tout aultre

    par ma pleinte, mays encores par actes sufizantz

    est bort [sic] grande et y a grande quantité de

    Vostre très humble et hobeyssant

    fiebvre, vous offrant tout ce quest à mon pouvoyr, et vous demeurant

    escripre, je metray fin à la presante, après vous avouer beysé très humblement

    Jespère que tous se porteront bien, car la verolle est sortie,

    et très heureuse vie. De Grenoble, ce Vme aost 1572.

    deux heures. Je pance bien que ni aura que soyt nuict lon

    esloignés de vous, puyssions clorre la bo[u]che à ceux qui

    Monsieur, vous aurez bien veu le cayer de ceulx de ladite religion par

    Sev[erin] Odoard

    à monsieur de La Coste et suis très marri de la

    1572

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé très longue et très heureuse vie.

    longue et heureuse vye à votre tout parfaict contantement.

    bien humblement à vostre bonne grace, priant Dieu,

    vous suplie que sil vous vient à comodité de maporter seluy

    longue. A Paris, le VIII daoust 1572.

    et la faulte que nous auryons de la perte de tel personage que dhomme

    de Lieux anseinte et bien malade.

    passée bien près de Marceillie.

    commander, vous hobeyrey dune aussi bonne volanté comme

    [v°] poinct le jour. Tous nous vallés ont esté presques malades

    lit et ne l’en subsonnet lors point, sinon quand il a esté

    [v°] le mien propre, je vous baiserey très humblement les

    Monseigneur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De

    quilz en scauroyent désirer. Et surce, je fineray avec mes humbles

    par le menu. Et neantmoins, pour satisfère à ce que vous desyrés

    P. de Simianne

    informations de la saizie de l’archier

    Je les voy et parle à eulx quelzques foys, et au sieur de Saint-Romain,

    en terre et en mer de Dom Jan d’Austriche ; aussi le duc de Nazare qui va vers le pape

    mes très humbles recommandations, je prierey le Createur,

    Guillaume Cuvellier

    donner tousiours lestat quil me donne oultre celluy denseigne

    de ancezune

    daoust 1572

    passées, il ma faict ung long discours

    que le prest d’ung moys. Si eusse esté à Grenoble, j’eusse

    demain. En ce pays, on est hors de doubte de guerre pour quelque

    ayant perdu ceste hocasion, je ne sey quant nous

    commis des Estatz de Daulphiné

    en ces cartiers sommes estes bien trompés de la recolte car

    quil appelle les plus doulx du monde. Vous avés

    Votre très humble filz et très obeissant

    se contente de peu. A cause dequoy, je vous vouldrois

    après vous avoir très affectueusement remercier

    Monseigneur, vous donner en santé très longue et

    Truchon

    matin pour aller fère voller une perdris à votre tiercellet

    plairra en ordonner, afin que incontinent, je puysse

    votre très humble serviteur

    La Mote Verdeyer

    veoir. Et après vous avoir presenté mes très humbles

    pour empecher qu’on ne les facha, dont j’estoys mieulx adverti

    melieur moyen, je croy que monsieur de Fiansayes vous

    obligées recommandations à vous bonnes grace, priant Dieu,

    Votre très humble et aubeysant servyteur

    à ce quen escrives ou peut estre moyns, mays son rapporteur

    et me demanda si monsieur de St Romain et Cheylas

    vostre boune grace, de madame de Gordes et du sur

    maisons fortes pour la mein. Je scay quelle a

    de Simienne. Alleman

    graces, an boune santé. Lon les

    Vostres très humbles serviteurs et à vous fère

    heussions receu la votre que feut allé avec monsieur

    [v°] a heu chevallier qui ayt pencé à faire si grand faulte, mais

    leur donner tousjours plus de crainte et empecher qu’il

    Comme il ce présenteroit quelque chose de nouveau en ces quartyers, je ne fauldros encoure plus toust de

    ne se reduyront, et m’asseure qu’il fauldra combattre,

    à mes actions et au rapport duquel vous vous

    et entretenir son edict de pacification faict dernier ; et

    vie et longue. De Rousset, ce XXVIIIe sep[tem]bre 1572

    quil aient faictes ; non pas que je vuilhe dire que la consideration

    XXIXe sep[tem]bre 1572.

    sont entre les mains de maistre Guillemin, [barré : je] lequel

    serviteur G. d’Avanson, A.

    plus aulcune chose en mes

    à votre bonne grace, apprès avoyr supplié Notre Seigneur

    a qui se treuvent sus leurs guardes et

    de sa magesté et vostres, car lesdits de la religion s’en

    ladite lettre du roy

    la Tivollyere m’envoyast, j’eusse incontinant monté à cheval pour aller attendre

    octobre 1572.

    Monsieur, qu’i vous ayt en sa garde. De votre

    contraindre ; et que sans cela ilz ne payeroient rien. Toutesfois

    en notre scavoyr ils y sont alles fort franchement. Je voys sur ce

    bien peu respectée, tellement que tous les conseilz et

    pretendoit au prioré de Mante pour l’aller assommer ; en la companie

    faict la reparer un peu et aussy monsieur de Cabanes

    me done grasa que ne le soyhe davantage. Je vous

    Laroche

    La nouvelle vint hyer au soir à mondit segnieur d’Armagniac comme

    s’expediera mardy et aynsi n’y aura retardation que d’ung jour ;

    daussy affectionée volonté que serviteur que vous arés jamais,

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur

    Votre très humble etrès obeisant

    endroict, je presanteray mes très humbles

    vous bonnes graces de mes tres humbles recommandations,

    qui vient de ce païs là, qui vous pourra advertir plus

    Monseigneur, vous donner en santé heureuse et longue vie. De

    Le Pegue

    davantage que ledit seigneur des

    dont j’en rendz graces à Nostre Seigneur qui vous a conduit

    La Thivollière

    [v°] l’on a faict dessendre de la citadelle de Lyon trente pieces

    dangier. Car on faict courir le bruict que du cousté d’Orange se faict quelque remuement,

    votre très humble, très hobéissant nepveu

    G. Deportes

    G. Deportes

    lieues d’icy, me porter le mesme advys, lequel ne me pouvant

    monsieur en très bonne santé heureuse, longue et contente

    pretexte d’une faulse allarme, tuarent troys de la

    Montoyson, ce XIIme doctobre 1572

    monsieur, janvoie douze qualles et douze

    survenant à la closture de la presente, ma requis dune

    ainsy. Je demeure en peyne pour ne scavoir ce que le

    dona telle alarme à Columbin, qui estoyt de l’aultre

    disnée près moy à venir voir vostre petit peuple qui se porte si bien

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    endrets, estant de besoing de lesser équipage

    Vostre humble serviteur

    d’Embrun son oncle.

    ne feray faute de luy faire entendre me vouloir octroyer le

    de la vaccation en quoy ilz sont employer, mais aussy leur pourroit

    [v] ung peu de son genoul, plus que le ne souloyt.

    [v] pour vous dire que, ayant antandu la mort de Monsieur

    et s’ayder à purger leur païs de ceste vermine, nous asseurans qu’ilz

    Pour le moingz, cella me faict bien croyre qu’ilz

    et heureuze vie. Du Sainct-Esprit, ce XXIe jour d’octobre 1572.

    [v] ceste primevère les deux fortz, desquelz vous ay jà escript avoir

    vostre compaignie. De Vienne, ce XXIII d’octobre 1572

    [v] portent pistolés et arquebuses, ce qu’ilz n’avoient encore

    humbles recommandations.

    pouvoit ; et combien que je m’asseure que mesdits segneurs de

    jour, et a esté bien marri qu’il n’y aie heu fons

    serviteur

    gnie. Je luy dis en riant que [barré : la sen] les gendarmes estoint pour luy et

    Monseigneur vous donner en parfaite santté longue et heureuse vie.

    tost ou bien tost après monsieur de Lombes les despêches

    Monseigneur, je le supplieray de vous tenir en très longue et très heureuse

    à messieurs d’Ambrun et de Grenoble, pour n’estre veu

    s’il suffira que voz lettres pour Grane sont addressées à la chambre

    ladite copie.

    que d’avoir ici des affaires. Monsieur le président

    serviteurs, les consses à Valcluson

    et de madame de Gordes et de monsieur de La Roche, priant

    a-je aseurance que vous ne le voudriés veoir avec moins

    Dieu vous garde quand l’ons se treuve. Je ne pance pas que

    signée Mellet, sans date, s’adressant à « monsieur le catholique »

    de Privas à Montbrun. Nous extimons qu’ilz traffiquent quelque

    Je ne rampliray point se

    lettre, je vous avoys suplyé permettre que mes officiers exerceassent

    il m’a dit : « voilà bien mon cas » ; et que tout ce qui en fust est

    chandelles que messieurs du pays hont données à messieurs de ceste ville leur

    bonne grâce et de madame de Gordes comme font ladicte

    à s’en aller.

    [v] Je serois bien marry, en cela et en toute autre chose qui déppendera

    choses. Je prye à Dieu les tenir toutz en bonne santé d’âme et

    couleur, l’on faisoit courir le bruict que les enfans du

    icelle volloir continuer pour la conservations de notredicte

    hors de deffance et quant au

    ne pense pas que d’ailleurs ilz en peussent non plus avoir.

    icy le XIIIIe du présent. Monsieur de Ramboullet passa hier allant à Romme

    Votre très humble serviteur

    La Porte

    est trop fascheux. J’ey mandé vers monsieur

    entré dans Sancerre et ce qu’il a trouvé

    Il a mandé par monsieur de Lombes à sa magesté pour

    Ce porteur m’a dict qu’il avoyt huict soubz de la grand croix que ne les a peu

    comme l’on murmure, que les Vénitiens pourroient ces[t]

    à faire faire ung pavilion pour ung lict

    Picardie qui sauva le sieur de Saint-Romain, qui est le sieur de

    [v] J’escris à Lanel qu’il laisse l’affaire que vous scavés comme il la

    la perte de mon âme qu’il luy a pleu

    Baptiste de Simienne

    ma conscience contre l’honneur de Dieu pour le quel

    des comptes de Grenoble ou de ceste, veu enfin

    Votre très humble filz zt obéissant serviteur

    au devant des deux brêches qu’avoint esté faictes à la

    est bien à la donation de mondit sieur ; mais par les statutz et

    seigneurie treuve bon, la pourrés remectre audit sire

    cele de monsieur de Meolhon partent au premier jour

    moien que j’avois de me tenir suget en ceste charge, pour

    pas car je coneus que la royne en estoit picquée. N’ayant

    De madame de Gordes. Je prie le Créateur vous donner

    de La Roche notre frère. D’Apt, ce XIXe décembre 1572.

    madame de Carssèses et madamoiselle de Vins viendront bien tost

    catholicque ». Il est bon et requis de s’y prendre garde ; et néantmoings, il me semble que

    plus retourner. Au surplus, Monseigneur, j’ay depuis

    de choses come premièrement vous pouvés antandre de

    P. Evesque de Gap

    guerre pour ceulx de ladite religion de son quartier, affin qu’ilz se tiennent prestz pour le

    De Simienne allemand

    n’ay rien receu pour monsieur de La Roche et m’est

    a dict comme il a faict à moy de la plaincte de son beau-frère

    qu’il le permecte ainsy. Au demeurant monsieur, monsieur du

    seurement, pour vous servir.]

    laisse d’espérer qu’ils pourrayent estre contrainctz par nécessité, d’aultant

    pour estre parrain, mais il s’est excusé de façon que le

    potiamo vivere ne havertiro il luocotenente che vegga

    si peu et qui s’est rendu si long et difficile

    de ladite nouvelle oppinion que despuis les eedictz

    vie. De Vallamce, ce IIIme de janvyeir 1573.

    rendu seurement. Il ma faict beaucoup de bien. Je vous supplie

    nous sommes contrins luy faire faire de gros boloars, cest à dire

    [barré : et] J’ai emprunté XII c[ent] livres de monsieur de l’Isle et

    De Saluces, ce 6 janvier 73.

    heureuse vye. De votre humble mayson d’Orpiarre,

    au Change et celuy de St Michel estoit en allarme. Je

    Mehru, de Toré sont à Chantilly, Dieu mercy tous en

    despeche du premier de ce moys. Je loue Dyeu de bon cœur que leurs santé soit toujours

    Montoyson.

    croyre que tout mon desir ne tend à autre fin que de vous rendre

    maisons où lung deux y procedant ses chevaux ensemble

    pour accompagner la depeche du roy à Rome. Je vous

    Votre plus parfaict [barré : amy] et affectionné ami

    pour encore jaye peu scavoyr le chemin quilz ont tenu plus oultre, tant y a quon a prins

    Favot

    [48 v°] prandre les armes. En quoure que hount bien

    obeir Vantadour

    [5 v°] besoing pour lexpedition d’un procès quil a en la court de parlement de

    je meforceray de la reparer de tout mon pouvoyr, affin quau moins elle

    je la finiray par mes humbles recommandations à votre

    Francoys de simienne

    sortist aux fenestres et lesdits estrangers, mangeant le pein du peuple, se sauvarent

    les [barré : in] in fourmasiouns ayant entendeu

    santé.

    Andrieu De Exea vi senechal

    fort necessères et où ilz me fauldroyt tenyr huict ou dix soldatz à madite

    Ilz sont grand haulmoniers du bien daultruy mais du

    Votre très humble et hobeissant

    années la dicte rante, laquelle mest dues instemant

    prosperité et longue vye. De Romans, ce XVIIIe

    que ledit cappitaine et sa compagnie se trouveroyt en votre gouverne-

    Et afesyonné à vous fère

    que avés volhu. Vous eytes byen voyr que les [barré : dyetes]

    Il n’y doist venir pour en ceste saison se declairer. A Apt tout

    pour marcher lors que je la manderay et sera bon, affin quelle soit

    et longue vie. De Lyon, ce XXIe janvier 1573.

    ce mercredi au soir XXI de janvier mil VC LXXIII.

    Aspremont, se XXI janvier.

    eyreuze vie. De Vallance, se XXIIe de Janvyer 1573.

    vous le leur fassiés entendre en leur donnant ung

    le XXIIme jour de janvier 1573.

    en cest endroyt Je me recommande à votre bonne

    y renvoyer pour si peu de chose qui pourra peult estre cause d’ung grand bien

    que pour sattisfaire aux passions de quelques ungz

    Madame de Gordes et monsieur de la Roche

    Guordez à qui elle est très humble

    tenyr voz lettres à madame la vicayre de Saincte Clayre d’Avignon. Il y a environ quinze jours

    vous presenterè mes humbles et très affectionées recommandations,

    mainctienne,

    la ville de Berne

    quelques uns s’oublyoient de leur devoir, qu’il ne

    de monsieur de Maugiron, comme je vous en ay escript

    de Nyort qui n’y a que dix liues iusques au

    arrierages de ma pancion, mais jen espère peu ou rien.

    La Roche. Je nay point heu de novelles de Senarpont.

    pour la quantité quils en hount. Nous presumons quils

    commencer ce soir les tranchées, cepandant nous

    XXIIIe fevrier 1573.

    dont je sallue ses bonnes graces et la supplie mexcuser

    à vostre bonne grace et de madame de Gordes. Monsieur

    demeure icy pour les garnisons de XX homes de Cisteron, part à

    Monsieur, je crendrès [barré : q] que les huguenaus ne se voulsistent

    des comptes du Daulphiné cognoissent desdites lettres, ilz pourront

    congnoistrez son intention. Au demeurant, je nay jamais ordonné au cappitaine La Tourette

    et de mon mal pour lasseurance que jay que vous y prendrez

    Rousset

    le Createur quil vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse

    La Roche

    d’assurer leurs vies. Je croy que, quand à ce poinct,

    oblieray jamais. Non aultre chose pour le present,

    Mademoyselle de La Roche à Grane

    lettre me soyt renvoyée après que monsieur de Grenoble et ma seur du Monestier

    car il se presente tous les jours soldartz en ceste

    et est venu bien appropos. Lon na faitz mors les sieur de

    vous baiserey les mains en toutte humilité,

    mareschal faict estat nespargner munitions pour [barré : faire]

    dudit Michel, allé à Chasteauneuf de Vernoux avec aulcuns

    et serviteur à jamays

    la vallée de Bordelois commencent comme à lever les cornes

    quelque chose deventage, mais je considère que un homme vieux et

    Votre plus humble à jamais

    1573.

    comme j’ay à mi conduire car ung plus avisé que moy

    humblement à vous bonnes graces. Priant Dieu,

    negossye quelque chose. Lon ma asseuré quil est ung

    menvoys recommander très humblement à votre bonne

    en ses dons et graces, vous donner bonne,

    à Montbrun ung Espagnol à piet qui parle toutes langues et vient de Genefve et

    Truschenus

    cueur vous face service quand il vous plairra me faire

    de Languedoc et voudrois en avoir dignes de vous

    Le voyage que devait faire

    somme de saulpètre à sertains marchans de Lion

    ceulx quy sont derrière moy que ceux que j’ay devant.

    vienne quelque chose de nouveau en votre gouvernement, que vous y

    et vous le treuvez bon, ne fauldray à satisfaire à votre volenté. Madame la

    de son faict mais cela va au premier sejour de la court.

    que le nombre y soyt, si aussi ceulx qui sont dedans ne se veullent

    [dessous : "à madame de Cental"]

    affectionné frère et serviteur De Simiene

    monsieur vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie saluant

    où il sera pour le faire acheminer vers vous avec

    qui pourra estre de grand efficasse vers les

    l’on l’ataque et d’avoyr ung passage sur le Rosne

    le Ve de mars 1573

    Votre très humble et très obeissant frère

    qu’il vouldroit par le moien du bras de mer qui donne iusques à ladite ville, et que d’une part et d’autre se font de grandes levées de gens et

    Votre très humble et très affectioné

    serviteur Bellievre

    païs d’autant que je n’ay aucun adveu en Savoie et qu’il est subiect et iudiciable

    [241v°] bien asseurer monsieur que l’Angleterre ne bouge au descouvert.

    sans quelque maniement. Joinct que à ce que j’entendz ledit sieur

    frère et serviteur La Roche

    ayant trouvé une trop grand tranchee derrièr celle que l’on avoit faitte.

    en Aiguesmortes. Vous pourrez ouvrir la lettre que j’escriptz audit sieur de

    lenemy s’estoyt saizy du Pouysin. Ne fault que je vous dye

    [254v°] paysantz et sont si bon nombre que

    ce qu’il vous plaira considerer veu que en temps

    veu quilz spèrent à si grand secours,vous

    B : Ollier

    Carolo Birago

    seriés bien hayse savoyr quy est ce capitaine La Croix. C’est

    Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre

    G. Davanson A. d’Ambrun.

    Montoyson.

    Sauzet ancor que votre commandement porta de la fère à Pierrelate.

    et dye le dict de Posol asura monsieur du Pelloux qu’il l’etoyt votre et qui luy ferez

    mars 1573.

    Poulsin. Ledit sieur vicenechal a envoyé à Enconne pour recouvrer

    m’a dit les reysonns pourquoy n’est

    Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre

    [286v°] long discours, si ce n’est pour me recommander très humblement à votre

    se presentera et Nostre Seigneur conduyra le tout, auquel je prie

    à l’aultre ung saulfconduict pour s’en aller à Normandie. Et je vous feray

    monsieur son filz l’autre moitié avec l’estat de

    fauldra quoy qu’il tarde venir aux mains, je vous prie tant qu’il

    des deux aultres ou Valence ou la Montelymard, auquel il vous plairra

    monsieur de Bonnevaux m’ont chargé vous presanter et à

    de La Rochelle où il dict s’en aller. J’entends qu’il n’a pas tout l’argent

    [304v°] Brouillon de réponse de M. de Gordes à M. de Mandelot, Grenoble, le 15 mars 1573

    qui est, et sont contrainct la pluspart engager touttes leurs ardes. Je suis

    frère et serviteur La Roche

    tant seulement atandent surce vous comandemens ne volant

    Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à votre bonne grace,

    du Bourg ; que sera la fin, après vous avoir supplié

    [10 v°] faict mettre des barrières hors de la porte.

    representer aux monstres ou sera de besoing.

    tost, vous asseurant que vous trouverés

    Bellievre

    moyen, que faict croire quilz soient aidés secretement daucungs leurs voisins, quon

    Monsegneur en parfaicte santé très heureuse et

    qui sen va par devers vous à ces fins et pour vous supplier

    supplye me fère cest honneur me tenyr pour

    volunté de ceulx qui l'avoient appuyée sur le subgect de ceste entreprise ;

    Jay monstré le billet

    mars 1573

    de Bay sachant le peu de jentz quilz y advoyt, jadvertis le cappitaine

    Dame de Myans, le XXIIe de mars 1573

    Votre à jamais très humble et

    [51 v°] merites à votredit service quilz sont de tant plus recommandables comme mesmes

    henry

    qui madvint hier sus le bord du Rosne et comment jen estoys si je y euse

    vous tenir sur bonne garde, me reposant entierement sur

    au rapport des medecins et cyrurgiens, il en sera bien tost guery

    que a esté cause, syre, et aussy voyant teles esmotions, que jay prié

    Je prie Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Chaleau, le

    pour infinies considerations que vous mesmes pouvez estimer, accorder nouvel impost

    moyennant ce quilz tiennent une partie de ce gouvernement est

    et faveur [barré : et moy et luy vous en demeureront obligez]

    fère service .C. de colan

    a environ dix jours que pour la meschanceté daucuns qui avoient esté

    et affaires pour la debonarité et liberalité qui estoyt en luy, que je vous

    à mon service et que lesdits secretaires de mondit sieur le prince en ont assés daultre

    sagement et ne veullent deppartir de la fidellité qui mest deue.

    bons subiectz pour la necessité où ilz en sont, ne pouvant autrement le faire

    à tel inconvenient que mondit seigneur fut quant il

    moindre comme lesdits commis vous feront entendre plus

    Au roy de Poullongne

    voz affaires en ceste province, bien et soulagement dicelle.

    tenir la lettre que je luy [barré : en] escript pour cest effet.

    plainctes et doleances en sont par cy devant parvenues à votre majesté ;

    cent chevaux legers dedant ses terres. Jespère [papier déchiré] ne vous

    [marge gauche : grande partie] de ce Valentinoys bien engaignée qui me fit changer despuis

    le pour recommandé

    meschanceté daucuns catholisez et pareillement le recouvrement de la ville et château

    pays de Daulphiné que ce pendant voz forces demeurassent innutilles # [bas de page : # et celles que je vous envoye] ;

    ma demandé tenir sus en attendant votre edict de pacification,

    Sire, etc, du Montelymar, le IIe daoust 1573.

    novelle oppinion mont [barré : portée] faicte et je

    en mon pays de Daulphiné. Partant, je vous prie en faire abbattre

    y contreviendra, priant Dieu quil vous ayt, monsieur de Gordes en sa sainte

    loger en quelque lieu, plus pour les convier à se

    que cela puisse tenir en pollice les autres, au soulagement de mondit pauvre

    chastiment de manière que cella puisse tenir en pollice les autres au

    ceulx de Dye sestans excusés, fust

    soldatz en attendant quil se presente quelque occasion de povoir faire notable

    soubz le sel de noz armes, le premier jour de novembre

    ferons la presente plus longue esperant à Nysmes estre plus particulierement

    il seroit allé de vie à trespas y a envyron

    prie, après m’estre humblement recommandé à vous bones graces et dudit

    la [sic] resolution quil en avoyt sur se faicte, comme par daultres lettres que

    La Garde : IIIIm p. IIII p. v. – f : IIm Vc pains [sans acquit]

    ceste promesse jusques à present jay veu en fin que tous

    plus eslognées de lanemi que nous, car il ne passe jour

    Claude de Turenne

    que vous en avons volu advertir, affin dy

    et commandement à ceulx faict par ledit sieur comme dict est, ilz ont

    sans ocasion pour destourner plusieurs biens grandz services que les

    contrainctz comme pour le bien du service du roy et soulagemant du

    Consequence, demeurant par tel moyen la forte

    leur accorder de leurs demandes, ce que ostera mesdictz seigneurs

    cens soldatz dans ledit Rousval, mais par ce quilz navoient vivres

    frère à jamais

    de Bruys et Ste Marye Eygalyers Senyer

    plus favorables au passage que ilz ne sont esté

    Amy à vous faire humble service

    ceulx de Meylans. Le syre Barthe[lemy] La-

    cré un general de vingt cinq galères pour la garde de leur

    parts demain pour men aller à Pize et à Sienne dont jespère estre de retour

    votre très humble et très obeissant serviteur

    vostre à jamais plus fidelle et plus

    y nen est rien, et que tant sen fault-il que je nay jamais

    très obeissant

    Je desirerois quil sattaquast à Lacoste sy Dieu le

    Createur vous donner

    Lapierre

    avec luy. [barré : Nous le alons voir]. Monsieur de Evènes et moy le alons

    Monsieur les enhque namais [ huguenaulx ?] de ce peys font courir le bruyt

    sil nest pour vous supplier humblement quil vous

    pour les honnestes offres que vous luy fites de laccompagner par tout votre

    lettres de monsieur d’Ourches et de ung oiseau que vous mandés

    voir à Monsieur mon placet et y respondre, amis ce

    souldartz, mais il a la voulunpté si belle et est sy curieulx daprandre de bonn[e]

    à mondit seigneur de Nevers, comme estant en ce

    monsieur [barré : de] et madame de Bressieu. Il me voluct dire sa charge

    [v] qui s’offriront de justice, comme il est bien requis et soubz

    votre serviteur

    les consulz de Dye et pour eulx

    Jacoit quil y ait quelques jours que ses chevaulx quil avoit laisser ly attendent et soubdain que

    montoyson.

    monsieur, quil vous doint en très parfecte santé, très heureuse

    Truchenus

    serviteur

    et [sic] longue vie. De Grenoble, ce IIIIe sepbre

    grenoble

    Très hobeyssant serviteur

    compte en granger que de luy, car

    [v°] monsieur, vous donner en sancté très longue, très contente heureuse vie. De

    des [sic] mes arbres

    [barré : longuemant] quelques temps.

    ferons notre debvoir ; que sera lendroict,

    seure que toust ce pourte bien.

    Voz humbles et obeissans serviteurs

    trouver avec leurs bestes pour charrier

    de mesdames de Casenove et de Gordes, ny de lembarquement de monsieur

    les thoneaulx ; et ayant faict, il me viendra

    De montenard

    parlé à persone sinon à monsieur de Crapone que ma dict

    escripte, laquelle ledit seigneur Torquatto vous avoit envoyée

    votre humble et obeyssant

    quy plus desirassent vivre soubz lintenssion du

    reyns, qui mest survenu à cause que le dit

    de votre argent que Mada[moise]lle menvoya

    cele que mescripvites par le lacquey du cappitaine Lisle, mès jentans que

    arquebouzes, lequel sembloit estre refrechy et renouvellé

    Monsieur, je vous suplierai me tenir pourt excuzé si je ne vous

    dudit Morin. Quant aux propoz du [barré : me] seigneur Torquato,

    Monseigneur vous donner bonne et hereuse vye. De Sainct Safforyen d’Ozon,

    Bellievre

    Monseigneur, je supplye le Createur vous donner en très bonne

    Votre très humble et très affectionné

    [v] combien il desestimoyt et hayssoyt le père et combien

    et si vous gratifierés encores en quelque chose messieurs vous frères [barré : en]

    Beuf demy Lt

    à tout le moingtz permettre, attendu les excecrables

    du IIIIme de ce mois, javois faict rapporter une requête contenant seulement trois chefz. Le

    son effect purement et simplement au lieu dudit sieur César, Italien et de

    voulonté que je salu voz

    l’avoyt fait ausy demander par monseigneur le duc, mais

    vous aurés de moy pour la presente que ie finiray par mes

    y avoit commencé quelque chose et ainsi lavois-ie escrit à

    très hobeyssant serviteur

    charge au cappitaine La Varenne, present porteur, je massure que avec une

    que messeigneurs les cardinaulx mesmes portent lhabit de leur ordre et

    monsieur, en parfaite santé, très longue vye. De Nyons,

    [v] mes très humbles recommandations à vous bonnes graces, priant Dieu vous donner

    tenu et avant la guerre et après me vint de mander

    davantaige encor que j’y veoye tous les jours moins de moyens ; si nen

    voz bons voloir et commandementz, surceoir la demolition diceulx

    entre ordinairement au conseil qui se tient en la salle du roy.

    [(effacé) on] dont vous maviés chargé vous advertir

    Et en consideration des despences soustenues par la guerre, le roy

    pauvretés quil allègua tellement que je feuz prié faire sursoyer jusques à ce quilz

    complices soient chastiés.

    de bons hommes, que sil veult seullement ensuyvre

    par sis années et à moy que par quattre, car on a plus tost moien

    entendre par les lettres de messieurs d’Eveynes et du Chastelard. Je ne vous ferey plus long

    complices soient chastiés.

    Votre très humble et obeissant

    [69 v°] des Adrestz est en ce lieu avec le baron de St Trriviet son

    religion avoyent prins Malossène qui est auprès

    [76 v°] aux impoustures et fauces callomniations de certains qui vous sont mal affectionées, dont jaccuse le

    garnisons en ce pays, il vous pleust en faire les

    ladite ordonnance dudit sieur de Gordes ; de quoy ilz, Bonnard et

    dudit Pasquelet le troysiesme jour de février

    fayre ce qui se pourra pour ledit cappitaine La Varenne, present porteur ; et

    de la cotte de satin cramoysi à fondz dor rayé dargent. Elle

    [98 v°] a cassées ou reduictes et retranchées et quil faict faire là et

    [99 v°] je me remectz à votre prudent et saige advis et pour le regard des [nouvelles de]

    et croiés quelle nest exempte de collère et toute

    [107 v°] quil vous plaira me commander de telle affection que, après

    carces et à monsieur de Cuges, [barré : je le] et à ceulx là de

    de Laborel pour les moys suyvans

    laquelle il vous plaira me renvoier et me

    de ceulx de nostre ville, gens honorables et bien assurés ; et estant montés audit

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et très bonne

    le Createur

    puis peu de jours est decédé. Si lon y faict quelque chose,

    à bonyssiant et comme je prie le Createur vous donner

    leur eglise de garites et fossez, ayantz flanqué

    aysement faire par le moien de Chanussy qui

    trente livres ts. à eulx donné par feu

    De Cremyeulx, ce VIIme febvrier 1574.

    La cardonière

    aux comissères et conterroleurs des guerres ; et ayant veu

    est mené ung peu vifvemant comme jestime que lon fera, il se descouvrira

    Oùt ilz ont lougé et verssé les vins et

    A. de monlitard

    les quatre en deux, je les porrois tenir et faire service dhomme souffisant,

    me suis voulu employer pour vous monstrer le desir

    Talhade à chacung et [barré : lay] en ay envoyé la substance

    [147 v°, tout en bas de la page, à l’envers, mots suivants :]

    soyr par le moyen du cappitaine Bastien [barré : que]. Jevous

    [150 v°] elle sera cause de son martire. Toutesfoys, pour obvier à tel inconvenient,

    Dieu vous donner, monsieur, bonne vye. De Tournon, ce IXe

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue et

    presenter, vous suppliant, monseigneur, nous avoir en

    Cest [barré : la] coppie de la lettre du cappitaine Ferrier mandée à monsieur de Laborel

    Votre très humble et plus obeissant frère

    mandement du roy au comissère et conterrolleur.

    monseigneur, en parfaicte santé sa très digne grace,

    vous luy feriés ung grand, daultant que jour et nuict, ilz

    de Portes vous fera part des coppies de deus lettres, lune du roy et

    et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy

    et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy

    du comte de Gayasse quilz se plaignent pour ses mauvais

    que je finançasse aucune chose. Je luy ay fait

    je vous remersie bien humbleman. Je me suys logé, pansan fère bien,

    Votre très humble et aubeyssant servyteur

    la faict lhier et garotter dans ce pacquet pour pourter tesmoinaige de sa

    ai baillés en quarante testons à monsieur de Cabannes, aiant entendeu

    La trefve quilz font que seroient trop longs à vous escripre,

    monsieur, en santé contante vie. De St Germein, ce XII

    ny a guières ; cela est bien loing de laccord don ie vous ay cy devant

    dans une partie de la ville. Si vous trouvés bon, monseigneur, que

    quilz meritoyent, car Glandaiges les ha tuées [barré : de] à coups de poignart pour avoyr eu quelque vent quilz estoyent

    chescun face en ce le debvoir quest requis comme

    [...]

    Monsieur, il n’est pas besoing que preniés tant de peine de nous escrire à chascun une lettre

    serviteur g deportes

    et favoriser comme [barré : a] avés de vous graces faict

    fet expererune bonne fin, atandu a prudomie. Mès anses

    vie. De Grenoble, ce XIII fevrier 1574. Votre très humble

    deniers du sel qui sont provenant de limposition de IX s[ous] sur chacune

    telles prolongations de trefves ne sont, comme vous dites, mieulx observées à ladvenir,

    et de mon honneur ; je vous an suplie usan dautre revanche an quelque

    telle façon quen recepvrez contentement Lesdits ennemys

    de Rousset, nobliant

    arrest pour le faict de la blanque et reglement des salins de

    car sy je suis contraint à le faire, je serey contraint quicter le

    confessé ingenuement la verité de leur despart assembler et suite desdits

    conseiller de recongnoistre leur roy. Cest tout ce que je vous

    qui ses jours passés, lung à lenvy de laultre, envoyèrent à Lyon

    estatz de Daulphiné.

    Hautefort. Je me recommande humblement etc… Du Montelymar, le XXVe fevrier 1574.

    si jen dis librement mon avis car les jans ne doyvent

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et

    De pennes

    fevrier 1574.

    de vivre et le seront encoures plus silz sont contrainctz payer

    et soulaiger le pouvre peuple, et par ce moyen, on les ostera les moyens desquelz ilz ce prevauldront si (rien)

    et desserés en sa presence, luy

    ny trover, ne de quoy les payer ; par quoy,

    oultre ce quil vous playrra me donner pour les pertes passés, quelque

    et nous, Jean Faure notaire et secretère

    de sa charge et legation, estimant que ce sera comme nous disons

    journellement ilz recoipvent de vous

    Vostre très humble très hobeyssant filz et à jamays

    [273 v°]le leurs, mays cest ung mal sci commun que presque tous nen peuvent

    pour cestheure il nen est rien ; mès à toutes fins, nous les avons advertis se

    mon partement. Cependant, lons depeche le sieur

    fevrier.

    quil soit, nous nen vivrons, Dieu aidant, moingues en

    ce soit ung commencement pour luy lever sa charge

    et vous doner

    monseigneur, vous donner en parfaicte saincté longue et

    chevalier de lordre du roy

    sestime plus qui ne doive[n]t. Je vous repondrè de Decombes

    en peyne de scavoir si ledit sieur de Charens arrestera en cour, luy

    auquieul pour votre particulier, avons heu esgard aux

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie. De Grenoble,

    trente ; et sil vous plesoyt nous donner quelques

    veulhe à mouderer et changer.

    De Grenoble, ce XXIIIe de fevrier 1574.

    De Grenoble, ce XXIIIe fevrier 1574.

    ennemis, se sont remis avec eulx et quelques aultres de la ville que je avoys

    [310 v° ] de semblable magistration, si bien que la querelle est telement

    je scay que vous

    que nous soit bien proche voisin, cy ne le doutournons

    choses nen avienent par mon default, ains advyenent contre

    Sil vous plaist que je le face ruiner, je le ferai. Je croi,

    Du chasteau.

    et se noume cappitaine Bonet. Il Vostre pour jamays très humble et affetioné

    deau dans leur eglize quilz ont bien fortiffiée, come plus

    Dieu, soubz lobbeissance de sa magesté et vostre.

    très bonne santé, très heureuse et très longue vye. De Lyon,

    vient darriver pour me dire quilz prestendent quelque secours et plus obeyssant

    foyble ; et cyl vous plesoyt nous en accorder ancore

    des coustés de Flandres que des ambassadeurs qui sont icy,

    me recommandant très humblement à vostre bonne grâce, de mada-

    n’en pouvoir attendre guère autre chose. Il faut user de

    fallu consommer tout le iour puis revenir en ceste

    qu’a esté occasion, monsieur, que nous nous sommes résolus

    que de vous en cuyder prester, et trouveront touiours, à mon advis, les volontés

    faict au chasteau de Boullongne, ce XXVe de juing 1572

    que ie vous ay escrit du duc de Medina, car ceulx de

    A. Du Ferrier

    de madame de Gordes et du sur plus de votre

    monsieur de Rousset estoit si mauvays mary d’estre encore à Grenoble, il en

    pource que c’est chose de grande conséquence tant envers nous

    Monseigneur, je prie Notre Seigneur qu’il vous done en

    [v°] Montpellier, ce XXIXe jour de juin 1572.

    et s’en recomandent très humblement à votre Seigneurie.

    parties, à quoy ilz acquiesoient. Despuis, je

    veoir l’agresseur attendu que ledit Chastelar est homme d’armes de

    [capitain]e Portes

    frère à iamais

    Hourches

    Monsieur, en très bonne santé, longue et très heureuse vie.

    Votre plus humble serviteur

    serviteur

    Le roy envoye argent de par deça pour les

    J’estime que la depeche du capitaine Spilly aura

    [v°] Monsieur, vous avés sceu par notre dict frère son habillit,

    querir mon seigneur et madame de Lorrayne de la part de leurs dites magestés, lesquelles

    votre affectionné et seur amy et allié à vous

    estez au devant. Chasquun se prépare pour

    labstinence me guerrirons pour la fin, après mes humbles recommanda

    Capitaine Portes

    chauses en notre part et du chant pour beaucop. Il y a

    mettre après de partager. Je n’escris rien à Evènes ny

    Montoyson.

    Ceulx de Crest, les catholicques, sont en grand

    Votre très humble allié et serviteur

    des rebellions de Flandres, disans que jamais les Gueuz dudit païs n’eussent osé entreprendre

    les Espagnolz, craignant que ceulx de la ville ne leur

    faire fournir en ceste ville d’armes, je vous prie que vous

    pais, et que sa magesté apris touttes les hoppignons sans

    de feu monsieur de Monbasin. Monsieur le duc

    fille à vous hobeyr

    cousine à vous fère service

    vie. Dans vostre maysonete de Molardron, ce XVII de juliet

    prestre de Sainct-Laurens, m’asseurant qu’il estoit homme de bien et

    De Buffevant

    à nouvelles de la court, je vous envoye ung extraict de lettres

    plus de quatre cens quintalz de pailhe. Se Dieu nous

    chose digne de vous, despuys mes dernières lettres, qui me

    Votre très humble et très obéissant frère

    sieur que madamoyselle de Caseneufve vous a par cy devant ad-

    de Buffevant

    Votre meilleur amy prest à vous faire service

    XIXe juliet 1572.

    à Crémieu ce me semble, la vostre à Moyrens, celle de

    à sa requeste, d’aultant qu’il ha advancé

    Votre très humble et très obéissant

    devés fère saysire seux d’Aurange. Je nay point heu le

    Monseigneur, pour votre santé et prospérité et demureray

    financer, et que davantaige monsieur le comte de

    plaira. Cela vient de ce que, en traictant de la

    quelque volallye où je croys quele sera à melieur

    conte d’en partir et sependant la saison de naviguer en cette mer se

    S de chastellard

    de voz désirs. De Cézane, ce vingt troyziesme jour de juillet

    au baillif de Chastelard de sen vouloir saisir

    et que monseigneur le mareschal Damville a monstré

    viteur

    au premier jour. Madamoyselle d’Ourche ma niepce,

    Votre humble e affectioné serviteur

    continue tousjours à fortifier et munir ses places en ce païs

    exceté le duc d’Albe ; car cest autant a

    sa fievre et nous a secouru de force voulallye, dont il nen

    à vous fère service.

    Fesant la presente, se pourteur qui est de masain, ma rendu les lettres de nostre

    je crois l’incomoderions de beaucop. Si cas est

    impetreront envers Dieu, lequel je supplye vous donner,

    bien que elle nous rescer et ne pourons

    pour voyr s’il i avet quelque chose pour donner ordre en votre

    proposées contre vous contenues audit cayer, de quoy il

    arrivé que je naye le piet à lestrier pour vous aller faire la reverance. Mon frère de Guarguas

    ma dite dame et du reste de vostre compagnie,

    païs de si meschantes personnes, que sera lendroict au quel vous

    priant Dieu quil vous doint

    compagnie vous baysent les mayns, ayant tous ung [abimé ?] regret que

    et en tout ce que consernera vostre service pour

    Ce IIe de aoust 1572.

    à la bone grace de madame de Gordes

    vie. De Sault, ce second daoust 1572

    a faict en plusieurs autres lieux despuis. Je receus hyer

    nonobstant ce que ne leur ay faict monstre,

    eu alarme ; toutesfoys, « donne toy garde nest pas mort ! »,

    endroict où il vous plaira me commander.

    d’en avoir faict doner ung arrest, et luy remonstrerés

    chevaulx. Monsieur, je metray ceste obligation

    serviteur

    Vostre plus affettionné et obeissant à vous faire service

    les mains, je prieray le Createur,

    qui est signe de guerison. Je n’attens heure que La Coste

    Votre très humble et très obayssant

    me dira bien daultres choses et non sans mentir.

    [v°] vouldroient calumnier voz actions. J’adjoupterai

    Bourgel et quelzques memoires pour y respondre [barré : lesquelles]

    Je vous envoie lune des lettres dudit sieur president Bellievre.

    desunion des segneurs don il escript. Vous voiés

    Vostre très humble et obeissant

    De Paris, ce VIIe juillet [sic, pour août] 1572

    A Paris, ce 7 daoust 1572

    Monsieur vous donner en parfaicte santé, bonne et longue vie. De Thurin,

    que iay par dela, den voloir prandre la peine, ce sera par

    Vostre très humble etrès obeisant

    qui mourra dicy à cent ans ; sil mestoit permis, je dirois que cela luy

    Monsieur de Lieux morut le XX du

    Monsieur, je vous suplie que

    je prierey Dieu

    ormys Grasse, lequel, après mavouer derobé ung escu au

    parti, et aiant le dit Chaponei de près advisé à son conte,

    mains et de madame de Gordes et prierey

    Grenoble, ce XIIIe aoust 1572

    recommandations à vostre bonne grace, priant Dieu vous donner

    de moy et pour vous relever aucunement, je vous ay bien voulu

    [v°] et assanblée de la multitude du peuple qu’il aviont

    ezquelz je ne cognois que passions demesurées, sans fondement

    pour le congratuler de la part du roy d’Espaigne de son nouvel advancement ; pareillement y

    Monseigneur, vous donner en toutte prosperité

    picard, chirurgien

    qui est IIIIc l[ivres] t[ournois], je ne scais sil seroit trouver bon, car cest

    Voz bien humbles serviteurs les consulz d’Orange

    de la nuict et du jour que La Roche failhit

    employé votre credict et le mien pour cest effort sans vous

    temps pource que on a certaines nouvelles que larmée de Don Jan

    arons ce bien de vous y voyr. Ce pandent, toute ceste

    Bourgel

    havons heu bien peu de grain selon la pailhe et n’avons

    ceste despeche par le moien de ma niepce, madamoysele

    serviteur à jamais

    supplier qu’il vous pleust de luy en escrire et à ceulx

    de la bonne souvenance qu’avez de nous.

    très heureuse vie. De Grenoble, ce XXIII aost 1572

    de faulcon, appellé aultrement laneret parce qu’on

    faire quelque chose pour en veoyr la fin, et madvertir

    Rousset

    [v°] recommandations à votre bonne grace,

    que persone par lettres du roy et votres, et qu’il s’en retourna sur

    [v°] adressera ledit paquet, qu’il vous plaira mettre dans le votre

    Monseigneur, vous donner en sancté très heureuse vie et

    Lathivolliere

    est absent sur les unze heures. Le chevaucheur ma porté

    estoit mort, don respondis nen scavoir rien. Lons

    plus de vostre petit peuple, priant Dieu quil vous doint

    fait pareilhe response à Gautheir qui estoit

    acomodera de largant que

    très humble service

    le mareschal Dampville, bien que il ne aie heu

    les ay tous cogneus si chretiens que premier que de s’oblier

    ne dogmatise, comme je suis asseuré qu’il ne s’en pourra

    vous en advertyr. Que sera l’endroit où je salueray voz bonnes graces par mes très

    car ilz y font garde et preschent en cinq ou six lieuz,

    puyssiés assurer et massure que me treuverés

    remectant à nostre dite première veue, je prieray à Dieu

    Votre très humble serviteur

    du service du roy et des longs et bons que vous luy avez faictz

    Votre très humble et hobeissant

    je vous vouldrois supplier lavoir en recommandation

    d’Ambrun

    mains

    vous donner

    bien acompagnez. Jai (vuz d )

    [v°] plaignent, jusques à le desguiser et faire entendre

    monsieur le cardinal Urssin au pourt d’Encomme, pour luy offrir tout service, mais

    Votre plus afeccionné à vous faire servise.

    maison de Vaulvanés, ce IIme d’octobre 1572.

    à la fin je leur ay faict prendre raison en payement, mesmes

    prier le Createur, Monsieur, vous doner, en santé, heureuse et longue vie, sa grace.

    deliberations de notre ville se font aujourd’huy sans

    duquel La Corniere j’avois souppé le jour precedent, qui en faisoit

    son cartier de la porte de Seigoron. Je les vois voir

    prye leur an mandé [barré : leur] vostre avys é solysytés toujours

    monsieur de La Crosette a executé tous ceux de la religion estant

    me recommandant humblement cependant à votre bone grace et priant

    vous suppliant le tenir pour tel, comme je foys ne meslogner

    que la dame de sceans et moy nous

    frère à jamais

    recomandations à voz bonnes graces, suppliant le

    priant Notre Seigneur vous donner,

    particullierement des choses comme elles y passent quy me

    Saluces, ce 6 octobre 72.

    Y font courir le bruyt que

    Adrés a escrit que il na ung seul

    et conduyra, s’il luy plaict qu’ilz [barré : ressoyent] repcevront tousjours contentement

    dartilherie pour les faire dessendre au long du Rosne. Et croys

    duquel desirant scavoir la verité, j’ay envoyé personnaige pour m’en appourter des noveles.

    et serviteur P. de Simianne

    J’oubliay de vous dire à votre departir que, comme

    J’oubliay de vous dire à votre departir que, comme

    persuader estre veritable, me contentey de tenir tant seullement

    vie. D’Avignon, ce XIe octobre 1572

    religion novelle, je vous en mande la lettre que le cappitaine

    Votre très humble et au

    tourtorelles graces à monsieur le mareschal

    grandissime affection vous offrir de sa part très humble

    procureur Michallon aura arresté Jehan de Cosmes après luy avoir

    costé de l’eau, en sa mayson de Saint-Nazere, qu’il a delogé

    que vous et madame de Gordes scauriés soulhaicter. Je me

    G. Duga

    deçà où il fait bon, comme pouvés pancer.

    G. Deportes

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne

    passage de madite compagnie par votre gouvernement soubz

    causer ou perte de deniers ou esgarement de papiers et

    Elle ma incontinent dit que ce nestoit que

    le conte de Tande, je vous ay despeché ce porteur pource qu’il

    temporisent en fesant leurs voleries à se jetter en troupe et compagnies

    ont estez mal receuz de vous, car ne se reduyeroyent

    Votre très humble et très affectionné

    esté ordonnez du temps du feu roy Françoys dernier, que Dieu absolve, dont

    Votre très humble et très obéissant frère

    faict.Ses jours aussy, un cappitaine Ferrier, qu’est

    la court cognoistront la vérité et ma juste cause et qu’ilz me

    où il vous avoit asigné. Je ne larrai pour

    Chastellard de Boczosel

    la sénéchausée pour madame de (barré : Gordes] Carces. Ele vault XVIIIc frans de

    De Paris ce 18 novembre 1572. Votre très humble et hobeyssant

    et qu’il soint comandées. La roine mère, le roy et

    vye. De Paris, ce XIXe novembre 1572.

    mespriser en cela leur faveur. Je verray la volonté des

    des comptes du Daulphiné ou s’il est nécessaire attendre

    J’envoye à monsieur de Saint-André

    Balhi peut beucop en la chambre des comptes comme

    Pour leurs comunautez

    Dieu, monsieur, qu’il vous donnoit en la sienne très bone

    de moiens en à peu près qu’il a présent. Despuys, madame

    vostre dépêche au roy soit veue qu’il ne soit de retour ici,

    sans aultre expression, fors celle que ledict pourteur nous a

    [v] choze que ne vault guières pour ce pays et le service de sa magesté.

    Pappier de rien quy touche à

    à leur accostumée leurs offices en ce lieu. C’est une requeste

    [v] que, estant prié et pressé de luy, il luy dict que, selon la

    payent plus que ne muncte mon estat, celluy des douze soldatz, et toutes les

    [v] dame ma seur et votre cousine la conseillère et prieray Dieu

    de votre gouvernement, de permectre qu’il s’y feist rien du monde sans

    de corps. Je suis estée bien fort aise d’avoyr entendu de

    feu sieur de Briquemaut avoint, avec autres huguenotz,

    ville et concéquement de tous nous voisins.

    pan de murallie juanant à la

    Au demourant, Monsieur, j’estois sur le poinct de vous escrire

    prester l’obeissance. Il a fort conjuré son altesse d’estre compère et de donner

    Rousset

    le mareschal. Je ne scay s’il y remédiera. Je

    dedans a mys au fil de l’espée. Madame

    [v] luy faire adnoncer de mettre sus les impozitions nécessaires

    passer, mès que pour deux liardz la pièce et ne m’aviez rendu

    hiver recercher de s’accommoder. Don Joan s’excuse

    de quelque Damas, qu’est tout ce que je vous peus

    Stanay ; et du jour d’hyer luy parlant du faict de la

    trové. Vous me teniés tousiours en bonne spérance de venir que

    la racheter par la mort et pasion de son

    Monsieur, il y a jà assés de jourz que monsieur d’Alemaigne,

    nous devons mespriser toutes choses de ce monde. Je vous

    monsieur le présidant Balhi mesme, qui vous est fort

    à jamais

    porte de l’advenue du Crest. Leur fictz commandement les

    bulles de sécularité de céans, il ne la peult donner que à ung

    Françoys Abel. Monseigneur, je ne veulx aussi hoblier

    pour aller en barquer Monseigneur le cardinal de Lorrayne à

    l’esloignement d’icelle compagnie de nous cartiers

    autres novelles, je feray fin en priant Dieu,

    Monsieur à tous deulx avec les sienes tres saintes, bone, longue

    Votre très humble et très obéissant frère

    veoyr monsieur le conte de Sault, car monsieur le conte de Carssès

    il charge le sieur de Montbrun par ceux-cy d’avoyr asseurance de luy, ce qu’il ne

    receu une lettre de mon frère qui me chausse fort les esperons

    deux coffres apartenans à monsieur de Laval, de deux

    premier advis, comme ilz font ; et va souvent dehors tant de jour que de nuict et tantost

    Monseigneur, j’avois oublié à vous dire comme monseigneur le Grand

    d’heu XVc livres de ma pencion que monsieur de Roisse fait

    pour n’avoir esté remis dans Valence. Le mesme jour que

    Passage est icy, lequel me prie de fère tous mes effors

    qu’ils y sont entrés près de III ou IIIIc persones à l’improuveue. Le

    roy se contente que monsieur de Nemours y mette la main pour luy.

    quanto potra avere se potiamo liberare da quanto trava(si)

    à se [barré : se] résoudre

    prohibitifz ont faict, assité et enduré prèches

    Voutre très humble servyteur

    me faire cest honneur de len remercier. Je presente mes très humbles

    en langage de Daulphiné, de garaudes de gros drapt. Quest tout

    De XV c [ent] que me debvoit monsieur de Roysse de lan

    Votre humble serviteur

    ce 8e janvyer.

    presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace.

    bonne sancté ; que sera la fin après vous avoir

    très bonne. Monsieur de Vure vous dira lapointement de messieurs de Gaubert

    tout obeissant service et me renger du tout en tout en voz commandemens

    le sieur procureur du Roy et le greffier pour les sequestrer

    advertissois de par mes dernières lettres du VIIIe comment

    H de Montmorancy

    opinion que ce sont affères pressez ou de poix, puys quilz se sont acheminés en si maulvais temps et pays.

    ayet soulysité, je ne luy ey vouleu permetre

    Daulfiné. Il est chanoyne en mon eglise Sainct Estienne de Thoulouse et

    ne soyt employéee en vain. Et surce, je vous bayseray très humblement les mains,

    bonne grace, suppliant le Createur quil vous doinct,

    à la fuicte et ledit Chabrières mené en sa mayson avecques le barbier ; et parce

    [63v°] quoman le tount e[s]t pacer. il me semblet que

    Votre très humble et au

    mayson m’est une grande despence et mesdictz subjectz sont en fort bonne

    leurs, ilz sen scavent bien garder. Oultre cella mondit

    serviteur

    et de ce il y a [barré : sent] quelque sentence randue à Vienne

    janvier 1573.

    ment à la fin dudit janvier et nen ayant aucunes nouve-

    très humble servysse

    dètes ne se recovrent eysemant. Je vous puys

    y est reduict, sinon à la meison que vous savés. Il se faict un très

    plus proche de ces quartiers, que vous la faictes approcher à Pierre

    Votre très humble et obeissant

    Votre humble et très hobeissant

    Voutre très humble et haubeissant

    Voutre très humble et aubeyssant

    conpetant deslay pour se pouvoir remettre en leursdites

    Votre plus affectionné à vous

    grace et prie Dieu, cappitaine Saynt Auban, vous tenir

    et aussy que ce seroient fraiz inutilz. Et affin que vous cognoissiez ce

    que vous congnoissés bien de la ville de Gap, ledit

    recevront icy sil leur plait mes humbles

    [ainsy quelle est fort ma ?? bague ]

    que le lieutenant du cappitayne Ansselme estè party des environs de La Rochelle [lequel]

    priant le Createur,

    Monsieur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie

    luy fust imputé de y participer Il me pria

    par mes dernières et à celuy qui la commende en

    camp. Cepandant je me suis pancé de commancer

    Je ne faudray vous escripre le plus souvent que pourrai

    Monsegneur, ie prie Dieu quil vous conserve

    hount faute de boulets ou quils nous gardent quelque

    tenons la ville assés de près par des forts dont

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    sy je ne ly escris pour le present pour la haste du pourteur.

    de Bonnevaux vous en presante autant. De St Gervès

    Grinhan, et III à Tarasquon et le re [sic] reste pour la seurete du pays. Le

    sesyr du chateau de Livron

    bien verifier les vostres quand laddresse sera refermée.

    ny à nul autre, de passer par votredit gouvernement et seroys bien marry de lavoyr faict

    aultant de plaisir comme de bien bon cœur je me vays recommender

    vie. De Lyon, ce XXVIIe jour de fevrier 1573.

    lons offrira ce qui ce peult, Dieu veulhe par sa grace

    me recommendant de rechef à votre bonne grace, votre cousine

    laront veue sil vous playct.

    ville quil pourroit arrester et aussi par des

    Caussens et du Gua. Je le tiens du[n]g jentilhome qui venoyt de la court.

    priant Dieu quil vous doint,

    refaire bresches et les assaillyr de tant de lieux

    du conseil du Vivarès nommés le sieur de Gebellin et du Pisac

    Hourche

    et parler fort aultemant, chose que pourroit comme estre la

    marchant ne se desaisist pas voluntiers dune telle somme que à

    à vous faire service

    Votre très humble serviteur

    [195 v°] y seroit bien empeché. Je vous prie, monsieur, comme mon

    monsegneur, vous avoyr et maintenyr toujours en la sienne

    des plus affectionés à la novelle oppinion.

    grace, priant Dieu,

    longue et heureuse vie.De Velcluson,

    dabundant que les seigneurs de Sainct Romain et du Chayla sont coronelz de VIIIm[ille]

    cest honneur me commander ne soit que [barré : que] ayés plus

    estre escrittes, mais je n’en ay du tout point, si

    m. le conte de Retz devers le

    qui se disoient d’estre commissaires du roy. Cependant

    [212 v°] Notre Seigneur conduyra le tout, auquel je prie

    prouvoyrez si bien à poinct qu’ilz ne gaigneront rien sur votredite

    contesse [barré : m’en] de La Voste m’en demandat d’aussy, cas advenant qu’elle n’eust

    Je me tiens asseuré qu’il faudra des missions advant

    effrayer comme a fayct le peuple eslongné du Rosne de quatre leues

    voz bonnes graces de mes très humbles recommandations. De Tournon,

    toutes les forces qu’il pourra ramasser. Il fault

    cappitaines qui tiennent vosdits hommes. Vous serés advertie

    pour houvrir le chemin à ceulx de ce cousté

    Je vous pris monsieur que messieurs le president et de

    François de Simiene

    [235v°] autres preparatifz et y avoit neantmoins quelque trame

    serviteur Bellievre

    du roy en toute telle forme qu’il voldra. Et pource monseigneur qu’il a juste

    L’ons a assalli ung ravelin à Senserre, mais n’a esté prins, eins

    de Montbrun se facha quand ceulx de la religion luy

    Nous avons eu icy toutes les mesmes nouvelles dudit Sommière qu’à Grenoble.

    Mandelot, que j’ay faict mectre à cachet vollant afain de prendre resolution

    la peyne et enuy enquoy j’en suis, vous la povés assés pensser.

    je ne vous diray, mais le vous dira

    de paix nous ny povons vivre et en temps de

    supplie, monseigneur, si loccasion se presente, quil vous

    ung qui menoyt des crues pour monsieur de Saint Jeran ayant comme

    Messieurs le comissere et conterolleur craignant de

    voyr des lestres qui an font mantion. Toutesfoys je tacherey d’an savoyr la verité

    et au dessoubz votre bien humble serviteur Brianson

    des lemproyez qu’il n’a peu pour vous envoyer et vous en envera

    alé vous trover vous fèr[e] la reverance.

    bonne grace et prie Dieu,

    vous doner,

    très humble service en tout ce qu’il vous plaira.

    grand veneur ^[^ la moitié de sa companie et] et la pension. Ceulx de La

    m’est possible de m’envoyer en toute diligence la compagnie de

    fère votre demeure plus longue, oultre les grains des particuliers qui

    madame de Gordes leurs humbles recommandations comme aussi fais je

    qu’il voudroit bien avoir. Peut estre qu’il se radvisera. Ladite damoiselle

    Monsieur, jay receu ce jourdui, envyron mydi, votre lettre du XIIIe et par icele

    bien marry quant je n’ay moyen de leur prester ce qu’il leur seroict necessaire

    quil en vint faulte pour ne luy advoyr otroyé ce qu’il demandoyt.

    prie à Dieu que vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse

    me commander votre vouloyr pour icelluy toute ma vie

    Quand à ceulx de la ville que font la garde,

    tousiours en moy un humble et affectionné

    Monsieur de Morvilliers escrit

    doubte et ne peult on y remedier, ce que faict de tant plus velier [ie : veiller]

    longue vie. De Gap, le XVIIIe de mars 1573

    très humblment daultant que il passe continuellement

    votre très humble serviteur à jamays

    pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous tienne en sa sainte garde.

    contenu par votredite lettre

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    du chasteau, lequel, se voyant desporveu prontement de moyen, me fit

    votre très humble allié et

    obeissant serviteur De catynel

    plusieurs services et vous cappitaines en pourront tesmoigner.

    [55 v°] [bouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    tardé daventage, aussi de considerer de combien je me doibz arrester aux promesses

    vous.

    et ne luy manquera bon trettement, et sa compagnie la receu

    monsieur larcevesque d'Embrun de sy retyrer, le quel estoyt sus son partement

    XVe jour davril 1573.

    sur le sel, ny que l’on prenne les deniers de la subvention et fauldra adviser quelques

    par eulx pillé et saccagé. Au reste, syre, si monsieur du Puy Saint

    que je tiendray à bien grande obligation, et ledit

    [83 v°] autreffoys de leur party et menoyent des soldatz catholiques, ilz sen fuyrent

    puys dire, madame, il a faict de telz et si notables services à voz majestés [barré : tant

    dailleurs par le moyen des [barré : offices] provisions de tant doffices esquelz mondit

    Jay receu la lettre du gouverneur d'Orange, lequel sexcuse de tout ce que

    [100 v°] pour navoir autre cavallerie que ma seulle compagnie, que je vous supplie de mesmes, sire,

    demeurat 7 sepmeynes à Chaste. Je ne feray plus

    particulièrement.

    Sire, il a pleu au roy par ses lettres du Vie me faire entendre laccord par vous faict avec les

    [121 v°] [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    et quant est au faict du sel sur lequel leur partye fonde sa plus

    servira longuement, toutesfoys, cest prud[papier déchiré] faut de se

    et machemyner pour secourir ledit Chabeull car le

    de Chabeil, duquel sestoyt saisy Mirabel ; estant très contant de la dilligence

    au moyen de quoy vous regarderez de vous resouldre et comporter selon que

    à ce quil luy plaise me lenvoyer tant plustost et par mesme

    Autant à la royne mère en substance

    [brouillon de lettre au roi de Pologne]

    supplieray le Createur en attandant icelles

    et mectre par terre les murailles et forteresses si elles vous sont

    et digne garde. Escript à Paris, le XXe jour daoust 1573.

    mettre en campagne que pour esperance que jaye de forcer

    peuple ; et affin que nulle compaignie puisse entrer en votre gouvernement

    soulagement de mondit pauvre peuple ; et affin que nulle compaignie puisse

    remonstré par lesdits consulz que lesdits

    service au roy avec ordre quil nous seroit administré vivres suffisamment

    mil cinq centz soixante trèze Ainsi signé Charles

    informé de lestat de noz asfaires ; le roy de Pollongne preint congé du roy

    troys ans passez, au moyen duquel decès ladite

    sieur des Pilles, pour lequel sil vous plaict, finira aussi la presente,

    sadite magesté a resceues du sieur de Ferralz puis le partement dudit

    Clausayes : IIIm pains II p. v. – f : VIIIc pains [sans acquit]

    ceulx qui firent semblable serement quant et moy ont

    quelconques que nous ne nous voyons. A Rozans sont arrivés

    pourvoyr de bonne heure à ce que le repentir

    commis à leurdite audiction et reddition de comptes ceux de ladite

    jeusse peu et pourroys à sa magesté et à plusieurs seigneurs

    païs, car de ce faire vous avons donné et donnons plain pouvoir,

    ville de Cattaro (ià environnée des costez de terre)

    [223 v°] les marechal et duc d’Uzès et ceulx qui sont deleguez avec eulx, de la peine

    ny monition de guerres, estans peu de jours après assiegez, ilz se

    Bonvert

    [marge gauche : Brouillon de réponse de M. de Gordes]

    La Champ

    à leur arrivée, qui fut de vray bien à l’impourveue

    Antiboul

    chante sen estoit allé dehors mais sa

    [v] golfe et jeudy dernier firent une grande parade bannières en

    dans huict ou dix jours pour le plus tard quest le mesme temps que monseigneur

    Cl : d’Orlyer

    affectionné serviteur

    faict prandre monition, sinon ainsi comme ilz arrivoyent ; le nombre

    Suze

    veust, lequel, après mes très humbles recommandations

    Monsieur en parfaicte santé, longue et contente vie. De La Borde, ce XXIIIIme jour

    veoir au premier jour. Je serey très marri si votre nepveu de La

    que monsieur lamyral sen vyent à la cour surperin-

    plaist avoir souvenance descripre à la court pour

    gouvernement sil en avoit besoin, chose quil a bien remarquée,

    à votre dict nepveu, mais daultant quil a ung bon tiercellet

    n’a peu estre encor, à cause que hyer et ce jourdhuy

    heure qui vaut lesperance quil a voullu suyvre le dessein quil en avoict faict [déchiré]

    [v] lieu [barré : pour], je me suis [barré : trouvant] se presentant une

    come je pence se que je ne sollissitey aultrement parce que je croye

    votre correction, monseigneur, qu’en faictes un mot ausdits consulz

    Ant[oi]ne Guaragnol, vi-b[aill]i

    A Lambert, secretayre

    j’en entendray, je ne fauldray vous en faire part. Monsieur de Joyeuse est icy depuis ce matin, de

    et très longue vie. De Carpentras, ce 3 septambre 1571.

    Bréhault

    1571.

    Yvonet

    sil vous fornit de pailhe, il fauldra

    Blais, ce V sebtembre 1571.

    Monsegneur, après avoir presanté mes très humbles recommandations

    monseigneur, où nous prierons Dieu quil vous doint

    Les consulz de la ville de Grenoble

    la vendange des Coustes. Il vous plerra

    de Laval qui vous script du jour avant le partement de mondit filhs

    trouver à Lumbin pour accoustrer ceulx que y sont,

    [124v] quil vous iroye veoir ceste après disnée, au quel cas

    comment il me dict ; et si estiez en ceste volonté quil se failloit

    serviteur

    roy queulx, quilz ne se voldroyent presanter devant

    messire Jehan Guilhen ma dit pour la quantité

    hier. Elle me baiha sis jours

    la minute et les aultres quon vous adressoit ont esté esgarées par

    au peuple à loccassion de la permission que luy fust faicte

    escrips de ma main propre et set pour metre trové mal de mon bras

    il me semble, monseigneur, que vous ne pouvés

    ce 18e septembre 1571.

    Santé très longue et heureuse vie. A Romans, ce XXIIIIe

    Serviteur

    il eust estimé indigne de son alliance tout ce qui depens

    à scavoir en ce que si le cas advenoyt de la substitution par voz apposée à leur proffit

    Chandelles pour sepmeyne II Lt

    [v°] maulx que lesdits soldatz font ausdits suppliantz de se bander

    premier pour la subvention, le second pour les deniers pour le voiage du roy de Pollongne,

    moy, suppliant mondit seigneur de Gordes le volloir ainsi permettre,

    bonnes grace de mes humbles

    après moy. Il luy a esté respondu de mesmes. Lons

    très humbles recommandations à votre bonne grace, priant

    monsieur le contreroleur Lyonne, mais iay sceu que monsieur de

    La casette.

    compagnie de cavallerie, les ennemys seront batuz en quelque part

    religion et mesdits seigneurs cardinal protecteur et embessadeur ne sont

    ce XXVI janvier 1574

    monsieur, très heureuse et longue vie. D’Apt, ce XXVIIIe janvier

    achepter de chevaulx et revendre à ses samblables.

    veux-je pourtant encor rompre du tout le dessaing, mesmes si je vous veoyes

    châteaux et quant aux murailles que les particuliers qui desireront

    Je vous ay envoyé votre brevet pour les V m[ille] L. ts. Il vous doibt

    quitte au païs la somme de XXIIII m[ille] L. ts. deue par la composicion du vin pour lannée

    eussent responce de vous, mesmes en ce que concerne la demolition des chateaulx. Ce que

    Votre très humble et oubeissant

    lordre quil y trouvera, toutes choses reviendront

    de pourvoir à toutes choses et d’augmenter le reveneu, et

    discours, sy ce nest pour me recommander [barré : h] très humblement à votre bonne grace. Je prie Dieu

    Votre très humble et oubeissant

    serviteur g deportes

    beau , [, frère] que presenta hyer XXIIIe sa grace en laudience.

    de Carpentras et quilz avoyent entreprinse

    principal autheur celuy qui est si longuement oppiniastre à la court pour estre employé à la negotiation

    remontrances et plainctes à sa majesté pour nous en relever, comme

    Vincente, ont respondu quilz nozeroyent en recepvoyr aulcuns

    1574, présent Guillaume de Bonnet, archer, et

    en cela et autre chose quil vous plerra memployer, me troverés

    gaignoyt de tabernacle ; puys à laprès souppé au bal chez

    à Serres et en aultres lieux de nos voysins des Eschelles et comme

    la court, je n'en ay sinon quelque bruict qu'il se faict de la [mort de]

    importunité et ne me radouciray qu’à toute extremité

    vous avoyr salué de mes plus qu’humbles recommandations à votre bonne

    Vitrolle, je leur ay mandé par quatre foys qui nen

    à cause des grandes excecifves despences

    comander voz bons plaisiers et je vous obeirey daussi

    chasteau, ledit Bolut ne se y trova poinct, mais nous fiste on responce quil estoit

    vie et longue. Du Crest, ce VI de febvrier

    monseigneur, vous augmenter ses graces et conserver en votre

    il vous en advertira et moy. Il a aussi faict tenir

    monseigneur, en prosperité vie longue. De Briançon, ce VIe de [barré : j] febvrier 1574.

    leurs chapelles qui sortent hors de ladite eglise

    est son beau frère et lung des chefz de

    madame, desquelles jey retiré

    Votre plus ensien souldat affectionné

    et sceu que monsieur de Montmorenci en avoit quasi la

    beaulcop de choses, car ce laquès en accuse des aultres qui sont encores

    [137 v°] sont après de brusler les eglises de

    Nous attendons dans deux jours lexcelente presence du duc d’Albe.

    actendu que jey eues lettres de tonsure dès long temps et aussi

    que jey heu dès le temps quavés prins à mariage feu

    à monsieur de Laborel. Je prieray surce le Createur

    La Mothe au château de Sabres

    escriptz dernierement comme javoys mis dans lesdits chateaulx

    Je la veulx retirer parce quele est du Montelimar, affin quelle

    de fevrier 1574.

    très heureuse vie. A Grenoble, ce IXme febvrier

    general et particullier en recommandation et souvenance acostumée,

    Francois de simienne

    Je nay rien peu pour celle de monseigneur de

    me recommandant très humblement à la votre. De Lyon, ce

    y meynent ung si grand bruict, mesmes quilz sont lougés

    lautre de monsieur le president Truchon, je ne vous feray ceste plus longue

    [169 v°] resouldre que vous entendés que tous voz subiectz payent

    [169 v°] resouldre que vous entendés que tous voz subiectz payent

    deportements. Si vous avés moyen asseuré, vous devés

    entendre que je nen feis jamais difficulté

    [175 v°] bien [sic] peu de seiour ansette vile ha La Daviolette pour estre

    La thivolliere

    prompte responce.

    que telle estoit votre intention, et si je leusse cuidé telle du parfaict

    Et pource quilz pretandent estans là parqués, nous

    febvrier. Je pance que lons obtiendra la resignation

    escrit. Je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace

    je les face ruiner, je le ferey. Je monstrès la lettre aux consulz

    à Venterol quant il y fut blessé. Je salue voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre

    je ferey de mon cousté en tout ce que me sera

    à part. Sest assés que nous sussions de [barré : vz] voz nouvelles que ie vous désire tousiours bonnes

    par cy devant, de quoy ilz vous sont, et

    entrefètes, hi lat plu à Dieu dapeler leur mère à sa part,

    et obeissant serviteur g deportes

    emyne au grenier de Mornas, pour le recouvrement desquelz monsieur

    que par le passé, ce sera tousiours à notre preiudice ; mays quant aux passeportz

    terme peut etre que vous moblijerés et syl vos plet le manvoyer

    font bruict de passer l’Izère pour leur empecher ; et je

    madamoiselle d’Hourches

    Paccaix, quil vous plaira leur envoyer. Le roy eust hyer son

    [223 V°] lieu du tout, combien que nous layons quicté par le present

    huguenotz, mais non la fin de leur entreprinse, quoy qu’il ait esté mis à

    puis mander pour cest heure, qui me fera faire fin à ceste, après

    pour en avoeir toutes les confitures que se pouroyent recouvrer.

    Bourgel.

    point estremescontantés sans propos et où il ny a

    prie le Createur vous donner santé et longue vye. De Grenoble, ce XVe de fevrier.

    Votre très humble et aubeyssant

    telle cocte et si ne scay comme ilz la porront fornir car la

    ny est pourveu, principallement pour retenyr ceus de Nions où est leurs principalles fources, desquelles

    demandent sil estoyt de la religion ;

    monseigneur, oultre les biens quilz ont par cy devant

    argent d’avance pour pouvoyr vivre de prévision et maquitter

    signe pour les consulz

    pour le dernier et peremptoire edict. Car, à dire la verité, la grandeur

    et ont receu par le passé, tant de vous

    serviteur hourche

    plus. Ledit sieur Faure mat dy quil ne payera ledit moys de Xbre [décembre]

    tenir sur leurs gardes car si ces pas estoyt fermé, nous serions hors de moyen escrire

    de Belloy de par della et croy que monsieur de St

    Vostre bien hunmble et obeyssante cousine

    amitié quavons fait jusques ici ; pour le moyns le

    et est en doubte que monsieur de Maugiron ne luy porte

    monsieur, en santé heureuse et longue vie. De Grenoble, ce XIX de fevrier

    hereuse vie. D’Embrun, ce XIXe febvrier 1574.

    gouverneur de grenoble et

    plus au long.

    ayans escript de ce ten jusques à ce que ung des deputez par lestat

    XX escus que feu ma dame de Gordes avoit proumit

    ce 21 de fevrier 1574.

    aydes pour le soulagement de ce lieu comme Baulmes

    Votre humble et obeyssant serviteur

    Vostre très humble et obeissant

    Votre très humble et aubeyssant

    au paravant gardé deulx y en ailler. Je dis despuys mon arrivée de la

    enflambée quil ne se parle daultre chose et dune dame

    en avés la volunté.

    Monseigneur, ie cuyde que vous scavés

    aucunement car nous saurons assé fort pour leurs bien

    ma vollonté et à ma ruyne. Priant Dieu

    monsegneur, quavés esté adverti comme ceux de Frecenière despuis

    me menassent fort. Jespère en Dieu serviteur à vous fère très humble service

    à plain vous tesmoinera celluy dudit Chateau Dalphin

    Et surce, prierons Dieu vous vouloir

    le XXVI me jour de fevrier 1574.

    [déchiré] scavoir II mil homes et quelques chevaulx si nous navons la paix serviteur lacasette.

    vynt, ce cera ung grand byen pour tout le peys et pour

    ou ceulx qui sont venus naguyères de la part du Turc

    me de Gordes et du surplus de vostre compaignie. A Paris, le

    diligence d’envoyer en court, car si vous eussiés mandé

    ville. Puis que la parcelle est dépêchée, j’espère avoir

    vous envoyer lesdites lettres et en avoit responses de vous advant

    de leurs magestés fort peu disposées à leurs factions et menées.

    la religion tiennent asseuré qu’il a perdu tous

    compaignie. A Paris, ce XVII juing 1572.

    recevra le semblable s’il luy plaict. le voyage de mer est retardé pour quelques

    que pour le respect de l’estat des ligues, nous vous prions

    toute prospérité très longue vie.

    Vostre très humble et très affectioné serviteur

    S’il est de besoing, le présent porteur en baillera

    escripz le tout à mondit seigneur le cardinal, lequel

    ma compagnie

    De Simiane

    Monsieur le mareschal Damville me parle ourdinayrement de lamictyé quil

    D’Ambrun, le VIe de jullet 1572.

    Alfonso d’Ornano

    Hector de Maniquet

    fortifications, munitions et quatre paies pour les

    satisfaict au contenu de votre lettre au roy du XXVIe

    sy en ay-je un extreme regret pour

    mont commandé de dilligenter le plus quil me sera possible, quar le roy ma commandé dasseurer

    faire service

    paroiste à leurs nopces, qui se doibvent faire le

    tions, je prie Dieu vous donner, Monsieur, très bonne vie. De Grenoble

    dix ou douze jours que les galères de messieurs

    à Laval, estant assurée qu’ilz sont desia deslogés. Je prie

    poyne de ce que ceulx de la Relligion veullent

    G. davanson, A. Ambrun

    à se soulever sans la faveur et l’autorité du roy. Le pape et les cardinaulx sont en ceste

    ferment les portes après, ny le duc d’Albe sortir les

    regardiez bien pour qui vous escrirez et de qu’elle religion et

    dire la sienne ; et que sus cella, il est party pour aller à la

    de Savoye ha mits à Turin, Fossan et Coni

    Laurense de simienne

    Lucrece dantiboul

    1572

    souffisamment qualifié. Alors je luy dis que s’il estoit tel qui le

    Monsieur des Adretz présentement

    qui m’ont esté escriptes du Xe de ce moys qui est tout ce que

    faict la grâce que nous ayons le grain à l’équipollent

    fera finer cestecy par toutes nos très humbles recomman-

    Francois de Simienne

    verty comme on encherit la marchandise de la partie de

    Lodovico Birago

    Votre très humble et très affectionné

    monsieur de Suze à Pierrelate, de monsieur de Maugiron

    que lesditz propoz tenuz (comme il présupose) par

    frère à iamais

    Paquet que mandés de monsieur le commandeur de La Roche

    toute ma vie

    Retz tiendroit à obligation grande que préférissiés ledit sieur de

    finance qu’il vous payeroit, je luy parlis de vous remettre

    compte que de lachepter en ceste ville. Jespère quil

    passe de fasson que nous n’en avons plus que deux mois. Ces choses font

    1572.

    en luy faisant aparoir de prinse de corps decernée

    de recevoir voluntiers mes lettres et de me porter sa

    Ch de Beaufort

    fust desjà vers vous, mès les nopces de

    St Jullien

    et ha imposé de nouveau ung subside sur le

    febly le roy de plus et subjectz. Les seigneurs de

    na voulu prandre largent, mesmemant de gros chapons

    Suze

    fille, lequel vous porte ung paing de la ville. Par luy ientendray de vous

    que nous y alons, nous renvoierons nous chevaux

    Monseigneur, augmentant tousjours vostre grandeur très longue et

    accuzer que nostre ingratitude ; et

    abcense. Monsieur le présidant ce porte fort bien. Yer, on

    desiroit que vous fussiés par le menu adverty ; qu’il avoit

    [v°] ce pourtent bien, Dieu graces, comme font ces compaignons. Pour navoyr aultres nouvelles à vous

    et priant Dieu vous donner

    presenterai mes humbles et très affectionées recommandations, priant le

    monsieur, an santé très heureuse bonne vie et longue. A

    vous ne nous porés tant honorer destre de la partie.

    incontinant vous en advertir par homme esprès

    Je vys madamoysele de Caseneufve souvent icy. Ele et toute sa compaignie sont

    Vostre bien humble et obéissant frère

    une lettre de monsieur de Saint-André du XXIIIIe du passé

    que la partie est asseurée comme apparaît par les

    masseurant quen useriez ainsi de vostre costé mesmes sur la venue

    Quant à nouvelles de la court, je n’ay pour ceste

    [v°] s’il vous playt, le mal quy peult avenir sy pour

    avec un nombre infini d’autres que je vous ay,

    Prunier

    Monsegneur, vous donner en parffaicte santé longue et heureuse vie. De

    y tumbe toutesfois je lay spare. Je vous advertiray

    nepveu et serviteur

    Monsieur, je prieray Nostre Seigneur vous donner en parfecte santé

    une chose que je scai n’estre aulcunement necessaire,

    que j’ay despuis mises à la poste et lesquelles je vous renvoye

    coument il est mal aisé de se bien conduire en

    serviteur

    Votre très humble et obeissant

    Votre très humble et très obeyssant

    ce VIIIe jour d’aoust.

    tel moyen que vous vérés bon estre. Je nay auqune autre

    frère à jamais

    a apporté aultant daugmentation à sa reputation que les articles de

    passé d’une fièvre continue. Ie

    madame de Gordes voye en

    Monseigneur, donner à vostre segnorie, en très parfaicte santé, longue

    soulleil dans ma boursse sen est allé sans luy en avouer

    il c’est certeinement aperceu qu’il lui avoit esté prins.

    Dieu qui vous veuilhe donner

    Voustre très humble et très hobeissant

    Monsieur, bonne santé, heureuse et longue vie. De Suze, ce 13e

    dresser un project auquel vous pourrés adjouxter ou detraire,

    faict contre ledit archier. Il y a desjà quelque

    que se puisse soustenir. Je ne suis tant affectionné à aucung

    est le filz du comte de Palme qui va devers lempereur.

    longue vie. De Saluces, ce XVe aoust 72.

    Je nay peu escripre la presente de

    de quoy il gratifie les chefs de sa compagnie. Je me

    F Trannon p. consul et Françoys Bertet, consul

    [v°] de surprendre ceste ville le [barré : j] lendemain de

    [v°] en donner peyne. Ce me servira toutesfois d’argument pour recepvoir

    d’Austrie a prins la route de Levant. Si est ce quil y a lettres patentes

    compagnie vous baysent très humblement les mayns

    pas grand sperence d’havoyr guières vin, Dieu en soyt

    d’Ourches que nous a mandé un laquay. Messieurs de

    De simienne. Alle[man]

    qu’adviserés. Sur quoy, je supplieray le Createur

    Monsieur je supplie le Createur qu’en parfaicte

    Vostre très humble et très obaissant nepveu

    [v°] le cognoit pour tel à la première perdris. La fiebvre me

    aussi si vous plaict de ce quilz vous ont payé,

    Monseigneur, je prie Dieu qui vous doint en parfaicte sancté

    ma parole. Ce qu’il a faict. Si vous commandés aultre chose

    pour estre rendu seurement. Nous escrivons aussi à monsieur Ruzé

    longue. De Vallence, ce penultiesme d’aoust 1572.

    deux paquetz venans de cour, toutz deux paraphés par le sieur de Chastelard.

    tient pour certein quils ne le soint point, ausy

    Monsieur, an santé très heureuse bonne vie et longue.

    venu deça de la part de monsieur le comte de Tande

    mandés luy estre forny

    Paulet Antar, Rolland Abel, Françoys Charys, Claude Bardet, Daussy, Pierre Girard

    trop dopinion tant pour lincomodité de logis à cause

    jusques là, ilz endureront la mort. Je lairrey ce

    garder. Il y a cinq ou six des anciens de Fressinières

    humbles recommandations, priant Nostre Seigneur vous donner,

    si bien que ayant cherché de attrapper l’ung, les autres

    tel que par les edictz de sa maiesté et voz

    en bonne et heureuse sancté vous donner

    Rousset

    [v°] nayent plus servy que ma sollicitation, mais le tout ensemble, lung

    serviteur

    que sera en augmentation de lobligation que

    Je desire bien monsieur que

    Monseigneur, en très parfaicte santé très longue et heureuse

    (chevaulz) silz les peuvent avoyr quand

    que ce sont des moyens pour les contraindre à la

    je ne receus la dite lettre qu’après le passaige dudit cardinal. Vous remercyant

    Mandelot

    Votre très humble et aubeisant

    quant ilz ont veu que par toutes les villes d’icy autour leurs

    De Grenoble, ce IIIe doctobre 1572,

    m’appeller ny communiquer aulcune chose, d’aultant que

    neantmoins l’ignorant : bien disait-il avoir esté recherché pour

    presentement apres mes très humbles recommandations à

    laudre. Vous ne sayés fère puls g[r]ande cheyse. Je prye

    dedens Castrez. Si je apprens quelque chose de nouveau,

    le Createur,

    de votre bonne grace priant Notre Seigneur vous doner

    recommandons très humblement à votre bonne

    De Simiane

    Createur voz donner

    Monsieur, en parfaicte santé tres longue heureuse vie. De votre maison

    fera finir la presente par vous suplier de me tenir tousjours

    Votre très humble et affectioné serviteur

    il ont deffaict le duc d’albe

    soldat de ceulx qui estoyent passés,

    [v°] de voz actions. Et pour responce de celle du XIXe de septembre,

    que c’est pour venir à Orenge, car le roy a deliberé de

    Or je n’ay rien volu faire de ce que dessus sans vous en advertir pour en recevoir voz

    m’a escript monsieur de Ferrin de Brianson, Sanson,

    m’a escript monsieur de Ferrin de Brianson, Sanson,

    les yeulx ung peu plus ouvers. Mais saichant et voyant une

    Votre très humble et obéissant nepveu

    Troissantz m’en escript ; que sera pour fin, vous presentant

    beysant servyteur

    Damville. Je vous en eusse donné votre part,

    service

    bailler votre lettre, car suivant cest advis, jeusse

    à mon grand regret, car sans cela, ce jourd’huy, après diner,

    suys grandement pleu durant deus heures que jay este icy

    S’il vous plait, vous manderés comment il s’i doibt

    grace et prie le Createur vous donner santé,

    promesse que vous nen recepviés aucune plaincte et que je

    escriptures qui ne pourroit revenir quau detriment et

    mal de vilhesse. Et pour la fin, je salue

    advoyt balhé le fort d’Antiboul en garde à ung Piarre Amirat,

    si quecung de la religion novelle s’elevoyt et dressoyt forces. Mays

    à ce chemin icy. Vous suppliant au demeurant, Monseigneur,

    serviteur.

    l’ung se feroit au château de Mentolles, qu’ilz ont miné et faict

    à jamais

    ordinairement avecques luy, n’a faict que marcher

    feront bonne justice, ce nonobstant, je vous supplie très humblement,

    ce en parler à leurs magestés et d votre congé

    à son meilleur prins à la dincte de ce peys et bien paiés. Il parle en toutes ces lettres

    serviteur

    Monseigneur partent ce jourd’huy pour aller à Monteaux

    Vostre très humble et très obéissant

    estatz sur ce poinct, puys je me résouldray de la mienne.

    que le receveur général vient compter à Paris qu’elles soint addressées

    la copie de la lettre que j’ay

    scavés. Il se dit bien fort votre ami, mesmes despuis

    Claure

    Et longue vie. De Gargas, ce XXVe novembre 1572.

    la contesse de Grinhan ya passé, [barré : dis] couchée, disné (lendemain)

    à moyns que monsieur de Lombes parte qui porte commission

    constament dict par sesdictes responces et répétitions qu’elle se

    Mondit sieur de Paris et moy y mandames de soldatz pour les

    nous cosins

    que je vous fais, laquelle ancores qu’elle soit de pettite importance

    responce que luy rapporterait ledit sieur de Lombais, il employrayt

    guardes de leur ville. Sy, pour le retrenchement qu’il vous ha pleu fayre de noz estatz,

    vous donner

    votre sceu ; et si je vous respondis que monsieur de Suze m’avoit pryé pour ledit sieur de

    [v] leurs novelles. Il me tardoyt d’entendre des votres et en rendz grâces

    [v] tué monsieur de Guyse et blécé le roy et Monseigneur.

    Monseigneur, par la longueur du tempz, et d’avoir soubstenu

    grange de monsieur du Tar, on est

    pour vous donner advis de quelque entreprinse que l’on m’a faict

    jusques à Paris. Il accepte la faveur, pourveu que ce soit à Lyon. Madame dict de

    désire bien que vous vinciés de par deça apprès les

    l’admyrale et madame de Thellygny que heurent

    en son gouvernement pour cest effaict. A quoy je ne

    je luy ay bailhé vingt soubz.

    d’avoir tardé pour la deffiance qu’il pouvoit

    escripre, après vous avouer fait antandre le bon portement

    principauté d’Orenge, me dict après que ce n’avoit pas esté

    m’est ung bien grand contetentement et en cest endroit je me

    filz Jesus Christ. Je ne vous dirai rien davantage

    ne pouvant venir passer ici, m’envoya seurement la

    rediray de mot en mot si bien me souvient ce que vous escrivis

    affectionné, et autres, m’ont dit qu’il souffit les

    De Simienne Alemand

    esgaller et remectre en l’estat le lieu qu’il estoit lhors

    qu’il soit chanoine et qu’il soit capable et souffizant pour ce faire,

    vous supplier que s’il advenoyt qu’ilz fissent plaincte

    Civetvèche. On m’a escript de Marseilhe que seulx de

    et les frais à moy insurportables. Mondit seigneur

    Monsieur, qui vous doint très longue et heureuse vie. De

    Et heureuse vye. De La Coste, ce XVIIIe de décembre 1572.

    François de Simienne

    m’en asseura quant je partis d’Aix, mesmes de sa nièpce.

    monstroyt avoyr par ladite lettre qui

    par laquelle il me fait sentir le prejudice que ce luy sera et

    [v] paniers où sont les armes de messieurs d’Eveynes et de Laval,

    à pied, tantost à cheval, de sorte qu’il est à penser qu’il y a quelque menée ; et quant à moy,

    Prieur, lorsque monsieur d’Évènes mon oncle lui remeit son enseigne, lui présentat

    difficulté de paier pour quelque pièce que

    Bourgel arriva en ceste ville, que fut le XIXe, nous avons receu les vostres

    en votre endroict en envers madame de Gordes pour vous fère treuver

    dessaing que nos trouppes estoyt de se jecter dans les Sevènes

    On parle que [barré : lendem] le second du moys prochain, monsieur

    facendone questa amorevolezza di favore anchora ..

    et assemblées prohibez comme ja on a esté informé.

    La Thivolliere

    recommandations à vostre bonne grace et de celle de monsieur de

    ce que je vous peulx escripre, après vous avoir beysé très humblement

    passé ne recouvre que la moitié pource que lui

    M. Bovier

    Votre très humble et affectionné

    Priant Dieu,

    supplié me commander votre vouloyr pour icelluy toute

    [25v°] et de La Bastye dont je suis imfiniement ayse. Monsieur de Villeneufve

    quand il vous plairra mhonorer de tant que de les me

    [33 v°] parce que n’avons aulcuns deniers pour les fraitz de justice, sinon

    Monsegneur /° [/° et monsegneur le duc] devoit partir le Xe ce quil fit. Le roy les [barré : s] accompagna

    Vostre très humble et plus

    que il demuret en sa meyson comme e[s]t au long

    personnaige qui merite beaucoup, qui m’occasionne de le vous recommander

    suppliant le Createur vous donner,

    monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vye.

    que en partye je suys cause du mal pour lavoir mandé querir, je me suys ingeré

    an tel aferes que les auficiers de monsieur de

    beissant serviteur

    vollanté à la me garder avecq votre permission et descharge de ceulx

    sieur, fault qu’il entretiennent vingt paouvres à rayson

    Montlehuc

    contre luy. Voyla tout les procès qui sont entre nous.

    Monseigneur, je vous envoye ung

    les en ce temps là ny jusques au Xe de ce moys qu’il

    Montchenu

    asuré que ilha g[r]ande pytyé an se peys. Monsieur

    grand tort et à vous de n’acquiescer et obéir à ce que luy remonstrés

    latte ou autre lieu que vous adviserez près dycy pour se rendre au

    serviteur

    serviteur

    serviteur

    servyteur

    habitations ⱦ [ⱦ avec declaration que] à faulte quilz ne le feroient vous [barré : ferez]

    faire service

    en sa garde

    qui est contenu par toutes lesdites lettres je vous en envoie les coppies, et aussy

    Chappan ne souffre telle incomodité, m’asseurant

    recommandations à leurs bones graces.

    [et mes interetz]

    dit que monsieur de La Noue en est sourty pour faire entendre à leurs magestés sa

    mon seigneur, vous doynt en joye et santé le comble de

    de St Chamond ce XXIX janvyer 1573.

    aussi de le vous fère entendre aux occasions.

    son absence. Voyla tout ce que je vous puys escripre

    ici ceste depeche pour vous dire que mon nepveu et

    mais ne puis que par voie de la court coume ausi

    tous en très longue et heureuse vie. De Paris,

    chose de bon quand lons dressera la baterie.

    le plus près est à V cens pas ou environ de leur

    à jamès

    le XXIIII febvrier 1573.

    reste de ladite despeiche pour scavoir de sa magesté ce quele entent quil

    Votre très humble et aubeissant

    Je crains quil ny aye longueur en la poursuitte de monsieur

    sans votre sceu, et quant il y auroit esté bien chastyé des faultes quil y peult avoyr

    à votre bonne grace. Priant Dieu vous donner,

    Jenvoye à monsieur de St André la confirmation

    conduire le tout au solagement de ce pouvre reaume

    et bonne amye à jamais Guilhomete Marcelete

    Votre très humble allié et serviteur

    [176 v°] villages cy auprès quil ne feroit que les envoyer

    [179 v°] Et ne sachant aultre chose digne de vous estre scripte, je

    monsieur, en santé et accomplisement de

    que Dieu aydant ladite ville sera bien toust remize soubz

    pour la deslirance dicelluy Michel Brassac faict faire

    sorce de quelque trouble en ce païs vous en avons bien

    bones enseignes, sa doubte est bien fondée en quelque raison. Outre ce

    Pelous

    Rousset

    melleur seigneur et amy, me volloir conseiller car si elles

    de Trèsclostre, faubourg de Grenoble, ce premier mars

    Votre humble serviteur

    monsieur, que vous ayt en sa garde. De votre maison

    ce segond jour de martz 1573.

    hommes et que les engromens se

    de pouvoyr le vous offrant daussy bon cueur que ie

    non qu’à Genève on ne cesse pas encoure

    comte palatin est rompu et

    [210 v°] j’ay esté adverty qu’il en ont vendu ailheurs mesmes

    Donner,

    prouvence [= province] fort bien que vous ayez retenu les compagnies qui

    affaire, laquelle chose je luy remonstrrès que je avoys fort peu gens ayant

    que la chambre des comptes de ceste ville veuille

    ou plus comme vous m’escrivés et sy vous dyray que encores que je

    ce Ve de mars 1573.

    que je vous dye que si je ne suis secouru tant

    comme ce matin deux heures devant jour, le seigneur

    et pour cette hocasion vouloyent passer au Pousin

    Grenoble ^ [^ voient ceste lettre] qui peult estre ilz treuveront aussy nouvelle que

    d’accord. Aucuns disent icy que l’election d’un roy

    occasion de craindre de trouver en leurs mains d’autant qui le monstrent d’estre

    i est mort une vinteine de soldas et de gens de nom. Le cappitaine

    [242 v°] luy envoyent lettres et valletz, mais veult que les maistres

    Mais elles n’ont continué, ains a l’on dist depuis qu’une tour qu’ilz battoyent

    sur icelle de ce que vous en vouldrez faire. Le beau temps nous est revenu

    Notre Seigneur soyt loué de tout ce qu’il luy plaict nous mander

    le consul Chapponneys. Je pense que par

    guerre pour fere notre debvoir y fault tout

    plaise ne me laisser inutille et ne moblier

    long m’a dit bien ample comission de monsieur le mareschal. Monsieur

    faillir le cappitaine Aleret, firent ma monstre au Sauzet et

    pour vous an tenir averty.

    [276v°] incontinent qu’on en pourra recouvrer. Et à tout prierey

    Vostre plus humble et hobeyssanct

    monsieur, qu’il vous veulle donner en parfaicte sancté, longue et heureuse

    monsieur, en prosperité très heureuse, très bonne vie et longue.

    Votre très humble et plus hobeyssant serviteur

    [291v°] Rochelle sont trop iniques en leurs demandes de

    [292v°] gensdarmes de monsieur de Maugeron et comme elle entrera par

    vous doneroient moyen de attendre aultres provisions desquelz je me tiendrey

    très humblement. Priant Dieu vous donner,

    et ledit Platel ont prins heure ceste apresdisnés de tourner pour veoir

    veu comment une compagnie [ajouté en marge : de gens de pied] estoyt arrivée. Mays dès hier XIIIIe, le filz

    en leur nourriture mais je n’ay pas de quoy le faire. Pourquoy je vous suplie

    [309v°] Monsieur de La Rouche vous scripvans lons me donna

    vie. De Lyon, le XVe jour de mars 1573.

    acomplir daussy bon cueur que me recommande

    ilz font les sentinelles jusques à unze heures.

    serviteur ; et, sur ce, je saluerai vos bonnes

    le Ve quilz avoyent nouvelles de

    monsieur de Rousset, de façon que leurs menées ne seront jamais si secretes

    Vostre très humble et plus obeyssant

    de compagnies et qu'on doubte qu'il continue pour estre

    A. Siennes

    Escript à Fontainebleau, le XVIIIe jour de mars 1573

    à monsieur de Mandelot.

    à jamais

    deux recharges dens deux heures quil me priet pour le service du roy

    serviteur G. davanson A.

    A Doyssin votre maison, ce XXIIe mars 1573.

    Madame, par la lecture de celle quil vous plairra veoir que jescriz presentement au roy,

    de ceulx de la noblesse de la nouvelle oppinion qui ont sussité ceste eslevation cuydant

    et recevra tout tel que les autres. Je ne luy ay volu fayre bailler

    pour satisfayre voz commandemens de vous aler trover. Je

    Charles

    aultres moyens plus commodes, faisant cependant payer lesdites compaignies comme elles ont

    Martin vous faict entendre quelque chose pour le payement de

    Rivat, très obligé à vous faire toute sa vye

    et lesdits catholiques furent deffaictz à huict lieues au dessus de Grenoble. Il en fut

    durant XXVI ans en sa charge] tant à lexercice de son estat lespace de XXVI ans

    sieur le prince pourveoyt en ce pays, et quilz navoyent accoustume davoir

    lon dict de luy. Je luy en escriviz hier une autre que jenvoye à mon cousin le

    de mectre au rancq des autres qui sont en Languedoc et ordonner pareil payement, attendu

    long discours, sinon pour prier Dieu

    Sire, jay esté adverty que votre magesté avoyt esté sus

    Rochelloys et quil vous avoyt envoyé surce son edict de pacification et mandé en madvertir

    [lettre à François de Bourbon, duc de Montpensier, prince dauphin]

    Madame, votre majesté verra, sil luy plaist par celle que jescriz presentement au roy,

    grande accusation, il se treuverra quilz n’en nont jamais prins la

    tenir fort et nestre subget à la disc[retion] dautruy.

    curé du lieu cestoyt, avecques une vinteyne de catholiques,

    dont y avez usé et du bon et grand devoir que y ont faict les gentilzhommes mes

    ilz vous en donneront occasion et que je le vous ay mandé, si lesdits

    moyen pourveoir au payement de ma compagnie que na faict

    Au roy de Pollongne

    quil doinct à vostre magesté.

    remises, pourveu que vous cognoissiez que cela ne puisse engendrer

    Charles

    le moingdre lieu quilz tiennent, nen ayant les moyens,

    sans que vous en soyez adverty, comme il advient assez souvant que les

    entrer en votre gouvernement sans que vous en soyez adverty, comme il advient

    habitans desdites villes, quelque bonne

    et a pris raisonnable, car vous scavez que sans cella on ne peut entretenir

    et audessoubz Pinart

    à Victry en Partoys le XIIe du present moys et print son chemin vers Metz où la

    instance auroyt despuys esté interrompue et sans

    monsieur vous doner en santé très longue et heureuse vie. De Beaufort

    de Beauville. Il semble que sa Saincteté estoyt en opignion de fère et

    Chamars : IIIm pains III p. v. – f : m pains [sans acquit]

    eu main levée fort ample de tous leurs biens et que je

    sant arquebuziers et tous les jours san assamble tant

    ne fut trop tard ; davantaige, creignant que

    nouvelle oppignyon et catholysez despuis peu de temps en ça et long

    de marque de se pays, se que jay bien volu vous faire entendre

    puissance, mandement et commission ; mandant en oultre à tous justissiers,

    privée d’espoir d’estre secourue par mer

    de la conference. Ledit sieur d’Yolet espère estre de retour dans le XVIIIe

    rendirent à lennemy et sortyrent les vies saulves avec perte toutesfoys

    Sy monsieur de Merye[u] voyt poinct

    Monseigneur, jey receu votre lettre du dernier de decembre, et parce que vous entendrez par

    De La Charce Saleoux

    n’en ayant les ministres du pape donné advis à ceulx du roy.

    feme ma bailhé encores les memoyres des

    leur place de Saint-Marc, par laquelle marchoit leur general porté

    de Nevers veult partir pour prendre la routte de ses gallères, et tiens quil

    Truchon

    estoit des gensdarmes qui arrivèrent avecq moy le vingt sixme

    à votre bone grace, je prie quil vous doinnt

    D’aoust 1571.

    Coste ne va quant et le seigneur conte pour plusieurs considera

    tandant de tous les afères du royaume, ce que je ne croy.

    le payement de nous mortes payes, car nous ne

    mesmement quil n’a trouvé telle courtoisie ailleurs où il a passé, hormis

    et ung oultour mué et que monsieur le conte de Grignan

    que le roy a esté purgé et saigné, on na parlé daucunes

    bien vous supplierayge vous assurer que estant revenu de mon voyage seulemente ung

    si belle occasion de ne la perdre point, le sup-

    [v] quil couroueyct pour labeye de Laval, pensant que madame devey

    à ceste fin et pour les randre plus vollontiers assistans et

    retour d’accompagner monsieur le cardinal Alessandrin jusques à la frontière d’Espaigne.

    Votre très humble soldat et très

    Votre humble et obeyssant

    que luy rendiés du foin en recompence

    Votre très humble très obeissent

    à vostre bonne grace, je prie le Createur vous donner en

    sa grace et à nous la votre. De Bully, en votre seigneurie,

    Chanys

    le leur faire dire par quelqung. Et silz ne

    et aussi de La Terrasse. Je balhis charge

    je luy bailleray la presente. Je me suys oublié

    haster, car les papes ne sontdesi longue durée que les rois, et memes

    g deportes

    vous. Sil vous playt vous les hoyrés et peult estre

    de fruit que puis avoir mangé ces testé.

    passés mille escus sol[eil]z qui sont II

    ung soldat dudit sieur de Lisle einscis quil a escript à monsieur

    pour la venue du seigneur reverendissime cardinal Alexandrin pour faire

    despuis quelques jours. Je man parts tout

    faillir dessayer à quoy pourrons reussir tous doffrir

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    septembre 1571.

    Bellievre

    diceluy ; et me semble une grand pitié et indignité

    oultre ce que lon seroyt tenu de leur restituer en partie des testaments de messieurs vos

    Foyn L Lt

    contre eulx comme lesdits supplians verront leur estre plus

    le troisième touchant a traicte obtenue par ceulx de Lyon laquelle feut respondu

    aultrement tout ce que y a esté faict ne nous servira que daggravement

    recommandations, priant Dieu

    nous mène de jour en autre pour la response de nous memoires.

    Dieu,

    Limoges qui le m’avoit dict s’est fally. Si nous avions yci

    quilz soient truvés, et je le vous dis, monsieur, parce que je les

    dadvis en parler pour mainctenant, que est cause que je ne y touche rien

    Votre bien humble et très affectionné

    1574.

    Ilz font fort remparer et fortiffier Serre et Orpiarre,

    [v] en paix de laquelle je diminue tous les jours lesperance et fault que je

    se prevaloir de lactraict dicelles ayent à les desmolir à la

    suffire de les prendre à la forme que ie vous ay escrit.

    dernier et les deniers ordonnés à estre levés pour le voiage du roy de Poulogne,

    jay faict, encor que la courtine de celluy de Moyrenc soit bien fort advancée. Et quant

    Serviteur

    à lhonneur sien et de monsieur de Evènes aussi que

    aussi ces vieulx arrantementz ne sont que pour quattre recoltes.

    quil vous doint,

    Serviteur

    Je voy bien que la guerre du Daulphiné ne lechauffera

    suz Avignon qui a esté descouverte et en a

    de la paix de ce païs, et possible que monsieur le chancellyer qui faict profession damityé avec luy ce

    aussi de notre part en aurions envoié memoires audit sieur de

    [83 v°] sans la permission dudit Bolut ; de quoy ledit sieur Vincent,

    plusieurs aultres Rostaing

    très voluntayre et daussi bon cueur que je me recommande humble

    monsieur du Monestier, elle avoyt changé daultre habit

    il dict attandre certaines forces estrangières que monsieur d’Allemagne

    la royne, et que nous aurons à Lyon le roy dans peu de temps [qui]

    lons maccorde le paiement du quartier doctobre pour votre compagnie ;

    grace, je prie le Createur,

    ont pas faict grand cas et ledit commendeur de

    que ladite ville a suporté et des grandz

    bonne voulanté que je supplierey le Createur vous donner

    allé à Piedgros et y avoit couché une nuict et la nuict dernière aussy que

    Votre très humble serviteur

    estat et prosperité. A Montellier, ce VIme febvrier 1574.

    mes lettres à voz rentiers de pardella, desquelz je ney

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    en forme de casemattes avec un revellin au devant

    cette rebellion. Mays cest pourveu quil vous

    quictance par moien de notaire en

    à vous fère servysse

    principalle charge, je luy ay parlé pour monsieur de Molans

    en pays. Il cest saulvé ung mercyer qui pourtoit les lettres que je

    la vallée d’Avanson. Ilz ont mis à la fain

    Si iaprens quelque chose de sa venue, ie vous en feray part.

    que je aurons bien moyen de faire recouvrer les recognoissances

    madame de Gordes pour la proximité de nostre paranté

    monsieur, vous doner en santé hereuse et longue vie. De Grenoble, ce VIIII de

    Chabrin et Saunaire dans Ribiers

    pour y commander ung gentilhomme nommé Lagrange quy est

    ne peche par ingnorence. Ce froyt a tellement abattu les

    Votre humble et obeissante

    1574.

    actendu que le suinziesme de ce moys sera bien tost

    Nemours, ayant ceste paine pour le dit quartier.

    Xe jour de fevrier 1574.

    au dessus et tout au tourt de sa chambre, qui la garde de ce

    que pour prier Dieu,

    à voz fermiers ce que justement ilz vous doybvent,

    à voz fermiers ce que justement ilz vous doybvent,

    [170 v°] soubs correction, envoyer les propres originaux

    comme je ne scauroys quant je voudroys, mais que

    près de mon avoquat, mès si ge ne fés rien avec mes parties,

    Votre très humble serviteur

    et compliment des dictes deus centz livres, je en eusse faict du mesme,

    [190 v°] remettre à la feim silz pouvoient, en cas quilz si veullent

    pour monsieur de Charbon. Votre plus humble et plus

    et prie Dieu,

    des aydes de ceste villes quil vous pleust mescripre dernierement

    Seigneur vous donner,

    [197 v°] possible et quil vous plaira, et à messegneurs

    nous, tenuz et redevables grandement et dotant

    que les a fet parti de sette vile pour aller fère les furneralies.

    [marge gauche, en travers :]

    froment a à saddresser à ung nommé Theodé de Mainssieu. Il mest

    que monsieur de Saynt Romain vous a demandés pour leurs depputés de ce gouver

    [marge gauche, en travers :] votre humble et très affectionné à vous fère

    feray retiré en ceste ville tous les bateaulx que se porront

    ma niepce.

    accès de fiebvre quarte assez long. Cela debauchera le bon

    à cause de ses troubles et nous soions retirés à St Veran

    la question ; toutesfois de ses responses dudit Stalin et laquais resulte

    mestre recommandé humblement à voz bonnes graces, suppliant

    Aussi dict on par le commung prouverbe quil ny a chière que de

    pas les faustes telles que lon veut fère trover

    Votre très humble et hobeyssant serviteur

    Servyteur

    plus part crie à la feim. Parquoy, mosegneur, vous userés de

    par le moyen de leurs cavallerye, ayant de ce cousté là emtrée à la pleyne, votre gouvernement serat

    [247 v°] lequel, craignant iceulx sen est retorné

    tant receu de vous en cestres [ancêtres], il vous

    [258 v°] de mes debtes et quelque peu pour mon entretenement,

    de notre roy ne peut pas souffrir [barré : se] de se flechir si souvent propos

    que de voz ancestres. Ce faisant, ilz prieont

    [marge gauche, en travers :] Monsieur, le dit sieur de Nocase vous dirat comme les ditz ennemys nous sont venus recognoistre ceste nuict. De quoy je suis bien ayse, car il ne ce peult faire meilleure guarde que nous faisons, y estant

    que ledit sieur Froment ne luy en escrive ou par votre commandement.

    ou resevoyr novelles des montagnes. Votre très humble et obeissant

    Supplice le suivra de bien près pour les occasions

    à vous fère servise LUCRECE DANTIBOUL.

    prie je monster plus tost de ce monde que jen

    pas toute la bienveuillance en ce endroict qui seroit requise,

    1574

    Votre humble serviteur

    et bailhage de grisivodan

    Vostre plus afeccionné à faire servise

    [295 v°] y allat pour prendre de luy instruction des derniers arremens.

    au dit Besson si les vivres ne viennent à melheur

    Ledit sieur de Brigodières mha bien faict quelque playnte, mès

    de Transy, Varlaurys et St Restitut et pour le povre

    à jameys Jehan de brunel.

    serviteur gdeportes.

    servyteur

    court et dict lon quil y en a une aultre troupe de bien cinquante prestz

    qui a tant mengé descargotz que le cornnes sont sorties

    Et de ce que vous

    que les adversaires ont sur priz Alez

    ronpre la teste cy nous vienne veoir. Je dis quant au chasteau.

    monseigneur, vous tenyr en saincté vye longue. De Grane,

    [320 v°] quinsiesme de ce mois se tiennent ordinerement sur le grand chemin

    que ilz y viennent quilz y seront bien

    [324 v°] qui la veue en passant. Lesditz adversères houstarent

    Monseigneur, conserver en augmentation de votre

    nous, car dont plus forbz nous cerons, dont myeulz vauldrons

    pour n’y voier que bien peu d’apparance ny jour, il me

    XVI juing 1572.

    ou adverty de bonne heure, il est certain que vous en fussiés

    loisir de vous escrire fort souvent ainsi que ie voy monsieur

    [v°] advant que d’entrer en poursuitte de voz derniers mémoires,

    Mais je laisseray ce propos pour vous dire que le sieur admiral d’Angleterre

    ses hommes et ses deniers en une charge que les

    Vostre très humble etrès obéissant

    jours. Le dessain de l’entreprise que Causseins avoyent sus mer est ronpu

    bien affectionément nous advertir amplement du faict, et nous

    Le XXVIIIe juin

    Bellievre

    mon obligation à monsieur le trésorier si les

    avoyt jà envoyé à la cour come verrés

    Gordes

    [marge gauche] Mon petit nepveu de Gargas et toute sa

    vous porte et quil desireroyt infinement davoyr moyen de semployer pour

    Votre très humble allié et serviteur

    Et monsieur le président Truchon, il y trouvera mes

    compagnies d’infanterie, lesquelles on remet à deux

    [v°] du passé, touchant la levée commandée à monsieur des

    l’amour et respect de madame de Gordes

    mondit seigneur et dame de Lorrayne que les nopces de Madame et du roy de Nauvarre seront

    LPuget

    XXe de ce mois, celles du prince de Condé quelques

    ce IXe jullet 1572.

    [v°] de Carces et de Meolhon revindrent de Cinetueche. Il

    Notre Seigneur les volloyr conduyre et tenir en sa sainte garde

    estre en aussy grand nombre à la garde du

    opinion, encores que sa majesté, par homme exprès, luy ay faict entendre que l’on se peut asseurer

    [v°] compagnies des villes pour son siège devant Mons,

    faction ilz sont, afin que je ne baillye armes pour asseurer

    forès de Lions pour la chasse, et quil doit trové le roy de

    toutte sa cavallerie en garnison et faict faire

    Madame d’Ourche sallue vos bonnes graces de ses très humbles recommandations. Elle vous envoie un pasquet

    Votre très humble et obéissant

    disoit, je le présenterois à monseigneur le révérendissime évesque de

    m’a asseuré que le cappitaine

    je scaiche pour asteheure digne de vous escrire, après m’estre

    de la pailhe, ce sera la plus belle récolte qu’on aye

    dations à votre bonne grâce, à cele de madame de Gordes et

    Monsieur, sy trouvés quelque lettre mal cachepttée, n’en soiés esbay,

    [v°] Cabanes et parle on de cinq mille écus, quest une grande ch-

    serviteur

    à Beaurepaire. Il se parle de la faire passer en Piedmont

    ledit de Chastellard furent cause que, le trouvant

    de Simiane

    [v°] que sa dreset à ma fylhe an n’Avynon. Je prye Dieu

    de votre seigneurie

    Pressins et quasi le missiés en jeu comme le recherchant

    l’office de conselier pour quatre mil livres, qu’estoit

    ne sera besoing de tout par cella car je pance que

    tellement resuer les plus habiles qu’ilz ne scavent là où ilz en sont et

    Votre très humble et très obéissant

    [v°] contre luy et vous ferez une grand Votre plus humble à vous faire service

    bone volunté. Je m’asseure que c’est pour se souvenir des expéditions desquelles nous envoyons au roy et à luy [ ]

    madamoyselle du Telh que je croy fairont

    bois qui s’i remet à raison de cinquante ung

    Ranty et de Janllys sont prisoniers. On faict

    vieulx pour faire restorands de coulys. Voilla tout ce

    Si vous avez lalarme à bonessiant, vous supplie envoyez

    nouvelles. Baisés les gallans pour amour de moy qui est

    et gens, hormis ceulx de quy aurons plus de besoing

    heureuse santé, et à tous ce que mieux vous aymés. De Valence, ce XXVIIIe

    neanmoings recourons à vostre seingneurie comme

    ly persa une aposteme qu’il avoyt au fondement, que est

    [v°] prins la parolle et remonstré que, puisque vous aviés

    escrire, je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Nostre Seigneur

    Monsieur, en santé contante vie. De Lion, ce dernier

    Createur

    Paris, le dernier iour de juillet 1572

    Je vous supplie très humblement que jay ung autour par vostre moyen

    et en cependant vous supplie me commander vostre

    an bone disposition et tous ceus qui vous apartienent par deça de mesme. Je

    Bap[tis]te de Simienne

    qui m’advertissoit de votre maladie et de la déclination

    actes sur ce faictes

    de ses dix mil Italiens et mil chevaulx que mavez escript

    heure aultre, sinon la continuaton de la deffaicte

    la faveur des Grandz, l’injure faicte à ma filhe

    vous assurant cependent que vous n’avés

    Lyon, ce 5 aust 1572

    du tout plus amplement par mondit sieur d’Orches, attendent le

    Artus Prunier

    très bonne longue et hereuse vye, me recommandant bien

    c’est que par votre aquanimité accoustumée

    quelque chose muée, craignant que ne les ayés receues.

    teuls affaires. Si my conduiray-je, Dieu aydant,

    de Chapuys

    serviteur

    Serviteur

    Votre très humble allié et

    resolusion de mon fait de Dieppe. Voila ce que ie vous puis

    De Simiane

    ceux de la religion font à vostre grandeur. Il nest parlé icy icy que de

    ne vis jamais tant de malades

    la presente mes humbles recommandations.

    et heureuse vie. De St-Saphorin, ce X daoust 1572

    donné nulle occasion. Je ne vous en diray aultre chose,

    Nous avons recouvré un autre laquai en son lieu, quy

    Monsieur en très bonne santé, longue et heureuse

    Serviteur

    daoust 1572

    [v°] comme par votre prudence vous verrés estre pour le mieux ; seulement

    tamps, mes gens estant à Loriol, faisant quelque

    party que je ne cogneusse bien si la raison seroit pour eux.

    Touchant les affaires de Flandres, et y auroient quant et

    Votre très humble et affectioné

    ma main à raison dune fiebvre double

    resoudray de ce selon les occasions. Mon nepveu de La Coste vous

    St Michel que vous y arryvastes si à propos.

    en ce et tous aultres endroictz vous commandementz, ausquelz

    [v°] du roy données à Paris en juillet par lesquelles est mandé que chasque

    et je supplie Notre Seigneur vous donner

    loué de tout et luy plaise nous garder que n’ayons

    Saint Sernin et de La Coste iront demein ou laultre à

    Monseigneur, vous donner en santé très longue et heureuse

    santé, vous donne heureuse vie longue. De

    et serviteur

    print et ne le peus suivre si vivement comme j’eusse deus,

    car ilz mont faict entendre quil y a de reste

    longue et eureuse. De Grenoble, ce XXIXe d’aoust

    [v°], je y obeiray de mon povoyr. Monsieur de Fiançays et

    pour recovrer s’il est possible le double des articles qui

    Votre très humble et oblygé servyteur.

    Ilz sont cy enclos. Je me recommanderay sur ce humblement à vos bones

    nest iugé que le roy a pardoné à la requeste

    A Paris, le 15 7bre 1572

    pour mesme effait et qui pance pourtera

    [Au dos : de ceulx de la Religion d’Orpierre]

    de la presse, que pour trouver plus à propos de

    propos, monsieur, pour vous dire que l’armée turquesque

    qui se veullent catholiser, et cuide qu’il y en y a plusieurs

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XXVI septembre.

    demeurront en estre ; ou bien ilz fauldroit avoir

    commandementz est porté. Au demeurant, je vous

    Monsieur de Gordes vie longue, me recommandant de bon ceur à

    na point nuy à laultre, et ce que je vous en escrips nest point pour

    Deportes

    jay en votre endroict.

    madame de gordes voye en la

    vye. De Pignerol, ce [barré : IIIIe oct] dernier septembre 1572.

    au gouverneur dAurenge il se plesoit

    messe et soy recatholiser, et procedure qui ne se faict

    tres humblement les lettres de recommandations quavés escrites à mon occasion à

    serviteur.

    freres en sont à mesmes. La plus grand part d’entre eulx qui s’en

    Votre humble serviteur.

    je ne treuve bonnes plusieurs insolences et aultres

    en faire faire lexeqution, mais qu’il avoit respondu qu’il y falloit

    voz bonnes graces et de madame de Gordes, prie[barré : ant] Dieu

    Dyeu me volloyr consolé é vous tenyr an sa seynte garde

    je ne faudrey, monsegnieur, vous en tenir adverty. Ce pendant,

    Monsieur, vous voloyr doner en santé heureuse et longue vie. De

    Monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et

    grace, priant Dieu

    Monseigneur avecque parfaicte santé très longue et

    de Saix, ce Ve hoctobre 1572,

    pour lung de vous plus humbles serviteurs qui sallue vous

    M. Bouvier

    et pandu et quilz ont deffaict

    ains quil a reffet ses bendes de

    je rendz graces à Nostre Seigneur que Évènes et Laval soyent arrivés en bonne

    s’en saysir et dellà à Nismes, dont ledit seigneur Danville

    commandementz, lesquels je suyvray toute ma vye. J’ay faict recercher les armes ausdits

    gardiateur de la prevosté d’Ours dont le different estoit

    gardiateur de la prevosté d’Ours dont le different estoit

    [v°] plus clayre descouverte de la resolution qu’ilz ont prinze

    et serviteur P. de Simianne

    [v°] mes très humbles, priant Notre Seigneur,

    Montoyson.

    mais je me douste que vous mangerés avec

    [v°] par advanture anvoié de mes chevaulx de ranffort pour ramener

    il me venoyt trover au Chastelet pour me prier d’interceder

    avec eux madamoysele de Caseneu et tous qui luy apartiennent

    conduire, si par si-après quelque voiages se dressoint

    prosperité et longue vye. De Grenoble, ce XVIe

    feray faire les melheures journées quil me sera possible, enquoy

    perte du general pour le bien duquel nous avons advisé

    voz bonnes graces et celes de madame de Gordes

    de pettite qualité et estrangier, n’estant subjet du roy, qui

    de permetre aux communautés de s’assembler comme porte ladite letre, l’estimons

    me fère ordonnance comme cognoistrés raisonnable sur le

    Bellievre

    soubstenir sus des pillotiz à poinct de mectre à terre, ce que pence

    de Simiane

    jour et nuict. Quant à nous huguenaudz de pour

    Monseigneur, me voloir fère ce bien d’en parler ou mander à mesdits segneurs

    pour venir deça, bien que m’assure ne vous sera

    de justice [barré : inscritent] des lieutenant. Ledit sieur sattandoyt à verser une partie

    A de Chapponay

    acompagner madame de Lorreine. Le roy va à

    Serviteur

    [v] Si elle va là, je m’en feray pourvoir. Mais je crains qu’il

    à la chambres des comptes de Paris.

    receu ce soir de monsieur de

    peu de jours, le voiant au Louvre, me demanda de

    Vostre très humble et très obéissant frère

    qui à mon advis luy en pourra advoyr dit quelque chose. Je

    pour faire dresser quatre compagnies en Provence

    dresse audit sieur de Montbrun et non à aultre. Nous vous

    hatraper, mais l’on les failhit pour ce coup, nous havons doné

    me servyra de beaucoup pour tenir mes subgetz en pais,

    voluntiers le personage et accorda audit seigneur deux compagnies, l’une pour le capitaine

    ilz vous playsoyent, Monsieur, nous ordonner du boys, huylle, sel et chandelles, en

    Monsieur en parfaicte sancté, longue et heureuse vie et

    Rochefort, et que je ne l’avois pas recherché d’accepter ladite compagnye. Voilla

    à Dieu. Par la lettre que j’escris à madame de Gordes, vous entendrés de

    Sur cela, on vouloit rechercher ce que restoit d’huguenotz

    telles despences, et que porrions soubstenir à l’advenir

    apprès toujours à la fère abatre, qu’est

    entendre que ceulx de la Religion ont sur la ville de Valance ;

    mesme, ce sera à leurs majestez à se resoudre.

    estatz, comme m’avyés dict, pour prendre advys et

    belle peur à Nevers, sont allées trouver monsieur le

    doubte poinct qu’il ne soyt bien requiz que les gouverneurs

    [v] Je ne escrys à La Roche car je luy ay escrye par

    avoyr du costé de France avant la mort de

    [v] de messieurs d’Eveynes et de Laval et de tous les

    de la volonté du roy ny de Monsieur que luy ny Le Cheylat

    recommande de fort bon cœur à votre bonne grâce et prye Dieu

    sur ce propos, sinon vous prier très humblement

    lettre que vous m’escriviés du Montélimar le XX octobre

    hier touchant mon abbaye, c’est que vous en fairés comme

    adresser et faire intériner à Grenoble, don ay

    [v] que lesdites brêches furent faictes. Prianr Dieu

    dont n’en y a en son esglize que troys qu’il le sachent faire

    ou que je heusse faict ou dict quelque chose qui feust

    Nîmes avoint mandé quelque obstaige à monsieur le mareschal

    le Grand Prieur, tout à l’instant m’ayant demandé

    Paris, ce XVIIIe décembre 1572. Vostre très humble

    Monsieur, tornés de là s’il vous plait

    vous aurés lettres de toutz ceux desquelz désirés scavoyr

    estoyt à luy adressante, en quoy il

    incommodité à moy si, pour mon attente, son retour est retardé, dont il

    lesqueles ne pèsent pas peu, et ayant mesmement deulx

    je le croy de tant plus que ceulx de deça font certains remuemens qu’ilz n’avoient poinct

    son guidon pour moy, ce qu’ayant sceu par mondit sieur d’Évènes, ainsi que

    j’atans d’heure à autre de la Chèse-Dieu

    [v] du XXVIe novembre. Vous pouvés avoir receu la response

    bon le mariaige de luy et de madamoyselle de Sainct-Prie, lequel

    qui sont maintenant closes ou armées de ces neiges. Monsieur l’admiral

    [v] de Nevers et monsieur le maréchal de Tavannes partent

    da vivere, sino alla venuta del luocotenente fece ..

    Vous advertissant au surplus que tout le monde

    La Roche. Priant Dieu,

    les mains, je prieray le Createur

    doibs fournir quelques pieces que nay enquores peu

    à vous fayre servisse

    monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    ma vie a complir daussy bon cueur que me

    de la compaignie de monsieur de Joyeuse ha esté ourdonné avecques des

    faire entendre et soubz ce ferme propos pour ne scavoyr chose

    quil vous pleust, pour evitter fraitz au roy, commectre les

    [35 v°] jusques à Estampes. Le roy de Navarre, monseigneur le prince

    obeyssant serviteur

    du Ronne. Quoman il se presenteray, auquel

    de rechef comme je fays et moy mesmes de bon cueur à votre bonne

    monseigneur, très heureuse et longue vie. De Paris, XIII janvier 1573. Vous

    De Lyon, le XIIIIe janvier 1573

    vous escripre la presente pour vous supplier commander à ceux qui manient la justice

    Vallance nen devoient avouyer la congnoesance

    Montoyson.

    de Dye, vous suppliant, monsieur, n’estre marry sy je ne leur permetz

    de deux soubz pour jour lhomme et deux carolus la

    En toutz ce faict, je me suys conduict en toutte modestie

    pacquet que monsieur de Montoyson

    madvertit de son arrivée près Lion, je luy envoyay ung

    de Chadarose ne ma fet poynt de reponse. Me

    sy ne le faict avant que venir je n’an espère pas puis guières. Dieu par

    [106 v°] plustost prez de moy quand jen auray besoing, dont vous

    Revol

    Andrieu De Exea viseneschal

    Veaulne

    La Thivolliere

    procediés contre eulx comme contre les autres absantz par

    Carolo Birago

    mondit sieur de Mandelot leur en a rescript par moy que nen seriez que comptable.

    quil est tel quil ne se desvoyera jamais de

    Monsieur de Langes ma parlé dun advocat de ceste ville, appellé messire Charles du Bas,

    negotiation delaquelle on ne pouvoit encoures savoyr certaynes nouvelles, Dieu [nous ?]

    voz très haultz et genereulx desirs. A votre ville du

    Votre très humble et plus affectioné à vous

    Depuis ledit sieur de Cugy ma escrit et

    pour cest heure, fors que je me prepare tant que je puys

    moy soumes arrivés, ayant estés tousiours en bone santé,

    naurés vous autre plus seur moien si quelqun ne

    ce XIXe fevrier 1573.

    Vous trouveriés estrange de voir tout chacun se promener

    foussé. Je vous ay escript que pour la quantité

    Pontays

    Votre très humble etrès obeisant

    soyt faict du fils de feu monsieur ladmirailz que Rogiers leiné [=l’ainé]

    serviteur

    Revol et grande difficulté à faire verifier vozdites lettres

    faictes, ce me seroit grand plaisir. Quant aux balles et pouldres de Montmeillan le sieur du

    monsieur de Gordes, en bonne santé, heureuse et longue vie.

    [des manages ?] du roy de Navarre et de

    et pour le servisse du roy. Ceste armée se ranforsse

    G.davanson A. dambrun

    querir quilz seront icy dans ung jour ou deux

    finerey ceste en suppliant Notre Seigneur vous doner,

    voz desirs. De Chambery, ce dernier jour

    lhobeissance de leur magesté, sans y reperdre aultant de

    promesse verballe et accord de ladite rançon de mille

    voulu donner advertissemant parce mesmes quil y a vers

    que jay naguères escrit à monsieur le general P. Viart pour la partie de monsieur

    perdent leur collère, il est dangereus que je ne preigne la

    1573.

    Poullemyeu

    de Montoyson, ce IIme de mars 1573.

    Vous très humbles et obeyssans

    doyvent lever et se doit estre

    vous presente etc. De Vaulreas, ce IIe mars et au dessobz

    [marge gauche : de murmurer des matines parisiennes et de

    est retourné au camp de La Rochelle.

    à de marchans de Roumans. Parquoy, s’il plaisoit

    Monsieur, en prosperité, très heureuse et très bonne

    vous serviront bien à propos pour l’entreprise du Pousin. Si

    une grande ville et de grand impourtance à garder. Toutesfoys je luy remet cella

    verifier voz lettres de Grane. J’actendz response à ce

    ne soys et que je n’y aille sy tost que je vouldroys byen, j’espère en Dieu

    Votre pour jamais affectioné serviteur

    plus je vays à l’avant, tant plus je congnois

    Dieu a retiré la fleur et le parangon de mes

    et fère ung fort comme l’autrefoys je m’y suis opposé

    moy

    en Poloigne est faicte et demeurée au duc de Prusse.

    courroucés et que leur decret capitulaire faict pour ce regard commence par ces mots

    Digory et le cappitaine Stefano d’Orbino blessé qui est fort bon soldat.

    y allent en personne. Aussi que toutz lesdits huguenauds

    estoyt versée sur la bresche et l’avoit bouchée. Vous ne pouvés de moings

    veoir après avoir enduré une infinité de pluies, qui me faict esperer

    [252v°] et luy plaise me consoller et vous donner sa grace, acompaigné de longue

    ledit Chapponnay vous nous commanderés

    despendre de quoy ne me soulcie pourveu que

    point, car, apprès avoir laissé bon ordre

    [262v°] du Telh le volut employer pour aller à Vilenefve, mays il nyt eust

    pour ce rancontrer les deux datez du mesme temps la layssèrent

    Votre très humble et très obeyssant

    Dieu,

    serviteur

    vie. De Baiard, le XIe de mars mil VCLXXIII.

    De Lauriol en haste ce IXe de mars, à XII heures du soyr.

    Lengiere

    vouloir l’edict de janvier par toutte la France.

    le Pont Saint Esprit dans mon gouvernement le scindic du diocèze

    [294v°] saisi et de toutes aultres denrées de façon que aidant Dieu, votre dicte armée

    monsieur an santé très heureuse, bonne et longue vie. Ce

    comme ils auront à proceder cependant. Voila un procès mais c’est par ce que vous la m’avés

    du cappitaine me vint trover pour luy deputer commissayre à conduyre

    ne treuver mauvais si je vous en importune, m’estant engaigé à Lyon pour armer

    vous lettres disent que sadressoyt à moy et sens regarder

    Votre très umble et très affectionné

    très humblement à votre bonne grace, priant Dieu

    Despuis unze heures, les gens de guerre la font.

    graces, et de madame de Gordes de mes

    lextremité de maladie de monsieur le

    [24 v°] ou avantageuses quilz ne ressentent du mal silz entreprennent sur votre

    serviteur b: Olier

    bruict du desbandement du siège de Sanserre, mesmes

    Charles

    Mon frère et monsieur de Langes

    de Buffevant

    que je lacomodasse de quelques soldatz, ce que jay faict et luy ay anvoyé

    dambrun.

    [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    votre majesté pourra demeurer satisfaicte sur le contenu es siennes et votres des XVIIIe,

    surprendre ceste ville par escallade et autres lieulx avec telles menées quil vous plaira

    la lettre que luy avés escrite, creignant que par icele, ne luy fissiés entendre

    suplie très humblement votre magesté trover bon tel arrest car certey

    de Neufville s[ecretair]e

    esté et au mieux qu’il se pourra. Je n’ay donné occasion au prince d’Orange de

    XII soldatz qui sont dans le chasteau de ceste vile, et de lune des

    très humble service, comme aussi feray je daussi bon

    tué une trenteyne et en tiennent quelzques prisonniers. Voyla, sire, comment les

    que durant les derniers troubles au près de moy, comme encores estoyt-il sur son

    pareil bien faict, je supplie très humblement votre magesté levouloir conserver

    mareschal de Dampville. Il ne se fault fier que bien à poinct et sil

    le temps quelle nen a eu aucun et quelle a esté comme encores est en service.

    messegneurs, vous donner sa grace et prosperes vies.

    le point de ordonner à monsieur de Mandelot de se venir

    coment jauroys à me gouverner pour ensuivre les vouloir et instruction de voz majestez ; et ce

    Monseigneur, je ne vous feray autre redicte de ce qui se

    coment jay satisfaict à celles qul a pleu à voz majestés mescrire tant de leslection de

    forme et negociation que par votre permission et de voz predecesseurs,

    Charles

    retiré [barré : gr] dans une grosse tour où est la porte de la vile. En

    bons serviteurs qui estoient près de vous et mesmes le sieur d’Ourche, ayant

    de ladite oppinion, après avoir receu mon vouloir et obey à mondit edict,

    monstre depuys ung an quelle a tousiours esté en service,

    Sire, jay, suivant [barré : suivant] les lettres quil a pleu au roy et à votre majesté mescrire du XXIXe

    Madame

    aucun trouble, jalouzie et meffiance entre mes subgetz et empescher

    De neufville s[ecretair]e

    ni dartillerie, ni dautres choses à ce necessayres, mays

    premières nouvelles que lon a delles viennent des extorsions et pilleries

    assez souvent, que les premières nouvelles que lon a delles viennent des

    volonté quilz heussent à tout ce quest

    [184 v°] police, laquelle avons tousiours faict garder quelque part qu’ayons esté et ferons encore,

    destinataires : gouverneurs et lieutenants généraux des provinces

    royne sa mère et sa seur royne de Navarre et la pluspart des seigneurs de la court

    [192 v°] poursuitte daultant que lexposant nauroit

    ce 25 novembre 1573.

    d’envoyer seullement quelque bonne et notable somme de denyers

    Paumes : IIIIm p. IIII p v – f : XIIc pains [sans acquit]

    suis seul entre tous les autres, oblié en ce bien faict qui

    là que aultres villaiges sirconvoysins, de quoy vous plerra,

    largent ne viene de moys en moys pour

    temps aprèz la mort de ladmirailh, entre lesquelz est ung nommé

    secretement car il ne me permect descrire à persone, craignant je

    officiers et autres subiectz de cedit gouvernemant ; en ce faisant vous

    et venise propre et la moytié de l’Ytalie

    jour daprès quil sera party et delibère partir lundy. Ce seroit justement

    de quatre demy canons et cinq batteaulx.

    la presente, il trouverra nos humbles

    ce porteur comme les affayres ont passé pour la reduction du château et vile d’Orenge

    La Tour de Leche

    [Marge gauche, en travers : Je retorne à prier Dieu de conduire le tout à bien et vous donner

    parties quelle avoit montans 140 livres tournois et sy comme

    par deux hommes en une chaire et ensuyvis de vingt cinq capitaines

    sera bien tost en France. Je vous envoye ung bando lequel a esté faict

    Vous naurés la copie

    de juilhet trois gensdarmes et trois archiers ; et le vingt huictiesme

    monsieur en parfaicte senté, très bone et heureuse vie.

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    tions [barré : jesp] que jespère luy dire incontinent que je serey à La Coste qui sera

    Monsieur, la dame de seeans se recommande

    scavons plus où donner de la teste, nous estant

    de monsieur de Joyeuse qui se laissa persuader par monsieur le cardinal

    avoit recherché madame de Guordes et monsieur de Evènes

    [v] affaires. Jay donné une attaincte à la royne mère

    jour avant quilz voulussent partir, je fis ce quil me feut possible pour leur

    pliant de ne le trouver point mauvais. Et

    bien tost mourir, laquelle est bien for mal. Je ne sache pas que se soueyct

    aidans à leurs magestratz et au public ; et à ceste occasion,

    affectioné scerviteur

    Serviteur

    pour norrir le bestal quil a de madame,

    Nepveu à vous fère service

    parfaicte sancté, longue et heureuse vie. De Grenoble, ce Ve

    ce 6e septembre 1571.

    venoient men faire advertir affin que

    au syre Perra de faire mectre deau dans

    à vous dire deux choses. Lune est que je seroye

    [v] cetuy cy qui avoit desia le pied sur la fosse. Monseigneur, il me dict

    que vous en demeurerés plus satisfaict que nen

    Jen espère estre quite après la dite purgation,

    milles que ai eu que valent V mille

    de Evènes. Ma femme, avec mon fils de Bautmettes, sont alés ce

    partie de notre debvoir, mays une aultresfoys mieulx advertis,

    presentement pour aller coucher à La Voute.

    et honnestes declarations pour labbaye St-Sernin, non

    Bartolomeo bartolomey

    Votre très humble et très obeissant servitteur

    Quant à monsieur de Ste-Marie, jentens quil nest

    quil faille aujourdhuy que par ces moyens exquis elle

    predecesseurs, ilz auroyent encor voz acquetz ; et il me semble que vous incliniés

    Avoynes VIII picotins

    commode ; attendu aussi que lesdits soldatz disent quilz ne

    que le païs auroit surcoyance encor jusques au mois de may prochain pour les deniers

    de noz malheurs et infortunes, dont vous plaise avoir compassion. 16 janvier

    monsieur vous donné hereuze et

    Ausy fait monsieur de Sauve quelque importunité que sache

    monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    ung gouverneur comme ont ceulx de Champaigne noz affaires

    ay tous veuz icy devant trois ou quatre foys et que si jen

    et m’asseurant que v[otre] seigneurie ladvertira de tout ne importuneray sa seignorie

    cousin à vous faire service

    Votre à jamais très humble et plus affectionné

    que sont toutes les nouvelles que vous puis

    vous dye que ce qui est advenu à La Rochelle a esté le plus mal à propos du

    charge de retirer promptement tel actraict ; le surplus

    Je presente mes humbles recommandations à votre bonne grace et

    remet le payement des deniers de la submencion [sic] generalle par moittié au premier

    aux murs de la ville, je les ay tous licensié à ceulx de la ville, pourveu quilz ostent

    De langes

    je ne luy demande mon congé que pour le temps

    Vous verrés sy vous plaist, ce que jescris à monsieur Draqui,

    monsieur, en très bonne santé très longue et très heureuse vie. A St-Germain en Laye, le XXIe

    De langes

    guières sil ny est poulsé par quelcung qui y aye bon

    ton print quelques ungs. Je ne scay sil est

    trouveroyent de la caballe [mots barrés] saysi ledit seigneur ambassadeur nayant seu marié sa fille par le moyen de

    [80 v°] Chastelard, lequel y auroit faict tout son debvoir. Vous scavés

    consul, a requis actes et proteste de resevoir et de tout

    extraict

    ment à votre bonne grace, priant Dieu

    au si beau et aussi riche : un manteau de panc cramoysi

    est après faire acheminer, oultre larmée du conte Ludoviq sen venant

    me semble nous estre bien utille et je le desire comme des[tre]

    quand à celle de monseigneur de Nemours, elle a fait

    monseigneur, vous conserver en parfaicte et très heureuse santé.

    Cuges leur avoyt faict notiffier, ont respondu quilz

    [111 v°] empruntz et tailles levées sur icelle jusques

    monsegnieur, en prosperité vie longue. De Grenoble, ce

    [114 v°] sont deux jours et deux nuictz ; comme la verité est telle, ayant lessé la

    Rousset

    Votre très humble serviteur

    encoures aulcune response.

    Chalhol

    la grande porte. Mais nonobstant tout

    [122 v°] plaise le treuver ainsi bon. Et surce, je vous

    bonne forme. Ilz vous remercient

    delarochejoubert

    et conterroleur Gibert, ausquiels m’ha proumis ne sera

    pence que lon pourra encores attraper. Je loue Dieu de la grace quil nous

    tous lesdits villages et sont après dachever

    La plus grand part de la cour de son altesse est allé au devant de luy, excepté mon mary pour nestre

    nouvelles desdites pentions, ce que je ferois de toutes les quatre,

    et de mes enfans. Jey esté tousjours en afection vous

    fevrier 1574. G deportes

    parent de monsieur du Monestier, dequoy il ma faict

    challeurs des dames de ceste ville quil ny a aultre

    Claude de Turenne

    Voz très humbles et obeyssans serviteurs les commis des

    [157 v°] et puys que les rebelles nont heu la conservation de

    Les deniers qui restent des XXXm l. ts soint ordonnés

    Votre à jamais très humble serviteur

    reposer et a esté et est visitée journellement par les

    messieurs, vous donner etc …

    et qu’à faulte de ce, vous estes deliberé de les

    et qu’à faulte de ce, vous estes deliberé de les

    et si pouvés asseurer quils sont si peu content

    je me doubtoys que mondit sieur de [barré : Pressins] La Tour

    je prierey quelque honnette dame de sette vile de me retirer

    Duvant

    mais monsieur de Cabannes a esté datvitz d’en attendre votre volunté.

    opiniatrer à la guerre, sil vous pleisoit menvoyer encores une

    obeissant frère à jamais

    monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie. De Poissy,

    par laquelle me mandiés que je vous envoiasss le reffus

    monsieur, en très bonne sancté, longue et heureuse vye. Au Mon[telim]ar, ce XIIIe febvrier. Jay rière moy la lettre de

    de parlement, me commander daussi bon cueur

    quilz nont moyen vous recognoistre les biens

    [209 v°] Je panse qui seron bien tost de retour. Là desus, je suys tumbé

    Hyer au soyr, je receus votre lettre du XI, laquelle

    deu encor quelques restes es bailliages de Viennoys et St Marcellin […]

    nement, ilz y seront autant valables que ceulx du roy en cest endroyt. Je me

    service de Maugeron

    treuver despuys Montmellian jusques en ceste ville,

    Votre à jamais plus humble

    propoz où il estoit d’aller bien tost à Lyon. Je presente mes très humbles

    avec que quelques ungz de Molines et là y vont tous les

    tout ce qu’est narré cy dessus, mesmes que lors qu’ilz voulurent

    le Createur quil vous doinct,

    gens chiches. Jespère en faire une ung de ses jours, mays

    plus mauvayses quelles ne sont. Monsieur, je ne la vous

    Prunier.

    Lathivolliere

    votre begninité comme avés, et les votres, faict envers eulx par cy devant.

    plus ravaigé, car du cousté de Grenoble, pourveu quilz ne passent le Drap, comme je croys quon les empeschent,

    audit Grane le plus suptillement

    plairra leur en faire descharger, et tout

    et je continuerey si bien en ma charge que vous n’aurés

    à lendroict des [barré : estrangiers] rebelles ses subiectz sans estre de

    Dieu quil vous aye en sa sancte garde.

    ung chacun fort affectionnés, sans que je puisse descouvryr aulcune division en ceste ville, bien quon me donne advis de jourt à aultre du contrayre. Il fauldroit bien quil y eust en ce lieu grant quantité

    Monseigneur, après avoir presenté mes très humbles recommandations à votre bonne

    serviteur gdeportes.

    que vous dira le dit Belloy. Jay assés remonstré

    soye loccasion. Laissant ce taint enuieulx discours,

    [280 v°] sestant mondit seigneur de Mandelot aulcunement ouvert pour

    Vostre très humble et obeissant serviteur

    Ade Rame.

    A Grenoble.

    Mandelot.

    Ceste doubte nous cause de ne luy escripre poynt. Et

    pris. La récolte fait, il faudra adviser à nouveau

    ce sera pour une aultre foys.

    Pègue, me donner Montbrison sil vous plet, vous

    La thivolliere.

    à desbusquer. Mondit sieur le precident [sic] nous faict aussi entendre ladvis quil a

    à son mary. Lhistoyre cera mise en forme de tragique par

    dites que la trefve

    qui importe beacoup pour ceste plaine

    Quant à la ville, il font la meilheure garde qui leur est

    ce XXIIIIe fevrier 1574

    d’Embrun à Brianson et ledit jour i tuarent cinq hommes, lung

    reseux Le pegue.

    ung prisonnier à caze du larrecin à la justice de Queyras.

    estat en très heureuse et longue vie. De Tullete, ce XXVI

    Monseigneur, je ne vous envoye

    [333 v°] et dont meylheur garde nous ferons. Ce pandent que je

    vault mieulx taire car cella ne me seroyt que augmenter de

    vostre très humble etrès obéisant frère

    piéça où vous demandés. S’il chauffe deia à Grenoble si fort

    que vous le désirés.

    de quoy il vous plaira promptement nous faire une dépêche

    [v°] avec toute sa trouppe, a esté merveilleusemant bien receu, et n’estoit pas fils de

    [v°] Onestragueulx, qu’ilz appellent, luy firent sur mer,

    frère à iamais.

    de fasson qu’il ne bouge de la court.

    faire bénigne responce sur notre présente lettre ; pour fin de

    Vostre très humble et très affectioné serviteur

    Madame de Gordes verra icy s’il luy

    lettres ne sont esté rapportez de la court

    par la coppie de l’acte que je vous envoye

    troupe ce portent fort bien. Ie ne doupte

    vous et pour les votres.

    G. d’Avanson, A. d’Ambrun.

    très humbles recommandations à sa bone grâce

    cens homes pour compagnie. Et estant tout ce

    Adretz et respondu à voz depeches precedentes.

    et pour icelle, je luy ay faict tieul

    le XXIIe du présent. Le dit roy de Navvarre arrivera demain en ceste ville. Mes seigneurs les

    jours devant. Jespère, à laide de Dieu, me tenyr

    disent que le pape a fait grand caresses à monsieur le

    et protection. Je vous prye me faire scavoyr le plus souvent

    chasteau qu’eulx et me doubte monsieur, sy n’y

    qu’il ne commencera jamais guerre s’il n’y est contrainct et forcé et qu’il n’a jamais entendu ny

    craignant semblablement que les villes ne se

    cest estat. Je croy, monsieur, que vous aurez entendu

    Navarre à Guallion en allant ou à son retour ; et que les

    grosse guarde dans lesdytes villes. Pour les habitans

    pour monsieur d’Ourche, lequel il vous plera fère tenir à votre première coumodicté.

    serviteur

    Grenoble, purement et simplement et puis si après l’aage et souffisance

    Bernard est au Bourg, quy est

    en cest endroict, bien humblement recommandé à votre bonne grâce,

    veu de vye d’homme, et me semble vous doibt

    de madamoysele d’Ourches, ma bone et tant saige niepce.

    scachant que tout ce qui passe par Gargas y est veu. Ie désire

    airté. Ceste la femme en absence de son mari, qui est

    Bellievre

    et mettre celle de monsieur de Bellegarde dans le Daulphiné

    en ceste ville et luy voulant demander s’il

    que vous doint sa grasa, ansamble longue é contante

    très humble et très obeissant

    d’en composer avec vous. Nous nous résolumes d’aller

    la somme que monsieur de Virieu en avoit payé par la

    la maladye ne sera pas longue, daultant que

    ne peulvent en discourir aultrement, sinon que ou les entreprinzes ont

    serviteur

    St chamond

    notre negociation et donner advis amplement de ce

    dimanche, l’a retardée. Je ne vous scaurés

    et encores que je ne face doubte que du costé

    bruyct quilz eusent esté justiciers, n’ust esté qu’ilz

    que je vous peux faire antandre, parquoy, metant fin à

    moy monsieur de La Pierre en diligense, car monsieur de Pressins est

    Vostre très humble femme et bien obé

    à Jaunage. Quand à ce que mescripvés de

    de julhet 1572.

    fect lenfant à son père, et vous supplions

    son entière gérison. Il treuve meulheur son vin que le votre,

    cest honneur d’estre detre du conseil du roy et son

    vous donner

    [barré : aoust] jullet 1572

    Mon seigneur, vous doynt joye et santé.

    Vostre très humble et très obéissant

    vouloyr pour icelluy toute ma vie acomplir daussy

    suys très marri de lindisposition qua heu monsieur de Laval et desire scavoir

    [v°] de voz accès. Notre Segneur vous veuille remettre en bonne

    par un aultre deppesche vostre que jay receu despuys deulx

    de monsieur de Genlys, qui est veritable, mais

    et par consequant à toute sa race, demeuroyt impunye.

    serviteur de quy vous deviés fère plus d’estat

    Vostre très humble et hobeysant serviteur

    despart duquel je prieray Dieu, vous donner

    humblement à vostre bonne grace. De Grenoble, ce Ve aoust

    vous ne permectiez que ceux qui notoirement vous

    Cavagnes se faict ouyr et ses parties que messieurs

    le mieulx quil me sera poussible, mais je

    Nous memoyres de ce matin portent

    Jean Besson

    Des eymars

    afesionné serviteur des adrés

    mander an atandant le bien de vous voir, que ie desire

    Je pansois que monsieur d’Hourches fut porteur

    moyens de trouver argant, ceux qui en donnent sont les biens venus.

    et tous fièvres et meurent tosiors

    De vostre très humble et très hobeyssant à

    sinon que cest ung très maulvais garson ; que sera

    Estoit [barré : au cappitaine] à l’escuier de La Coste, qui peult estre s’en est parti

    vie. D’Ambrun, ce XIIIe daoust 1572

    Chastelard

    Jey veu les articles des forces que mavez anvoier avec ce pacquet par

    vous supplieray-je de deux choses : l’une est de vouloir plus tost

    exequution pour le deubvoir de leur charge, entrèrent

    J’ay faict entendre à la royne et audit sieur de Morvilliers combien

    eulx grand noblesse d’Espaigne et soldatz. Elles auroient

    serviteur

    tierce qui ma tenu tourmenté et

    aura peu dire que les choses sont adoucies entre lui et

    Ce discours a tant duré pour luy que je lay

    j’obeiray toute ma vye d’aussi bon cueur que après vous avoir

    feu ait à porter à Marseille une charge de bled, dautant que sa magesté

    Monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et

    guerre, car estant en paix, ne povons havoyr que trop

    Lourmarin pour parachever leur assistense aux

    vie. De Grenoble, ce XXIe aoust 1572

    Grenoble, et à votre maison, ce vingtroisieme

    Artus Prunier

    et fust prins à la remise par ung talleur de ceste ville

    quatre cens escus soleil ; et à toutes fins, monseigneur,

    1572.

    moy avons conféré ensemble du faict du sieur de Chastelard

    nous concernent pour, s’il est besoyn, y respondre et ne

    Loryant

    graces et prieray le Créateur

    de monsieur d’Estanais qui se dit estre son parent

    Vostre très humble et très obeisant

    ceste depêche à Valance, où ay antandu par

    sacompagner de quelque ami qui, en cas quil le

    est de deux centz vingt trois gallères et XXVII galliottes.

    aultres qui vouldroient faire de mesme si ce n’estoit leur ministre

    Vostre très humble filz et affectioné serviteur.

    [V°] grand nombre de gens pour donner par plusieurs coustez,

    assure monsieur que dans ma maison je nay que

    vous bonnes graces ; de St-Maturin, le XXVIIe de septembre 1572.

    en esperer ung remerciement, comme vous mescripviés par votre

    presente mes humbles recommandations

    Vostre très humble serviteur et vassal

    deux avec sa mauvèse voulonté. Collin

    ailleurs. Jaçoit qu’ilz ne soyent detenus et reserrés que

    messieurs le president de Pourtes et advoucat du Roy, je ne fauldray à

    Montoyson

    estoient fouyz sont de retour et font bonne myne toutesfois,

    G Deportes

    actes qui se commettent journellement, comme vostre

    envoyer Tanchon, le prevost de Paris, avec ung bourreau et que sur telle

    Monsieur quil vous doinnt en la sienne très bone et longue

    é portesyon. Ylya puls dun moys é demy que ne lay fé

    je vous supplie me comander voz bons plaisirs ausquelz j’obeirey

    Grenoble, ce Ve octobre 1572,

    très bonne vie et longue. De Rousset ce Ve doctobre 1572

    Monsieur qui vous ayt en sa garde. De votre

    heureuse vie. Cest de La Biesse votre mayson ce

    Votre plus humble à vous fère service

    bonnes graces de mes bien humbles et affectionée recommandations

    monseigneur de la Garde et qui ont mis

    ceulx qui revenoyent du service

    santé. Je suis de votre advist qu’il est impossible que la jambe

    a expres comandement du roy de bien nettoyer son gouvernement

    de la relligion pour m’en tenir saizi. C’est vray que suys en doubte si je doibs saizir leurs

    accommodé par accord faict avec messieurs de Birago,

    accommodé par accord faict avec messieurs de Birago,

    generalle de s’eslever, Monsieur, j’ay desparty des commissions

    [marge gauche ] Je supplie très humblement messieurs de St-André, d’Agnières et ma seur se

    Monseigneur, vous donner en bonne prosperité longue et heureuse

    mondict sieur le mareschal. Lon ma faict presant

    ma fille et à ce propos, il vous plairra vous souvenir descrire

    envers vous et messieurs de la cour pour son asseurance,

    à vous pardeca sont en tele et si bone

    où heussiés envie qu’il allat.de l’argent que

    doctobre 1572,

    [v] Faisant, monsieur, vous mobligerés à vous faire toute ma vie, service

    de vous faire ceste Requete de laquelle, Monseigneur, vous

    de toutes noz très humbles recommandations.

    me faict vous supplier très humblement et très affectionement,

    dangereux pour ce que la plus part sont de ladite opinion et, quant bien seroient

    contenu en ma requeste pour les ustencilles contre ses

    La littière doit avoir passé oultre car

    n’auseront fère maintenant ; et demeurant encor comme il est se

    icy, ilz ne mènent pas grand bruict et s’en

    [v] qu’il leur plaise me conserver et garder mon droict et bonne renommée,

    accordé en ce temps. Je n’en parlerai ausi que

    de troys mil LT que levesque de Marseille avoyt acordé à feu monsieur

    huit lies d’ici en Brie pour courre le serf

    Jean Besson

    ne faille du moins estre in sacris pour éviter les dispenses

    Vous pouvez croire que l’intérinement

    Montbrun.

    vous nouvelles et pria, vous escripvant, le rementevoir

    François de Simiene

    n’estoys délibérer me mesler si avant entre persones si proches

    et quatre en Dauphiné, vous lessant la nomination des

    envoyons aussi sesdites responces et répétitions, par lesquelles,

    ordre que s’ilz y repassent en serons advertis. Si vous le

    desquelz, à présent, je ne m’en puys guyères lhouer, et feront pis

    Augier, qui est de ce gouvernement, et l’autre pour le sieur de

    donnent à voz villes quelques aydes, d’adventaige feriés grande charité car,

    en sa grâce vous faire prospérer. D’Aix, ce XXIXe de

    tout ce que je vous puis escripre, et vous prye pour la fin continuer de me

    la santé de noz enfenz, laquelle, Dieu merci, est bien fort bonne.

    dans ceste ville et pour les trouver, forcer les meilleures

    pour la pouvreté qu’est en ce lieu, nous arions bien

    tout ce que vous puis escrire par le

    et encores que je ne tienne pas cela de si bon lieu que l’on en

    Monsieur, je supplie le Créateur vous donner longue vye. De Thurin, ce IIIme décembre, votre humble et ancien serviteur.

    conseil de vous comme je me doibz governer.

    comte d’Antremont. Monsieur, mes pauvres subgectz

    limitrophes et voisins de ceste lizière luy soyent

    sy devant byen vous prye ne me menés gans

    l’admiral. Qu’est tout ce qu’il se présente pour

    petis escouliers. Je metray fin à la présante après vous

    [v] avoint esté sauvés, et me remit en advant ce qu’elle

    vous donner la sienne, acompaignée de longue et contente vye. De

    de ne vous metre en aucune peine pour

    [v] par la quelle et aussi par ce que en la votre dernière

    vous semblera bon pour la sauver, espérant que celluy à qui la

    esté très ayse. J’espère dans peu de jours vous

    Monseigneur vous avoir en santé, très heureuse

    du nombre desquelz ledit sieur d’Aiguebelle est le premier

    dommageable ou houltragieuse en général ou en particullier,

    de Dampville pour la seuteré de monsieur le président Bélièvre

    par pleusieurs foys si c’estoit pour quelque mescontantement

    serviteur

    [v] Monsieur ilia bien près du moys que je n’ai point veu madamoysele de

    des nouvelles, qui me gardera vous faire la présente plus longue

    pourroyt bien avoyr de l’artifice ;

    cuyde diviner quelques occasions ; qui me mect en toute la peine du

    rondalles d’assier, toute deulx à la preuve de l’arquebuse,

    [v] accoustumé, et ce à la suscitation dudit Champolon qui en pense avoir secours et les joindre

    j’allay pour l’en remercier, il me pressa fort de le prendre en me montrant

    que lui doibs fournir ; néanmoins, je jouit paisiblement.

    du roy à votre lettre du XVIIe dudit moys, de quoy je vous ay escrit

    il dict qu’il ne se despend plus que de voz consentementz. Je ne

    en doit estre plus mal pour avoir déjà commencé son gros jeu, et au

    pour le voyage de La Rochelle et que Monseigneur et

    opera piia, perche siami redotti à mal partito , faccio

    se contient en paix en cedit baillaige et se contient

    monsegneur vous donner très lo[n]gue et heureuse vie.

    Monsegneur, vous donner en parfaicte santté, longue et heureuze vie. De

    avoir de la Chèse-Dieu. Il y a quelques jours

    Ville Franche

    De Paris, ce VIIe janvier 1573.

    recommande très humblement à votre bonne grace. Priant

    compaignyes de gens de piet, et quelque cavallerye, pour aller faire vivre

    qui merite le vous faire entendre fors la bonne santé

    chatelains des lieux appellés les procureur du Roy et consuls pour

    de Condé, messegneurs de Guyse et grand prieur [mots barrés]

    B : Olier

    de vous tenyr averty je n’y foudrey. Je finerey

    grace, en priant Dieu de vous donner,

    pourrez voyr, monseigneur [barré : comme], par la lettre de monsieur d’Evènes come nous partons demain pour

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    y tenir la main bien que monsieur Correiz, par le commandement de monsieur de La Tivollière,

    et que elle apertient au balieyr de roube courte.

    contribuer audit Dye, joinct que à Falhens, La Mote et Glandage se

    femme, les enfans au dessoubt de douze ans cinq

    comme si vous plaict le verrés [barré : pour] ^ [^ part] le faict que je vous

    ma adressé pour vous faire tenir.

    commissayre pour le conduire à Pierre latte ^

    samble seret bon que luy escrysyés. Seus d’Aurange

    sa grace le veulle toucher vifvement et les aultres je luy en

    madvertirez de ce que vous en aurez faict sil vous plaist.

    anexation et saisie de leurs biens et autrement comme est porté

    Et ne scaichant chose digne de vous, je vous prieray me comander voz bons

    lhobeysance de sa maiesté, ayant dalheurs dequoy

    qui desyreroit avoir les judicatures desdites terres de Lyonnois et par mesme moyen vous

    [124 v°] Vif est declairé inalienable parce que

    les doint bonnes. Ledit cappitayne Loynes dit quil ce trouve dix mille gentilhommes

    Montelhimar, ce XXVI de janvier mil VC LXXIII.

    faire service

    se loue grandement du favorable traitement quil

    pour assieger quelque ville, et que joublyois à vous

    Dieu merci, esperant bien à larrivée de Monsegneur

    partoit della pour venir ici où atandons monsieur

    Je nay voulu laisser sejourner

    à la desbandade aux environs de l[barré : eur]a vile et

    dartilherie qui est là dedans ils ne tirent

    frère et serviteur La Roche

    a prins charge conduire en ce pays pour le mettre à St Victor lez Marseilhe

    Montoyson.

    en la chambre des comptes de ceste ville. Sil y a moyen

    [155 v°] Villars, agent en Savoye, m’a escript que son altesse avoit desja prouveu de men faire

    Du Camp de Sommieres, ce XXVme febrier 1573.

    monsieur le Prince de Gondé [Condé].

    tous les jours dune infinité de noblesse. Monsegneur le

    assamblés. Je nay poinct heu nouvelles asseurées

    monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne

    de fevrier 1573.

    bon chief et souldatz comme avons faict au dernier assault.

    livres et ung cheval et en oultre [brassé : inthi] intimidé

    ces cartiers quelques vilaiges que ne sont esmantelés

    d’Ourche je vous en envoye une recharge que vous plaira lui faire tenir après

    miene et que je ne fasse chose dont elles et moy serons

    [196 v°] Vostre très humble et obeyssant

    Votre très humble et aubeyssant

    à jamès serviteurs les consses

    pour la fin de se moys ou à mi avril.

    Votre plus humble ami à vous faire service Truschenus

    dire que Dieu en fera la vengeance de la quelle

    Vostre très humble et très oubeissant serviteur M. de Langes

    à votre seigneurie que je ne laissasse sortir aulcung

    vye et longue. De Lauriol, ce mardy IIIe février à deux

    vous avez l’intention d’y tenter fortune comme je vous en prie

    à votre volenté, donc il vous plairra monseigneur m’en escripre affin que si

    [220v°] que je vous en ay escrit cy devant, ascavoir que si la cour

    et à l’ordre que monsieur de Rosset

    Pelous

    que lesdits ennemis multiplent et se renforcent. Voylà

    Enfans, Jacques, qu’il a esté enreumé 4 ou 5 jours puis,

    et ay lougé la compagnie du cappitaine Araret aux

    Votre très humble allié et serviteur

    Toutesfois l’on ne le tient pour certain, d’autant mesmes

    non fiat misericordia, j’ai esté contrainct de me licentier à [barré : vous] importuner

    L’ons ne laisse pour cela de continuer la baterie et crois qu’ilz

    dedeça sont troppes à se monter. J’ay du tout faict le

    que d’envoyer promptement en Piedmont l’advis touchant Pinerol, car en ces matières

    que nous ne demeurerons plus guères icy sans voir une fin ou autre

    et contente vye. Je me recommande de fort bon cœur à la votre, sans oblyer

    ce que vouldrés que nous ferions, que

    le service du roy et le vostre se facent

    au château d’Exilles, je dresserey promptement

    hordre. Aultrement je vous direy que la compagnie du segneur Saint Santurion

    an blanc, chose laquelle je na voudrois advenir à mon

    serviteur Le Mestral

    Monseigneur, vous donner en sancté très heureuse

    Antoine de Varce

    Votre très humble allié et serviteur

    Votre très humble serviteur

    [barré : don] Touttesfois ilz se sont après retirés de telle demande,

    d’Uzès ou monsieur de Ste Jaille qui y commende les y fera recevoir

    n’aura necessité. Je prens indifferemment par emprunt de l’ung et l’aultre party

    me sera un grand contantement d’atandre de vous nouvelles.

    [300 v°] recommandée. Si mon frère n’est contremandé, nous le devons voir icy pour demain.

    ladite compagnie en Languedoc, ce que jay fayct. Mays dautant que il me

    madicte compagnie, n’ayant pas receu ung liard des soldatz de mesdictes

    le desus, je leus plus tost hoverte que dy advoyr

    serviteur Bellievre

    Monsieur, vous donner très bonne longue et très heureuze

    Et faictz passer à force rondes. Je faictz faire

    plus humbles recommandations, priant Dieu

    baron de La Garde.

    gouvernement. Monsegnieur, je vous remercye humblement la souvenance quil

    Chappan a baillé causion

    qu'à present, il y a ja six enseignes dans ce pays qui vont

    de Neufville

    vous presentent leurs semblables

    Monsegnieur, ce que je demndois à cette ville estoit pour envoier

    XXV arquebusiers, atandeus quil en aye recovrés dalheurs. Je ne vous veulx

    Madame, il plaira à votre majesté veoir et prendre pour responce [barré : à la votre] celle que jescriptz la lettre que jescriz,

    XIXe et XXe du passé, tellement que pour nuser de redicte, il me suffira

    aussi, Madame, veoir par la copie dune lettre que [barré : jesc] jenvoye [barré : aussi] à sa majesté et me tiens

    le malcontentement que aviés de luy, veu quil veu quil cest payé de reyson

    nement, syre, il est tant aymé et respecté en Brianssonnoys, Embrunoys

    permectre n’y a ses gens d’entreprendre aulcune chose contre mon service, et suis tresmarry

    compagnies que le païs paye, je suplie votre magesté me garder une

    cueur, que je prie Dieu,

    affaires passent en ce gouvernement où ceulx du Vivarais viennent comme

    partement dy venir [barré : quilz sont vrayement recommandables] se les sentans

    à mesdits secretaires et leur accorder votre ordonnance à ce que icelle partie soyt

    entreprend de opprimer mes subiectz ou souffrir que mesdits rebelles soyent receuz

    De St Marcellin, ce 25 may 1573

    joindre à moy avecques quelques forces [barré : et] ce que depuis ne

    pendant que je me teinse le plus fort pour, par la force, faire [mot barré] accepter sa loy à ceulx qui ne sy

    passe en [barré : votre g] cestuy votre gouvernement que ce quil vous plairra

    monseigneur au royaume de Pollongne, que de sa blesseure et ce quil me semble

    comme il couste par contraictz et actes auctenticques, les comptes

    De Neufville

    fin, syre, y estant arrivé et fayct rompre quelques garites

    bien voullu pour ceste occasion escrire aux principaulx dentre eulx les lettres que

    vouloient envoyer par devers moy quelqu'un dentreeulx pour leurs affaires

    ensemble pour celle de monseigneur de Nemours quil vous a pleu

    Oultre ce que javoys // [// faict] au paravant [barré : faict] asses exhorté ceulx de la nouvelle oppinion de

    [150 v°] lestablissement de mon edict de paciffication, car en ce cas, il en

    Monsieur de Gordes, si vous estes d’advis que lon

    [barré : sy par ung combat] sil plesoyt à Dieu que par ung combat ce

    quelles font, quil soict, par ladite publication, deffendu à toutes compaignies

    extorsions et pilleries quelles font, quil soict, par ladite publication,

    du service du roy, repoz et surté du

    tant et sy longuement qu’aurons cest honneur de faire service du roy et parce que lon nous

    [190 v°] le vont accompagnier. Monsieur le prince de Condé, de Nevers et le marechal

    peu si tost estre averty de sa mort qui advint

    Votre plus humble ami et serviteur à jamais

    pour lentretenement des gens de guerre que y seront ;

    Monsegur : IIIIm p. III p. v. – f : Vc pains II bar[riques ?] vin [sans acquit]

    mest assés suffisant tesmoignage que messieurs du conseill du

    monsieur, advertir monseigneur de Gordes, affin quil luy

    poyer les souldardz que seroyt notre toutalle

    Mondon Callamand, catholysé illec present pour rayson de quoy

    ne soys dellivré sans fère omaige danbre, crogue que dalours ou

    obéyr sur peyne destre declarés rebelles et desobeissans à sadite

    exposée à la descente dudit Turq à chesque printemps

    pour arriver aux estatz qui sont prolongez jusques au XVe du mois

    Monsieur de Genlys, qui avoit esté prins à la deffaicte de sa campagne

    recommendations

    à lobeyssance de monsieur le prince votre frère et du seigneur de Barchon en sa charge,

    Destablet

    monsieur, en santé sa saincte grace, me recommandant humblement à la votre bonne

    je vous envoya dernierement. Je vous

    de leursdictz galères, tous vestus de robbe rouge, en fin ce

    à Rome en desdain et sur la longueur de dom Jehan d’Ostria. Et pour navoir

    ains loriginal de la lettre

    après dudit moys est arrivé deux gensdarmes et quatre archiers

    De vileneuve, ce XXIIII daoust 1571.

    affectionné serviteur

    après le partement de madame de Gordes de ce lieu et non point plus

    très humblement à votre bonne grace.

    deubz entierement vingt cinq moys, sperant

    d’Armaignac et sieur de Sct-Gouar et moy que sa majesté auroit très agreable

    de vous en demander ung pour luy. Ilz furent tous deux

    du payement de votre estat. Ien ay aussi esté renvoyé à Bloys

    oster lopinion de faire ce voyage, chose que javois faict ung coup, mais apprès ilz le remirent

    si jay du temps assés, je lui manderay homme

    pour aultre fayct. Monsieur, il vous playra mesquser si ne suys vous

    entre mettre quelque peu de leur particulier ; ce pendant, en

    C[apitain]e lille

    Jehan de brunel

    aultrement ledit bestal en porroit

    P de Simiane

    jour de septembre 1571.

    Vous très hobeissans serviteurs

    jen prenne daultres. Quest tout

    les tines et faire retirer les thoneaulx de

    dadvis que Jean de Cosme salla esbatre hors

    cela avec telle si affectionné quil meust semblé faire trop de tort

    adviés oppinion. Lesperence que jay advoyr de

    Dieu aidant, lequieul, après mes très humbles

    IIIc lt. Cest en deducion de laloit

    jourdhuy [barré : veoir] à Gargas à pied et i ont mené [barré : ma] toutes noz

    lon declarera aquelz fins et par mesme moyen que le

    seulement pour la passation dicelle, mais aussi

    à jamais

    chargé de linvest ains seulement de quelques

    leur tumbe entre [barré : leurs] les mains. Je desyreroye que ledit

    la.

    Et les jours maigres à lequipolent de

    deslogeront dudit lieu de huict jours. Si ferés bien et les

    des deux premiers chefz et que quant à ladite traicte, il seroit escript à monsieur

    Floryy

    longue vie. A Voyron, ce vinqcinquiesme

    user pour faire voir à leurs magestés, le mémoire quy

    De Poissy, ce XXIIIe janvier 1574

    [barré : noz aff] ne se trouveroint pas si recullés. Je nay pas encor

    eusse eu seullement la moitié, jeuse pancé faire entreprinse sur

    reverendissime de mes lettres. Jay cherché davoir novelles du faict de la damoizelle

    Montbrun

    frère et serviteur

    mander pour le present, vous baysant les meyns

    monde ; car encor que le roy le desadvoue et declaire estre bien ayse de ce

    [52 v°) nous remectons à ce que ledit sieur de Granieu vous en excript. Sur ce,

    Prie Dieu,

    jour de may et à la Saint Jehan Batiste. Le roy na pas au surplus voulu toucher en

    dans trois sepmaines I [I : de] dessus la place ; et si jeusse peu faire le semblable du château,

    quil advisera, et estant auprès de vous et

    vous suppliant le luy mander par votre première

    jour de janvier mil Vc LXXIIII

    credit. Monsieur le marquis de La Chambre me monstra

    vray. Que sera la fin, après vous avoyr

    la lieutenance de sa compagnye vouldroyent quelle luy [barré : present] profita quelque plus grant chouse sentent

    quelle resolution il en a peu obtenir, tellement que ne scavons

    linconvenient et dangier quen pourroit survenyr

    Rostaing

    monsieur, etc. De Valence, le IIIe fevrier 1574.

    [barré : avec] presque tout couvert de passementz dor et les boutons de

    aussy de deçà après avoir remis en paciffication tout le pays d’En bas

    en votre bonne grace, à laquelle je me recommande bien affectueusement

    monstre pour le dit quartier et pance donner asignation

    De Grenoble, ce Ve febvrier 1574.

    [109 v°] ne recognessent persone que leur maistre. Lartillerie que faisoient

    à la somme de sept mil livres et davantage

    cinq[iesm]e febvrier 1574.

    forteresse entre les mains de huict soldatz que je ne prandrois en respon[ce ?]

    fran[çois] grillier

    Votre humble et obeyssant

    et toutes leurs menasses, lon les renversera

    baise bien humblement les mains et prie Dieu

    remercient bien humblement de la

    touché. Λ [dans la marge : Λ ausy] Monsieur de Maugeron estoit parti, mais il est ici

    a faicte de nous avoir deslivré ce beau traict. Je ne vous ennuyeray de

    les aultres ; de quoy navons volu fère

    pas son naturel de vivre à la courtizane et ausy que ceste nation ne le regarde pas beaucoup

    encoures que messire Jaques Pascal en aye une soubz le vocable

    estre inthime amy et afectioné à vous fère service.

    Après avoyr veu votre letre touchant monsieur de Gargas, je luy ay faict une response

    asseurance quil tiendroyt le château en bonne garde. Le cappitaine

    port que de robes de drap avec escarssons doublés

    estatz de Daulphiné

    la suspention par iceulx accordée en consideration je

    pour le quartier de janvier pour autres compagnies

    Bussillet

    principalles dames de ceste ville et mesmes par ma damoyselle

    y contraindre par toutes voyes de justice ; que

    y contraindre par toutes voyes de justice ; que

    dudit comte de Gayasse que plusieurs des principaux

    ne soyt assés bien informé de lintention dudit

    avec elle, car je ne suys deliberée de retorner à Seint Priet

    Monsieur, dautant que nous sommes bien [barré : prests] près de la fin de la

    compaignie de gens de pied et vingt et cinq hommes à cheval,

    de simienne

    ce XIIe febvvrier 1574.

    quilz me feroient pour ladvituailhement du chasteau de

    monsieur de Mandelot et je vous envoye une lettre que les consulz de Dye mont escrite.

    que je prie le Createur vous donner,

    quilz ont receu de vous et de vous ancestres.

    an hune fièvre que de son commanseman matin [ie : me tint] se[p]t jours

    mha autant confirmé qu’une demy batalie gagnée

    recommande très humblement à votre bonne grace et prie Dieu,

    et dicy jusques à Moyrenc. Et pour ne scavoyr autre

    et plus obeissant frère

    recommandations à votre bonne grace et prie Dieu,

    catoliques de Molines au preche et au service de Dieu

    surprendre Embrun, Colombin dict audit Labarre que ung soldard acoustré

    Monsieur, en parfaicte sancté tres longue et heureuse vye. De

    le premier metz sera de salcissons de Boloigne, le second

    ferey plus longue, cregnant vous importuner. Lon

    aysement, ilz ne leurs sauroit nuyre. Et si pour les asseurer avec tout cela, ilz ont la compaignye du seigneur

    quil a peu sans quilz luy ayent

    ainsy quil vous plairra comander, ilz feront

    occasion de vous plaindre de moy. Lasseurance que jey de votre

    beaucoup diminuer, bien que je pense que ne leur accordant poinct

    Votre humble et obeyssant

    de traytres silz vouloyent ny pouvoyent entreprandre contre nous pour lasseurance que jay de imfinis gens de bien quyl y a icy. Il y eust XX chevaulx qui venoyent de della Jabron et passarent Ribion

    grace, supplierey le Createur vous donner en très bonne santé

    limpossibilité que je trouve à lentreprise du Posin,

    je vous diray, monsieur, que mes instructions, les

    raison dudit mescontantement, on luy a faict toutes les honestes

    G deportes.

    surce, nous prierons Dieu

    marché [barré : à] la despance que nous faysoit paroistre

    Votre très humble et obeissant

    adsurant que le povre lieu est bien chargé

    du seigneur Carle de Birague qui me gardera vous fère ceste cy plus longue

    ung noveau orateur pour vous en faire ung present comme du

    est en Languedoc,

    et pour le chemin des postes.

    posible. Qui sera la fin, après avoir prié Dieu

    votre humble serviteur

    dici et le lendemein, bruslarent leglise de La Roche. Monsegneur,

    Il vous plera commander à tous ceulx que nous peuvent

    febvrier 1574. Vous très humbles et obbeissans

    la lettre que le roy vous escript

    escripveys ceste, jey resceu la lettre quil vous a pleu mescripre,

    remplir ma carte des inventions du palays sans mérite;

    à iamais

    que icy, je plains que vous ne soyés à Laval aussi bien que madame

    Monsieur, je prie Dieu qui vous conserve très longue

    si vous y voulez arrester, il les fauldra promptement envoyer

    bonne maison celuy des princes et segneurs de ceste court que ne leur ha faict

    sans touttesfois qu’ilz se soint prevalus [barré : du but] desdits

    De Simiane

    laquelle nous nous recommandons de bien bon cueur à votre

    Bellievre

    plait mes semblables recommandations à sa bonne grâce.

    signez de monsieur le trésorier de l’espargne.

    et de lettre qu’il m’a escript, que me font

    que son maistre ne vous écrive souvant.

    que ce presente pour ceste heure, je prierey le

    Monsieur de Montmorency est de retour à l’Isle-Adam

    trectement que à notre bien proche parent. Il n’a

    cardinal de Bourbon, de Monpencyé et de Nevers luy allarent au devant dès yert. Monsieur luy yra

    de prez pour me prandre garde qui sescrimera

    cardinal de Lorrayne à son arrivée à Romme. Les

    que porrez de voz novelles et de toute la troppe qu’est

    pourvoyés, qu’il y pourroyt avoyr quelque

    consenty aux troubles de Flandres et que l’occasion qui l’a faict armer en son royaulme

    rendent après ou du parti contraire ou du moins

    comme j’avoye envoyé l’ung de mon secretariat devers le seneschal

    nosses se doyvent fère dans ce mois sans grand bruit et

    mesmes, il faict fortifier en diligence Villeneufve

    G deportes

    du susdict pupille, il luy vouloit résigner, je m’y pourroit accorder

    une grande incomodité et desordre,

    suppliant le Créateur qu’il vous doint

    donner à madame de Gordes, bonne volanté de

    Je prie le Créateur vous donner

    scavoir vostre advis de ce que monsieur d’Evènes par vous m’a dict de

    allé changer dair. Mais jay opinion quil ne se desdira

    Madame de Gordes verra icy sil

    [v°] à cause de la controverse qu’il a avec le seigneur Ludovic,

    les avoyt tenuz, ledit de Chastellard mict la

    vye. Je me recommande de byen bon cuer à la vostre et de

    serviteur

    [v°] trouver la royne ; que monsieur d’Hourche reprendroit

    dernière taxe que s’en estoit faicte, mais il se deffendit

    la grâce à Dieu, il ce gouverne fort sagemant

    [v°] failly, ou que nous voulons garder par cette contenance de trop entreprendre

    de buffevant

    aulmosne et

    que nous estimons estre requis en ce lieu pour y estre

    dire l’aise que ce ma esté dentendre que

    de Flandres ne soiés mieux adverti que nous,

    ont declairés avouer quelques mandement de Sa

    la presante, après vous avouer beysé très humblemant

    Ancores à la court.

    yssante amie

    macheminer devant, je nai affaire qui me

    Vostre très humble et très hobeissant serviteur

    tresumblement avoyr mémoyre de nous

    qu’est tout ce que je vous ay à dire, me recommandant bien

    lieutenant general en une province, que l’on vous devoit

    monsieur, en très bonne santé longue et hereuse vye. A Parys ce XXXe de juillet.

    Vostre à jamais très humble et

    A vostre maison de Grenoble, ce dernier

    frère à iamais

    bon cueur que la dame de sceans et moy nous

    sa convalecsence. Monsieur nostre gouverneur nous à tous contremandés car ma

    santé. J’ay sceu aussi, par la lettre que Tomasset m’a

    [v°] jours, me recommandant bien humblement en cest endroict

    non pas possible si grande comme on la faisoit ;

    J’antens quant à l’amande et reparation ordonée par

    que de moy quy, après vous avoir bésé les mains,

    De Chapponay

    Monseigneur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.

    1572

    ont porté trop peu de respect se puyssent vanter

    du conseil ont diminué de l’opinion qu’ilz avoint de vous

    desirerois bien coume vous ay dit estre mon

    ainsi de vellier que [barré : les] ceulx de la [compagnie de]

    Monseigneur je ne vous escriptz poinct

    dausi grande afection que très humblemant ie me recommande à

    de la presante, mais ila changé davis et san

    D’Ajazzeto et Scyprien Sardyni en scauroit bien que dire. Lon est aussi

    quelques vies. Madamoiselle a

    jamais serviteur

    landroyt après vous avouer beysé très humblemant les

    de mesmes. Toutesfois, il dit avoir heu son congé. De vray,

    Vostre très humble allié et serviteur

    où je voy quilz se chableullent. Il vous sera bien aise à y respondre. Je

    temperer le style desdites responces que l’aigrir, quelque juste

    dans une maison là où ce que il en heust ung

    les gens d’honneur et bons serviteurs du roy du Daulphiné et

    aussi chargé grand nombre dor et dargent. Autre advis

    M. Bovier

    me tourmente si fort que si Dieu

    messeigneurs de Montmorency. Il ny a rien de nouveau ici despuis

    prié y mettre fin craignant quil feust trop

    presenté mes plus qu’humbles recommandations à votre bonne

    est advertie de plusieurs entreprises quon faict sus ladite ville. Jay veu

    très bonne vie et longue. De Prunières, ce XXe

    de bien vous ne me mandés rien touchant d’havoyr le (los)

    comptes de monsieur d’Aubignan. [barré : Je] En cest androit, je

    Votre humble serviteur et amy

    d’aoust M Vc LXII [sic]

    nommé Pierre Doches ; et se retirant à la ville avec ledit

    il vous plairra me passer procuration pour recepvoir

    Votre très humble et très affectionné

    viceneschal de Vallentinois touchant l’appel de ceulx de Loriol

    perdre nompas, tant peu[t] diminuer la bone reputation qu’il

    Monseignieur, si venet que

    Monsieur, vous donner les sienes de toute santé, santé et prosperité de

    ayant ausy sa magesté heu esgard quil est comme

    Frère à jamais de Simiane

    Chauvin d’Avignon qui naguières passa par Grenoble

    fachent seiourner quelques jours par chemin

    J’en ay conté cent XXXIX qui estoient à l’armée de Lochielly

    et qu’il y a parmy eulx de ces brigans et plus seditieux qu’ilz

    Hourche

    ce que mal aysement se pourroit fère qu’ilz ne feussent advertiz

    mon frère de Rosset avec ung sien beaufilz et le

    Vostre plus asuré et entierement

    lettre après avoir sceu ce que javoys faict pour vous, car je confesse

    à sa bone grace.

    de Salvaing

    a veu arriuer celluy qui diset avoyr veu

    dans leurs lougis. Sur ce, je prieray le Createur vous

    faire tenyr la lestre qu’escrivés à monsieur de Monbrum. Nous avons icy nouvelles que

    Monsieur, je vous escripvis dernierement par monsieur de

    il n’en y a pas ung qui se soit reduict, mais perseverans en leur

    Je n’ay encores aulcunes novelles de monsieur de Modieu.

    seigneurie sera ung jour plus au long advertye.

    response on ne luy en avoit plus parlé. La royne me demanda quelles

    vie. De Gargas ce IIII Octobre 1572

    lautre va toutes les seymeynes à Gordes é pase ycy.

    toute ma vie tres humblement priant Dieu,

    Votre humble serviteur

    Votre très humble serviteur

    maison de Vaulnaves, ce Vme doctobre 1572

    5e octobre

    Laborel

    comme aussi faict madame de La Motte. Je prie le createur

    les Angletz à La Rochelle. Je ne

    des Veniciens, qui est peu

    dudit Laval ne ne se trovast enflé le soyr du grand voyage.

    de ceste vermine. Nous huguenaultz se astent fort d’aller à la

    espées et si doibz permectre aux gentilzhomes de les pourter ordinerement par la ville.

    avoyt tué Vimercat, son principal et que par ce

    avoyt tué Vimercat, son principal et que par ce

    par tout ce ressort à ce matin pour adviser toutz les lieulx,

    vouloir contenter de mes très humbles recommandations à leurs bonnes graces, ausquelz

    vie. De votre mayson d’Orpierre, ce XI octobre 1572,

    de quelque coupe et vaze de la vesselle de Venise. Je

    audit sieur Bellièvre sur ce que vous mavez dict quil fera plus

    [92B]

    sancté que vous desirés et pour ce que je men atende coucher

    luy aviés donné [et qu’il ha receu ici], j’antans que cent l[ivres] t[ournois] luy en

    Votre très humble et très hobeyssant

    daussi bon cueur que je prye Dieu

    ne nous esconduyrés sil vous plaict et pour ce bien faict,

    Je prie le Créateur vous donner

    Monsieur, d’en fère ungne despeche à leurs magestés de bonne

    catholics, s’est une beste mal aysée à governer sans presence du

    bones gens de Sezane et de Sallabertan, qui sont la moytié

    elle n’est poinct en ceste ville.

    mectroit en ordre et en bonne deffence pour quatre ou cinq mil francz,

    catholize tousjour quelcung. Qu’est tout ce que

    et semblablement dudit greffier commissère et de mon chastelain,

    bien à propos. De par mes premières, vous donrrai advis

    le conte, passant la résination à ung sien nepveu par le moien dudit [barré : segn]

    et seront dans cinq jours ici de retour. Je vous

    que l’on poursuit après, auquel poinct je ne me pourray

    vous sera plus aisé et facil là qu’yci.

    Depuis, nous avons receu responce de

    en vous bones grâces. Me samble ne sera que bon

    sans la recharge que me feistes en vostre ditte lettre, mesmes que

    cappitaines et le paiement de celles sur le païs, mais c’est

    Monseigneur, verrez amplement le tout, qui sera cause que

    treuvés bon, qu’il vous plèze nous le mander, nous sommes

    ci tous moyens me sont hostés de les tenir en la crainte et

    Rochefort, pour lesquelz il feist advancer, comme aux

    foy de chrestien et de affectionné serviteur et filz, il i va du patrimoyene

    novembre 1572.

    faire part de voz nouvelles, et le feray de semblable de mon costé, d’aussi bon

    Et en cest endroit, je me recommande de fort bon cœur à votre

    maisons et les saccager, en quoy celles de messieurs

    besoign de quelques aides pour soubvenir à telz fraiz,

    présent, fors prier Dieu

    puisse avoir aucune asseurance, néantmoins, le gouverneur qui

    Du Villars

    [v] Revenant d’Aix, j’ay passé à Gargas et bien peu

    de Vaulnavès qu’ilz se sont tousjours gardés de

    bons coadjucteurs comme vous monsieur savez trop mieulx.

    séans que ne vyenent comme le pasés et les miennes

    ceste heure, attendant doncques aultre mellieure

    avouer beysé très humblement les mains, je prieray le Créateur

    m’en avoit dict, pour m’enquérir que ledit sieur de Saint-Romain

    Gargas, le XIe Xembre 1572.

    moi car en ce qui est, ie ne emploierai aultre que

    m’avés escrit de votre main, je reconnoy bien la grande, entière

    fairés bailler, m’en faira telle condition et raisonnable que

    envoier le tout. Par monsieur de Maniquet, vous

    et longue vie. De Valence, ce trezme decembre 1572.

    et aultres foy la jà heu et tenu. Par ainsi, monsieur

    vous supplie très humblement que je soye appellé par

    [v] que ledit seigneur leurs avoyt envoyé pour essayer de les réduire

    que je la quitois et si avois voulounté de

    So. de Boczosel

    Casoneufve ny sa petite trouppe et ausy mesieurs mes frères qui me

    [v] sy ce n’est pour saluer voz bonnes grâces de mes très humbles

    et néantmoings, on ne peult

    monde, car je crains plus et auroys plus de regret de luy prejudicier

    l’une desqueles mondit sieur d’Eveynes a donné à monsieur

    vec ceulx de vostre cousté ; et pense bien que ceulx de Pragela sont en partie cause desdits

    toutte la bonne volenté qui se peut. Toutesfois, je m’en excusay le mieus

    Quoy que nous pregions, mon nepveu et moy, cella

    cy-devant. Je suis bien aise que despuis, monsegneur le prince

    luy ay peu desnier sa prière mesmement que je me doubte

    dégel il aura les boues qui seront aussi fascheuses en ces pays gras.

    monsegneur le duc et le roy de Navarre partiront lendemain

    fine pregando il Signore iddio gli dia contentezza. Di

    [1v°] en obeissance à sa mageste et vostre, ensemble

    De Paris, ce IIIe janvier 1573.

    Paris, ce 3. Janvier 1573. Vostre humble et hobeyssant

    que me suis mis après à poursuivre quelques arrierages

    Votre très humble

    Dieu,

    ces trouppes et imcommoder daultant les ennemys, et ha commancé son entrée [par]

    [28v°] en laquelle jay laissé monsieur d’Eveynes votre frère et monsieur

    bailher lesdites fermes et despuis le tout vous ranvoyer.

    sont avec [barré : Monsegneur] mesdits segneurs. Monsegneur d’Aumale part demain

    septe par mes humbles et afeccionés requomandasions

    monsieur, heureuse et longue vye, en toute perfection de santé.

    aller à La Rochelle, ce qui est cause quil na peu vaquer aus affaires que vous luy

    Mandelot

    informe, mays ce nest assés, estant asseuré du bon zèle qu’avés à fère observer

    Sy vous plest, vous men ferés entemdre voustre

    gardantz sont exemptz ; vous asseurant que madite mayson est de plus

    liardz. Nous luy avons adverty de tout et luy avons

    laysses là où est contenu notre different, le reste nestant

    Votre très humble et hobeissant

    nont an core ryen payé é l[e]ur fet ne[s]t que paroles

    toucha un mot.

    Presentement je viens davoir nouvelles que hier au soir à une heure

    par ledict de sa magesté

    plaisirs lesquelz j’accompliray très volontiers, comme vous estant serviteur très humble.

    respondre. Et pour fin de ma lettre je vous

    fera service. Il ma dict, et je lay encor dallieurs, quil est bien homme de bien et de

    le roy la rachepté des deniers de ses subiectz

    de compte faict armés à preuve pour aller à lassault, si tant estoit que le service du

    Votre humble et très hobeissant serviteur

    St Chamond

    recoit de votre bonne grace, me priant de

    dire que le commissaire La Magdelène qui ma amené

    avoir de voz letres, car monsieur de Chatellart aura

    d’Hourches bien tost. Ne pouvant vous dire autre

    les lettres venant du camp pour lattente

    au descouvert. Nous tenons pour certein quil y a de la

    coume pouint et nen pouvés pancer les occasions.

    où lon ne la point volu recepvoir et ausi par monsieur de Moneilles

    de les faire verifier en Daulphiné, ce sera le plus court.

    deslivrer à Bourg en Bresse et à Savonne. Par ainsi ne sera pas de besoing que vous preniez

    Votre plus affectionné, parfait et meilleur

    Votre très humble et très affectioné

    prince dauphin y arriva hier. Aurreste monsieur, monsieur de

    de Somières, combien que le bruit soit icy quil fust

    vie et longue. De Lauriol, ce dernier de febvrier 1573.

    Votre très humble et hobeissante

    Par la myenne dernière, vous en escripvoys bien au long de

    ledit Charles Brassac et menassé de le faire mourir,

    [189 v°] et où y a peu de catolicques que pourroit enardir ceux que

    [190 v°] lavoir fait serrer. Je parlai harsoir au capitaine Hieronimo qui me dict

    marriz tout le demeurant de noz vies, ce que je ne voldrey

    serviteur à jamais

    servyteur

    dudit Valcluson et par leur commandement

    Votre plus humble et affectionné à

    ils seroient voluntiers les ministres mais leurs

    salpètre ne pouldre sans bonne sertiffiance

    heures après mydy 1573. Je vous scrips de sete

    et de me faire part de voz nouvelles le plus souvent

    l’affaire venoict, je ne passe poinct voz commandementz. Monseigneur le mareschal

    et chambre des comptes de Daulphiné verifient les lettres de

    y a donné et donnent que

    Monsieur vous avez à vous prendre garde

    que couste au service du roy la rupture de

    estant fort pressé sur sonn ceur et poulmons, a esté

    Granges plus près du Rosne et faict venir la compagnie

    G. Davanson A[rcheveque] d’Ambrun

    qu’on ^ [^ avoit] auparavant nouvelles que ce estoit remise à ce mois.

    votredite seigneurie de me favoriser de ladite lettre audit sieur general ausdites fins.

    la prandront. Ie ne vous dis rien de messieurs d’Evènes et de

    recit au cappitaine Pontilhard pour le vous fère entendre ensemble

    il vaut mieux pecher en ceste part, et de reputer possible ce qui est possible.

    de ce siège, qui est tout ce que je vous puis escripre. Si en est einsi

    celle de madame de Gordes. De Gargas, le VIIe jour de mars 1573.

    feray fin par la presente par mes très humbles

    à votre volunté, vous priant bien fort

    quatre compagnies telles quelles meriteront

    n’a point de l’argent. Je leur foys fornir sur talhe ce qui leur

    domaige. Parquoy monseigneur, je vous suplie très humblement avoir souvenance de moy.

    et longue vye. De Valence ; ce dixieme mars 1573.

    G. Davanson A[rcheveque] d’Ambrun.

    Rousset

    mais ilz veullent avoir la force dans les villes qu’ilz

    et acommoder de vivres par estapes suivant le reiglement que j’en ai

    pour ne fère entrer en deffiance personne quelconque. Quant ce viendra au rambourcement,

    De St Gervès, le XII mars 1573.

    De la Rochelle ne de Sancerre je ne scay rien d’avantage

    fit entendre que vous aviés fayct passer la compagnie en Daulphiné où

    armes parce qu’ilz n’eussent pas heu moyen de vivre au lieu où nous sommes.

    pencé que me faict très humblement vous supplier

    Mon frère vous presente, et à madame de

    vie. De votre maison de Montoyson, ce XVIme de mars

    cinq corpz de garde la nuict et faictz faire

    de vous donner

    vous plaict avoir de moy et vous supplie me commander voz bons plaisirs

    Bovoy et ung autre.

    à bas, quil vous plaise permectre quilz les fassent conduyre

    recommandations

    à Loriol et garder que les troupes y estans ne patissent, estant

    dire limportence de ce lieu silz advoyent saysy les chasteaux. Vous voyés comme

    au roy en responce de celle quil luy a pleu, et à votre majesté mescrire du XVIIIe,

    vous asseurer, Madame, et supplier très humblement de croyre que je feray

    alherte en attendant descouvrir leurs desseings

    et quil a cogneu que je ne le vouloys en rien deffavoriser et que je

    et Gappaçoys et en toutes ses montagnes, que il vous y fera service et

    de ceste ferniere faulte qu’ilz ont faicte de laisser courir sur vous ; et par ce escris

    aureille. [barré : je vous diray en passant ce de quoy il se plaint]

    monseigneur, etc ...

    et quand il leur plaist, à cause du passage du Rosne quilz ont libre.

    dignes de recommandation, avec ce quil vous plaira veoir, jen escriz au roy

    transferée soubz leur nom et à eulx payée au lieu desdits secretaires de mondit sieur le prince

    en ladite ville luy en escripre et sen plaindre à luy en faire demander justice

    Votre humble et obeyssant

    avoyt esté fayct par ce quon vous auroit faict entendre

    vouldroient ranger amyablement comme je me doubte que pourroient faire ceulx de ce pays

    veoir par la copie de la lettre que jescriz au roy ; seullement vous

    de la negociation quil leur a pleu commectre au sieur de Virieu que jattendz bien tost

    de laquelle ferme se rendent et present votre procureur general, lequel les

    qui flanquoyent la muraille par le moyen de deus petites

    je vous envoye pour leur bailler, pour leur faire congnoistre combien me sont

    particullières, vous leur direz que ceste chose quilz peuvent faire, et leur

    mordonner en ce pays, où partie est jà arrivée

    recevoir et accepter la grace qui leur est faicte par [barré : votre] ledict de pacification et faict [barré : le]

    [brouillon de lettre à Henri (III), roi de Pologne

    fauldroit user aultrement. Quant au payement des deux compagnies

    accorde et permette à ceulx de ladite religion pretendue

    differend se peult vuyder, ce seroyt le plus grand bien

    tant de cheval que de pied, de mectre le pid et singerer d’entrer en

    deffendu à toutes compaignies, tant de cheval que de pied, de mectre le

    païs, navoyent toutesfoiz le moyen

    a depuis deux mois donné esperance que recevrions le payement d’ung mois, lequel doit

    De Retz laccompagnent en Pollongne. Le roy, de Victry sen est venu à Chaalons

    es secondz troubles derniers, luy estant en notre

    duperrier

    que ayant puisnaguyères accordé de la suspention darmes pour moyenner

    St-Restitut : IIIIm pains III p. v. – f : neant

    roy mont estimé si inutile à fère service à sa magesté

    playse volloir remettre ma dite compagnie à sant homes,

    ruyne pour navoyr moyen sans estre

    |215 v°] et actendu ladite contrevention et desobeyssance et mesmes que

    dencens et suis marry davoyr tant attendu, combien que je

    magesté et à nous et destre pugnis et chastiés exempllairemant.

    [en travers dans la marge gauche : s’il faisoit hiverner ses gallères audit golfo, dont par ce moyen il auroit grande

    prochain. Quant à la continuation de la trefve, encore quelle soit publiée

    devant Montz, estoit prisonnier au château d’Anvers, est mort

    je ne vous en

    Montbrun

    Votre humble serviteur obeissant frère et vray amy

    envoye [barré : deux] troys pacquetz que jey receu

    nest que piassa et le Turc ne perd le temps ce pandant.

    autre chose de merite que ce que dessus, je vous baise très humblement les mains et

    que jescriz à messieurs

    à Alexan et non aultres ; et en sont party le quinziesme daoust.

    Votre très humble et très obeisant frère

    Truchon

    tost. Nous navons encores nules nouveles du retours de monsieur

    en brief vous mander toutes autres nouvelles,

    quil l’accompagnast iusques à Montpellier, ce quil a faict, non

    de le luy mander par le lacquay mesmes de monsieur

    où le roy doibt ordonner et voir ses finances, où vous ne

    sur pied de façon que, mayant assuré monsieur de Laval que vous le voulliez, je ne seulx

    exprès pour le supplier de me donner lettres

    alé voueyr, mès parce quil me faulct trover demeyn à Varces pour

    vous baisant bien humblement la main, je prie Dieu vous

    Jeusse envoyé

    estre plus mal tracté oultre ce quil nous

    Vostre très humble et obeissant

    bernard grangier, florys durand et pie[rre]

    ce que je vous puis escripre, après

    vin blanc dudit Lumbin et de La Terrasse. Je

    une maison en ceste ville pour se faire penser

    à sa bonne volonté si je ne vous leusse escript par les mesmes

    vous nouvelles [barré : adv] quelques jours advant votre partement

    recoumandations à vous bones graces et de mon nepveu,

    que avons faist. Monsieur de St-Sernin

    filles. [barré : Je] Jespère que ma fille de La Coste sera grosse, Dieu eydant,

    cas passé lon les aye à remectre. Il y a quelques ungs

    pour obtenir lanate ; aussi bien comme monsieur de Suze

    Michel bresson

    v iolences de lan 1563 ou 1564.

    fils [barré : adjouxte encor à sa response et ce que vous dictes]

    Je ne veux ommettre à vous dire, monseigneur, quil semble audit sieur de Brie pour quelque

    la chair quest sept solz VII s.

    pouvres supplians prieront Dieu comme ilz font journellement

    de Gordes pour donner advis si elle se debvoit permectre, mais je nay pas vollu

    de janvier mil cinq cens soixante

    concerne la monstre de la compagnie de monseigneur de Nemours

    Votre très humble serviteur

    Sceu si monsegneur le prince daulphin est arrivé en ceste ville.

    eulx à laquelle ilz neussent rien gaignié. Jay seu comme messieurs de

    religieuse quil vous pleust me scrire de Saint Marcellin, mais je ne en ay

    De simienne

    par mes très humbles, priant Dieu

    que ceux de ladite Rochelle ayent fait punition des autheurs, je veoy bien

    vous ayantz presenté noz très humbles recommandations, nous prions

    monsegneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    general à la revoccation des vacations octroyées à cause quil y en a que

    je vous puis asseurer que j’en eusse faict tout aultant. J’avoys desià commandé

    de luy, je luy feray entendre des affaires.

    despeche. Je me recommande très humblement à votre bone

    Votre très humble allié et

    hyer une letre de monsieur le vicomte son filz de La Tour

    supplyé me commander votre vouloyr pour icelluy

    que ce fut la principalle ouverture de parvenyr à son entreprise [barré : avec] en donnant sa lieutenance au sieur

    de quelle negligence en ce faict on nous pourroit imputer.

    pour limportance dudit chasteau, en presences dudit maître

    De ma main :

    mesme, un corps de satin rayé dor faict à lespaignolle.

    et quelques aultres semblables particullaritez que je delaisse

    et de bon cueur et prie Dieu de vous donner

    pour janvier ; et crois que sils scavoint que la votre heut

    Votre plus qu’humble serviteur

    à Serres cest tout esvantée et là [barré : font] fault retourner

    despuys le moys de may dernier, tellement

    Vostre très humble et obeyssant

    pour dix escus pour nestre cogneus ny assurés ; et nous fist on responce

    serviteur Jehan de brunel

    par la sappe, ce dessus dessoubz, pourveu quon

    monsieur vous donner ce que bien desirés. A la Bastie

    bonne souvenance que avés deulx.

    de retour layant contremandé le roy pour quelques nouvelles

    plus long discours et vous dyray comme estant à Lion, je trouvey la

    faulte vous advertir, monseigneur, comme

    [une ligne illisible]

    Sainct Saturnin que je poursuyvrois aussi à son proffit ; et si autre que

    [144 v°] Je ne suis pour estre et de race de rantiers et chastelens

    au nom de messieurs de la court dont je vous envoye une copie.

    Curebource les a visité et ma dict que lesdits chateaulx ne se

    ou fourrés de peau de lieuvre, et prins leur modelle

    Bourgel

    ne povons sperer que estre pirement traictez. Lon nous

    de gens darmes, et nay jamais sceu tant faire que

    d’Annières, envers lesquelles elle se sente grandement

    vous trovés maulvaises ses desobeissances et les

    vous trovés maulvaises ses desobeissances et les

    dentre eux se sont fait ouyr que si lon [barré : roy]

    sieur de Pressins, le quel a volu cy devant que il

    pandan que je serey an afères avec heus pour ni resevoyr plus de

    Trève et que vous enchargates à mondit filz sil ne retornoit à vous dans

    jay espoir, finie la trefve et advant quilz ayent loisir

    Dans la marge gauche, en travers :

    Jay les lettres de Cot expediées pour les III m[ille] l. ts que

    [196 v°] ceste ville, laquelle aiant veue, macourdarent de me fornir

    Vostre très humble filz et affectionné serviteur

    monsegneur, en prosperité, vie longue. De Brianson,

    [208 v°] Et en ce faisant, notredite communaulté et nous

    continue et puys set convertie an doble tierse et est aut jourduy

    et vous remercie humblement de la faveur que

    [début de la réponse de M. de Gordes, marge gauche, puis sous la dernière ligne de la lettre :]

    monseigneur, etc. Du Montelymar, le XXVe de fevrier 1574.

    pour le present, je finiray ceste par mes humbles et affectionnées

    De simienne

    monseigneur, vous conserver en très longue et heureuse vie.

    à sy grand nombre que cest ung plaisir et faict grand

    de rouge se debvoit presenter à la porte d’Embrun pour faire l’execution

    Lyon, ce XIIIIme febvrier 1574

    dendoulles et le tiers de cervelatz pour dire adieu

    dit communement quavant de juger il faut ouyr partie

    Jey veu ce matin ma damoyselle de Sainct Prie

    Saincturion [Centurion]. Quant aus vivres que vous vouldrés reserver pour jouer le gros jeu en temps de necessité,

    jamais volu rendre les sac et

    et ensuyvront vous comandemens comme vous

    bonté et [barré : de] bonne volunté me fera mettre fin à la presente, après

    lexercise de la relligion, ilz ne prendront poinct la paix pour

    serviteur à jameys

    tirant à Enconne à une heure de neuf du soyr. Il y a icy ung mareschal de lougis de la compagnye de monsieur le mareschal de Damville, quest en pouste, qui ne cest hosé hazarder de passer, daultant quil dit estre chargé

    très longue et heureuse vie. De Grenoble, ce 18 febvrier 1574.

    pour laqueulle lons vous ha escript par le sieur de

    caiers que monsieur de Chatellard a dressés sur

    offres quil nous a esté possible, tant pour le deveoir que

    monseigneur, vous donner en très bone santé très longue et

    par escript le dit Besson montoit plus de V c[ents] l. ts.

    serviteur g de portes.

    [303 v°] dudit Pègue. Il vous pleut aussy ordonner par vostre

    que pour me recommander très humblemant à votre bonne grace, priant

    premier œuvre quil aura redigé par escript et au premier

    monsieur le marechal

    monsieur vous tenir en sa garde. Du chasteau de Graine, ce 24e

    Pierre Arnoul

    il vous plairra aussi commander aulx consulz des aides de ceste [ville]

    ayder se tenir prestz pour nous secourir au bessoing auquel

    serviteurs. Le viguier, consulz et

    pour mon affaire, par ce que je la

    et tout incontynent satysfet au coumandement dycelle

    mais je actandrey quelque chose plus veritable et daigne

    De simiane

    de Gordes qui a fait très sagement d’avoir gaigné le devant.

    et heureuse vie. De Paris, ce XXIIe juin 1572.

    à Dijon si on peut avoir loisir, monsieur d’Hourche

    festin. Toutesfoys, il me samble que monsieur de Guise ne s’en est point mêlé.

    deniers, mais ont esté mis à fondz, ouy d’une grande

    bonne grâce, et prions Dieu qu’il vous doint en toute

    Je croy que monsieur d’Evènes voudra un peu laisser

    Encore priant le Créateur

    croyre qu’il y aura tost fin. Sur ce, Monseigneur,

    Créateur

    de son voiage d’Angleterre avec tous messieurs ses frères.

    voleu congnoistre son bien, Dieu luy en donne

    demain au devant. Le mareschal de lougis dudit roy de Navvarre a demandé lougis à la reyne

    mieulx à danser et vous en advertyr par le

    nouvelles qu’ilz portèrent, c’estoit la prinse de Castel-

    à la court et à Paris. Et je prye Dieu que vous doint sa

    émoction. Les nopces du filz de monsieur de

    [v°] n’a esté à autre que pour se garder s’il estoit assailly, voiant tout ses voisins armer au tour de luy

    maistresses de leurs murailles et portes. Voz petitz

    de Valentinoys pour le faict des lettres de marque et contenter

    quil faut que la royne soit à Fonteneblau pour la my aoust

    d’Ast, qu’est tout ce que vous puis escrire à présent,

    Monsieur, s’il vous plait la présente

    et que ce pendant, je voulois estre adverty dudit messire Jean Bouvier,

    daultant que les vivres qui restent

    Monsieur, très bonne santé, longue et heureuse vye. De

    venyr faire l’hiver en ce païs. Vostre frère, monsieur de Cabanes,

    Monsieur à tous très bone, longue, heureuse et contente vie,

    ma part pour la tenir à Rome sy vous plaist y pourvoir. Monsieur de

    point de la parolle quil a donnée à monsieur de La

    luy plait mes semblables recommandations à

    lequel Julles Centurion m’a dict que sa companie

    main à l’espée et ledit Brunat semblablement,

    Madame de Gordes é luy prye qu’elle bèse vous petys

    Baldoin

    le propoz qu’il luy tint suivant voz lettres du Ve, luy feroit

    [v°] qu’il en trouveroit deux mil deux cens escuz, que me

    et est patiant à son mal. Monsieur de Mandelot luy

    à nos voysins, ou bien que c’est une bouttade françoyse plus tost finie

    sil vous plaict descripre audit baillif de Chastelard

    doresnavant toutes choses nomées de bon ordre avecque

    le roy avoyt envoyé mon nepveu monsieur

    si est ce que pour estre venu de Milan ung

    Majesté. L’on ne peult scavouer car pour

    les mains, je prieray le Createur

    Laval

    presse et pance ne men scauroit (souvenir pour

    Clément Faure

    et que ne soyons surchargés et que

    humblement à votre bonne [grace], priant Nostre Seig[n]eur vous donner

    advertir de la plaincte contre vous et vous donner

    Vostre très humble filz et très hobeyssant

    très obéissant frère

    jour de julhet mil Vc LXXXII

    De Simiane

    recommandons très humblement à vostre bonne grace, priant

    dame la contesse sa fame ny vient jusques à la fin de ce moys

    escrit de Lyon du XXVIIe, la maladie de monsieur

    à vostre bonne grace, priant le Createur,

    bien est vray que l’on dict que ledit sieur de Genlys

    la court, car quant au banissemant et autres

    prie le Créateur vous doner,

    De Paris, ce Ve aoust 1572

    Vostre très humble et affectionné serviteur

    d’avoir peu alterer aulcune chose en la doulceur et

    sur son recit avec lequel iay longuement parlé despuis ;

    intension au plustot remetre à monseigneur le chevalier

    monseigneur le prince et aultres que doibvent

    des affères par lesquelx suys venu

    vostre bonne grace, priant Dieu quil vous doint

    va à ses iournées. Il pansoit aller an poste, il dit

    fort après les moyens du rachapt du Dommeyne. Monsieur de Belmont,

    tost serré son blé. De son labourage,

    Yvonet

    mains, je prieray le Createur

    il en avoit deux, et est de Lagni près de Paris,

    G d’Avanson, arch. D’Ambrun

    croy quilz cuydent avoyr melleur accez prez de leurs maiestez quilz

    occasion que vous puissiés avoir de vous resentir, ayant esgard que cela

    que fe[u]st bien blessé. Incontinant, feist fère

    plusieurs de ceste court se treuvent scandalisés de voir à present

    que ledit Dom Jan estoit party de Messine avecque son armée

    ni met la main, mes jours seront

    mes dernières que jaie sceu, qui me fera finer cesteci

    long pour luy. Lors, il ma dict que despuys

    grace, je prie le Createur

    lettres de Rome du XXVme, je ne scay si de juin ou juillet, par lesquelles

    aoust 1572

    du roy et permition de povoyr retenir, car il en y a de plus proches

    presenteray mes très humbles recommandations à voz bones

    F de Boffin

    Vostre serviteur bien humble

    oyseau, treuvat le maistre d’hostel de monsieur de Suze qui

    et contraindre que soye en forme afin quilz nayent ocasion

    serviteur.

    et assignation personnelle à luy baliée. Ledit sieur de Fiançays

    a pleu à sa magesté prendre de nous, qui nous est plus chère

    falit enployer quelques-einx, je vous

    Grenoble, ce premier 7bre 1572

    il dit estranger. Monsieur de La Roche, notre frère

    Je ne say sy par si devant, ie vous ay escript

    vous debviés acheminer. Monsieur le mareschal

    ne labandonnera et est en ses termes avec

    et cinq galliasses, lesquelles galliasses estoient fort

    craignent. Je vous avois mandé ces jours passez comme

    Comme les catoulizés de ceste ville faisoyent ladite guarde, ce que je leurs avoys accordé pour les considérations sus

    pour gaigner Engrongne et retorneroyent au bout de quelque

    cappitaine La Girodière, lequel de tout temps est

    meileur amy

    que je nay rien faict que ce que je vous debvoys, vous estant

    fère la cappittulation à rendre Montz et

    donner,

    ceus de Nismes veullent faire les foulz. J’auseroys croyre qu’ilz ne s’opiniastreront

    Colombat et vous mandés des lettres venant de la part

    opiniatrise premiere, bravent encores, sinon de faict, à tout le

    Quant à l’aultre poinct de votre lettre concernant le

    novelles j’avoys de Montbrun. Je luy ramenteus ce que vous en

    Votre très humble et très obeissant frère

    [Marge gauche, en travers : Je me suys falhye : ylya IIIIII c[ent]

    Monsegnieur, vous donner en toute prosperité et sancté

    G Deportes

    Rousset

    Votre très humble et au

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    vous donner

    le croys pas, mès je croys qui le font

    vraysemblable, que ils vouldront demeurer par dela que autrement ; et mesmes

    J’ay tousjours heu spérence en Dieu qu’il recepvroyt bon visage de

    messe, et croys que devant que soyt huict, il n’y aura pas

    S’il est trouvé bon par vous, je le feray faire de mesmes aux circonvoysins, car cela serviroyt

    moyen la pension reservée estoyt bien egarée ou perdue.

    moyen la pension reservée estoyt bien egarée ou perdue.

    premierement de se bien guarder et pour me mander

    je nay peu escripre pour rayson quest cy dessus

    vostre bien humble à vous faire service

    vous en enverrè votre part.

    avec trois chevaulx à la suitte de monsieur le mareschal quil ne

    ce que j’avoys promis au capitaine Bernard fère, qui a esté plus

    à La Coste et que je nay loisir escripre à monsieur de St

    restent seulement. Si vous puis-je assurer quil

    serviteur

    Monsieur vous donner en santé, heureuse et longue vie. De

    nous et eulx prierons et prions Dieu vous donner

    Monsieur avec les siennes très saintes, très bonne, longue

    ancre leur remo[n]strent que est ung lieu de frontière

    magistrat, mesmes qu’il semble estre de l’intention du roy, par ses dernières

    figue et moytié raisin, comme leurs actions en feirent

    Le porteur raporte à madame la comtesse sa

    ayant la ville de Mentolles close tout joingnant. L’aultre fort

    vous puys escripre par le présent, vous

    et mesmes à monsieur de Virieu, qui en est rapporteur, pour en bien

    de ce que l’ons m’aura respondu. Vous aurés, meshui,

    feu seigneur qui en avoyt heu le placé au dernier voiaige qu’il fist

    ay escript que mon nepveu et moy ne serons de

    pas résouldre aisément, mesme que j’ay sceu que mon frère

    Clausonne, qui ne veut entrer

    luy escripre ung mot par votre première dépêche.

    je suys seur qu’estant vous par deça vous en concerteriés et

    pour mander en Languedoc. Dieu veulhe que vous n’en aiés

    ne ferons ceste plus longue fors que pour vous supplier

    en espérance vous en randre bon conte. Ceulx de Mirabeau

    hobéissance que ung subget doibt avoyr à son seigneur.

    autres, quelque centaine d’escus qui luy ont esté renvoyés, pour

    et bien largement de nostre substance. Le bien que vous nous ferés, Dieu le

    Votre très humble et obéissant

    cœur que je me recommande à votre bonne grâce, priant Dieu vous donner,

    bonne grâce et prye Dieu vous donner la sienne, acompaignée de longue

    les présidentz debvoint estre des premiers. Tout le

    [v] car il nous seroit impossible sans ce les pouvoir

    Monseigneur, vous tenyr en santé

    y est pourra s’y prendre garde ung petit. Si j’en puis descouvrir

    Il vous plaira par le retour de mon laquaiz me donner advis

    aresté. Madamoiselle de Cazeneufve me feist la

    garde se deulent fort de la cottizasion

    Au surplus, monsieur de La Coste et moy adcistons

    ne me faut doner aucasyon de me faché. Je çay

    occasion, après vous avoir présenté mes très humbles

    monseigneur vous donner en parfaicte satté, joyeuse et

    estoit devenu. Mais c’estoit en temps qu’il estoit desja bien

    Votre mère,

    Dieu qui disposera de moi comme bon luy

    et fraternelle amitié que vous m’avés tousjour portée ; et

    [v] je pourray m’en contanter si je suis frustrer de mon espé-

    aurés heu de nous letres et sceu de nous nouvelles

    Votre très humble et

    Mazet, comme vicaire en l’absence dudit sieur d’Aiguebelle,

    devant vous à leur présence et s’il ly à faulte en faict

    en l’obéissance de sa magesté, de quoy chacun espéroit quelque

    l’eslogner, l’ayant assuré que non, me pressa de

    garde vous pouvoir dire aulcune chose de ce que vous touche ou prive à mon

    recommandations comme aussy faict ma femme,

    faillir de si prendre bien garde.

    qu’à moy mesmes, de sorte que j’ay fait une recharge à monseigneur de

    de Laval. Illuy aura de surplus sus nostre charrete une

    remuemens de cedit cousté, mais comme j’ay désja dict, je suis résolu soubdain estre guéry d’y

    qu’il me fut possible.

    n’augmentera en rien mes despances. Je suis

    vous aye enfin accordé la chastelenie de Grane, après avoir

    fort que le conseil en soyt désia prins entre eux deux. J’en

    [v] Je vous envoye la copie d’une prétendue association que les huguenots

    des Roys. Mon opinion est que mesdits sieurs de Nevers et de Tavannes

    Loriolo, il di 2 agosto 1572.

    de messeigneurs du parlement et du tout ceux

    Votre très humble serviteur

    serviteur J de Chapponay

    de pansion de mille l[ivres] t[ournois] que le roy m’avoyt donné

    et obeissant serviteur

    monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison

    ung bourc nommé Couvisson quil ha prins sans aulcune resistance, hors

    de Laval votre fils, feray fin à la presente après avoyr supplié

    Je vous supplie me faire entendre si votre plaisir est

    aller après ; monseigneur de Longueville les attend ; il y a long temps

    de bien bonnt ceur à votre bonne grace et

    D’Avignon, le IIIe de janvier 1573.

    escripviez.

    la justice et rendre à chacun son debvoir ; et du desir que aurés au solagement

    voullenté pour fère chatier seus qui louront

    d’importance que piece de ceulx là et plus forte de beaucoup que Falhens et

    envoyé les arrestz. Il le contraignent aussi à entretenir

    que chose bien menue ne meritant que payemant, commant

    serviteur

    ^ [fol 100v°] pour de là aprés la monstre faite,

    é [avanchoges ?] an tout vous avyserés au mylheur.

    de nuict, ceulx qui estoyent dans le château de Caulvisson se sont renduz

    Monseigneur, je prieray le Createur vous donner en parfaicte santé, très longue et

    supplierey me comander voz bonnes volontés ausquelles

    bonne volunté et en somme tel que vous en tirerés bon service es affères que vous avés par deça.

    abitans dudit Vif à condition de le pouvoir

    roy le requierat. Notre Seigneur pourvoyra à tout sil luy plaist, auquel je supplye vous

    Andrieu De Exea viseneschal

    vous tesmoigner la declaration quil m’a cydevant

    lartillerie de Lion, na peu recouvrer en passant quelques

    assés de moien nous les adresser comme nous fairons

    chose, je menvois enquores recomander très humblement

    où vous en pouvez estre.

    defiance entre ceulx de la vile et les soldats

    Bien samble il quilz aient faute des balles

    a la garde. Il ma dit ne men avoir volu presser pour le mettre

    Je presente mes très humbles recommandations à votre bonne

    la peyne en escripre d’avantaige audit gouverneur de Montmeillan. Et pour la fin de ma

    amy

    Serviteur

    Chastellart ma escript quil est après à avoir les provisions

    prins mardy dernier par assault toutesfois, je ne

    Monsieur tout ce porte bien à Sainct Gervays. Madame

    Anne de Serre

    ce qui en avoit este passé. Monsieur de Candalle est

    le tout contre la tresfve.

    ne demandent quun remuemant de se seisir de telz lieux,

    que prenant il y eust jeudi huict jours de messieurs le garde des

    pour chose du monde et craignant vous estre ennuieulx

    Michel Allemand filz de

    Montoyson.

    Clapye

    vous faire servisse

    forces ne sont egales à la volunté.]

    et asseurance de ceulx que le recoyvent pour le service

    fasson pour ne ressevoyr vosdits paquetz que

    que vous pourrez. En cest end[roi]t je me vays recommender

    a changé sa batterie en pretenten qu’il feust donner hier lassault. Incontinant que je apprendray quelque chose de nouveau je ne fauldrey vous en

    monsieur d’Evènes pour Jaunage, qu’ilz verifient bien les votres après

    tels effrayez reprendront asseurance ;

    de la ville de Romans.

    l’armée conduicte par monsieur l’amiral et

    hors des affères de ce monde, donnt sommes fort dolens,

    du seigneur Sainturion en ce lieu de Lauriol hoù

    C’est où je feray fin par mes très humbles recommandations

    Et combien que mondit frère m’aie par plusieurs fois dict et despuis escript dudit

    Laval encores que i’aie sceu du dousiesme du passé qu’ilz ce

    aultres choses que ne sont cy expeciffier. Monsieur

    Encor vous dirai je là dessus que naguères passa par icy le sieur Andrea de Biraghi

    me recommendant bien affectueuzement à votre bonne grace, je prieray

    Vostre mère.

    et obligé recommandations à votre bonne

    nous voulloir ordonner quelque mention

    de veoir, et seroye très aise destre

    est nessessayre, les voyant sy volonteers au service et sy affectionés

    Vostre très humble et

    [brouillon de la réponse de M. de Gordes]

    Votre très humble

    tiennent pour quelque temps et encor dans Angoulesme

    faict iusques à tant qu’ilz sont en ceste armée. Et me mandez par

    votre ordonnance en decidera. Je ne scai si vous trouverés mauvais que par

    Votre très humble e[t] très obeissant

    que par mes precedentes. Et sur ce, après mes très humbles recommandations à votre

    elle estoyt tenant les chemyns et que je ne scavoys rien de larrivée

    J’ey faict mettre dans les prisons une douzaine des principaulx et muttins

    monsieur croyre que je l’ay plus tost faict par ignorence

    Gordes, ses humbles recommandations, comme aussi je fais

    1573

    bonne pat[r]oulhe despuis neufz heures jusques

    Monsieur, longue et contente vie.

    comme à celuy qui porte autant de volonté et affecion à votre très humble

    par eau et ilz trouveront des batteaulx à Lyon avec des

    de ce solicité par monsieur de Rousset, attendant dheure à

    les affayres vont de ce costé. [barré : los] En aulcugne des viles lons ne veult ressevoyr monsieur

    aussi avoir pitié des morttes payes de ce pays, attendu le resfuz que oultre [barré : vosdits]

    tout mon possible pour le repos et conservaton de ceste province et obvier

    le cognoys homme voluntayre et de service ; mays je vous suplie

    ne sache aucunz en ses endroytz là quy en aye mieulx les moyens ;

    bonne lettre a celluy qui y est de la part dudit prince, l’advisant en somme que si

    Sire, etc ...

    Monsieur d'Ambrun assemble communes et autres forces quil peult pour

    et entendre du sieur de Catinel, aussi conseiller de ladite cour, son gendre, et ce que vous

    [88v° : blanc]

    et luy donner sur les doibtz bien vertement sil refuse de vous satisfaire

    serviteur Guilhaume Gilbert

    que ne pourrions nous accorder. Je vous suplie

    et se rendre les plus mal aysez à ferrer. Mais dautant, sire, que me tenant ainsi le plus

    diray que le cappitaine Areret commence à se bien porter, et

    de retour devers monsieur le marechal Dampville, pour sen aller trouver les

    voyt dilligemment et après le pris et imposition dudit sel se font

    pièces de campagne, les echeles furent dressées et y [barré : fust] fit

    agreables les services quilz me font près de vous et les admonester de continuer

    en donnerez le moyen les asseurant que je recepvray tousiours benignement

    et le reste bien proche

    entendre le surplus de lintention de voz majestez ; mais je ne scay comment ils sy vouldront

    [barré : Monseigneur]

    de gens darmes qui ont servy près de vous, je vous ay mandé que

    demeurer es villes quilz tiennent sans y

    que [barré : adve] scauroyt advenir à ce pouvre païs que est tellement

    votredit gouvernement sans premierement vous en avoir adverty, affin que le

    pied et singerer d’entrer en votre dit gouvernement sans premierement vous en

    de fournir à ladite sommes de deniers

    provenir de la recepte generalle de Thoulouze que navons jusques icy veu et parce moyen

    en Champagne, attendant le retour des roynes et autres qui sont allez jusques

    service au devant de Sainct-Jehan-d’Angelly, ny

    il fauldroit supplyer de scavoir

    une passiffication suyvant le dernyer edict. Il ny a nul doubte

    Suze : IIIIm p. III p. v.

    que me vouloyent fère mourir de fain, ce qui met sy

    car à moyndre nombre ne povons rien faire qui valhe ne nous

    payés leur pouvoyr fornir advivres ne

    journellement ilz assemblent et appellent en leurs conseilz

    cuydoys questant adverty par votre home auquel javoys vidé

    Donné soubz le seing et le scel de noz armes etc ...

    commodité. Et voylà le peu de fiance que lon peult prendre aulx traittez

    es diocèses de Montpellier, Nismes et Uzès et es pays de Viverays

    feray par ceste

    St Alban

    A Turin, ce dernier de decembre 1573. Prins à janvier

    avec XI puijons quon ma apporté de

    Voila ce que je puys vous escrire sur les nouvelles qui se

    supplie le Createur vous donner

    de la court ausquelz vous

    Quant à Beaulmont, y ny a jamais esté lougez que deux gensdarmes

    Francois de simienne

    de Moves. Ses chevaus qui ont esté jusques icy [mot barré] à car

    et prierey surce le Createur

    que je ne soys asseuré quil n’eut ceste mesme bonne volunté, mais

    d’Ourches qui lavoit pourté après le partement de mon

    serés oblié. Jay meployé du temps et de largent à faire

    [v] que luy respondre, sinon que luy offrir tout ce quy estoict de mon moien et priant

    de faveur. Sil ce presente autre occasion de

    acorder les vendangess et auci que je me suys mal trové de ma

    voulloir donner

    à Pierre, laqueys,

    faict entendre quil nest possible

    Serviteur

    Saige

    avoir prié le Createur

    ferey porter des bavasses que mandés que

    an allienné parce, quencores que je ne

    termes quil me tint, ce que je masseure quil executeroit plus volontiers

    me fera finir ceste en suppliant Notre Segneur

    vois prier vous donner

    fust bien tormanté de la colique hier.

    le quel je supplie vous doner

    de ceulx que par nous sont reprins sur la contrevention au

    se promect davoir celle de Vinières. Et à ses

    Vous aurés entendu de la blesseure de

    dict an demeurant sec et ouvertement que ses principaux

    consyderation et que luy et moy reservons à vous dire un jour comme il ne sera que à propoz

    de Bourville, Arbergier vichatelain, Fevre consul dudit

    pour votre noble estat et seigneurie, que Dieu vous veullent

    lever les provisions sur les decretz et response de ladite requête, actendant que sur le cayer

    et quatorze

    et de la votre, et votre particulier pour lequieul me demande

    So de boczosel

    On lattendoit à la court il y a desia deux jours. Je vous baise

    Gap vous ont faict depeche par laquelle je croy quilz se veulent

    rien entendu et ne cognoit-on yci aulcun banquier de Lyon nommé monsieur

    monseigneur, vous donner en bonne santé, longue et

    deçà quil y aura bien affère que les huguenots ne les princes et peuples

    Dieu,

    De Poissy, ce XXXe janvier 1574

    concernent quelques princes, mais monsieur de Limoges ma dit que [barré : je] luy

    aux martinetz de Rives des ostiz tranchans exprès pour coupper la bricque du château et

    Monsegneur, je receux dernierement des lettres de monsieur

    grace, priant Dieu quil vous douint

    Serviteur G.davanson Archevêque]

    du Pin, par laquelle il luy escripvoyt que le commissère estoyt

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur que

    de Mombrun, et que par ce moyen, ilz demourdroyent de la meffiance en laquelle, sans occasion, ilz ce

    Nous ne pouvons dire autre chose, si ce nest que telle est

    Jehan Garnaud et de François Rollet, soldat et des susdits

    Vous scavés, monsieur, que cest des gens de cheval de ce temps, mal

    Or y avoyt il partaige de bal partaige du je[u] des

    vous toucher en ceste consideration, mais si je navoye opinion quilz

    monsieur, en bonne santé heureuse et longue vye. D'Avignon, le

    fait monstre pour ung quartier de lannée passée, que

    P Gratet

    à la fonte et voicy la quatriesme foys. Ilz se fortiffent

    que ladite ville nen peult plus et si nous

    serviteur Guilh[aum]e eme

    quilz nauzeroient les recepvoir sans la permission dudict Bolut. Cependant,

    y aille fort de mil ou douze cens homes que

    Neuve, ce VIIe febvrier 1574.

    Votre humble et obeyssant serviteur

    que lons ha heu de Languedoc et de beaucop dautres

    monstre de la compaignie de monseigneur de Nemours faicte [barré : et la] qui

    somes deliberés fère de tous ce que

    luy ny tient la mein, il lerra perdre les pentions que sont au proffit

    ains le lieutenant de roy en Ytallie contre le duc

    peulvent gardé à sy petit nombre de soldatz comme il

    sus madame de Saint Marcel. Je vous ay escript cy devant

    faict entendre quilz ont quantité deychelles, de boys

    cella feut pour vous gens de pied et peu sen ha

    honnorée et redebvables. Sil vous plet, me ferés entendre

    moyens qu’il a tenus pour vous frustrer de votre

    moyens qu’il a tenus pour vous frustrer de votre

    venoit jamais afère autre levée, on

    maydasse à le degraver de ce que payeroys

    telles alarmes que giey resu, que sont la prinsipale cauze

    la fin dicelle renvoier les chevaux de monsieur d’Evènes et que

    de plus se fortiffier, les oster et chasser de là et leur donner

    Il est venu ung gentilhome de monseigneur le roy de Pologne, laiant lessé à la première ville

    le roy luy a données sur les parties casuelles de Provence.

    troys quarterons de pouldre et six charges de vin, quest bien

    à jamays hourche

    ce XIIe fevrier 1574.

    prieurons Dieu le Createur

    le quatorziesme jour, mès elle diminue, de telle fasson que

    me faictes, qui nest chose assés ordineyre.

    Monsieur le conte

    recommandations à votre bonne grace et prie le Createur vous donner

    De St Germain en Laye, ce XIIIe febvrier 1574.

    mal et grand bien à le veoir, et ceulx de la

    [228 v°] de quoy, par commandement de la cour et dudit sieur de La Tivolière, j’advertis

    Monsieur, depuis la presente escripte, jay receu le petit pacquet cy encloz de monsieur d’Ambrun quil

    à caresme prenant, sy elle veullent des viendes plus

    possible le tout estre connu par vous à la verité, il me senble

    qui ma comander vous presenter de sa part ses humbles recommandations à votre bonne grace

    comme il semble que leurs obstination [barré : sy preparer]vous convyer à y user de prevoyance necessayres,

    pacqués quil pourtoyt pour les

    povres et loiaulx subjectz. Ce faisant, ilz

    vous avoyr asseuré que monsieur de Gargas se porte fort

    nabandonner la couleur et le pretexte soubz lequel ilz jouent ceste

    Jehan de brunel

    de lettres et memoyres de la part de monsieur le mareschal de Danville et de messieurs de Caras, Monperou et Maugiron adressant en cour. il vous plairra me faire responce de ce que je vous ay escrit pour le reguard de la plus value de Jaunaiges.

    Votre très humble et très houbeissant

    Chatel, mais pour resolution, lons me dit que lons la

    les remonstrances des viles et de messieurs des

    nous avons tous à luy, que pour le dangier que nous

    heureuse vie. A Grenoble, ce XXIe fevrier 1574.

    [barré : que] oultre son ordinère. Marcelin, qui est ici

    appoinctement soixante livres et vingt charges de boys.

    le Createur vous tenir,

    jour, la vous envoyeroy. Despuys que lenemy a heu layssé

    ma escrit quil la

    Votre très humble serviteur

    fevrier 1574.

    me fournir admonitions de guerre pour metre dans le château, vous

    nous tumbons dheure à aultre. Il seroict bien bon den

    gouverneur de Tullete.

    balheray à celuy qui de votre part

    quand au fet de mestre Jacques Dolan et d’Etienne

    d’estre escripte à vostre seigneurie ; et en actandant ce bien,

    Nous avons piéça la nouvelle de la prinse de Mons et Valenciennes

    vostre très humble serviteur

    pour en avoir lettres particulières en leur matière au premier

    Ilz ont eu de fort beau présans du roy. Ilz sont partis ce jourd’huy au matin,

    richesse d’argent, d’espiceries et autres biens que plusieurs marchandz

    prospérité, longue vie. De Frybourg, ce XXVIIIe de

    passer la véhémence de ces chaleurs à cause de sa

    Monseigneur, vous voulloir donner en bonne santé

    ayant présenté mes très humbles recommandations

    Monseigneur, vous donner très heureuse et

    On pense qu’il est l’heure que Mons en Haynaut est assiegé

    un plus grand et le face plus advisé.

    mère du roy pour trois mille chevaus. Il cest accompaigné pour venyr en ceste court de toutz ces

    premier bien au long, qui me gardera vous

    nove en Esclavonie par l’armée de la Ligue où l’on

    grâce accompaignée de longue et contente vye. Je me

    Chassenaige et de madamoyselle de Suze

    et qu’il n’est tenu ny obligé de rendre compte à personne de ses desseings ny voluntez. Brief,

    escholiers se portent fort bien comme faict aussi monsieur

    voz Daulfinoys selon l’intention du roy ; et parce qu’il y a quatorze

    pour raison de sa groisse. Pour ceste cause, ilz aseurent les

    priant le Créateur,

    servira ausdits supplians d’information

    dont le lendemain, je receu lettres esquelles estoient escriptes les parolles

    en ce lieu nous deffauldrons au Bourg

    Lyon, le XVIIme juillet 1572

    n’est encores guéri de sa jambe. L’on ha grande sperence

    avec les siennes très sainctes et l’acomplissement des promesses

    Riez y a mandé novelle information qu’il est allé faire en

    Coste. Si madamoyselle ne fait cest achept ou bien le fai-

    sa bone grâce

    peut avoir receu de ce jour argent et qu’elle

    ce que voyant, quelques soldatz ses voysins, enrollés

    aufans pour la [barré : morde] mour de moy. Je me recommande

    De Montens, ce XXI juillet 1572

    entendre les novelles que l’on avoit de l’estat dudit sieur Truchon

    garda d’en parler plus advant, mais trouvis meilleur

    prestat sa litière dans laquelle il ce portat fort

    que commencée. Si scay-je toutesfoys de bien bon lieu qu’il avoit esté

    par ce pourteur, je luy feray tenir la lettre ; et si

    la responce de quoy jespère mon congé après

    d’Ourche de vers monsieur et madame de Lorreyne ;

    denombrement fort particulier des forces du

    salver sa vye, on advance beaucop de choses

    Monseigneur vous donner en parfaicte santté, longue et hereuze

    nul) part quelle qui moccasionat de labandonner

    soyons traités comme ceulx qui, de tout leur

    en perfeicte santé lon[gue et heureuse vie]. De Grenoble, ce

    temps pour repoulser touttes calomnies. Il me

    à jamays

    De Simianne

    Vostre humble et très hobeissant

    Mon nepveu Gargas est an bonne santé, Dieu

    Dieu

    Vostre très humble cousin et affectioné serviteur

    de Laval à Jaunage. Nous estions bien ebahis de leur

    Monsieur, vous donner bonne santé heureuse vie et longue.

    avec quelque nombre de gentilzhommes de marque

    chozes, je ne puys, et sy ne voudroys, empecher

    Monsieur, en très parfecte sancté, très heureuse

    Vostre très humble et très obeissant

    F d’Avanson, evesque de Grenoble

    bonté de votre naturel. Je m’asseure que vous

    ce que ma faict communiquer les responses à quelzques

    la charge que je tiens de luy, car cella sil [barré : me] luy

    entrer en garnison ne obtiennent declarations

    par desca, car ne sont que subterfuges

    monsieur mon frère, an santé, très heureuse, bonne vie et longue.

    quil partira demain avec monsieur de Treucheneu.

    procureur du roy en nostre chambre, en a ballé quelques ungs pour raison

    on a eu CXXX charges, en a eu moins

    Monsegneur vous donner en parfaicte sancté, longue

    jeune comme le mien. Il nous a dit les mesmes

    Il y a monsieur beaucoup d’archiers et des

    naront. Mesmes de ce fet là, il vous demeure.

    sera plus agreable à vous principaux amys et desquels en cecy

    informations d’après la saizie et viens

    ses gentz se hurter contre les lieutenens generaulx du roy et

    pour aller trouver celle de la Ligue, en ayant commandement dudit roy, et non dentreprendre encore

    de briefve durée. Si madamoiselle voit voit la presente, elle y trouvera

    par mes très humbles ercommandations à vous bonnes graces

    sa cheute en malladie, il na si longuement

    Monseigneur, vous conserver en prospère et très heureuse santé.

    on escrit que larmée venitienne avoit pris Castelnovo et mis en pièces

    Vostre très humble serviteur

    que nous le fauldroyt oblyer à vous faire payer de ceux d’Orange.

    graces et de madame de Gordes et mes nepveus et niepce,

    Françoys Bovier

    le luy ostat ; et pour n’avoir esté adverty du jour

    de plus dillayer. Quoy actandant, je prieray Dieu

    Sev odoard

    s’est chargé de vous fère entendre nostre resolution et

    que chose de ce monde. Je remarquey ung traict resultat

    seuplye vous sovenir de ung votre servyteur.

    Votre humble serviteur

    ha beacop de bons amis et seigneurs et ayant

    que un noumé Prouvansse, qui est d’Apt, a

    Dampville part ce jourd’hui ou demein pour

    monsieur de Bonevaux et ne fault doubter de

    bien armées : sur checune avoit trois centz hommes de

    monsieur le conte de Tende devoit estre mort, toutesfoys,

    dittes, me donnoys guarde d’eus de si près qu’ilz ne m’eussent seu faire faus bon, veu la sujection que je

    temps, que seroit tousjours à recomencer. Mais ayant

    de nostre mayson et qui despuys le commancement

    H de Montmorancy

    beaucop plus obligé que de ce que jay faict pour tous les bons

    que le duc d’Albe est dedans, la vie

    Monseigneur, en parfaicte santé très heureuse et

    pas qu’ilz n’ayent grande intelligence pour estre secourus en leur besoing. Je m’en

    de monsieur de Gargas. Je vous supplie me mander

    moins de parolle. La Roche et les autres qui ont la conscience

    relaxement de Guillaume Brunat qui avoyt assalhy

    aviez escrit au roy du XVIIe septembre, et encor ce que quelzques

    Francois de Simiene

    escus pystoles, contant X double é IIII cent escus dor soleil

    acomplissement de voz bons desirs. De Piarre Latte,

    Ayant faict toute diligence de trover quelcung qui alla à Laval et à faulte d’en trover, j’ay envoyé ce paquet au chevaucheur avec deux aultres paquetz, l’ung de monsieur de Mandelot, et l’aultre du Piemont.

    beissant serviteur

    Chabons

    monsieur en bonne santé et prospérité très longue et heureue vye.

    pour pouvoir lever tout le monde de la

    monsieur, quilz pourront servir pour les creues, par quoy ne fault

    leur maj[es]té et de Monseigneur et ay spérence en luy qu’il en repcevra

    ung que n’y aille. Que sera par fin, après vous avoir

    de plus grand asseurance. J’ay sperance, Monseigneur, de tenir si bien la main aux affaires

    Escrivant ce dernier mot, j’ay receu ung paquet de monsieur

    Escrivant ce dernier mot, j’ay receu ung paquet de monsieur

    les rosles, chascung endroyt soy, des hommes armés et aultres

    Villefranche

    feroit avec six allant seul par pays.

    sage ; et m’a escrit ce mesme jour qu’il me tiendroyt

    Andre ny à mon filhs monsieur d'Asnieres, je vous supplierey

    n’y a rien d’excesif ni mal à propos, mais

    Prunier

    Valvignyères, ce seziesme jour doctobre

    Monseigneur en très bonne santé longue et très heureuse

    et heureuse vye. D’Apt, ce XVIIe doctobre 1572

    et de conssequence et que m’en pourvoyant, sy je ne

    ordonnances, qu’on n’offense plus persone que par justice ; et combien que ce soyent

    tousjours foy ; et c’est pour le temps de la guerre,

    requeste appoinctée pour le regard du château et pour les

    se feroit à La Sochière, distant dellà troys grandz lieues, où seroyent

    présantant mes très humbles, pryant Nostre

    informer mesdits segneurs de la cour. Et pour fin, je vous

    sceu la prinse de Mons par composition. Les François

    à la court ; cela sentend [barré : à present] après le decès de levesque quest à présent

    ce voiage, car nous allons pour trois jours

    a perdu ung de ses deulx filz. Si je passe oultre et qu’il

    en conférance. Toutesfoys, on ne laisse

    [v] Nous sommes tous, Dieu grâces, en santé, et n’aurés

    résoldriés ensamblement et vous supplie très humblement

    [v] l’affaire que pour conserver, sur quoy, comme vous en escript

    très humblement que votre bon plaisir soit nous escrire sur le

    ont prins ung espion ces jours passés venant delà le

    Qu’est l’andret où je prye le Créateur,

    n’avoir voulu les susdits lever lesdites compagnies ; et que vous ferait

    vous recongnoistra, et nous serons tousjours plus obligés à le supplier et prier

    cousin et serviteur, de Simiane

    Monsieur de Gordes, en parfaicte santé, longue et heureuse vye. De Beaucaire,

    et contente vye. De Gargas, la veille Saint-André 1572.

    palaix est mervelieusement irrité et a on faict appréhender

    suporter ; et estent ce lieu et chateau en telle seureté,

    longue et heureuse vye. De Mens,

    quelque chose, je ne fauldray de vous en advertir, comme aussi

    de la réception de mes lettres et avec le temps de ce qu’il vous

    meilheur chère du monde et ce porte fort bien comme

    que ceulx de Crest leur font. Je vous supplie

    aux comptes de messieurs de Sault il y a quelques jours

    se que je n’y puys porté, Dyeu an soyt loé sy se veut

    recommandations, prierey le Créateur,

    heureuse vie. De Paris, ce IX décembre 1572.

    loing. De là, la royne rentra sur la hayne que le

    Pierre de Pontevès.

    semblera et ie m’eforcerai de tout mon

    d’autant plus suis-je extrememant, et plus que ne vous scaurois

    rance, Dieu me donnera pacience et faira la grâce de dire

    et comment il a balhé cent lt à monsieur Besson

    très obéissant serviteur

    ne sachant à qu’il la bailher à homme chanoine plus

    ou en dict, que je ens porte la pénitence au double, sy non

    chose de bien ; et n’ayant de quoy vous entretenir plus

    faire prandre son guidon à mon nepveu de Laval, mais

    grand regret, mays vous imputerés cela à la redition des contes du sieur Du

    priant Dieu vous donner

    [v] Morvillier à ce que me soit au plus tost mandé ce que

    tante de douze pié de toute barreure, qui nous

    mettre tout le bon ordre qui me sera possible et de chastier ceulx qui sont soubz ma

    après à la poursuite d’estre paié de mille

    tant tardé à vous en faire response. Le XXe, le secrétaire Bertrand

    discorirey plus amplement avec vous dans troys ou quatre

    font courir, laquelle il y a grande apparence estre faincte, quand ce

    iront premier à Sancerre. De ce jourd’huy, on a sorty de

    De vostra eccelenza

    qui ont auctorité commander soubz elle saufz les

    So. de Boczosel

    de mon estat de la chambre montant IIII m[ille] l[ivres] t[ournois].

    So. de Boczosel

    de Montoyson, ce VIIme de janvyer 1573.

    bellistres qui estoyent dans lesglise qui ce sont despuis randu, tenans

    le Createur vous donner,

    que lon procède contre certains de ladite novelle oppinion,

    sur les chemins quon a faict mort en ceste ville monsieur le

    suplierey le Createur vous donner,

    Votre bon et affectionné à vous aymer et

    Votre très humble filz et très obeissant serviteur

    de ceste pouvre affligée ville de laquelle quelzques ungz ne sachantz ce quilz demandent

    merité. Je ey tount pasifier et pemse que

    La Mote et qui devroyt plus demuny. Je vous supplie ne me

    et souldoé six souldatz pour la garde et sentinelle

    il scait bien quil me deoilt et est chose equitable.

    A Guerin

    sen aller trover monseigneur le mareschal

    [104 v°] Je vous prye me tenyr avertye des novelles de la torpe [= troupe]

    et estoyent bien quatre vingt cinq soldatz qui se sont faict et rooller

    très heureuse vie. De Vienne, ce XXIIIIe janvier 1573.

    jhobeyrey d’aussy bonne volonté que de mesme

    Ledit du Bas me prie vous escrire en sa recommendation, mais je le fais principalement sur le raport

    plus par cy après aliener ; et par la

    donner,

    faicte et pource qu’il a estimé que ma prièr[e] pourrait

    boulletz de canon qui sont à Vienne, à faulte quil nen

    les notres à luy. De nouveau je ne vous puis dire

    à vous bonnes graces et prie Dieu vous donner,

    Votre très humble

    estrangiers. Monsieur de La Noe est tousiours dedans,

    Car sen est trouvé quils hont tiré de bois percé pleines de plomb.

    au chateau d’If. Jentens que le dit Rogiers en a heu VI c[ent] écus pour le

    grace, priant dieu,

    lettre, je vous prieray encores une fois, monsieur de Gordes, que je recouvre lesdites deux

    H de Montmorancy

    Bellievre

    necessères pour St Sernin. Je lui escript presantement

    le vous ause assurer parce quil na passé courier

    la contesse de Grignan les fut yer visiter.

    [183 v°] arrivé en ce camp, menant sa compaignie. Despuys deux

    Si lon laisse passer tel appoinctement sest daultant

    et troubler un repos public et nous permettre aussi advant

    seaux et de Morvilliers, il leur demanda que cest qu’il pouvoit

    en ces fascheus discours, je finirey ma lettre par mes

    feu monsieur de Champs

    Ville Frache

    Votre humble amy et affectioné serviteur Bochet

    [barré : service] du roy. Messieurs les consulz m’avoyent prié de

    quatre jours après la datte pour y pourvoyr.

    bien affectueusement à votre bonne grace et prier Dieu vous

    [215 v°] advertir. Je vous supplierey monseigneur faire barré : employer] prendre quelques soldatz que le

    que l’addressée sera rabillée. J’ay veu les deportementz du

    et quant à la prière

    c’est ainsi pour ne vous entretenir de discours,

    sauf la volonté de Dieu, à laquelle il se fault tous

    nous raffrachissons le jour et la nuyt aux

    à votre bonne grace, priant Dieu,

    Chamberi qu’il avoit esté très humble et affectioné serviteur de monsieur le

    portoint bien pource que j’ay veu qu’en aviés du quatorsieme.

    je vous supplierey très humblement qu’il vous plaise vous

    [247v°] qui dict (ainsi que monsieur de Mandelot m’a raconté) que certain ministre de Pragela

    le Createur vous donner,

    Pierre de Ponteves

    grace et vous suppliant, monseigneur,

    de boys car celluy qui y estoit les soldatz

    soubz ung regiment de monsieur de Laval

    que l’ons ne leur porroyt refuser cella et à la peyne que vous

    très obeissant serviteur

    Capitaine Mestral, j’ey receu votre lettre par Chapponay present porteur et entendu de luy l’occasion

    et très obeissant serviteur

    et St Jehan d’Angely qu’on n’espère plus rien du parlement

    mesme moyen s’il vous plaist de voz nouvelles. Quant à celles que vous

    l’avertissement des consulz de l’avis de monsieur le mareschal j’aye chargé

    frère et serviteur

    bone grace et de madame de Gordes, je prie le Createur

    dicele, je vous suplie pour une autre foys se presentant semblable

    de ceste ville et les aultres ressarer dans leur maison. Pourquoy il vous

    quà volonté de vous desplayre. Je vous tiendrey adverty de

    à madite dame. Il vous eust escrit, sans

    votre très humble et aubeisant servyteur

    au jour, tant alentour des muralhes que

    Cest de Lyon, le XVIIe jour de mars

    service, priant Dieu

    vivres quilz trouveront ou de largent si vous le trouvé

    aultre la partie de la cocte des contribuables ausquelz javoys

    de Laugières, somme cest ungne confusion.

    voz voluntez font les tresoriers de les payer, et principallement de vouloir pour les

    à toute eslevation quelque rumeur qui sen face

    bien très humblement, monseigneur, croyre que je ne vouldroys estre né

    quant à laffection et volunté, je nen diray rien, syre, car elle vous

    [71v°] de luy mesmes et sans commandement de son maitre, comme je veux croire, il en use et

    garder de passer quelzques gens qui sassemblent en la vallée d'Angrongne

    congnoissés mieulx du merite des veufves, cella ma meu de vous supplier très humblement,

    [89] [brouillon de lettre à Henri, duc d'Anjou (Henri III]

    [91 v°] car tout ainsi que je ne veulx rompre avecques luy, mais bonne voysinance que

    très humblement, syre, croyre que sil vous playst fayre

    fort, lon demeure en suspend et le pays en bien grande despence. Je supplie très humblement

    supplieray très humblement, monseigneur, vous employer en sorte

    sieurs de Montbrun et Mirabel; aussi, comme je suys estre contrainct pour la

    ez presences de deux conseilliers de votre cour de parlement dudit votre

    [marge gauche : le sieur d’Ourches] les cappitaines et soldatz de [barré : quatre] sinc compagnies que javoys bel

    comme je vous prye faire de votre part et estre tousjours alerte pour garder

    [141 v°] leur requeste et feray faire sur icelle telle provision en justice, quilz

    ranger, veu quilz mavoyent promys de my resouldre à ce jourdhuy et ilz me

    Sire pour ne vous ennuyer de longue, il vous plerra veoyr

    jentendois que les premiers deniers provenans des XXX m(ille] l[ivres], en vertu

    mettre garnison comme ientendz quil soit

    foule et charge, tant pour lesdits de la nouvele

    chemin quilz auront à tenir passant en icelluy, leur soict par vous

    avoir adverty, affin que le chemin quilz auront à tenir passant en icelluy,

    quest excusation à laquelle les habitans

    reduict en sy extreme necessité, que sy monsieur de Gordes ne nous ayt faict soulaiger

    à Metz. Monsieur d’Uzès passera de ces jours pour aller trouver monsieur

    moings de ses droictz, tellement que à present

    qui pourroit avoir tué les

    [196 v°] que larivée des forces audit Pèze ne mist en soupson les aultres

    Montdragon : VIm p. XVI p. vin

    inacostumé que jay esté contraint prendre party et me

    bien garder, veu la force de lanemi que nous avons tout

    rien prester avant la main, attendu

    et assemblées quantité diceulx de ladite nouvelle oppignon,

    [217 v°] le faict, eussiés escrit à mondit sieur d’Ambrun peult estre que voz

    passez avec ce barbare. Dieu le tienne loing de nous et vous doint

    et des Genève, chacune est encore du craincte. Toutesfois, il a esté arresté

    autre discours,

    Besignan

    Montfort

    Chesilienne. Jey receu largent des vingt six

    passent de par dela. Il ne reste vous dire comme je pars

    monsieur, en très parfaicte santé heureuse et longue vie. Des baings

    plaira la faire tenir après

    et deux archiers. A Chabeul, ny a esté lougé que trois archiers,

    Ledict sieur de Pavie est

    pentras passèrent à Lisle lundi dernier où monsieur d’Evènes et

    monseigneur, vous donner en bonne santé

    j’entens qu’il y en y avoit qui voulloient mettre en consideration que ouis

    filz. Je mectray poyne de vous faire entretenir en sa

    chercher ses deulx jours chez monsieur de Sauve lestat

    Dieu quil luy donne autant de satisfation que je men desire, car seur ma foy

    vous escrire devant que membarquer,

    fièvre par chemin sé jours passés, mès se sera en brief et pour vous

    monseigneur en parfaicte santé très heureuse et longue

    une peyre de solliers,

    mectre en liver tout le bestal

    De chapponay

    monsegneur, vous avoir en sa sainte

    sont icy et des petites avec des cercles

    treuve pas ces maladies aultrement contagieuses,

    quil ne le presente. Voilla en somme tout ce dont il me chargea que

    vous donner

    monsieur, en contantement, heureuse et longue vie.

    Monsieur le conseiller de La Coste avoit esté

    monsieur très bone, longue, heureuse et c[ont]ente vie, avec sa très sainte

    reglement de monseigneur d’Ampville que se veulhes coiffer

    fins, vous pourrés remonstrer le peu de moyen

    Raucoles, lequel jentens estre [barré : f] bien mal

    parents et amys ne sont poinct dadvis que lon parle encor

    que madite dame laisse à son heritier universel la place de La Terrasse au contraire de

    Beaurepaire, Ryveyron consul de Moras et moy, notaire

    maintenir et accroistre.

    depuis presenté, le païs en doit du tout dechargé. Il ny a poinct encor darrest sur le

    votre (barré : hum] bien humble à vous

    le surplus des XXX mille Lt que en paiement de ce quy

    les mains et prie Dieu,

    excuser den recepvoir. Je croy quilz ne savent ce quilz demandent et

    Clavel dens votredite lettres et à tant prie le Createur vous donner

    heureuse vye. De votre mayson du Says, se 28e janvier.

    protestans sen veuillent rendre capables ; il eust esté bon que tels

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue vie. De Grenoble,

    Votre très humble serviteur

    baille memoyre de celles quont esté obtenues par personnes dauttre

    murailhes de La Coste par le moien desquelz ostitz, on me promectoit dy faire grande

    de La Roche par ung homme de ceste ville au quel

    monsieur, en parfaicte senté, très bone et longue vie.

    d’Ambrun

    arrivé pour fère leur monstre et quil navoyt volu

    me recommande très humblement à votre bonne

    sont layssés saisir et que toutes chouses pacifieroyent en ce dit païs dont sa magesté sus ceste

    la volonté du roy, lequel, quant il luy plairra

    autres soldats et de moy, notayre et secretaire

    armés, mal payés et par consequent mal disposés à servir. Vous ferés,

    dames, partie chez monsieur le gouverneur et partie chez

    vous tinssent bien adverty de toutes choses et quil vous plaise

    IIIIe de febvrier 1574.

    nen seroit ordonné que pour janvier, mais il scavent

    partons les lieux quilz tienent en toutes les fassons

    falloit encores mainlever, seroit nous

    les affaire sont si mal proveus audit chasteau que je ne le vous scaurois [escripre]

    pour le moingz y seront neccessaires sil nest quil

    Votre bien humble serviteur

    à jameys jehan de brunel

    endrés de ce royaume où lentreprinse de La Rochelle

    ma garda de passer plus oultre. Jespère, avec layde de Dieu, ailler fère

    passera dung jour à aultre ; et par

    de sadite chappelle. Je suis bien marry de la mort dudit messire

    de Savoye qui occupoit les terres des marquis de Saluce

    y a. Jen parleray aujourdhuy à messieurs du païs pour

    par larmurier à la grand ballafre de Vallance la grande

    et cordes, lesquelles silz prethendent dresser

    falu que naie de tout rien obtenu de ce que deman

    si avés receu une lettre de la chastelaine de Granne et si elles

    droict ; que finablement, si les vieux fermiers

    droict ; que finablement, si les vieux fermiers

    adiouxteroit ceste condition quilz ne seroient

    audit sieur de Portes qui le luy voudra bien laler

    de ma maladie, vous suplian voloyr joiendre toutes ses

    je ay creinct que quelcum ne les auta au vallet que le porroit mender,

    de telle sorte dessus que pleusieurs men raporteroient

    de son roiaume, où il avoit esté honorablement receu. Il cognoit mon nepveu et lha lessé

    Il reste quil en puisse faire son profit. Je les luy envoyeray

    peu de choses et nest pour tenir longtemps. Par quoy, monseigneur ,

    monsegneur, vous avoir et tenir en

    je pretans ne lavoyr plus guière . An somme, voylà des afères

    rroleur, jey

    Votre très humble

    novelle opinion penssant avoir aboly tout nont sy

    le sieur vibally d’Embrun pour confronter en tant que de besoing ledit Labarre

    me prye vous faire tenir seurement.

    exquises queles en cherchent, je les ay faict faire sy à

    que vous aurés esgard que se souslevement provient de la [barré : neces]

    et vous faire entendre quelle na pas heu de fiebvre ses deux jours passés, que la

    il me semble quon ne sauroit si tout retourner lequipaige pour ce metre en compaignie quil ne ce faille

    appourter là oùt ledit Pierre Arnoux

    vous seront tout jour de plus en plus tenus

    bien, graces à Dieu. Il [barré : de] sest reservé à vous escrire par

    tragedye. Monsieur Du Vent ma faict entendre que vous serrez icy à ces

    serviteur A. dayguebelle.

    remet à votre discretion. Je replique que quoy quil en

    estats du peïs, sonnt estés presantés au conseil

    cognoissons estre en telz changemens. Le sieur baron de

    Voz très humbles et obeissans serviteurs

    avec le dit Besson, dit ne se pouvoir entretenir

    Je croys que nentendés que les utansilles de mon lougis

    monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye.

    La Mure, les dames ont reprins le bal à qui mieulx. Monsieur

    accordée aux

    Jac. de Cuias.

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    Je vous anvoye la lettre que je ay receu

    asseurant, monsegneur, que nei peu avoir deulx quun quintal de

    travalher lennemy dung aultre cousté pour rompre son

    assistera à la prochayne votre très humble et très affectionné serviteur

    Morry, que je naye peu satysfère. Au reste de ce qui

    je supplierey au Créateur

    et presque aussi tost de la reprinse dudit Valenciennes qui a toutefoys

    S. de Boczosel

    président et de monsieur Brulart son frère. J’ai congneues

    ce n’a point esté sans que la reyne, mère du roy, n’aye envoyé monsieur de Froze

    conduisoint, qui par seurté s’estoint joinctz audit duc.

    juing, l’an 5 LCCII.

    maladie.

    très longue et très heureuse vie. D’Ors, ce penultiesme juing 1572

    à vostre bonne grâce, je prieray le Créateur,

    longue vie. De Saluces, ce 7e julliet 1572

    par le duc d’Albe pour successeur du quel au gouver-

    Je le supplie qu’il vous doint

    serviteurs. Toutz les princes de ceste court ont mandé leurs serviteurs pour estre accompaignés à ces

    importuner de plus long discours, suppliant

    dit que[l]le y a perdu beaucop de bons hommes et

    recommande de fort bon cœur à la votre et de madame de

    se doibvent faire le sixiesme de ce

    ledit seigneur de Malras escrit qu’il crainct que les choses ne s’aigrissent et qu’au lieu de

    de La Roche. Je n’ay poinct de novelles de monsieur

    jours qu’il est party d’icy, j’en suys en peyne pour n’avoir aulcunes

    nosses pour tou ce mois ; et dit daventage que depuis le partement

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé,

    pour ne retarder ceste entreprinse.

    ensuivantes : « Maistre Jean Bouvier est vieu et rompu et addonné aux femmes »,

    Votre plus affectionné à vous faire servise

    que, à l’ayde de Dieu, yl en sera bien tost quitte. Ma

    que sa magesté vous faict. De La Coste, ce XVIIe de jullet 1572.

    Avignon. Flassant confirma encores [barré :son] l’humeur [l'hymène ?] à Ste Honoré

    sant, si elle ne prand ce que je luy ay presanté, vous vous

    satisfera du tout à ce qu’elle aura heu de présent,

    soubz la charge de monsieur des Adretz, comme

    à ma damoyselle de Monery

    Jaurois donné la comminssion

    et luy présenteroit votre lettre. Nous trouvâmes la royne à Saint-

    de laisser l’estat à sa disposition, puisqu’il l’estimoit

    bien tout le long du chemin. Et nayant chose

    entrepris de donner en l’ung de ses trois endroitz de la coste d’Espaigne, à

    de par deça vous me voulés employer en quelque

    toutes foys avoir executé ce que sa majesté

    que sera la fin, après vous avoyr supplié

    duc d’Albe, m’a semblé le vous debvoir envoyer

    [v°] comment qu’il soyt, il sont en grand dangier ainsi

    vie. De Lyon, ce 26 julliet 1572

    et sera bien aise de trouver les nopces de

    pouvoyr sont et soy offrons estre bons obeyssans

    30 de julhet.

    dict encor, qu’est hors le cayer, que vous aviés ordonné,

    Hourche

    Serviteur

    mersi. Le plus jeune de monsieur de Roset a la petite

    Monsieur qui vous ayt en sa garde. De vostre

    De La Coste

    si longue demeure puis leur partement de Grenoble.

    De Suze, ce IIIe daoust 1572

    sont mortz ou prisonniers ; et tout le mal que

    une grasse. La consequance de telles graces ne

    et très longue vye. De Carmagnolle, le 4 de

    Serviteur

    serés ayse de les avoir renduz meilleurs par justice

    ungz, attendant les vostres, et si je ne les reçois bientost,

    samble moblige dautant à me parcialiser pour luy

    de sa majesté contraires à nous deux patentes

    pour encores, mais le conseil en prendra

    A Paris, le VIII daoust 1572

    desquelz il a deia esté ouy par deux fois au Conseil. Nous somme atandant

    que lannée passée IIII charges. A Gordes,

    et heureuze vie. De Lyon, ce [barré : II Xe] XI aust 1572

    nouvelles de Provence que m’escripviés, mesmes de messieurs

    gentz darmes qui sont de la compaignie de

    Jey fet tenyr vostre pacquet de madame de Caseneuve à madame la viquère de Ste

    vous devés attendre plus de bons offices, avec ce que d’allieurs il appartient

    au Montelliemard, là où ce que monsieur

    contre ses cours de parlement et de s’élever à telle audace.

    sur Thunis et Algier, ainsi quil déliberoit.

    mes humbles recommandacions

    priant Dieu vous donner

    parlé, ce que je vous faictz scavoir

    De votre maison de Granyeu, ce XVIIIe aoust M Vc LXXII

    tout ce qui se trouva dedans et des dix gallères turquesques qui

    Rousset

    Jay dict à monsieur de Cabanes que quand il voldra je luy

    priant Dieu quil vous [ait] en la sienne

    mesme, il passa et s’en allat. Du lendemain y

    Monseigneur vous conserver en toute la grandeur et prosperité

    Je vous renvoie les pièces que vous a mandé ledit sieur du

    pour relever ledit viceneschal, avons dressé tout au long ce

    de voz responses, c’est que telles crieries n’estoyent sorties

    G. Deportes

    [v°] leurs magestés sceu quil estoit à son lougis au hasard des

    ofert à prêter à monsieur d’Evènes sis cant

    Languedoc et passera par le Dauphiné [barré : et]

    danger en chemin pour[v]eu que lons soyt huit ou X chevaulx.

    combat et vingt grosses pièces de bronze. Les gallères

    j’ay sceu depuis qu’il n’en est rien, mais qu’il a esté

    randoys pour ce dit regart

    une bride, ilz se volteront comme plaira au maistre.

    de la maladie de mon frère de Sainct Jehan ne

    tesmoignages que vous avez ousjours rendu de moy, qui estoit

    saulve des Franssez. Sil vous plest me

    longue vie. De Gap, ce premier d’octobre 1572.

    remetray à ce que monsieur Bellyevre vous en escrit, semblablement de la retreyte

    sy les avez receues.

    plus chargée sont encores absens en Vivarais. Et si ne font

    à plain jour le cappitaine Chastellard ayant

    [v°] particuliers m’en ont escrit et à d’autres qui sont par-deçà. Conformement

    vostre mère Pierre de Pontevès

    ce IIIIe octobre 1572.

    Montoyson.

    De La Motte, ce VIe ottobre 1572

    Religion

    que luy ny ses cappitaines sattendent davoyr commissayre ny que je leur fasse

    bon traictement. Si votre frère La Roche ha ung peu d’entendement,

    supplyé de regarder là où je seray propice à vous servir,

    que le roy sera tousjours obey et que vous en recevrés entier contantement. Si j’eusse

    de Montoyson à vous adressé, que trouverés aussi dans ce depeche.

    de Montoyson à vous adressé, que trouverés aussi dans ce depeche.

    cappables à porter armes, avecques commendement de se tenir

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace

    parole, nonobstant qu’il soyt intimidé et espouventé par aulcungs.

    Monsieur vous contenter que ceste sy leur soyt monstre

    vous scavés qu’il n’avoyt aucun acoustrement

    Voutre très humble et très houbeisant serviteur

    vie, après nous estre très humblement recommandé à voz

    Votre très humble cousin et affectionné

    y demeure, je y mettrey jantilhomme duquel je respondrey ;

    [v] voleurs, toutesfoys ce sont huguenotz, à mon advis desbandés lorsque

    que sont deux ans que je leur demande, me tenent

    surplus escrit à monsieur d’Entrecasteaux pour le venir

    enfermez quatre ou six grandes maisons separéez des autres,

    Seigneur,

    randray et à mesdits segneurs, toute ma vye, hobéissance, honneur,

    qui y estoint, du nombre de huit cens, sount sourtis

    et quant son dit nepveu, que est bien honeste et saige, en jouireys.

    promener alheurs et lesse ceste despêche à

    me faille financer, je regarderay que vous en aurés les

    de la poursuyvre, puisqu’ilz la craignent.

    autre letre de mon nepveu de Laval que celle

    luy en fayre aulcun semblent que je vous en avois escript et que

    en ay dit au long et souvent mon advis à leurs magestés ;

    tout ce qu’il vous plairra qu’on fasse dudit pourteur, et comme

    Rone de la part du sieur de Pierre Gourde s’en allant treuver

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé, heureuse et bien

    tousjours paroir le respect que vous vouloyt porter. Ce soir,

    pour vostre prospérité et senté. Vous baysent à mon acostumée très humblement

    Hier, monsieur le conseiller de

    ce XXXe novembre 1572.

    Vostre mère.

    au roy l’execration d’une telle conjuration. On disoit ce

    comme nous spérons en Dieu, le tenir avec votre aide

    du second de décembre 1572.

    feray-je de tout autre chose qui sera digne de vous estre escripte.

    aura pleu faire pour moy.

    font tous messieurs vous frères et enfans. Je

    très humblement les avoyr por recommander et

    et pance qu’ilz seront bien tost desterminés et

    remesre, je l’oblyeray pour le passé ; touchant

    Monseigneur, vous donner très heureuse et longue vie.

    Vostre très humble et hobéyssant

    feu amiral et toutte la cause vous portoint, me demanda

    J’avoyz mandé une despaiche à monsieur d’Horches

    pouvoir de me conformer à sa saincte

    dire, marri et desplaisant que je ne puis vous contanter

    « et dominus dedit, dominus abstulit, sit nomen domini benedicti ».

    et IIIIc à mon nepveu. Je vous ai ausi escript comment

    S. de Chastellare

    souffizant et capable et en mains plus asseurées

    et au contraire par la vous congnoistrez la mallice et principallement

    longuement, je finiray la présante par mes très humbles

    l’en remerciant comme a fait mondit nepveu, n’y ay voulu

    Chan, car sans iceulx, je n’euse tant demerer à les aler voir, combien que

    monseigneur, en très bonne santé, très heureuze, très

    j’ay à faire, et si en toutes sortes j’ay à y aller,

    coupte dishuict escus au soleil. Elle n’est pas neufve,

    charge. Au reste, il y a environ trois mil Espagnolz qui se sont desembarquez il y a

    livres que le roy m’avoyt sidevant donné et de mon

    me rendit la vostre du IIIIe de ce moys, faisant mention de

    jours qui me gardera de vous fère plus long discours par

    ne seroit qu’il est bien difficile que l’assemblée eust esté si tost

    ceste ville six canons et une colevrine. Messieurs d’Évènes

    humile servitore

    susdits contrevenantz. Faisant par ce moyen fin à la

    Lons me remis à monsieur le tresorier de l’espargne

    Votre très humble et aubeissant

    encoure fort et ferme auiourdhuy de là, comme il pansoit tirer. Puys il cest

    monsieur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue vie,

    lesquelz sestoient absantés de ceste cite lhors des

    marechal de Tavannes. Mais cest quil est bien fort malade

    monsieur, en parfeytte santé longue vie.

    honorer comme frère. G. Card. Darmagnac.

    à jamais. De Simienne allemand

    comme les enfans de Zebedé y ont faict venir ceste troppe, aussy (à ce que jay

    il se countiendron en bonne amytié qui me

    volloir reffuzer mes pouvres subjectz car feront cella fort libremant

    de la ville, à rayson de six francz le moys pour

    Et serois bien marry de demander chose quil ne me feust

    de Dampville aveques une des

    de pays. Par la lestre que je escrys à madame de

    aux compaignyes nouvelles[ ?] soubz divers cappitaines. Deux jours auparavant

    Votre très humble et très obeissant et plus

    je prie Dieu,

    du sieur de Langes.

    dernière commission, le roy promet seullement

    monsieur, en très bonne sancté , longue et très hereuse vye, saluant voz bonnes graces

    quelque chose en votre endroict, il a desiré que je

    avoit aucun commendement de vous, qui me faict vous

    sinon que ceux de La Rochelle fonunt toute demonstration de

    monsieur, en santé, contante vie. Du camp de

    serviteur

    mais je ne pance pas que lons se fie de luy.

    Ils [barré : fount] hont fayt bone guerre aux notres quils [barré : pregnent] hount

    conduire pardeça que luy sont venus bien à propos pour sourtir de

    monsegneur, qui vous conserve en très longue et heureuse vie.

    compagnyes et lesdits pyonniers, car il fault que je fasse estat d’avoir forces bastantes

    pour menvoier par mémoire ce quil faudroyt que

    qui men aye assuré. Toutesfois ne fauldrey incontinent

    Votre très humble serviteur

    jours les cappiteynes ont faict monstre et receu

    enrichir son ennemy.

    en trouble comme tous bons subiectrz du roy taichent de vivre

    dire à monsieur de Mandelot et quilz luy dirent comme Monseigneur avoit

    très humbles recommandations à votre bonne grace. Je prie

    rechercher les armes par toutes les maisons

    Il vous playrra comander à messieurs du pays d’anvoyer

    donner,

    sergent du cappitaine Collon ung nommé La Gozette qui se dit de Moyrenc m’a de boché

    capitaine Araret et ce que vous en escrivez à monseigneur le prince

    que me faytes pour votre frère,

    je me vays recommender très affectueusement à votre

    conformer. De Fenestrelles, en haste, ce 5 mars de nuict 73

    Granges hoù ayant veu et antandu nostre fasson

    monseigneur, vous donner en parfaicte santé,

    reverend prieur d’Avignon, frère de votredite seigneurie, toutesfois je me contenterai

    Monsieur ie vois suplier Dieu qu’il vous deint en très

    souvenir de moy sy en votre gouvernement se presente

    estoit allé prescher en certain lieu où n’avoit jamais esté fait exercice de la religion,

    monsieur de Gordes, en bonne santé longue et heureuse vie. Du

    que m’ayés tousiours à votre bonne

    s’en sont serviz cest yver pour le corps de garde

    ou de monsieur d’orche, ou pour fère les forts

    povés pensser qu’ilz hont. Je n’a y falhy fère courir le paquet

    A de Sainct Auban

    de son voyage. J’ay fayct responce aux articles qu’il m’a presenté comme vous verrés pour

    Guilh[em] Corrier

    du sieur de La Noue avec Monseigneur mais fauldra

    m’avez departies pour le regard de Pignerol, je seroys extremement marry

    le cappitaine Chabert assisté d’ung second, aller au château de madame de La Baume

    La Roche

    vous doné

    occasion, de men vouloyr donner advis car je y pourvoyeray de sorte que

    plaira m’en escripre votre bonne vollenté. L’occasion du faict est que j’eu heu

    tout ce qui se presantera et sil vous playt monourer

    qu’il est après à faire un depesche en court.

    Montoyson.

    pour la ville, et la faictz tousjours mener

    1573

    Monsegnieur, vous donner en sancté longue vie et acomplissement de

    melleur. Monsieur de Suze est arrivé ce jourd'huy

    envoié pour cest effect et si promectons les rembourcer avenant

    causes et considerations portées par madite lettre, faire accorder au sieur de Veaune,

    sy javoys pencé dentreprendre quelque chose sus votre authorité ny vouloyr

    est de long temps cogneue. Il vous plerra luy fayre entendre sus ce

    il en pourroit bien estre reprins et chastié. Et que si sondit maitre y consent, je

    et autres de mondit sieur de Savoye. Ceulx de Pragella ne remuent point

    madame, avoir pitié et commiseration dicelle veufve et [barré : luy] pour si bonnes

    Monseigneur, je receus hier la lettre que il vous a pleu mescrire du camp

    il ne men donnera occasion, aussi faisant autrement, je veulx qui luy soit

    ce bien à ceste province [barré : et a votre service] comme il est

    votre majesté de menvoyer tant plus tost icelluy edict avec instructions comment jauray à my

    pour le bien de ceste province que je puisse estre secouru de

    necessité où je me trouvoys de cavallerie, recourir à monseigneur le duc de

    procureur et du general de la charge et despuis est le tout monstré

    debvoyr que la vile fut emportée et non sans ung si long combat

    et deffendre ce que jay mis entre voz mains. Jescriptz aussy une bonne lettre

    auront cause d’en demeurer contans et m’en remertier. Au demeurant

    remectent à dimenche comme il vous plaira [barré : veoir] entendre plus amplement par celle

    cela que jescris à sa magesté et la coppie de la lettre que ma

    de la commission qui vous a esté envoyée, y feussent employés, ayant

    faict pour les raisons susdites pourveu quilz

    oppinion que pour lentretien des forces qui sont necessayres

    prescript, ou le lieu de leur garnison silz sont ordonnez pour cest effect, commectant

    leur soict par vous prescript, ou le lieu de leur garnison silz sont ordonnez

    dudit Vienne supplient pour leur regard

    et secourir de quelque petite somme dargent, nous neussions sceu de quel bois faire flesche

    le marechal, comme fera monsieur de Caylus par le pays de Rouergues. Nous

    ledit suppliant vouldroit voluntiers poursuyvre er

    chevaulx.

    et fist perdre se que lon peult esperer de lassamblée en laquelle

    Du païs de Provence : a esté fourny – – VIIm pains

    retirer avec ceulx qui mayant esprové pour le passé,

    [207 v°] autour de nous sur les bras. Mondit seigneur de Gordes

    lesterilité de lannée, brulement des grains

    que porroyt causer quelque surprinse et trahison

    letre en eussent raporté melheur fruict que les aultres parquoy

    Monsieur en santé sa saincte grace, me recommandant humblement à la votre bonne.

    en ladicte assemblée que ladicte suspension sera observée par tout ailleurs où

    sy non pour vous

    Condorcet

    Si votre commodité ne vous permet de me escripre de voz nouvelles,

    quintaulx fort que fray Robichon a prins,

    demain pour men aller à Pèse et à Sienne d où jespère estre de

    de Lucques, le IX de aoust 1571

    lavoir veue

    et à Chasteaudouble, ung. Et en cela, monsieur, vous puys-je

    cousin de monsieur de [barré : Nevez]

    moy estions pour les obsèques de feu monsieur d’Aise, et sont à present

    très longue et très heureuse vie. De Brianson

    que [mots barrés] monsieur le conte de Tande n’avoit faict ce compliment pour estre occupé ailleurs pour

    [v°] bonté. Ledit tiercellet car il est fort beau et bon jusques

    des mortespayes des années passées pour faire reformer

    se sera si Dieu le conserve ung brave gentilhomme et que je massure fera [ce]

    je vous escriray, sinon ceste-ci me servira

    fer toute ma vie humble servisse et prier Dieu

    vie. De Gap, ce premier de septembre 1571.

    mais je navoye pas

    quilz ont pour cause du peu de foins et pailhe

    garde. De Grenoble, ce VIIIe septambre

    que jey achepté. Quest tout ce que je vous

    si est ce quelles se peuvent prendre et cela

    je vous suplieray encores très humblement ne trouver mailvais si

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et

    De Gargas, ce XVIe 7bre

    fort malade à presant se porte bien.

    et digne grace, saluant les votres de mes très humbles [barré : reco]

    de ce que par dernier edict de sa majesté nest prohibé aultre

    que peu avoir monsieur d’Apt de son costé et vous du votre

    à cause du coup quil a sur la marque

    de marier sa seur et quil ne [barré : scaur] luy avoyt dict

    quelque il inclination que vous sembliés avoir de votre part.

    et greffier dudit Beaurepaire recepveur Calier sieur de Laurencyn

    Lan mil cinq cens septante quatre et le vendredy huictiesme

    faict du sel, dautant que messieurs les commissères nont plus volu vacquer dès le commencement

    faires servisses

    vous est dheu de votre estat, ce que feray aparoir par les

    monsegneur qui vous conserve en très longue et heureuse vie.

    avec cella, monsieur, je massure que si vous vouliez conformer voz

    monseigneur en santé ce que desirés et me fère la grace vous pouvoir fère

    Votre très humble et affectionné

    entrepreneurs se fussent repousés interdum etiam nimio studio valde

    ce XXXme janvier 1574

    So de boczosel

    qualité non fondées en suffisantes recusacions, suivant les ordonnances,

    expediction. Toutesfois, je n’y feray bouger sans prealablement avoir responce de ce

    il a vendu tout ce quil avoyt en ce pays. Par ses

    D’Apt, ce XXVIe s janvier 1574.

    Je desire bien de savoyr monsieur ce

    declarer à personne où la compagnie devoyt aller, si non

    grace. Priant Dieu,

    nouvelle occasion auroit possible promys audit seigneur sil en estoit le ministre, quil le reintegreroit

    regarder ses pouvres subgectz de ce païs de son œil de

    de ladite ville soubz signé

    sil vous playt [barré : part de ses nouveles] tenir ma lettre à monsieur de Laborel

    monsieur du Monestier, où il y eust masques à force.

    me donner moyen vous faire tenir les miennes, jy satisferoye de

    Votre plus affectioné et mellieur

    bien tart ici coume les affaires vount depardella et si ne

    quilz peuvent faire plus que navoient jamais faict. Ilz

    reduyre à ung impossible ; et par tant,

    par le menu plus particulierement. Nous navons peu encor gagner [responce ?]

    y vieigne quelque autre ordre par une bonne

    P evesque de Gap

    semble altérer et ennegrir les affaires. Vous aurés

    ca[resme]prenant ave[c] luy pour luy ailler baiser les mains et à madame,

    là, votre seigneurye entendra comme eulx

    Pierre que na malladie que sept jours. En ce que dessus vous ferés,

    où mon grand père gagnat la bataille contre le duc de Savoye

    regarder à tout ce que y sera de necessaire. Ce

    maladie de madamoyselle de Saint Prie. Maintenant je

    contre les murailles de la ville d’Ambrun, elles se

    diés. Je feray mon poussible pour le fayt de querir

    demeurent bien, daultant que monsieur de Granieu ayant commodité

    luy ont faicte quelque promesse, vous n’en avés

    luy ont faicte quelque promesse, vous n’en avés

    plus conduicts par Italiens.

    en consyderation que jauroys le service des rançons.

    bonnes volontés an hune pour porter mon droyt et mestre, si vous

    jai esté datvitz quil les ramena lui mesme tant pour se tenir près

    nouvelles à celuy qui le y a envoyé et ce seroit eslargir

    en très bonne santé, Dieu mercy

    par la première commodité seure.

    vous plaira leur en escripre et commander votre volunté .

    sa saincte garde et vous meintenir

    que ne son dignes destre escries à telles personnes que vous,

    receu votre lettre

    Sur la fin de ceste, jay heu advertissement

    Serviteur

    grand despit quilz menassent encores faire davantage.

    et ledit acoustré de rouge qui estoit Casteau Redon qu’il detenoit prisonnier,

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    propoz, quil y en a de toutes façons, de vielhes, de jeunes,

    necessité que les soldars nont pas eu le boys et à faute

    faict sperer destre bien toust guerie.

    desliberer de ce servyr du renouveau sentent pour faire trotter les chevaus à faulte de pasture

    luy avoyt commandé ; et estre enquis

    et obeissans, ilz prieront Dieu pour vous

    mondit sieur de Vennes.

    prochains estatz, qui faict que je delibère à votre retour vous fère

    adviegne, sest tousiours donner moien de calomnier ceulx qui

    et remises à monsieur de Limoges pour les regarder

    St Priest est deceddé a avantage de sa vefve quest de

    les commis des estatz du Daulphiné

    pour XXX sous de gages que lui dounés, oultre quil ha

    y soyent comprins, ny chandelles que à ses consulz ne

    De Grenoble, le XXIIIme de febvrier 1574.

    Du Molar gouverne tout. Madame de La Thivolière verat

    diocèses de Uzès

    duchasteau.

    de monsieur le lieutenant de Crest quy vous

    pouldre et quatre charges de vin ; et vous plairra, monsegneur,

    choc de laultre comme nous dezirerions très tous avec

    assamblée, auquel il vous

    vous plet me mender pour ce que mon cheval nest

    Monseigneur, qui vous doinct très bonne saincté, longue et

    esté tenue fort incertaine jusques icy que on ne la tient pour

    Je ne puis faire response à monsieur de La Coste

    par les procédures que vostre partie ce faict scavant homme

    s’il verroit parmi eux quelque belle guilledinne ; toutesfois il y en ha peu et

    Les Onestragueulx sont les gueulx d’eau ou de mer.

    Les advoyer et conseil de la

    Tant s’en faut que ma femme soit marrie

    Vostre très humble et très obeyssant serviteur.

    Monseigneur, vous donner en sancté heureuse

    Votre très humble et affectionné

    nement des Pays-Bas, le duc de Medinacely estoit venu,

    Monsieur, avecques sa sainte grâce, très bone

    dites nopces. Jay parlé à Monsieur pour les loz de Cabannes. Il ma dit quil men feroit faire la

    le Créateur

    que despuis ele revint à Mecine d’où elle est partie

    Gordes et de madamoiselle de Moneri. De Gargas, le

    moys. Je n’en n’ay sceu aultres nouvelles. Monsieur

    revenir avec bénédiction, les François ne s’en retournent avec grandes malédictions. Dieu porvoira

    d’Ourches puis son despart en Lorrayne pour lequel

    nouvelles de luy, que me faict vous prier que si vous en

    du roy, que monsieur lamyral a testé veu parler à la royne

    très heureuse et longue vie. De Saluces, ce

    [v°] En faveur de ceulx de St Joyre pour le ravissement

    quoy aiant entendu, fus totallement dégousté conscientia ita dictante,

    Mandelot

    fille est allée demuré quelques jours avec luy, car

    Votre très humble nepveu et affec

    de Liry à messieurs les cardinaulx [barré : qui] allantz à Romme, qu’ilz a

    en pourrés servir pour payer monsieur d’Uriage.

    qu’est occasion que je n’en importuneray point leurs

    estoyt du temps dudit excès ledit Brunat,

    Vostre mère

    que j’ay du[barré : roy] roy au presant

    Tomas du Louvre à l’issue de sa messe. Monsieur d’Hourche

    tant, et parler seullement de deniers. Despuis il me

    qui méritest vous faire antandre, je metray fin

    Lisbonne, Calix ou bien à Portogalo qui est ung havre en Portugal, et

    chose, vous scavés quelle puissance vous avés

    nous aura commandé ; et que ceux de la Religion

    me commander votre vouloyr pour icelluy toute ma

    comme ce faits, attendant aultres occurrenses que

    qu’on dict. L’on a faict bruyct que monsieur de

    Vostre très humble et hobeyssant serviteur

    Moustiés faites, qui seront publiées au XX daoust

    a sadite majesté et à vostre seingneurie, qui

    Yer je al [fin de la page déchirée]

    [mots barrés] comme Cavagnes affermoit, que l’exercice

    Si madame veoit la presente, elle y trouvera mes

    Andrieu de Exe

    verolle. Ils ne sont logés en une mesme chambre.

    maison de Montoyson, ce premier daoust 1572

    Madamoysele de Caseneufve na point heu la résolue responce

    J’ay sceu aussi la convalescence de monsieur le president

    Vostre plus affectionné

    je veois en celà, c’est la perte des gentilzhommes

    me touche, non plus que aulx aultres. Au reste,

    aust.

    Jean Besson

    et par patience. Des affères de par-deçà, je ne

    [v°] sans plus attendre je les bailleray à la royne et les feray

    [v°] et à le suivre estant à la court. Je y trouve si peu

    bonne yssue, ainsi que monseigneur le vicomte

    Vostre très humble et obéisant

    de jour à aultre la resolution de noz affères. Nous en fusmes ouy au Conseil

    disent que ia force bleds, me doute

    Vostre très humble et hobeyssant

    [v°] de St Sernin et de La Coste, qui estoint à Sault, et que monsieur

    monsieur de Nemours qui sont de ces quartiers,

    Claire d’Avignon.

    à la reputation de votre sagesse d’en user plus tost ainsi que d’entrer

    Courreri lui forme son procès. Il at esté

    [v°] La royne me dict que ce n’estoit pas à elle à qui

    Monsieur en santé contante vie. De Lion, ce XVII aoust

    pour vous assurer q de sa meilleure

    Votre plus humble et obeissant serviteur

    venoyent au secours, les cinq avoyent estées mises à fond et les autres

    Monsieur, despuys ceste scripte, jay resseu des

    bailheray mil escus. Il est(trové) tumber malade de fiebvre

    Monsieur, très bone et longue vie. De Gargas, ce XXI

    envoey home exprès à Suze, qui n’est encores venu.

    que demandés. Du Montellimar, ce XXIIIIe daoust

    Chastelar.

    qu’il ha à fère. Sur ce, après m’estre humblement recommandé à

    que de la passion d’aulcungs ; s’il y avoyt moyen en ce temps

    [dans la marge gauche]Theseus ma dit de bouche que monsieur du Bouchet lavoyt chargé me presenter ses recommandations,

    autres par monsieur de Vaucluson et monsieur de Chatellart

    escus sol[eil], que iay pris, et mest veneu

    [v°] il desireroit fort vous trouver à Lion à ce qu’il ma dit ;

    [v°] Je me suis pancer ne debvoir parler à leurs magestés de

    estoient mal armées et n’y avoit presque point de

    bien près. L’on dit que monsieur de Santal a passé oultre

    Toutesfoys, j’en actendz encores votre bon advis et

    ma abandonné, ce que je pance ne treuvés maulvais ;

    toute chose digne de vous et dont le roy, en ayant cogneu la

    fère scavoyr la venue de monsieur le maréchal

    Vostre très humble et plus obeissant

    que les huguenotz d’Allès ont faicte, combien que vous trouverés le dit paquet du

    L’on dit que monsieur d’Etavayer a souvé monsieur de Sovin.

    pas estat d’en revenir pour encores. Je suis icy tous les jours

    icelluy Brunat, pour raison de ce, demeuré trois moys

    à votre advertissement, la royne me dict que ce ne seroit

    Votre tres humble et obeissant

    votre très humble et obéissant serviteur

    bailler ny administrer vyvres, sy non que comme ils les achetteront de gré

    il pensera aux exemples qu’il a veu devant ses yeulx et

    m’y employant le seray d’aussi bonne vollonté que m’en

    pencé pouvoir obtenir congé de vous pour assister à la monstre naguieres faicte à Loriol de la

    prestz pour, au premier mandement, marcher là où je leur

    et prie Dieu vous donner santé très heureuse et longue vye.

    Et en verité, je me suys aperceu qu’il y en a des nostres qui

    Après que vous en serensegne en laquele Ilz trouveront que,

    [v] et si n’en ha pas pour parangouner au moindre en cest

    Bellicant

    bonnes graces. De Grenoble, ce XVIIe jour doctobre 1572

    serviteur

    et combien que ce ne soyt trop grande chose, je l’estimerey

    Bernard et Columbin se retirarent et feirent le chemin que scavés.

    content des autres, pource qu’ilz y ont procedé

    trouver et à monsieur de Carses une bone lettre

    tout à propos sur le grand chemin, au lieu plus convenable

    Monsieur, vous doner en prospérité, longue et heureuse

    service, et vous présente mes très humbles salutations, et prie

    enseignes desploiées, avec les armes, et conduis en seureté

    Je me doutte que monsieur de Carces ne l’aie point obtenue. Il fault

    monsieur de Touchemis qui m'a assuré partira

    deniers, s’il m’est possible, car je n’auray guières d’envieux

    Je veoy bien que, puisque l’on y envoye mon frère,

    qu’il avoyt escript avant que notre allée à Chantilhi,

    cecy ne parvienhe point à ses oreilles car je l’ey asseuré ne vous

    et pour le fait de monsieur d’Hourches, particulièrement à

    nous avons à nous conduyre en ses affaires, estans confrontez

    le sieur de Montbrun. Il pourtoit une balle de cire verte

    longue vye. De Montbrun, ce XXVIII novembre 1572.

    sur ce que je l’ay resouvenu de vous en vouloir toucher

    la mein et supplient celluy qui despart toutes grâces vous donner,

    La Bardonnière,

    Votre plus affectionné parfaict et asseuré amy

    Pierre de Ponteves

    matin que Montgomery estoit entré dans La Rochelle,

    et faveur, sera le sollagement et guarentie de tout

    Votre très humble et très

    Et en cest endroit, je me recommanderay humblement à votre bonne

    n’obliay pas de parler de ce que vous scavés. Ilz m’ont

    me commander votre vouloyr pour icelluy toute

    arrestés, nous promettant luy et moy d’avoyr

    la fère vous ne devés puls eyfère ains y doner

    De Saluces, ce Xe décembre 72.

    Serviteur

    si je ne vous en avois pas adverty qu’ilz vous estimoint vindicatif,

    pour la vous faire tenir. Je pence que l’arés

    volunté. Venant icy, j’ay trouvé votre laquais

    et satisfaire ; et premièrement à madamoyselle de

    Je ne vous en puis dire autre chose, me recommande

    avois désja fourni du mien VIc lt à mondit nepveu.

    que audit sieur d’Aiguebelle pour en dispozer à la volunté de

    de ce particullier sus nommé. Nous avons demeuré despuys

    recommandations à votre bonne grâce et à cele de madame de Gordes

    entendre, sachant votre voulounté, et sur icelle ayant

    je cuide bien que il n’ai pas prins aultre résolution que cela que je vous escripvis

    longue et très contante vie. D’Apt, ce XIXe décembre 1572

    que me soit mandé plus tost que tard. Si je ne vous veoy

    mais elle est aussy bonne. Il luy a aussy le lict de

    quelque douze jours au port de Bayo, lesquelz sont logez dedans le pays des Langues,

    estat de la chambre et la roine mère du roy

    la mienne du XIXe du passé. Despuis, vous en aurés receu

    ceste lettre, si ce n’est pour me recommander humblement

    faicte et la résolution prinse, attendu que en si peu de temps,

    et de Laval se preparent pour partir avec Monsegneur.

    Mario Antonio Buragia

    presente par l’humble et très affectionée requête

    Fites qui est entré [barré : en] cest année de charge. J’en

    serviteur

    surprins de ces grans neiges, et veult on dire que sen cella encoure il treuve à

    avecques accomplissement de voz bons desirs. Ce Xme

    troubles advenus à Paris et despuis sont revenus en ce

    à Chatre soubz Montlery. Messieurs d’Evènes ^ [^ et de Laval] prendroit

    De Vallamce, se XIIIe de janvyer 1573.

    entendu) leur festes la responce telle que leur feist Notre Seigneur, auquel je

    ferat finyr septe par mes humbles requomandasions

    et je vous en demeurerey obligé et prest à vous obéyr toute ma vye

    soldat. Depuys le commencement de ceste guerre

    [88 v°] dues, voulant suyvre votre advis au faict de lhoneur comme

    autres quatre compagnies, car le

    Gorde, vous sarés averty des novelles de vous anfans

    le cappitaine estoyt sorty avec cinq soldatz seullement et [barré : au] estoient

    affectionné serviteur à vous obéyr

    Monsieur, quil vous doeint en heureuse santé, très bonne

    Votre très humble et très affectioné

    vandre les plusvallues de ce quest jà

    de mes très humbles recommandations. Au Monteilhimart, ce XXVIIe janviert.

    vous supplyasse de vouloir avoir luy, son frère

    prier de scavoir que cest, et de me faire envoyer

    se vouloir opisniatrer et ne saperçoyt lons en rien qu’ils

    Nieule [barré : de] près la Rochelle, ce XIIII febvrier.

    So de Boczosel

    Nous ne pouvons estre longuement sans voir

    si devant prins, renvoyant les soldats pour leur

    Paris. Il est à sa maison à Saix avec quelque garde de leur aige

    De Paris, ce XXIIIIe febvrier 1573.

    pour assaillir les villes et combatre lennemy en campaigne quy est logé à deux lieues d’icy

    Monsegneur et monsieur de Nevers escripvent à Roume ;

    que pourrey scavoir la verité de vous en advertir.

    Rousset

    argent. Despuys avant hyer, il ne se parle, ne moings

    en paix et pour notre reguard ne desirons aultre chose

    escrit quil pretendoit commencer la batterie ledit jour de jeudy, il y a

    le Createur vous donner,

    des huguenotz suspectz à quoy n’ay volu bouger

    sabas ung comissayre pour les vivres. Je vous veulx

    monsieur de Gordes, en bonne santé, longue et heureuse vie. Du

    et n’a tenu en luy qu’il n’en ayet convenu que beaulcoupt davantage. Lesdictz soldatz

    dauphin. Je voudrois bien estre en lieu où ie peusse parler

    vous avez souvenance de ce que je vous dis lors que nous en discourions ensemble.

    bonne grace, et prie Dieu,

    Je vous salue tout

    ilz n’ont despuys fet semblant de passer. Je ne

    très longue et heureuse vie. De Paris, ce 5e

    d’en supplier votredite seigneurie en continuation des grandes faveurs que j’en ay receu

    parfecte santé, très heureuse et très longue vie. De Loriol

    occasion pour m’employer ; et sur ce je finirey ceste

    dont interrogé [barré : il] pourquoy il le faisoit ainsi, il respondis que bien tost on verroit

    Camp de Sommières, ce VIIe mars 1573.

    souvenance et si par fortune vous

    et en aurons bien faulte. Aussi seroit

    de Pragella qui y sont trop plus que meriteront,

    adressant à monsieur le maréchal et les aultres lettres à qui elle s’adressoy.

    que chascung mette la main à la paste, attendant qu’on puisse mieulx, de quoy

    que le plus fort le gaigne. Vous en pourrés scavoir

    que tel inconvenient en advint ; mais en cela et en toutes autres

    laquelle lesdictz consulz de cette ville m’ont asseuré avoir faict resserrer en sa

    monseigneur en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.

    les gens de guerre, soyt de cheval ou de pied, troveront au partir

    de quelque lieu avertissement qu’ilz ont intelligence en ceste ville qui est

    sovent de vous nouvelles, je les arey pour les plus agreables

    tant pour mon enseigne par mes sergens, que

    votre bien humble et affectionné

    voz desirs. De Valance, ce XVIIIe mars 1573

    en cette ville, qui sen va au campt de La Rochelle. Il

    que vous leissiés agreable ; je vous envoye le double

    marechal des lougis de ma compagnie, le don daubeyne qui vous est escheu parle

    [brouillon de lettre au duc d'Anjou]

    mespriser voz ordonnances et commandemens, ne ayant vescu jusques à ceste

    votre intention.

    feray pourvoir par les voyes et remèdes que de raison. Au demeurant, j’ay

    encores et font de belles promesses ausquelles ne se fault arrester,

    causes et consideratons contenues en madite lettre, luy faire don de la finance

    devant La Rochelle du XXXe de mars en faveur du [barré : seig] sieur de la Roche de

    faict tout du pis que lon pourra. Jay advisé de luy escripre encores la lettre

    [109 v°] très necessayre pour votre [barré : province] service que il y

    conduire et obeir à voz commandemens.

    cavallerie.

    Savoye, que ma liberallement accordé la levée de cent chevaulx legiers en

    et authorizé par votre dicte cour, qui me faict de tant plus esbahir

    que la nuict servint ; mays il fault que je vous die, sire,

    [135 v°] à ce sieur de Maubec, lequel est indigne de lhonneur quil a receu faisant sy peu de

    je vous ay envoyé mes commissions pour recouvrer deniers pour faire faire

    que jescriz au roy [barré : ensemble] et vous les copies que je luy envoye, que sera cause,

    escrit Montbrun et de leur responce que jay receue depuis deus

    esté depescher à ceste intention. Je prie Dieu, monsieur de Gordes,

    nyen) puissent abuser, il fault quilz donnent

    pour sopposer à leurs desains, que je ne pence pas quil

    quelqu'un au près de chacune, tant pour les conduire prandre garde à leur

    pour cest effect, commectant quelqu’un au près de chacune, tant pour les conduire,

    mondit seigneur de Gordes sil luy

    nous vous supplions très humblement en consideration de la grande amytié que votre

    avons trouvé en chemin sus Vallence les Suysses qui licenciez sen vont en leur

    reprendre ladite instance et faire apparoir

    J’ay doné à ce porteur quinze solz

    se trecte sesdites affères qui seroyt pour remectre le feu en son

    Bollène : XIIm p. XII p. v.

    mestiment suffisant leur fère service, ce que je ferey

    ma comandé que pour lantretènement de ma compagnie,

    et perdition de notre bestailh et nouriage

    audit lieu, comme se faict journellement en beaucoup daultres

    si vous avés le moyen de mayder à procurer madite liberté,

    A Turin, ce 22 de decembre 1573

    ceulx de la religion commandent, soit en Languedoc, Guyenne et Rouergue ;

    suplier croyre que

    [marge gauche : cest oultre les gentilshommes

    les disant à ce porteur, il m’en fera le rapport.

    lesquelz jey payé le bordeur pour une couverte

    retour dans huict ou dix jours pour le plus tard que est le

    Votre très humble et très obeissant à vous faire service Ane Maugeron

    [v°] asseuré quil est vray et qui na jamais esté bailhé monition que

    Nevez. La malladie la

    à Salon attandant larrivée dudit seigneur à Marseille. Cest tout

    ce XXVIIIe aoust 1571

    les affaires de sa majesté, qu’aussi ne se devoit il mettre en plus grand

    en votre arryvée en ce païs que [barré : sera] ne sera comme ma dict monsieur

    dessus celuy [barré : des années passées] de la presente année, mais on

    quy vous seront agreables et de bon naturel est-il. Or pour conclusion

    pour me tenir cependant en voz bonnes graces,

    monsieur, vous avoeyr en sa sayncte et digne garde, vous

    Vostre très humble et plus obeyssant

    la mesure. Il seroit

    quilz ont recully ceste année comme la vente

    votre humble et

    puis escripre, après avoir prié le Createur,

    est plus à craindre en une grand famille

    [barré : plus] de meilleur heure je ne vous lay faict entendre, mais

    très bonne vie et longue. De Rousset, ce XVe de

    Votre à jamais très humble

    Monsieur de La Coste et toute la compagnie sont

    recomandations. D’Apt, ce XVIe de septembre 1571.

    chose que le port des arquebouzes et non des aultres

    ce à cause des grandes despenses quil vous a fallu supporter

    pour rien, de quoy on parle de le trapanner.

    que sil ny prenoyt plaisir, il nen parleroyt plus,

    Jadiousteray à la presente que mondit sieur de Brie ma faict veoir en cecy comme volontiers

    extraict de son propre original par

    jour du moys de janvier, par devant nous, notaires royaulx

    de ce moys sans avoir argent et payement du roy. Le sieur de Montcal avoit retiré

    Ludovico Costa

    certiffications des treqoriers de lextraordinère, car il ny a

    De Paris, ce XXIIIIe janvier 1574. Votre très humble serviteur

    dessaings au gré dung peuple, le service de sa magesté ne seroit

    très humble et agreable service comme je desire. De Rome, ce XXVme

    à vous fayre servisse

    peccaturo ; cela m’a fort interrumpu tous mes dessaings dont je me reserve

    voz très humbles et obeyssans serviteurs, les commis des estatz de

    et quil les fera toutes ranvoyer au parlement de Dauphiné ; au reste que

    quil vous plaira commander. Il y a tout au près de ladite Coste ung château duquel

    lettres, il mescripvoit quil partoit de Paris

    Votre très humble et très obéissant frère

    que vous avés apris du prisonnier de

    que mondit sieur le marquis sy trova en personne. Si cela

    monsieur, que vous aye en sa garde. De votre maison

    à sa charge pretendue, dont le sieur Fernillier, que je nay point veu, auroit desgrossy les affères ;

    misericorde, destitué de tous moiens de pouvoir plus

    Rollet notaire et secretaire

    Tout ce soir, monsieur du Molar tint le bal comme jà

    tous poinctz.

    à vous honorer et servir comme frere Card.

    leur heusse douné advis des XXX mille lt, ils mheussent

    font tousiours cottes nouvelles et devers Serres,

    monseigneur, nous vous supplions très humblement

    dudit Bolut de recepvoir lesdictz cinq soldatz de ceulx de notre ville et

    paix ; car ne se fault en rien asseurer

    lettres de monsieur d’Anbrun. Je suis tousiours atandant

    encore que je luy remete son enseigne. Je ne laisse de demeurer en sa

    mesmes sont les premiers qui ont

    votre bon pleysir, du moings vous madvertirés de votre intention affin

    estant chef de sete armée ; nos tiltres ne sont pas

    traistre de cadet dict à ceulx de Chateauneufz quant il

    vous en faictz une recharge pour vous asseurer quelle

    treuveront bien ferrées comme ilz disent si ne nous

    à quoy monsieur quon ne trouve difficulté.

    les vous faire tenir dimenche dernier, les mist dans ung scien

    qu’à fère et neantmoings nempeschés quil na

    qu’à fère et neantmoings nempeschés quil na

    Quant à ce que on a volu fère entendre à

    Sur quoy je luy avoys respondu comme je fais

    plet segnieur et père, deziran sur tous vous rendre lobeyssance

    de vous sil vous plet emsuis sans vous porter auceune [sic] despance [barré : à

    les limites et cheines, lesquelles silz occupent une foys

    Votre très humble serviteur

    Jey esté adverty pour ung de Moulines que là, à leglise dudit lieu,

    en très bonne sancté et longue vie.

    mès vous les prandrés se vous plet comme venan dune voutre

    du XIIIe de ce

    comme ceulx de Mais ont mandé homme exprès

    S de boczosel

    Parquoy, etc …

    duquel sieur vibally ayant heu response, ledit Labarre a esté condemné et

    Mandelot.

    et de mediocre eage affin que chacune se puysse contenter

    comme je scay pour vray quil na pas heu se quil debvoit

    Jey aussi veu monsieur de Monestier

    qui ont à toutz aultres vivres qui seront necessaires pour larmée, ilz y abonderont pourveu quon tienne la

    si ceulx que lavoint ainsi painé

    prosperitez et saincté, quil vous aye en sa

    Monseigneur, je prie Dieu vous donner en santé

    compaignye pour vous fère service et aussi que la commission que jay

    sonnt en pareilhe charge que vous leur proposant choses mal eisement à effectuer

    et en faire raport au conseil, mayant leurs

    la maison de Chevrières et de laquelle il na delaissé enf[ant ?]

    Bourgel.

    esté environ ung an malade sans pouvoir que peu servir.

    men balhent tous les moys que quatre livres, tant

    Votre très humble allyé et très affectionné

    ordinairement comme on sen acomode car la filhe [barré : on] où est

    et Nismes pour

    advertyra de ce que je vous puys advertyr car illont seu devant que nous.

    faire le tous. Je les fis assembler lundi dernier et leur ai

    layde de Dieu, le quel pour fin de la presente, actandu

    plairra den escrire demarquetz.

    bougé de la lytière despuys que je vyns de vers vous

    heureuse vye avec tout contantement. A Paris, ce 19 jour

    asseurée. Des nouvelles de la frontière d’Espagne,

    sur mon affaire où il luy a pleu s’employer

    en cour laye. Je suis bien marry de le voir hurter

    ce qui y est extrêmemant cher : trois cens escus, deux cent escus les moindres,

    Les catholiques ne peuvent bien croire telle nouvelle

    ville et canton de Frybourg

    que vous l’ayés appellé maleteste, qu’elle en

    La Casette

    Et longue vye. De Romans, ce XXXe juing

    Serviteur

    apportant le congé dudit duc, pensant trouver le pays

    et heureuse vie, me recommandant très humble-

    despeche. Si je neusse esté envoyé vers mondit seigneur et dame de Lorrayne, je masseure

    Monsieur, vous donner très heureuse et longue

    il y a quelques jours pour continuer leur dessein

    XIIe juilhet 1572.

    de Suze a esté voyr le mesnage que la

    à tout. Le Turcq a envoié à Rome ung ambassadeur pour visiter le filz du Bassa son nepveu

    ie suis demeuré bien vefve. Mon lougis est à la faulx

    scavez, de m’en donner advis, et cependant, je me recommanderay

    mère plus de cin ou six hures en hune fois et feut à Meudon

    XVe julliet 72

    qu’y font les loups.

    et escripvis audit Bonaventure qu’il regardast d’en trouver ung plus

    il y a bien près de trois moys qu’il ne bouge de la

    tionné serviteur

    accompaignés et à leur

    Votre bien humble et obéissant frère

    magestés que je n’aye heu autres novelles de

    myrent aussi la main à l’espée en intention

    Pierre de Ponteves

    pourteur pour la monstrer

    s’acquitta fort bien de sa charge, remonstra à la royne

    rechercha de le prendre pour V m[ille] livres, mais je luy résolus

    à la presente, après vous avoir beysé très humblemant

    en default de cela, au Castel de Mine qui est en la Guinée, ou bien aller

    sur moy. Et en ceste mesme volenté, je presenteray

    font les retifs daller en Flandres montre que la

    vie acomplir d’aussi bon cueur que votre

    vous puisse escrire, supplieray le Createur,

    La Garde estoy mort et ces estatz donnés à monseigneur

    de Chapponay

    Comme veues par la publication que vous en

    sera pour finir la présente

    [v°] de ceste affection, pancés y monsieur pour y donner ordre. Vous savés trop

    de la religion prétendue ne se feroit poinct dans Loriol,

    très humbles recommandations à sa bonne grace.

    Vostre très humble et aubeis

    de monsieur et madame la presidente de Fuveau touchant

    et obeissant à vous faire service

    de notre France qui pourroient ung jour faire service

    monseigneur, je vous escripvis, après la prinze

    Votre très humble et plus

    scai que vous escrire, si ce n’est que nous sommes toutz

    tumber ez mains de monsieur l’amiral, mesmes entre autres

    dadvantage que jayme trop mieulx estre [barré : corf] cortisan

    de Cadenet a eue de la doyené de Tarascon qui vault troys centz écus

    frère à iamais

    [v°] [barré : en la chambre des] avec le procureur du roy en la chambre des comptes

    que sera comme aus aultres lieux :

    serviteur

    de Cabanes estoit entièrement guéri, dont loue Dieu.

    lesquelz se tiennent en peyne parce que

    Vostre plus affecttionné et obeissant

    en plus grands picques et estriver avec ceux qui vous sont

    à Romans pour avoir celluy qui avoit tué

    ilz s’addressoint pour ce regard, et qu’ilz n’y seroint pas les biens

    1572

    convalescence. Ledit Michalon ma dict comment lors

    de Granieu

    cinq prinses et menées à Venise. Quest tout ce que je vous puys

    lettres de messieurs d’Evènes et de Laval du XVe, mescripvant

    tierce de quoy jen suis en peyne si est ce que jay sperence

    aoust 1572

    Ledit maistre d’hostel est monsieur de Lavagnieu. Priant

    Vostre très humble et très obeyssant

    votre bone grace, je prieray le Createur,

    qui y semble estre propre, d’en retirer dextrement declaration d’une

    me dire que quon aye escript de Salusses, les deux armées chrestienne et turquesque ne sestoient encores hurtées et quil me prioyt luy escrire sil estoyt

    comandarent à monsieur de Causerans de laller prandre

    bien à point, cat iay perdu chevaus et

    de mesmes que y aprochant, il vous depêchera

    votre voiage en Provence que premièrement monsieur le

    mariniers, combien que j’aie veu à Constantinoble de

    et qu’il est mort. Monsieur de Rousset m’a escrit

    comandement, que je ne manquerey, Dieu aydant, de mectre

    et mofre respondre diceulx et toutz aultres

    verité, la grandement loué et approuvé. Et laissant tous ses

    Damvylle, lequel est en chemin. (Jay

    serviteur.

    dit sieur president de vielle datte, quar le pourteur d’icelluy est demeuré malade

    et quelque fois y couche ; et sy suis resolu que, maintenant

    prisonnier et luy ayant formé son procès, le procureur

    que bien faict, non obstant sa contenance qui le pourroit

    serviteur à jamais

    La Mote Verdeyer

    à gré, car jentens bien que la prière quilz vous en ont faicte cest pour leur

    croyra votre conseil, que me semble seroyt fort bon, qu’il s’en

    voy recomander bien humblement à votre bonne grace, priant

    [v°] compagnie du sieur Centurion, voyant les affaires bien despozés, je vous en heusse faict

    ordonnerey ; et ce pendent jay mandé particullierement

    De Grenoble, ce XIIe octobre 1572

    en font mestier. Ledit Columbin s’est declaré qu’il retournoyt

    Dieu mercy, ma femme se trouve à present bien se y fortifiant

    compagnie de son aage, ny enquores lit de camp,

    Voz humbles et obeissans serviteurs

    F de Lacoste

    beaucoup plus que alheurs ungne plus inportante pour

    Et pource que, la grace à Dieu, il ne se presente aultre chose qui

    en bonne foy. Il vous plaira aussi avoir esgard

    aux mesmes fins. Monsieur et madamoyselle d’Ourche verront icy, s’il vous plaict, mes semblables recommandations à leurs bonnes graces.

    de toute la valée, avec sa fontaine dedans, où seroit requis

    vye. De votre mayson d’Orpiarre, ce XXVI octobre.

    Dieu vous donner,

    [v] dans ce réaume. Mais à l’antrée, il y en ha heu environ

    [v] que je vous die qu’il men pria par deus foys de me monstrer de sa

    demein en poste. Monsieur Maniquet part aussi dans

    sur cest office. La royne pourtant m’a promis, par vostre

    il y a de la besoigne et que si j’y veoy, j’en

    où ne se parle que d’aller à la chasse et

    en donet aulcune cognoisance, ny m’en mesler que je n’en aye

    Monseigneur. Mon nepveu Baltezar et ses compagnons se portet bien,

    comme nous sommes. Cepandant, n’avons voullu obmetre vous

    dans laquelle y havoit une lettre. Ilz ont mené ledit pourteur

    Votre très humble et affectionné serviteur

    un mot, il m’a asseuré vous en avoir escrit, mais

    Monsieur, en parfaicte senté, contente et longue vie. De Chrest, ce sabmedy matin

    feut ensepvely, personne qui

    H de Montmorency

    Je vous ay à fère une requeste de la part du cappitaine Amblard,

    où il avoit mené plusieurs grandz vaisseaux bien armés

    ce Bas-Gappencès, et par ce moien ne sera trouvé

    hobéyssant à jamès

    grâce, suppliant le Créateur qu’il vous doinct,

    monstré le prendre tout en bonne part. Aussy,

    ma vie acomplir d’aussy bon ceulx que la

    ce bien que de vous tenir bien tost en ces cartiers

    l’ordre que connésiés car vous avés usés

    Votre très humble et affectioné

    A. de Chapponay

    qu’ilz estoint si iniques qu’ilz rapportoint plustost voz déportementz

    maintenant repceue.

    qui s’en alloit à Gargas, ai ouvert votre

    Casaneufve et si je le pouvois faire sans offenser Dieu

    une autre fois bien humblement à votre bonne grâce.

    [v] Je vous assure que je me treuve bien court, et si ne sommes

    mondit seigneur de Sainct Sernin, l’en a prouveu et

    troys jours sans garde. Je ne vous puys escripre

    et prie le Créateur vous donner

    auparavant escript à monsieur de Lenoncourt pour demander

    par la poste ilia bien troys sepmaines que à mon avis vous avés heu le pacquet

    Votre très humble et très hobéissant

    si tost, je vous escriray par le premier d’un discours de monsieur

    monsieur de Laval, sans puis d’aultres malles pour serer

    es lieux qui sont de l’Estat de Millan où on les a départiz pour les refreschir comme

    m’avoyt donné quelque espéranse, mais sur cella

    plusieurs autres, et sceu comme le XVIe ce me semble de ce

    à votre bonne grâce d’aussi bon cœur que je prie le Créateur

    vous avés bien affaire d’assembler les estas de Daulphiné ; et sil en

    Je relenceray assez monsieur d’Hourche de la solicitation des

    que je presente à Dieu pour voz prosperitez et acompagnés

    pourray à mon advis tirer ^ [^ de] quelque ^ [^ partie] assignation car

    Montoyson.

    quy parler, mays comme il est brave gentilhomme chacun tient qu’il s’en sauva.

    de Janvier 1573, de Saint Auban, en la mayson de

    païs et font leurs demeurances en aucunes aultres villes

    le Xe congé de la royne estant dans le lict, mais esperant

    Voutre très humble servyteur

    prye vous donner,

    de bien bount ceur à votre bonne grace et supplierey

    [72 v°] d’aussy bon ceur que je vous supplie me recepvoir à votre bonne grace

    ont a mys quelques garnisons par les villaiges,

    vous ay dict aulx fins que je soye veu de vous

    roy [barré : la porsuitte des communs

    é ausy par l[e]ur lestre. É an set andret, je me

    descenduz par la muraille avec une corde. Je vous prometz bien

    La Magdeleine

    vye et longue. De Ventavon, ce XXVe janvier 1573.

    serviteur Bellievre

    alliené et possedé par les acquereurs.

    Monsieur, si tant est que votre dessente sabas ne puissent estre pour le premier dimanche de caresme,

    et leurs affères en votre bonne protetion, soffrans de

    tant quil y en aura sur la riviere iusques en Aiguesmortes

    [140 v°] s’adoulcissent pour laproche de Monsegneur, chose que sanbloit que

    Votre à jamais très humble

    ce quils aurount dans le [barré : con] ceur [barré : de] de quoi, à toutes

    paie et quelques cappes de gens de pied de marque

    coment lon ma dit de neuf ans je ne lay point veu. Monsieur

    Votre très humble

    et fainct de voulloir venyr au combat. Nous sommes toursjours devant ceste ville d’y

    et soudein en poursuivant les lettres ne me trouvant

    Jay faict mectre quelzques soldartz dans les

    faict on estat, en faire aultant à la gendarmerie, dequoy

    et prions Dieu quil nous y meintiene et nous fasse la

    soixante pièces de batterie, cent enseignes de gens de pied es

    monsieur, en perfaicte santé, très bonne et longue vie.

    sans entendre vouz commandementz. L’on m’a

    bien dire que estant yssy dernièrement, j’advertiz

    camp de Sommières, ce IIIe mars 1573

    s’appellent la Bruyère qui est du Fontany et ung aultre qui est de Vorèppe qui

    à mondit seigneur le prince. Je ne scay si votre lettre luy aura esté

    Et en cest endroyt, je me recommande à votre bonne grace d’aussi bon cueur etc.

    monsieur de Gordes qu’il vous donne en bonne santé,

    Vostre frère et amy

    sey sy vous envoyés la compagnie de monsieur Maulgeron

    mars 1573

    et recoy [barré : xx] tous les jours desirant d’estre de plus fort obligé à lui estre

    ce sisiesme mars 1573.

    en suppliant le Creatteur vous donner,

    qu’ils iroyent prescher encor plus outre, avec certains autres propos de menaces,

    Votre plus affectionné ^ [^ et] parfaict et meilleur amy

    employés quelques ungs, je vous

    fort necessaire de remonter notre artillerie

    ou pour aller aillieurs où le service de

    Monsieur de Cabanes doibt partir demayn pour s’en retorner en

    j’attens tous les jours responce de sa magesté. Quant aux forces que Posol dit venir

    plus de part et d’autres par les lettres de messieurs

    choses pratiquées si subtillement par l’invention des ennemis, il

    maison la quantité de deux centz charges de farine, et avecque toute discretioin et modestie la prier de ma part me vouloir accomoder de quelque partie

    De Lyon, ce XIIIe mars au matin 1573.

    de votre gouvernement commyssaire pour les conduyre là où il

    cause que je couche d’ordinayre au corps de garde vu par la ville

    que je porroys ressevoyr. Et atandent ce bien, je

    par moy. Et quand aulx catholicqz que font

    serviteur

    Votre très humble et très hobeissant

    sejournera demeyn en cette ville pour faire ces Pasques jespèr

    de lestat de votre compagnie pour vous fère veoir celuy des

    decès de feu Maxemin Lacrose de Fouziny en Savoye, habitant à Lyon, qui

    Monseigneur, pour vous esclarer sur les raisons quil vous a pleu malleguer

    heure en repputation davoyr volu contester contre mes superieurs, car

    Sire, jey esté constreint fayre levée daucunes compagnies, tant pour

    en très bonne part ce que me mandez pour l’archevesque d’Ambrun, la presence de qui

    car silz veoyent leur poinct, ilz ne fauldroit point de jouer leur personnage.

    qui pourra provenir dudit estat, ou partie dicelle en y nommant personne

    Grane [barré : lequel, à ce que voy,] Je vous suplie croyre, monseigneur, [barré : vous desguise bien son faict car] que ses actions sont esté toutalement

    que je vous envoys, laquelle je vous prie luy faire tenir, priant Dieu vous

    aura telle fraternité et inteligence entre nous que

    ses pays pour [barré : naveoir ?] autre soulagement de vosdites majestés comme je nen attendoyt

    que celluy qui na nulle cognoissance de la police particullière

    que la valeur denvyron soyssante gentishommes [barré : qui] partie

    conte de voz mandementz et de mon service. Le sieur Julles Centurion a esté

    monstre aux deux compagnyes de gensdarmes qui ont servy près de

    que je ne pourray plus tost satisfaire à voz commandemens ; et quant au surplus de leurs

    heures [barré : suplie] je suplie très humblement voz magestés de me

    vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XIIIIe

    des hostages comme lon font aux autres villes. Partant vous

    ne sen aille du tout ruyné ; et davantage, syre, quant

    manière de vivre que pour leur faire administrer ce qui leur sera de besoing,

    prandre garde à leur manière de vivre, que pour leur faire administrer ce qui

    plaist avoir consideration, car il est

    maison a tousiours porté à notre maison, laquelle nous estimons plustost estre augmentés

    pays, qui est tout ce que, pour le present, nous vous pouvons faire entendre, après

    de son bon droict en icelle, ce quil ne peult

    Et bailhé contant.

    royaume aussi grand quil ha esté cy devant et par mesmes moyens

    Alixan et Monthellier : IIIIm p. III p. v. – f : VI poinsons vin

    fidelement avec layde de Dieu, ayant le cueur en trop

    je men adresse à vous pource quil vous a faict antandre

    quil vous plaise moyener que le

    lieux, ledit Coderci , au nom que dessus, a protesté et

    oultre la perpetuelle oblygation que jje vous en auray toute ma

    Votre humble et mileur obeissant frère et vray amy Montfort

    et a, mondit seigneur le marechal, despeché en plusieurs du costé de Thoulouse

    la où jeusse eu

    Et cappitaines, soldats et

    lescarlatin, taffetas et soye que je vous

    mesme temps que monseigneur de Nevers veult partir pour

    que pour ceulx qui y ont estez, et non pour aultres, comme

    arresté en Avignon et le peu

    ce que je vous scauroys dire, fors pour saluer voz bones graces de mes

    votre plus humble et

    paine. Or parmy ces traictez, il passa quelques jours et luy qui est

    de Evènes sy tost que je vouldrois cest landroict où je [suplie]

    ne la peu trouver advant que partit de Bloys. Iescrivis

    et qan vous pourront tesmogner comme le tout est passé et de quelle façon

    lesquelles je salue de mes très humbles recommandations,

    presantans mes humbles recomandassions. De Grenoble, ce

    Serviteur

    bien quil vinse jusques

    est telle, de sorte quil fauldra quilz vendent

    obeyssant serviteur

    Monsegneur, vous avoir en sancté et longue

    comme est la votre. Laultre poinct est que si

    les raisons que jey deduictes cy dessus me serviront sil vous

    sepbre 1571.

    et très obeissant frère

    allées voir ce matin madame de Gordes

    Votre plus umble cousin et affectionné

    armes et par ainsi tacitement semble estre permises par sa majesté,

    durant toutes ses guerres, ayant tousiours eu tant

    On dict que ce sont les Suysses et luy done

    quil luy declaroyt quil ne scauroyt avoir agreable

    il semploye en ce que vous concerne.

    moy le notaire et greffier soubzsigné

    soubz signés et en presence des tesmoingtz comme il est dit.

    des meins de monseigneur le chancellier larrest pour la blanque de Pecaix pour y

    rien plus odieux ici que parler de donner et de ce,

    So de boczosel

    faict comme il est de besoing, car je pance que cela tant sen

    Janvier 1574

    Ville franche

    vous escrire cy après plus specialement ; quant à ce que les huguenotz

    Daufiné

    le roy fait declaration de nen donner aucune par cy après, sinon suivant ces

    [59v°] lassiète est bien forte et les advenues assés maulvaises, appellé le château d’Ornacieu,

    [v] pour venir à Senarpont ; toutesfoys, pource quil

    Francois de simienne

    Chastellart et quelle responce vous avés eu de

    a esté escript au vray, encores vouldroys je que no[barré : u]s

    de Montoyson, ce premier febvrier 1574.

    mais que cecy ce rappourte aulcunement au discours quil vous fit quen playne table au grison le sieur

    supporter telle despence que ny a province en tout ce

    le dimanche au paradvant. Il avoyt faict tant à laprès

    Monseigneur, en soubz signant la presente, jey receue celle quil

    D'armaignac.

    dressé leurs ordonnances là-dessus ; layant sceue, ils

    ont dressé ung peage que Ferrier prend ung teston

    davoir souvenance et pitié de ceste pauvre

    les antremeler avec les siens, mais leur veult faire faire ung corps

    à ceulx qui se disent catholicques et pource que

    nouvelles de monsieur de Limoges et si ne ay bien tost,

    bonne grace et tousiours à luy parce que je tire lestat que le feu

    rompu la trefve. Quant aux gentilhomes

    que les vignes des susdites chappelles ne demeurent à pener et cultiver

    estés par arrentemens ny par trafficages, ains par armes

    feist retiré avecq eulx pensant leur prendre lesdits chateaulx

    va en empirant avec une fiebvre continue et faict grand

    mettons en bon debvoir dycelles ranverser avec les premiers

    [161 v°] Monsieur de Chatellart nha enquores retirer la responsse aux

    despeche quil vous faisoit par la poste. Quest tout ce que

    son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,

    son pourvoyr comme bon luy sanblera. Aultrement,

    sa magesté que na tenu que à vous que lesdits Suisses

    encor sil y voloit revenir que de ma part, je ne

    de filie puys qui vous plet monorer de tant que demeurer et

    votre] sinon que de sa bouche, mangant à votre table avec les aultres,

    sera mal aisé de les en oster ; et si vous puis asseurer

    S. de boczosel

    sont arrivés ces jours passés quelques estrangiers en nombre

    De votre lieu et maison de Chechilienne,

    povre parante et servante et que at du tout fondé son esperanse

    moys et quant

    à Clays pour leur preparer logis et vivres

    Votre serviteur, claude Martin

    executé à l’estrapade et à bannissement perpetuel, mais quant à son cheval et

    et croy quelles auront plus de presse que les aultres

    [235 v°] recepvoyr de ses contributions. Pour la crainte, monsieur,

    qui ma aussi chargé de vous presenter

    main que les marchans ny perdent. Au reste, ceus qui cognoyssent la situation des lieus où les ennemys

    estoint de la religion, a dit que

    saincte et si digne garde. De La Terrasse, ce

    très longue et très heureuse vie. De Paris, ce XVIIe fevrier

    des voyturiers de Lion mappelle en Valentinoys en ce temps. Ce

    [276 v°] ou plus tot impossibles par ledit sieur de Chatel je voulay mandé votre

    magestés assuré que au plus tost lons respondra à tout

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    [296 v°] Par vous premières [barré : my] pourrés sil vous plait escripre au dit Besson

    pour ma chambre que pour mes rondes. Je vous suplye

    serviteur

    logé monsieur le gouverneur est propre pour cela. On dit

    la fin de ce moys,

    faict commandement de me fournir ce quil estoit necessaire

    que avant vous ay amplement script, je prieray vous

    à cause dhune antorce, de fasson monsieur que je vouldrès

    et iniure. Parquoy, monseigneur, vous supplieray très humblement, comme mesme

    Colas, secretaire

    qui m’est commandé par lesdites patentes. Je vous replique ses patentes

    s’en souvenir ; mays puisque vous m’escrivés que vous avés marché

    à perpetuité

    et trouvée legitime. Tout le surplus pourroit estre

    recommandé. De Veurey ce IIe octobre 1572

    entretien soyt prins [barré : au lieu des six] sus la despence

    Ie crois que le tout ce conduira en bonne paix et union et ie prieray Dieu

    celluy qui est mon reffuge et secours, m’aient cognu tout tiel que je demeuray

    Monseigneur, nous vous renvoyons le pacquet

    parce que par missives je ne puis ny doybs me departir d’iceluy

    de tel pied et affection à la court quand il estoyt question de quelque chose

    Clary

    pour le respect des deniers levés pour le faict de la guerre

    Votre très humble et affectioné

    quon fesoyt pour les six licenciés, car vous scavés

    Monsieur, quil vous tieigne en très parfaicte et très heureuse vye. De Rue, ce 10

    très humble et très obéisant soubz votre main et puissance, voloier faire entendre vostre

    de lettres quil vous pleust nous mander pour

    commandement. Si votre compagnie vient en Avignon, il fauldra que

    qui me touchat plus que si ce fut esté pour votre fayct, je vous prie me

    [v°] et aux guerres dernières. Il y a long temps, quant à ce que

    serviteur Sernaing

    que le moyen de quoy on lentretenoyt [barré : est] fault

    octobre 1572

    pouvoier et volanté audit La Roche, me rendray de plus en plus très affectioné (comme

    faire tenir à messieurs de Bazemont pour

    pour aler à Vienne elle passe tout le long du Daulphiné, qui sera

    le fayre entendre et je vous y respondray et remercieray si par votre

    monsieur de Sainct-André s’est plainct n’avoir deniers. Il vous

    Jay touiours la fiebvre carte bien forte.

    et de lentretenir sus ce que je prens sus Granne

    Votre très humble soldat et très affectioné

    très pauvre obéisant et bien humble serviteur) à vous commandementz, obéisances, en

    ce quilz estoient jà partis advant

    une bien grande foule desquele (barré : ce païs] il est sy chargé qu’il n’est

    moyen j’ey receu quelque avanssement ou bienfaict, car je ne suis

    en escript car ce n’est de notre faict. Monsieur de Moidieu

    Monsieur de Sainct André pareilliement

    vous scavés si jen ay encores touché ung liard.

    scerviteur

    supplient très humblement le Créateur

    la reception dicelles pour sen aller

    pas croyable, car tout se qui passe en Piedmont est aux despens

    poynt costumier de ne recognoystre les plesirs qu’on me fayct,

    est desparty ce matin sur ung des deux basteaulx que

    Vous ne me mandés rien si avés receu quelque

    De Lille

    Monseigneur, pour vostre prospériteur et grandeur, saincte félice donner longue et heureuse

    à Grenoble.

    de ce gouvernement ; par quoy vous feriés beaucop de la fayre

    à moings de ne garder mes amys ; et en cest endroyt, après mes

    avons faict preparer suivant voz mandementz, lesquelz avons

    argent que le tresorier Lionne a baillé au cappitaine

    vie . De vostre maison à Valence, ce septiesme jullet 1572, par

    venir tomber à Vienne par delà le Rosne et ne scay si vous avés

    humbles recommandations à votre bonne grace, je prie Dieu vous donner

    entendu par lettre escripte à monsieur le president Deportes,

    Briansson votre frère. Je vous prirè, quant vous commanderés

    Votre très humble et obéisant serviteur

    nouveles de votre tresorier.

    très bonne et longue vie. De Laval ce XIIIIe daoust 1572

    ausquelz en tout et partout sommes prestz d’obeyr. Sur ce,

    quelque chose si on vous somme de monstrer votre povoyr, faytes

    La Gamonière

    après nous estre recommandés très humblement

    metre le demandeur de la sommation dans un fons de fosse

    à votre bonne grace, nous prions Dieu,

    comme aussy vous ferés de ses braveurs de parole si vous les avés